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Je suis très content que tu me comprennes. Oui, ça limite les dégâts pour une personne qui a plein de choses (sacs, manteau) c’est certain, mais pour une personne qui n’a pas d’affaires ! Le pire, c’est que l’idée de planquer une pilule d’ecstasy m’est même venue, à cause de l’iso !!! Et quand j’ai été convoqué par l’IDE en chef, elle avait mon dossier ( j’avais déjà essayé de dissimuler une clope), elle m’a dit si vous avez quelque chose, donnez le nous, de toute façon, on le trouvera et il y aura pas vraiment de rapport, alors que si j’avais quelque chose de bien planqué, ils l’auraient jamais trouvé, et si je l’avais donné, ils auraient pu fouiller la chambre, devenir encore plus suspicieux, elle avait pourtant l’air très intelligente. En ce qui concerne le monde carcéral, je le connais pas du tout, mais il y avait certain(e)s, (des mauvais exemples pour les autres même), ce n’était pas des grands délinquants, mais ils/elles connaissaient la prison et toutes les techniques. Ils disaient que même en prison, on ne fouillait pas vraiment plus qu’en HP(écarter les jambes, soulever la poitrine parfois), les agents ne pouvaient pas , du moins ils l’ont jamais été, je pense même pas que les infirmières en sont autorisées( fouille corporelle) !!!, (j’imagine qu’il doit y avoir des exceptions, c’était pas leur cas).Donc, on se rend compte qu’on a été rabaissé pour rien, je vois pas comment on pourrait aller mieux (même si le cas était justifié, la fouille ne servait strictement à rien), c’est pareil pour les petites sorties d’essai (20-30min), si j’avais fumé ma clope à 16h30, l’infirmière me disait bien, vous avez déjà fumé, je pouvais aller au salon, couloir, mais pas au fumoir, sinon, c’était retour direct à la CI, elle rappelait également, si il y a le moindre problème avec les patients, ce sera également le cas, alors que je n’ai jamais eu le moindre problème avec les pensionnaires, au contraire, même si l’IDE est très sympa, ces remarques et cette interdiction ( vous avez fumé il y a une heure) ne font qu’augmenter la colère et la frustration, à tel point que cela se passait parfois très mal avec l’accompagnatrice, et je me dis, que même en prison, il n’y a pas d’interdiction de fumer, d’autant que les autres patients enchaînent cigarette sur cigarette, donc pk une personne en iso, à un droit limité de fumer, même quand il sort 20 min, si ce n’est pas une sanction, c’est quoi ?
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Oui, je suis tout à fait d’accord, une personne âgée, Alzheimer, pourrait se faire voler, se blesser. Mais, dans le service où j’étais, où j’entendais des conseils ( pas très catholiques, comment ne pas avaler ses médocs,…). En ce qui concerne les médocs, drogues, il y en avait, vu que certains avaient des permissions, certains fumaient des joints, je me suis fait attraper avec un joint, qui était pas à moi, c’était surtout pendant les changements de service, réunion d’équipe, les patients connaissaient toutes les combines, je me suis fait prendre par une infirmière qui quittait le service (pas de blouse blanche). J’ai été convoqué, l’infirmière en chef (ou responsable en chef), m’a demandé comment je l’avais eu, à qui il appartenait, si c’était à moi,… (je suis pas un grand consommateur de shit, c’était pour tuer le temps), même si je savais à qui il appartenait, je l’aurais pas dit. Ensuite, elle m’a demandé si j’avais quelque chose sur moi et de le donner, j’ai même pas répondu, quand j’étais en caleçon, elle m’a dit si vous avez quelque chose, vous pouvez aller aux WC pour l’enlever et le rendre, j’ai juste dit non, ensuite, elle a juste dit à l’infirmière, en sortant, de prendre le sous-vêtement,que j'ai dû enlever, j’ai mis le pyjama, comme je suis resté très calme quand elle me posait les questions, je suis restée 3h en isolement. Alors oui, il faut confisquer les médicaments,…, mais je me suis rendu compte que ces fouilles étaient inutiles, certains consomment de l’extasie en iso (il suffit de le mettre dans les cavités et certains y mettent plein de chose, shit, pilules, allumettes), c’est pour cela que l’opinion d’une soignante, son dévouement, la pratique est très importante. A quoi bon fouiller une personne, qui n’a rien sur elle, alors qu’on sait qu’une personne qui revient de perm ou qui veut vraiment cacher quelques chose, si c’est un ou une pro( car ce n’était pas mon cas, je l’ai appris en HP), il suffit qu’elle les caches dans l’orifice avant ou/et arrière. Donc, on fouille des gens, oui, on peut trouver des armes et autres, mais pour les drogues/médocs, cela sert à rien, si n’est à humilier certain(e)s qui ont rien.
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"en effet si tu étais venu seul, et surtout si tu n'avais prévenu personne, il n'y aurait pas eu d'HDT, puisque personne n'aurait fait cette demande pour toi" C’est incroyable, tu as mieux compris que certains psys, que les psychologues avec qui j’ai parlé durant le séjour. C’est vrai que l’iso s’applique à tout le monde (HL ,HDT,HO), mais en HL, on devra laisser quitter le patient. Donc, on se retrouve soumis à des contraintes, iso, uniquement parce qu’un tiers a également signé, c’est tout. Comme, je voulais quitter, j’avais dit à ma sœur, si j’ai une permission, je ne reviens pas, j’en ai jamais eu à cause de cela, j’ai admis que je voulais pas rester là, j’estimais que je n’avais pas à mentir, c’était mon droit, c’est aberrant( d'autant plus aberrant que cela poussera les gens à s'isoler, à ne jamais rien dire à personne, je ne comprends pas que les psys n'en soient pas conscients!!!!!). En plus, les IDE même en étant très professionnelles oublient certaines choses (HL,HDT,HO), ainsi il y avait un patient qui devait quitter le lundi( il reprenais le travail et était guéri), cela concernait la permission de quitter de samedi matin à dimanche soir, celui-ci se demandait déjà si il allait revenir le dimanche soir pour repartir le lundi !!! quand l’IDE lui a demandé le vendredi après-midi( elle notait les demandes de perm à soumettre au psy), il a répondu « ouais », il hésitait, celle-ci lui à répondu d’un ton sec, soyez clair, cette permission est loin d’être accordé systématiquement, alors qu’elle savait que le patient allait quitter le lundi !!!!!!! Ton attitude est assemblable à celle d’une amie infirmière. Par exemple elle est super cool, quand certains lui posent des questions sur l’hosto, situations loufoques qui arrivent, c’est pas du tout une coincée pour cela, elle parle de S comme les autres. En revanche, elle a fustigé un copain, quand il a fait allusion à certaines personnes hospitalisées (accident), handicapées, qui pourraient apprécier une toilette, désinfecter une blessure, être nu,…, elle lui a dit t’es con,…, que tout avait une importance, la manière de le faire, un sourire,… pouvait être très humiliant pour la personne et que ce n’était pas marrant. Moi aussi, j’avais vraiment pas envie de rire, d’ailleurs elle pensait que cela m’était arrivé (blessure, accident), je lui ai dit que non et j ’ai pas oser lui parler de l’HP, même seul avec elle, j’en aurai eu honte. De plus, avec certaines IDE, on se tutoyaient mutuellement par exemple, ce qui était une très mauvaise chose, quand par après, l’IDE , dis « non, tu dois retourner en CI, suis moi en CI, tu as 20 min pour ta douche( qui ne ferme pas à clé),si je toque et que tu ne réponds pas, j’ouvrirai la porte, ou pire déshabille toi, enlève tout ». Pour terminer, l’histoire des coutures, je savais pas, mais je sais que tu ne vas pas être d’accord avec moi, mais même cela, (c’est un peu comme les petites fouilles des chambres), j’aurai refusé, même avec des explications, je me dis que j’ai rien fait et que je n’ai pas à être fouillé, comme dans tout autre service médical.
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Oui, c’est ça, il avait fugué, avec l’aide d’un proche, sa famille était prévenue, il était resté en contact téléphonique avec eux, mais il ne disait pas où il était, il habitait pas avec eux, il avait une adresse à un autre nom, à 60km, sa mère est parvenue à obtenir cette adresse après une semaine, en demandant à tous ses amis, sans leur dire son objectif( appeler les flics) évidemment, une fois qu’elle l’a eue, elle l’a communiqué à la police, il était à 1km de chez lui, dans sa voiture, il venait de faire les courses, je sais pas si c’était très légal, il a jamais été violent et était en HDT pas en HO ? Ton point de vue d’ex soignante me touche beaucoup, tu es très humaine, car il y a une grande différence entre ce qui est fait, ce que devraient faire les soignants et ce qu’ils font vraiment. Mais même dans un HP comme le tien, très à l’écoute, cela pourrait produire l’effet contraire à une thérapie, sécurité. Dans mon HP, il y avait un patient, calme, mais, il fallait pas l’énerver, très grand , musclé, ancien champion de kick boxing, même dans un hôpital comme le tien et avec des soignant(e)s comme toi, si celui-ci refuse juste de vider ses poches et refuse de mettre le pyjama, on devrait déployer d’énormes moyens en personnel, si vous arrivez à le maitriser, après un combat acharné, et « qu’en plus il a rien dans ses poches », ce sera hyper traumatisant pour lui, les soignants, mais je comprends ton de vue. Moi, comme je contestais beaucoup (je disais que je partirai), j’étais agressif dans mes propos (mais j’ai jamais été violent physiquement), et comme j’avais stupidement dissimulé une cigarette dans le boxer (mais pas de briquet), j’étais considéré après comme un sujet à risque !!!Mais si ma sœur (qui a agit pour mon bien) n’avait pas apposé sa signature, ils n’auraient pas pu faire quoique ce soit, en plus, j’aurai pu quitter contre avis médical. Et je voulais te demander en temps qu’ex soignante, vous tenez compte du fait qu’une personne est en HDT, car dans mon HP, c’était le cas, « vous êtes en HDT », ( en HL, j’avais jamais été en iso, pourtant mon comportement était le même , après 2 jours, je contestais tout, propos agressifs pour sortir,…, mais là, je pouvais changer facilement de traitement, tout contester, et il y avait pas d’iso). Ce que j’arriverai jamais à comprendre, c’est le côté signature du tiers, c’est à croire que c’est un mandat d’arrêt, un jugement, j’en connais qui étaient dans un sale état, ce qui était pas vraiment mon cas, qui ont quitté en signant une décharge, donc, si j’étais venu seul, si j’avais prévenu personne, jamais il n’y aurait eu une HDT ?
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Merci Jackie de ton objectivité, quand tu n’es pas d’accord avec moi, tu me le dis et inversement, j’apprécie beaucoup, ça m’aide plus qu’une personne qui dit que les soignants ont tort ou toujours raison. 1) Mais comment feraient les IDE pour fouiller une personne sans le toucher, on m’a jamais touché (sauf pour prise de tension, prise de sang, petite piqûres), comment fouiller un pantalon qui a plusieurs poches, comment être sûr que la personne n’a rien dans ses vêtements sans le palper. De plus, pour les filles, je sais qu’elles devaient enlever leur soutien (on leur rendait après), mais comment savoir qu’il y a rien, sans l’enlever, il y a des bustiers, body, …, à moins de toucher la personne, on pourra jamais savoir ? 2) En plus, moi, c’était une HL transformée en HDT après 4-5 jours, au début, le psy de garde, IDE…, étaient conciliants, me disaient d’attendre un peu,…, après l’HDT, j’avais plus grand-chose à dire, alors qu’en HL, oui,.C’est ma sœur qui avait signé l’HDT ( si c’était pas elle, j’imagine que c’aurait été ma mère), elles avaient beaucoup de travail, je sais que ma sœur avait un jour de congé quand elle a signé , c’est vrai que j’avais besoin de soins, mais j’étais pas du tout un danger pour les autres, et je me dis, si j’avais insisté au début, j’aurai pu quitter, il n’y avait pas d’hdt(au début, je savais même pas ce que c’était) ? 3) Même si les IDES étaient sympas, elles étaient fermes, j’avais le droit de sortir une heure (pour le déjeuner, le dîner), une m’avait dit, « vous n’avez pas à exiger,… », avec une autre, j’ai fumé ma clope, je voulais rester fumer une autre clope (vers 17h30), elle était sympa mais m’a dit non, maintenant, vous retournez à la CI, d’un ton ferme, elle m’a escorté jusqu’à la chambre, on se sent comme un enfant ou un détenu, toujours escorté ? 4) Autre chose, une personne qui quitte un hôpital, même si il n’a pas signé de décharge, la police ne va pas le chercher. Il y avait une personne pas schizophrène, assez calme,…, qui était là avant moi, il était parvenu à quitter (avec l’aide d’un ami), il avait quitté une semaine (il était en HDT), il est revenu menotté, détaché quand l’infirmière en chef l’a demandé, il était toujours en pyjama, n’a jamais créé de problème. Donc la question que je me pose, comme un tiers s’inquiétait de ma santé et avait signé une HDT, bien que je n’ai jamais été dangereux, si j’étais parvenu à quitter, je n’aurai quand même pas été recherché par la police, juste parce qu’un tiers a signé, (par rapport à une HL) ???
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Bonsoir Jacky, Merci Jacky, « après j'ai conscience que rien qu'une fouille ou une mise en pyjama peut être humiliant, y a peut être un certain tact à avoir, c'est vrai que c'est très délicat », c’est tout à fait ça. Même la fouille des vêtements, on se sent plus qu’humilié, alors mettre le pyjama, enlever le caleçon, malgré le tact, j’avais la haine, une IDE m’a même demandé si je voulais qu’elle sorte ( il y avait encore 2 IDE, un homme et une femme), j’aurai été encore d’avantage gêné, si elle était sortie « elle », je l’appréciais beaucoup, sa présence me gênait encore moins que celle des autres, mais de ce fait, inconsciemment, j’avais plus la rage et je me sentais rabaissé. En plus, si beaucoup étaient très sympa, certaines choses étaient claires et indiscutables (déshabillage intégral et fouille des vêtements, même si on me laissait du temps à discuter).Est-ce quand tu travaillais en psy, quand un patient refusait catégoriquement de mettre le pyjama ou de se laisser fouiller, vous le laissiez tranquille, pas de fouille, pas de pyjama (évidemment je ne parle pas des patients qui ont des lames entre les mains, qui veulent se suicider illico, …) ?? Car moi, je savais, notamment par d’autres patients qu’ils étaient intransigeants sur ce point, ils veulent bien discuter, mais quand la décision est prise, ce sera de gré ou de force, avec contention, surtout que j’avais essayé de dissimuler une clope (une idiotie) , mais pas de briquet. Je n’avais jamais été fouillé de ma vie, je n’ai jamais eu le moindre souci avec la justice. Je suis pudique et cela faisait des lustres que je m’étais pas déshabillé devant médecin, infirmière, pourquoi on ne tient pas du tout compte de la pudeur, (cela fait beaucoup plus de mal que de bien quelles que soient les circonstances) ?? Merci de ta sollicitude en tout cas.
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Bonsoir Jackie, Tu sais, je peux dire que beaucoup d’infirmières faisaient bien leur travail, mais certain(e)s étaient très antipathiques (même si ils/elles étaient minoritaires). Je sais que beaucoup faisaient leur travail, mais même fouiller les poches, c’était déjà humiliant, le port du pyjama ‘n’était pas obligatoire, une personne pouvait rester en caleçon, comme il n’y avait que les soignants qui avaient accès à cette chambre. Dans mon cas, il fallait de toute façon, enlever et remettre le caleçon, pour eux cela se justifiait encore plus, que j’avais essayé de dissimuler une clope, mais pas de briquet, je risquais pas de me mettre en danger avec une clope sans feu, c’était juste pour pouvoir la fumer, après le lendemain et je l’ai fait qu’une fois ( un conseil idiot d’un autre pensionnaire) , j’ai jamais été attaché, je finissais toujours par accepter pour éviter l’ injection forcée et contention. Mais ce qui me mettait hors de moi, c’était justement cette fouille de vêtements et évidemment la rage d’enlever et de remettre le caleçon. Enfin de compte la colère et l’agitation verbale décuple et le pire, c’est que là, cela justifie encore plus la MCI, merci Jackie de ton dévouement.
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Comme dit Mel.bzh, oui, le port du pyjama n’a pas pour but la prévention du suicide, mais la fugue (l’évasion). En CI, il y avait un dialogue avec les IDE, (une infirmière que j’appréciais,), m’a même dit, si vous l’enlevez ( le caleçon), vous pourrez le garder, en fait une personne peut rester en slip, même à poil, si elle veut. On ne parle pas de fouille, mais de visualiser, j’avais quand même la haine, d’enlever mon caleçon, de mettre ce pyjama, plus de rage et de colère qu’avant. De plus, la personne aura vraiment des envies de se suicider, qu’est-ce qui l’en empêchera en chambre normal, en permission, une fois sortie, ce sera pire. Comme j’arrêtais pas de dire que je voulais partir et que j’allais partir, une IDE m’a dit que je devais arrêter de tenir de tels propos, que j’allais me retrouver en CI, si je continuais, qu’elle était obligée de le signaler, c’est ce qui est arrivé. Moi aussi, je félicite Valefor, quand une personne est hospitalisée, quand elle est en CI, on dit aux proches qu’elle est en CSI (chambre de soins intensifs), comme si elle était en salle d’op , en réanimation, alors qu’elle était tout simplement contre son traitement qu’elle n’a pas choisi, on dit également aux proches de téléphoner avant de venir, si la MCI est maintenue. Même si les soignants sont très dévoués, ce qui est pas toujours le cas, les proches pensent que la personne est entre de bonnes mains, comme si contraindre, déshabiller une personne pudique était un soin. Quant aux douches, je me m’étais jamais lavé dans une douche collective, toujours une douche individuelle et je la fermais à clé, quand je faisais du sport, donc les gens sont très différents, on n’en tient pas du tout compte en HP. Encore bravo à Valefor, qui a su faire la part des choses, son amie va mieux pas parce qu’elle a été là-bas, pas parce qu’elle y ait resté, mais parce qu’il l’en a fait sortir rapidement.
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Bonjour Enchantant, Je suis pudique aussi bien devant un homme qu’une femme ( j’ai dit que parfois j’étais encore plus pudique devant un IDE homme), là, il y avait souvent les deux, je sais bien que beaucoup de gens s’en foutent, cela ne les dérange pas du tout, qu’il ont l’habitude, moi pas, d’autant que je ne savais pas pk et que je n’avais pas le choix, ce qui est pas le cas d’un vestiaire, où la personne se douche si elle a envie.
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Bonsoir Jackie, Oui, il y avait évidemment des réévaluations, des IDE qui passaient. En fait, pour les repas, tout le monde devait attendre environ 30 min avant d’aller au fumoir, quand on sort de l’iso pour manger avec les autres, on doit attendre 20 min de plus que les autres. Ce que je ne comprends pas, c’est le fait de se devoir se déshabiller entièrement et de mettre leur pyjama, et on peut rien garder même pas un petit baladeur. Je suis plutôt pudique, et me déshabiller même devant un infirmier, c’est parfois pire que devant une infirmière( d’ailleurs je préférais le faire devant une infirmière super sympa de 50 ans, avec qui je m’entendais très bien que devant un infirmier de 25 ans), là il y avait souvent les 2, mais pk je dois me déshabiller devant eux, pk ils n’attendent pas dehors, et pk ce pyjama , pk on peut rien garder ?
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Oui, il y avait déjà un CM de mon médecin traitant recommandant l’hospitalisation, mais au départ, c’était de mon plein gré, après 2 jours, je voulais quitter, au début la psy de garde me disait, vous verrez demain avec votre psy,.., changement de médocs si je ne voulais pas,..Après, c’était obligation de prendre les médocs, je contestais tout, j’ai été plusieurs fois en iso, au début, j’ai rien compris, j’ai dû me déshabiller, mettre un pyjama, on me prenait tous mes effets personnels, le pire, après 2 jours d’iso, je pouvais sortir manger avec les autres (environ 1 heure),mais, après j’étais raccompagné à la CI par une infirmière, qui fermait la porte à clé, pareil si je voulais fumer maximum 3-4 cigarettes par jour, l’infirmière m’accompagnait au fumoir, et me raccompagnait en CI ( la première fois, j’y suis resté 3 jours, j’avais dit que je quitterai et j’étais en colère), une fois, j’ai dit à l’infirmière, juste après le repas, si je fume pas, je retourne pas en CI, elle m’a dit c’est sûrement pas en exigeant, que vous aurez le droit de fumer, je suis retourné en CI, sans fumer, je trouve pas du tout ça normal !!!, vu que j’étais venu moi-même à l’hôpital en plus, même si il y avait des pressions de la famille. En plus, je ne voulais pas parler aux psys. Si tu bosses en psy, tu as une explication à ces méthodes?
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Je voudrais savoir, si il y a d’autres personnes comme moi, qui ont été internés, par un membre de la famille, par ce qu’un ou des membres de leur famille l’on décidé, d’autant qu’une fois en hospitalisation, on ne sait pas qu’on est en HDT, et que cela va durer presque 2 mois, alors qu’on est majeur ???
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J’ai été hospitalisé en HP et en cas d’HDT, des abus sont possibles. En cas de refus de prendre un médicament, le refus d’être là, dire qu’on veut partir, tenir des propos désobligeants,…,même en restant très calme, le patient va à l’isolement. Et là, on doit se déshabiller, tout virer, se déshabiller entièrement et mettre le pyjama, tout est confisqué, on peut rien garder, aucun effet personnel si la personne refuse, elle risque d’être attachée en plus, et l’iso pourrait durer plus longtemps, jusqu’à 3 jours pour moi.Cela n'est pas thérapeutique du tout.