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Lili Marleen

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Tout ce qui a été posté par Lili Marleen

  1. Hola!! Hum, il me semble que tout cela commence à tourner en rond... Yardas et Existence, mes chers "camarades de conviction", mes "copains d'opinion sur la religion" :D , ne vous fatiguez pas à tenter de faire comprendre des choses condamnées par la croyance de Vera. C'EST ABSOLUMENT VAIN!!! Et pareil pour Vera, sur ce sujet, tout le monde est buté et reste campé sur ses positions, alors tout cela n'a pas beaucoup d'interet... Ce débat pourrait durer hum... au moins jusqu'au jugement dernier (...sorry) mais ça ne serait pas d'une grande utilité... Plus très productif, quoi!! En tous les cas, bonne soirée à tous!
  2. Oh vraiment...? C'est bien la première fois de toute ma vie qu'on me dit ça hihi! Véra5, je vais te poser une petite question, par simple curiosité: ta famille est croyante ou tu as choisi de l'etre par toi-même? Je veux dire, tu as été élevée dans la religion? (Existence: moui enfin, ça je n'en suis pas sure )
  3. Hihi tout à fait! (Existence..) J'ai toujours peur qu'on vienne me chercher en pleine nuit pour me conduire au bucher, passant au milieu d'une foule criant "SORCIERE" ou "HERETIQUE"... C'est vraiment horrible :D ! Bonjour, Vera5! Voyons voyons, humour! HU-MOUR! Nous ne sommes pas ici pour nous arracher la tête mutuellement (mais je pense que ce genre de forum doit exister hihi) alors c'est bon, nous avons compris, aucun soucis! Détends-toi :) . . .
  4. Ah bah ça alors... Pourquoi tu dis ça?! (Oui oui, ça serait triste hein, c'est sûr...!) Héhé...
  5. Eeeh oui... J'aimerais que tu aies tort mais malheureusement... Tout cela est bien réel: "What a wonderful world"! Mais bon, il en faut bien, on s'ennuierait un peu sur ce forum, sinon... (Ok ok , je retire, j'entends déjà la cavalerie qui arrive!) En tous cas, sujet assez interessant, c'est marrant de voir comment réagissent les gens engourdis par l'intensité de la lumière divine (ouh la la, je crois apercevoir des chars d'assaut arrivant à toute allure pour me péter la ******!) "Un bon escroc est un farceur ironique, qui se joue de la distraction, de l'impertinence, de la naïveté ou de la nervosité de ses contemporains." Henri Jésus, euh JEANSON. ...
  6. Bonjour à tous! Tout d'abord, je suis parfaitement choquée par ce que je lis ici... J'aimerais être en train de rever mais NON!! C'est assez incroyable pour moi qu'il y ait encore des gens pouvant croire à de telles choses. Mais bon, si cela les aide à vivre sereinement, pourquoi pas! "Véra5" (sorry, c'est tombé sur toi), je suis impressionnée que tu arrives à conseiller aux autres de "dominer leur betise" alors que toi-même, tu n'y arrives pas. Il n'y a là aucune mechanceté mais j'ai eu l'occasion de voir que tes réponses étaient assez agressives et meme stupides ("Si tu veux voir un ... c'est pas vers moi qu'il faut te tourner. ( c'est vers un miroir, coco ! ) .") Ferais-tu partie d'un de ces groupuscules restaurationnistes incapables d'ouvrir les yeux ni meme seulement de tolérer ceux qui ne pensent pas comme toi? Voila, c'était seulement un appel à la courtoisie et au calme, ne te sens pas obligée de precher la bonne parole à tout-va. Nous, les athées, (Euh, pardon, je veux dire, nous les imbéciles qui n'avons pas "compris la parole de dieu" et qui allons bruler en enfer) ne sommes pas là pour altérer ta croyance aveugle en ta religion: chacun son délire, hein! Bonne journée!
  7. Lili Marleen

    Acrostiches

    Prosèlyte de pacotille Orateur pour les rats Etouffe-moi encore de Silences accablants Interminable cigarette Ecoute mes tourments Bonne journée à tous (marrant ce topic )
  8. Lili Marleen

    un jour... un poème

    L'isolement Souvent sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne, Au coucher du soleil, tristement je m'assieds ; Je promène au hasard mes regards sur la plaine, Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds. Ici gronde le fleuve aux vagues écumantes ; Il serpente, et s'enfonce en un lointain obscur ; Là le lac immobile étend ses eaux dormantes Où l'étoile du soir se lève dans l'azur. Au sommet de ces monts couronnés de bois sombres, Le crépuscule encor jette un dernier rayon ; Et le char vaporeux de la reine des ombres Monte, et blanchit déjà les bords de l'horizon. Cependant, s'élançant de la flèche gothique, Un son religieux se répand dans les airs : Le voyageur s'arrête, et la cloche rustique Aux derniers bruits du jour mêle de saints concerts. Mais à ces doux tableaux mon âme indifférente N'éprouve devant eux ni charme ni transports ; Je contemple la terre ainsi qu'une ombre errante Le soleil des vivants n'échauffe plus les morts. De colline en colline en vain portant ma vue, Du sud à l'aquilon, de l'aurore au couchant, Je parcours tous les points de l'immense étendue, Et je dis : " Nulle part le bonheur ne m'attend. " Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières, Vains objets dont pour moi le charme est envolé ? Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères, Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé ! Que le tour du soleil ou commence ou s'achève, D'un oeil indifférent je le suis dans son cours ; En un ciel sombre ou pur qu'il se couche ou se lève, Qu'importe le soleil ? je n'attends rien des jours. Quand je pourrais le suivre en sa vaste carrière, Mes yeux verraient partout le vide et les déserts : Je ne désire rien de tout ce qu'il éclaire; Je ne demande rien à l'immense univers. Mais peut-être au-delà des bornes de sa sphère, Lieux où le vrai soleil éclaire d'autres cieux, Si je pouvais laisser ma dépouille à la terre, Ce que j'ai tant rêvé paraîtrait à mes yeux ! Là, je m'enivrerais à la source où j'aspire ; Là, je retrouverais et l'espoir et l'amour, Et ce bien idéal que toute âme désire, Et qui n'a pas de nom au terrestre séjour ! Que ne puîs-je, porté sur le char de l'Aurore, Vague objet de mes voeux, m'élancer jusqu'à toi ! Sur la terre d'exil pourquoi resté-je encore ? Il n'est rien de commun entre la terre et moi. Quand là feuille des bois tombe dans la prairie, Le vent du soir s'élève et l'arrache aux vallons ; Et moi, je suis semblable à la feuille flétrie : Emportez-moi comme elle, orageux aquilons ! Alphonse de Lamartine
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