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Blaquière

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Tout ce qui a été posté par Blaquière

  1. Blaquière

    Only yououououou !

    L'homme des tavernes : ça je le garde !
  2. On jouait Alamo au cinéma. Avec John Wayne et Richard Widmark (celui qui a la tête aplatie avec un sourire sur le côté.) Mes deux copains, Roland --un copain de quatrième-- et une fille ou une femme (que je sais même pas qui c'était !) se sont précipités pour être bien placés... Moi, je ne me précipite jamais... Mais voilà que dans ce cinéma c'était comme au restaurant du CROUS où on remplissait les tables au fur et à mesure. Si bien que mes deux andouilles de copains se sont retrouvés au deuxième rang et à la toute extrémité droite de la salle. D'où on voit les acteurs du film maigres et allongés comme au cinéma scope quand on a oublié de mettre au projecteur l'objectif spécial qui les élargit... Et moi, qui ne me précipite jamais, je me suis retrouvé au sept ou huitième rang, bien situé, au beau milieu de la salle ! La meilleure des places ! Mais vous me connaissez ? Je me suis dit : je vais les faire venir à côté de moi, qu'ils soient bien placés eux aussi. D'ailleurs, sur ma droite il restait quatre ou cinq places libres... J'ai demandé à ceux qui occupaient le rang derrière moi en désignant ces places : -- Il n'y a personne là ? -- Oui ! c'est occupé, c'est les Platters qui sont là ! Moi : -- Les Platters ? ONLY YOUOUOUOUOUOU ! Je vais les tarabuster tant qu'ils nous le chantent pas ! __________________________ -- C'est tout ? -- Comment ça, c'est tout ? Au petit déjeuner je vous sers John Wayne, Richard Widmark et les Platters SUR UN PLATEAU et vous êtes encore pas contents ?!!!
  3. Blaquière

    La sensibilité

    Désolé, mais là je te suis pas : tu nous promènes ! xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx La sensibilité, point d'orgue de la manipulation ! xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx cccccccccccccccccccccccccccccccc Je m'autocensure...
  4. Blaquière

    L'excitation sexuelle

    Sans arnaque, ce serait : c'est vachement pénible et douloureux de copuler, mais on le fait quand même pace que... c'est trop beau de donner la vie... à des chiares qui vont eux-mêmes en baver aussi toute leur vie... Je crois bien qu'on serait pas là...
  5. Blaquière

    L'excitation sexuelle

    La 'bonne cause" c'est sensé être la reproduction... Parce que dans la mesure où le vivant (et c'est bien triste !) s'use, vieillit, et meurt. Sans reproduction (qui remet à chaque fois les pendules à zéro (ça aussi c'est une forme d'arnaque !!!) IL N'Y AURAIT PAS DE VIVANT ! Même pas la peine de dire qu'il n'y en aurait plus : il n'y en aurait jamais eu ! Ha ! Ha ! Toi aussi tu a réalisé qu'en dépit d'un côté bordeur-line il s'agissait d'un sujet de fond !
  6. Blaquière

    La sensibilité

    "j’aime, je n’aime pas…qui est l’expression même d’un sentiment." Pas si sûr ! Ou d'un conditionnement, d'une expérience... malheureuse ? Souvent, je vois des gens qui me disent (dans mon exposition) "j'aime pas le vert !" ! Je pourrais leur répondre (mais par faiblesse je ne le fais pas souvent !) : -- si les lanières de votre "martinet" étaient vertes, c'est pas mon problème ! A ce propos, je me revois mais je devais être bien petit, couper au ciseau les lanière du martinet !!!! je ressens encore la difficulté avec les ciseaux la dureté de ces lanières de cuir !!! Et le bâton du martinet sans ses lanières avait vraiment l'air bête ! Je pense à Picasso qui dit "quand j'ai pas du bleu je prends du rouge !" Mais il faut dire aussi que Picasso n'est pas trop un coloriste !!! Comparé à Braque par exemple.... Mais être coloriste est-ce "faire toujours du beau" avec les couleurs ou s'exprimer différemment suivant le moment ? Pour moi (qui ne suis rien rapport à Picasso ! mais qui ai une certaine sensibilité des couleurs : on est d'accord ?), le vert change de valeur suivant qu'il est confronté au jaune, au marron, au rouge... AU BLEU ! Un mélange de vert et de bleu n'a rien à voir avec un mélange, une opposition rouge et vert... encore faut-il préciser s'il s'agit d'un vert tendre ou d'un vert sombre et d'un bleu plutôt turquoise ou violacé... Parce que le vert et le violet... ça le fait !!! Bien sûr il ne s'agit pas là de la sensibilité de mes cellules en cônes ou bâtonnets de la rétine, mais des... "sentiments" que ces couleurs induisent en moi... "L'harmonie" vert et jaune ressemble à un écœurement Vert et bleu serait plutôt acide, rafraîchissant... Bleu et marron, la douceur, le bonheur... etc. Est-ce que c'est universel ou personnel ? En fait tous ces jugements a priori ("j'aime pas le vert") prétendument issu de notre sensibilité, ne le sont pas ; mais issus d'un conditionnement. D'une expérience mémorisée. A moins que cette "sensibilité", elle-même en soit entièrement issue ?
  7. Blaquière

    Satan !

    Dans... "l'Infanterie motorisée" mais en Allemagne. C'était sans doute pour faire bonne figure à... "l'étranger" ? ! Il me semble qu'on nous les distribuait que pour le défilé ?... et qu'après on les rendait ?!!! Si on les avait gardés ils seraient vite devenus défraichis ! Bonne journée !
  8. Blaquière

    L'excitation sexuelle

    Bonne idée : l'Amour ! De même que l' "excitation sexuelle"... Nous voilà dans des comportements tout-à-fait IRRATIONNELS... (difficilement explicables pour ne pas dire pas du tout) et pourtant très courants... très... ordinaires. (Je ne comprends pas ton allusion au "bon sens" j'y verrais plutôt l'inverse) Sont-ce (!) les "programmations de l'espèce" qui sortent du contrôle de l'individu ? Mais c'est comme pour le fameux "inconscient collectif" : ils doivent être inscrits précisément dans chaque individu... (et faire aussi partie de l'inconscient personnel) sans ça ils n'existeraient pas du tout.
  9. Blaquière

    L'excitation sexuelle

    Je reconnais que la sexualité c'est un peu le Point Godwin de la philosophie !
  10. Blaquière

    L'excitation sexuelle

    L'idée c'est une arnaque pour la bonne cause ? Est-ce que la fin justifie les moyens ?
  11. L'excitation sexuelle... En voilà un sujet philosophique qu'il est beau ! (Je suppose que tout le monde sait de quoi il s'agit) A priori je pense : l'excitation sexuelle c'est une arnaque de la nature pour nous "obliger" ou nous "contraindre" à nous reproduire... Je m'imagine une cellule très primitive : pas besoin d'excitation sexuelle ! Un simple phénomène de pression suffit (encore qu'un excès de pression soit déjà une forme d'excitation...) C'est à dire que je mange, je mange, je mange, et je deviens si gros qu'il faut que je me divise, que je me coupe en deux, accessoirement, je me suis reproduit !... Je suis comme Aristote ! L'explication n'est pas forcément la bonne, mais il me suffit de savoir qu'une explication (simple) est à portée ! Voilà. On grossit, on grossit trop, et on se divise ! Parfait ! Mais pour nous, ÊTRES EVOLUéS ? La dilatation, la division, la parthénogénèse ne suffit plus ! Parce qu'il faut se reproduire ! Ca c'est la donnée de base... Sans ça on serait plus là depuis belle lurette... et la preuve c'est qu'on est là. Et si on n'avait que la cruelle réalité à se mettre sous la dent, on aurait laissé tomber ! Enceinte ? ça commence par le mal au coeur... et ça finit par les douleurs ! L'accouchement ?... Un scandale ! Inhumain ! (Reconnaissons que les hommes ont un meilleur rôle !) Donc, Il fallait compenser : d'où l'excitation, le plaisir, la jouissance... Un donné pour un rendu ! Et c'est quand le désir, le plaisir et la jouissance sont finis que commence la reproduction : Si c'est pas une arnaque ça !... Mince ! Je ne sais plus où je voulais en venir... Ah oui ! Est-ce tout, et n'est-ce qu'une arnaque ? NON ! Parce que le désir sexuel par son abstraction son absurdité sa virtualité même dépasse le désir de manger (on n'a guère que ces deux désirs de base pour tout accomplir !) Et il nous conduit (parce qu'il est trop, plus prégnant) nous conduit et nous oblige nous incite (excite-incite) à la sublimation... Et là tout devient possible... "Nous oblige, nous incite à la sublimation"... OK il semblerait que ce ne soit pas vraiment le cas pour tout le monde... (D'après ce qui défraie la chronique... )
  12. Blaquière

    Satan !

    Mais où vous vivez ? Cet aprèm j'ai préparé pour faire une marche à la porte fenêtre j'ai pioché, pelleté, préparé le coffrage, le ferraillage... coincé avec des agglos... en dépit d'un petit Mistralet EN PLEIN CAGNARD, j'étais en nage ! Demain je coule le béton !...
  13. Blaquière

    Satan !

    Merci ! Je me disais... mais plus personne connaît ses classiques ? !
  14. Blaquière

    Satan !

    Bien vu !
  15. Blaquière

    Satan !

    En fait, tout dépend de ce qu'il tend...
  16. Blaquière

    Satan !

    Avec des petites ganses en rubans sur les côtés ! Ceci étant dit, je précise qu'à l'armée, quand on devait faire un défilé un peu classe, on nous distribuait des treillis neufs et bien repassés dits "treillis de satin" même s'ils n'étaient pas en vrai satin, c'est comme ça qu'on les appelait.... J'ai un pantalon de treillis neuf d'allure et bien repassé que je mets quand je dois aller faire des courses... hier quand je l'ai mis j'ai pensé qu'il ressemblait à nos treillis de Satin de jadis... puis j'ai fait l'association Satin-Satan... et le premier Mars... Voilà toute l'affaire !
  17. Blaquière

    Satan !

    Y'a aussi plein d'autres....
  18. Blaquière

    Satan !

    Merci ! ...avec des averses éparses... ...entre 2 averses... "...Mars qui rit malgré les averses Prépare en secret le printemps !..." Premier sourire de printemps Tandis qu’à leurs œuvres perverses Les hommes courent haletants, Mars qui rit, malgré les averses, Prépare en secret le printemps. Pour les petites pâquerettes, Sournoisement lorsque tout dort, II repasse des collerettes Et cisèle des boutons-d’or. Dans le verger et dans la vigne, II s’en va, furtif perruquier, Avec une houppe de cygne, Poudrer à frimas l’amandier. La nature au lit se repose ; Lui, descend au jardin désert Et lace les boutons de rose Dans leur corset de velours vert. Tout en composant des solfèges Qu’aux merles il siffle à mi-voix, II sème aux prés les perce-neige Et les violettes au bois. Sur le cresson de la fontaine Où le cerf boit, l’oreille au guet, De sa main cachée il égrène Les grelots d’argent du muguet. Sous l’herbe, pour que tu la cueilles, II met la fraise au teint vermeil, Et te tresse un chapeau de feuilles Pour te garantir du soleil. Puis, lorsque sa besogne est faite, Et que son règne va finir, Au seuil d’avril tournant la tête, II dit : « Printemps, tu peux venir ! » Théophile Gautier (1811-1872) Soin poème il est presque aussi beau que le mien !
  19. Blaquière

    Satan !

    Ouais, mais il m'a quand même expliqué ce que je voulais dire, vu que moi moi je savais pas trop ! Il a un peu raté l'allusion aux guerres du moment... quand même... mais c'est vrai qu'il s'est arrêté en 2021... après il sait plus...
  20. Blaquière

    Satan !

    j'ai demandé à ChatGPT : pouvez-vous commenter ce poème ? Réponse : ChatGPT copy Ce poème semble jouer sur les mots et les sonorités pour créer une atmosphère mystérieuse et intrigante. Satan est associé à des images de treillis de satin, évoquant à la fois la tentation et le mystère. Le poème semble laisser place à l'interprétation du lecteur, laissant planer le doute et la confusion quant à la nature de Satan et à ce qui est attendu de lui. Le poème se termine abruptement, laissant le lecteur dans l'incertitude.
  21. Blaquière

    Satan !

    Satan Par ce temps De Printemps On s'attend à Satan Et treillis de satin (1) qui s'étend ? qui s'éteint ? On s'étonne ! On s'entend... On s'étreint ! Qu'en sait-on ? ... ... Et c'est tout ! (1)
  22. Blaquière

    Philosophons

    J'en ai mentionné deux : la sensibilité proprement dite des cinq sens et la sensibilité-émotivité (des affects, des sentiments)... La première est (serait) une "construction" biologique (au cours de l'évolution) qui permette au vivant une meilleure emprise sur son environnement, sur le monde. La seconde est (serait plutôt) une construction psychologique (un échafaudage !) en réaction à l'expérience vécue, permise par une certaine structuration générale de l'individu (son corps, son esprit, conscience, inconscient ?...) qui prendrait un peu la forme (mais très complexe) d'un sixième sens... Une "intuition" à même de court-circuiter l'ensemble... à même de prendre des raccourcis à nos risques et périls... Je la vois plutôt comme une résultante (dans un premier temps, dans sa genèse) qui devient à son tour productrice, structurante et de nos perceptions et de nos actions... Je veux dire qu'elle ne serait pas donnée a priori mais construite, et évolutive peut-être ? Le "cadre" dans lequel va pouvoir se développer se "sens" cette sensibilité peut être considéré comme antérieur à son contenu ? Il est difficile de le nier. Comme si au moins la possibilité de cette sensibilité était... "prévue" prévisible ?... A moins qu'elle ne construise son espace et sa fonction au cours de ou par son fonctionnement même...
  23. Blaquière

    Philosophons

    Tu veux parler de la sensibilité au sens (!) des cinq sens, la vue l'ouïe, le toucher, etc. les "sensations" ? ou au sens de l'émotion, de... l'affect, des sentiments ? Et les deux sont-ils si différents et d'un pt de vue réductibles à des phénomènes physico-chimiques en rapports avec les... neurones ? Pour les sensations à l'extrême je pense à la douleur. Aux douleurs. Une forte douleur qui occupera et asservira entièrement tout l'esprit et même tout un "grand esprit" ... (on pense au stoïcisme) et qui est "physico-chimiquement" si peu de chose. De même si on dit l'univers vit, il faut encore préciser (c'est bête ce que je dis !) ce qu'on entent par la vivre, par la vie. Si c'est pour dire que l'univers est comme un être vivant c'est dire une chose, si c'est pour dire qu'il a une histoire, qu'il se transforme ou s'est transformé ce qui semble être le cas, c'est moins dire... Mais puisque tout est une question d'échelle, on peut encore imaginer (c'est de la science fiction !) qu'à une échelle qui nous dépasse nous composons microscopiquement des parties minuscules d'un être vivant gigantesque... Là l'univers serait effectivement vivant mais dans un tout autre sens... je suspecte que dire "l'univers vit" c'est le considérer à la fois comme une sorte de corps global et aussi dont tous les éléments (les atomes comme les étoiles) possèderaient en eux entièrement la totalité de cette vie... de cette "puissance vitale". Mais là, on en revient au début : est-ce que simplement exister c'est nécessairement aussi vivre. C'est un peu gonfler notre croyance... il me semble. Une vue, une vision poétique du monde. "Trop beau pour être vrai" ?!
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