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Fuel4Life

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  1. j'aurais plutôt envie de discuter avec elle, et qu'elle me parle de son mari, de leur histoire...
  2. Du coup pour cette femme on peut penser que l'accompagnement de son deuil n'a pas été suffisamment fait, contenant pour lui permettre d'accepter complètement la perte de son mari. Le lien demeure entre eux. Peut être était-elle seule face à cette perte ?
  3. laisses tomber sfc, il ne veut pas discuter, il veut juste jouer à mener sa gueguerre perso contre moi, donc aucun intéret. Par contre pour revenir au sujet lancé par january, j'ai trouvé cet article que je trouve intéressant et qui reprend les étapes du deuil Un certain nombre d'étapes sont systématiquement rencontrées au cours du processus du deuil. Elles ne se déroulent pas obligatoirement selon un ordre logique rigoureux, parfois certaines étapes se mêlent ou réapparaissent. L'annonce et le déni initial L'annonce de la disparition d'un être cher aboutit souvent à un état de choc brutal, avec des réactions aiguës immédiates : ‘ce n’est pas possible’, 'ce n'est pas lui', 'que nous arrive-t-il ?'. Ces réactions sont d'autant plus vives que la mort est inattendue ou brutale. Les modalités de l’annonce sont très importantes : le souvenir de cette annonce persistera douloureux très longtemps, et des mots malheureux prononcés par les soignants ou un membre du culte peuvent restés gravés dans la mémoire, entraînant des retours de douleurs. A cette phase, il est capital que le sujet endeuillé soit confronté à la réalité de la mort. Toucher, voir le corps du mort (le cadavre n'est pas un mot élégant à ce stade !) est important pour les proches. C'est tout le drame des disparus. On peut observer des réactions somatiques importantes : évanouissement, crises de tachycardie, hypotension, oppression, gêne respiratoire, cris, pleurs, faiblesse musculaire. Parfois, on observe le réveil de certaines pathologies chroniques : angine de poitrine, Recto-Colite Hémorragique, polyarthrite, ulcère. Les réactions relationnelles peuvent être majeures : sidération, retrait de la vie courante, panique devant tout ce qu’il y a à faire. Parfois, l'endeuillé refuse de quitter le corps, il se frappe ou s'en prend violemment aux soignants. Mais, le plus souvent, il s'agit d'une phase très stéréotypée. La réaction des soignants doit être calme : l'annonce doit si possible être programmée, dans une pièce calme : la famille doit pouvoir pleurer sans se donner en spectacle. Il faut répondre aux questions : la précision sur les circonstances du décès est importante pour la famille pour faire comprendre toute la réalité. Il n'y a pas lieu de cacher sa peine éventuelle et on peut accompagner la famille pour voir le corps, toucher et faire toucher le corps : tout ceci affirme la réalité de la mort. La phase d'engourdissement Elle fait suite à la phase aiguë précédente. L'endeuillé va souffrir d'une diminution de ses réactions affectives : l'abattement et la prostration sont fréquents. On observe des poussées aiguës de pleurs et de cris, des recherches désespérés de l’être aimé qu'on a l'impression d'entendre, de toucher. L'endeuillé a des rêves fréquents du disparu, il lui parle. Tout est centré sur le mort. Cette phase pénible est la phase des rites. Ce sont les rites funéraires immédiats : toilette du mort, veillée funèbre. C'est l'office religieux (ou assimilé) de célébration du mort, la période des condoléances, du repas familial au cours duquel on évoque le mort. Autrefois, l'endeuillé revêtait des habits de deuil, programmait des visites au cimetière, faisait célébrer des messes auquel il assistait régulièrement : il existait ainsi un rôle social de l’endeuillé dont les rites étaient bien décrits. La disparition de ces rites, la négation de l'importance de leur rôle rendent cette période plus difficile de nos jours. Du fait de cette situation sociale d'endeuillé, celui-ci sait que l'on reconnaît la réalité de sa perte, de sa souffrance et que la société accepte ses réactions en rapport avec cette souffrance. L'endeuillé renforce ses liens avec le mort, avec des périodes de réminiscences où l'on raconte les ‘histoires’ du mort, on échange des souvenirs. A ce moment, il existe aussi souvent un sentiment inconscient de culpabilité : 'pourquoi faut-il que ce soit moi qui reste ?'. On reconnaît les erreurs commises avant la mort et qui sont maintenant irréparables. Surviennent parfois des accès de colère contre le mort qui nous abandonne et nous laisse dans cet état. La société est capitale pour partager cette période pénible. Il est important de participer à la prise en charge des rites : on note de plus en plus une grande méconnaissance du public sur leur importance. La préparation des cérémonies et la participation à celles-ci prouvent l'intérêt de la personne à l'endeuillé. Celui-ci aura à faire face à des démarches administratives nombreuses et à des activités pénibles (‘se débarrasser’ des affaires du mort, de la maison, etc..). Il est incapable de prendre de bonnes décisions pendant cette période : il faut donc, autant que faire se peut, protéger les personnes endeuillées contre elles-mêmes (jeter tout ou ne rien jeter) et les ‘filous’. L'état dépressif Dans la phase suivante, qui peut durer jusqu'à une année, on observe beaucoup de symptômes d'un état dépressif. On observe une dépression de l’humeur, avec une douleur intérieure plus ou moins constante qui s'apitoie sur son sort, sentiment d'abandon et désir de solitude. Parfois, on observe un désintérêt pour soi-même (tenue négligée, troubles alimentaires), et un désintérêt pour le monde extérieur ('rien ne me dit'). Quelquefois, on peut observer des tendances suicidaires. Ce désintérêt peut entraîner une atteinte de l’état général, en rapport avec l'anorexie souvent rencontrée, l'asthénie physique et sexuelle, les troubles du sommeil. Ainsi s'élabore petit à petit le travail du deuil. Il s'agit d'un travail de détachement progressif du mort : chaque souvenir doit être associé à la disparition du mort, et on constate de nombreuses petites étapes successives, chacune accompagnée d'une dépression et d’une douleur profonde. Cette souffrance continuelle est entrecoupée par la vie en société, mais le sujet endeuillé refuse le plus souvent de prendre part à la joie des autres. Petit à petit, il constate un appauvrissement des sentiments vis à vis du mort : ses rêves se modifient, et il s'inquiète de cette indifférence progressive. L'absence de signes extérieurs de deuil rend cette période difficile pour les proches. Chaque deuil est particulier et les époux qui perdent un enfant ne vivent pas leur deuil de façon simultanée, ce qui peut provoquer des tensions entre eux s'ils ne peuvent plus se parler. Pour le soignant, il faut noter que par rapport à la dépression, il n'y a pas ou peu de sentiment de dévalorisation. En général, les médicaments sont peu utiles : il faut veiller au sommeil, à l’appétit. En pratique, l'endeuillé pour 'guérir' doit passer par les différentes phases. Il faut donc se contenter d'une écoute attentive sans proposer de ‘solutions’ : par définition, on ne ‘connaît’ pas le deuil de l’autre, l’endeuillé ne veut pas être consolé, car il est inconsolable. Le bon effet cicatrisant du temps est intolérable à l’endeuillé. Il convient donc d'avoir une attitude empathique simple et réservée. On se souviendra du caractère très irrégulier du processus : souvent l'endeuillé donne l'impression de ‘remettre sur le tapis’. Il faut le rassurer sur la fatigue physique, psychique : construire un deuil est un processus épuisant pour l’individu. La longueur du processus de cicatrisation est souvent méconnue : il faut donc rassurer l’endeuillé avec tact, rassurer l’entourage, notamment au travail. Le retour à la vie normale Progressivement, l'endeuillé retrouve le goût de vivre : le souvenir mélancolique remplace l’absence intolérable du défunt. Il devient possible de sourire, voire de critiquer le mort, même si reste le sentiment de culpabilité de vivre. A ce stade, pour éliminer cette culpabilité, il est important de profiter des rites du retour à la vie normale : dates anniversaires, modification des habits de deuil, messe anniversaire. Le retour à la vie normale est acceptée par la société (dans certaines civilisation d'Afrique, toute une cérémonie est organisée). Et l'endeuillé lui même accepte de retourner vers la vie normale. Cependant, encore pendant un certain temps, persistera la fatigue du deuil et des retours à des épisodes de tristesse, pouvant réaliser une sorte de tango entre mélancolie et espoir. De toute façon, chaque personne humaine sort transformée après un deuil, même celui dont le travail a été complété tout à fait normalement. Le rythme du deuil est en outre différent d'un individu à l'autre. Enfin, l'accumulation des deuils rend plus difficile le travail déjà effectué et surtout le travail de deuil à faire.
  4. complètement d'accord avec toi. C'est impossible de discuter avec eux. Ils sortent des arguments comme des vérités ultimes et refusent de discuter dessus. Et ensuite ils partent dans les insultes pour faire des HS et dévier les sujets de discussion.
  5. :smile2: j'adore le mec il ne répond à aucune de mes question sur ses arguments et il me la pète, "t'as vu comme je suis fort", t'es surtout risible là, j'espère que tu t'en rends compte.
  6. Sors moi la loi argentine sur la violation de sépulture. Puisque nul n'est censé ignorer la loi, tu dois la connaitre :smile2: tu pourrais aussi me citer la loi 2005 sur la scolarisation des enfants en situation de handicap ? (sans chercher sur google bien sur. Puisque nul n'est censé ignorer la loi, tu dois connaitre la loi 2005 ?
  7. qui parle d'empathie?on parle de loi la et c'est pas moi qui fais les lois,elles sont faites pour étre appliquées par tout le monde pas pour certains et pas d'autres!alors arrétes de jouer la carte de l'empathie va! Les lois françaises doivent s'appliquer partout ? :smile2: Orange travaille en argentine ? tu prends tout au 1er degré toi hein!et donc je me répéte:"pourquoi les gendarmes se sont déplacés pour constater les faits si c'était pas hors la loi?"t'as bien enregistré la? Et bien sors moi la loi argentine sur la violation de sépulture et là on discutera. En même temps, je persiste pour moi cette histoire est plus intéressante du point de vue humain que du point de vue légal.
  8. qui parle d'empathie?on parle de loi la et c'est pas moi qui fais les lois,elles sont faites pour étre appliquées par tout le monde pas pour certains et pas d'autres!alors arrétes de jouer la carte de l'empathie va! Les lois françaises doivent s'appliquer partout ? :smile2: Orange travaille en argentine ? Ensuite on ne parle pas de lois, on parle d'une femme qui visiblement souffre de la mort de son mari. En tous cas, moi je vois ça avant la loi. L'humain prime avant la loi. Ce n'est pas le cas pour toi, ça je le savais déjà.
  9. Putain, avoir si peu d'empathie c'est impressionnant !
  10. Dire que son comportement n'est pas bien, c'est poser un jugement, et juger cette femme ne l'aidera pas. Bien sur que ce comportement est excessif et qu'il signe son impossibilité de faire le deuil de son époux. Mais accompagner quelqu'un dans l'acceptation du mort, c'est prendre le temps et surtout ne pas juger.
  11. Bon ben salut. A la rigueur tu m'aurais sorti le droit international, il y aurait pu avoir une discussion sur ce fait divers, La même chose serait arrivé en France, on aurait pu discuter, mais là je vois pas l'intéret de ton argument si ce n'est te prendre la tête avec moi et là franchement je vois même pas matière à, tellement t'es HS. Ensuite je me fous de tes croyances, mais dans la mesure où tu lances l'argument que les rituels catho respectent les morts. Je suis en droit me semble-t-il de poster la question suivante, : est-ce que seul les rituels cathos respectent les morts ? et dans ce cas cela veut-il dire que les autres religions ou croyances ne respectent pas leur mort ? donc après si tu lances des arguments et que tu ne veux pas discuter dessus,c'est ton problème, pas le mien.
  12. Attends, tu me sors la loi française ? 1 - ce fait divers n'est pas français donc la loi française ne s'y applique pas 2 - on était en train de parler de religion donc peut-on finir sur un argument avant d'en sortir un autre ? donc j'attends toujours réponse à ma question qui fait suite à ton argument sur la religion et le respect des morts ps : j'ai retrouvé le documentaire que j'avais vu et ma mémoire m'a fait défaut sur plusieurs points, je vous mets le lien de la vidéo.
  13. on enterre les morts parce que c'est un rituel, dans d'autres cultures on les brule. Et ça ne répond pas à la question. Le fait d'enterrer les morts est la seule façon de les respecter ? Les rituels catholiques sont les seuls respectueux ?
  14. Pourquoi tu désapprouves et surtout de quel droit tu désapprouves ? Ensuite je n'ai pas dit que j'approuvais mais que je pouvais comprendre.
  15. ouais et le respect du corps des défunts et du repos de leurs ames tu en fais quoi?ah oui c'est vrai....anticathoàmort je ne vois pas pourquoi tu ajoutes la religion, mais c'est vrai qu'elle joue un rôle dans les rituels de la mort. Maintenant, les rituels catholiques respectent les morts et pas les autres croyances ? je vois pas le rapport avec l'amour que d’emménagé dans une tombe t vraiment tordus toi? :gurp::smile2::smile2: Relis lentement l'article, tu n'as pas dû le comprendre.
  16. Dans les rituels autour de la mort, je ne me souviens plus des détails, mais il y a un village où régulièrement, ils peuvent déterrer leurs morts, font une grande fête, font traverser le village par les morts et ensuite ils sont réenterrés ailleurs. Au début, j'ai été un peu choquée, mais finalement c'est une façon de faire un travail de mémoire, de respecter leur mort, d'accepter leur absence...
  17. Le but est le même, rendre visite à quelqu'un de mort qui manque à la personne. Qu'est-ce qui vous gene ? le fait qu'elle ouvrait le cercueil et passait du temps avec le cadavre de son mari ? Je suis comme january, je ne vois pas vraiment de différence, si ce n'est qu'elle y passait plus d'un après-midi et qu'elle voyait le corps de son mari et pas une dalle en marbre avec une photo dessus.
  18. copié/collé de la phrase où je dis que je préfère Secret story à d'autres émissions et dans la foulée le copié/collé où Zala dit qu'elle préfère Secret story aux autres émissions ? [HS]je te rappelle tes propres leçons de morale, parce que visiblement tu as la mémoire très courte et toi tu manques réellement de respect à Zala [/HS] Et bien je préfère lire Zala qui fait attention à la syntaxe de ses phrases et à son orthographe, que quelqu'un comme toi, qui veut jouer au mec cultivé (ce que tu n'es pas) et qui fait des fautes à tous les mots et dont certaines phrases sont incohérentes et incompréhensibles. Donc je ne sais pas ce que tu regardes ou ce que tu lis, mais continues d'étudier, t'as du boulot.
  19. nécrophilie, nom féminin Sens Déviance sexuelle caractérisée par une attirance morbide pour les cadavres. Anglais necrophilia
  20. Parce qu'elle aime son mari, la mort est morbide ah bon ?
  21. Elle ne faisait de mal à personne, une façon comme une autre de vivre son deuil et l'absence de celui qu'elle aime. Elle n'y passait que 3 ou 4 nuits par an, peut être une date importante pour eux.
  22. je suis bête parce que je me fous de savoir comment est installé ton intérieur ? jolie façon de détourner le topic, mais c'est raté. Le truc c'est que tu fais parti des gens qui crachent dans la soupe pour se donner le genre "moi je regarde de vrais émissions" mais en fait tu regarde les mêmes émissions que la majorité, ces émissions que tu critiques joyeusement. Rien n'est crédible dans tout ce que tu as dit :smile2:
  23. moi j'ai les deux d'allumer, ça ne me pose pas de problème. Le truc, c'est que tu n'es pas crédible une seule seconde et tu ne sais pas comment t'en sortir. C'est tout.
  24. de vrais débats ? :smile2: non mais ça va pas ! des interviews de merde, où on mêle les scandales people et le sexe ! j'ai regardé deux fois je crois, non pour moi ce n'est pas de la télé qualité. Juste de la télé à audimat.
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