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papy75

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  1. teint indu un ragot encore ? Viols de guerre au Nord-Mali : « La mère a supplié de laisser sa fille » Ils ont immédiatement attrapé violemment une fillette de 12 ans, qui criait, tout comme sa mère. Les garçons étaient âgés d’environ 21 ou 22 ans. Plusieurs personnes ont crié en signe de protestation, en disant qu’elles ne le permettraient pas, mais ils ont pointé leurs armes sur nous... Les gens avaient peur et ne pouvaient pas croire que cela puisse se produire ouvertement » raconte un habitant de Tombouctou. Lundi, des combats à Bamako entre les forces loyales à l’ex-président Amadou Toumani Touré et les ex-puschistes ont fait quatorze morts. Dans le nord du pays, où les Touaregs du Mouvement national pour la libération de l’Azawad (MNLA) font tomber les principales villes en trois jours, les exactions contre les populations civiles sont désormais qualifiées de crimes de guerre par les organisations humanitaires. Human rights watch (HRW) vient de publier une enquête menée à Bamako pendant une semaine mi-avril. Comme dans d’autres conflits, les femmes et les jeunes filles sont les premières victimes. Selon les informations dont disposent les organisations humanitaires, des membres du MNLA seraient mêlés à ces crimes. Le témoin de Tombouctou poursuit le récit du rapt de la fillette de 12 ans : La mère s’est battue pour retenir sa fille, mais elle n’a pas pu. Ils ont traîné la jeune fille qui criait dans une maison voisine en construction… Deux d’entre eux se tenaient à l’extérieur comme s’ils montaient la garde tandis que l’autre la violait à l’intérieur. Puis ils ont échangé leur place jusqu’à ce que chacun d’entre eux soit allé à l’intérieur. Je ne peux pas vous dire à quel point c’était horrible, c’était affreux. Nous pouvions entendre ses pleurs. La mère s’est effondrée en sanglots sur le sol. Une fois qu’ils en ont fini avec elle, la mère s’est précipitée pour chercher sa fille. » « Vous pouvez me tuer d’abord » L’agression, rapportée par HRW, a eu lieu le 2 avril. Elle n’est pas
  2. des ragots pour toi hein ISLAMISTES Après la prise des trois régions du Nord-Mali par le MNLA, Ançar Dine, d’Al Qaïda et autres terroristes, les femmes sont en train d’être violées aux yeux de toutes les populations. Face à cette situation, nous avons donné la parole aux femmes pour qu’elles s’expriment là-dessus. Mme Djiré Mariam Diallo, présidente du Réseau des femmes conseillères municipales C’est une situation regrettable et déplorable. Partout dans le monde chaque fois qu’il ya la guerre, les femmes font l’objet de viols. La communauté internationale doit prendre des mesures enfin d’éviter de tel crime. C’est un crime qu’il faut condamner et éviter à tout prix. Non seulement les femmes font l’objet de viols ; elles sont massacrées ; les enfants, les époux et les frères sont exécutés. Les femmes payent les lourdes tribus des guerres. C’est pour cette raison que nous ne sommes pas pour les guerres. Nous sommes contre les guerres partout dans le monde. Parce que ce qui font le frais le plus, ce sont les femmes. Ceux qui sont à la base de tout cela doivent répondre de leurs actes, interpeller et juger pour que plus jamais qu’il n’y est plus ni de guerre ni de viols sur les femmes. Nous devrons tous œuvrer avec l’appui de la communauté internationale pour qu’on puisse mettre fin à ces guerres. Et celles qui ont subi les viols doivent être accompagnées sur le plan santé surtout avec les maladies et autres au besoin les faire soigner. Egalement, les accompagner moralement. Ce n’est pas facile dans un milieu, compte tenu de nos valeurs culturelles, qu’une femme qui a été violée puisse s’intégrer facilement dans ce milieu là encore. Je pense que ces femmes ont besoin d’accompagnement pour pouvoir supporter le mal. Mme Doumbia Mama Koïté, Présidente de FEMNET/MALI La situation que vit notre pays est dramatique ! Notre Peuple épris de Paix et de Justice ne mérite pas ce sort ! Comment faire pour protéger ces femmes impuissantes face à cette situation ? Le 31 octobre 2000, le Conseil de Sécurité de l’ONU a adopté la Résolution 1325. Cette résolution porte une attention particulière à l’impact des guerres sur les femmes et accentue également le rôle joué par les femmes en tant qu’actrices de paix. La Résolution 1325 interpelle tous les Etats membres des Nations Unies, toutes les parties prenantes lors des conflits armés et tous les acteurs impliqués dans le processus de désarmement et de paix à aborder les questions relatives à la paix et à la sécurité en prenant en compte la dimension genre. Depuis l’adoption de la Résolution 1325, trois autres Résolutions du Conseil de Sécurité des Nations Unies ont été adoptées pour renforcer l’agenda international sur les femmes, la paix et la sécurité. Il s’agit de la Résolution 1820 (adoptée en 2008) qui reconnait la violence sexuelle comme une tactique de guerre et appelle la communauté internationale à la prévenir ; les Résolutions 1888 et 1889 (adoptées en 2009) qui développent des mesures et actions à prendre pour renforcer la mise en œuvre des Résolutions 1325 et 1820. L’objectif de la Résolution est de protéger les femmes et les enfants (y compris les fillettes) qui constituent la frange de la population la plus vulnérable et la plus durement affectée lors des guerres et conflits et de promouvoir la pleine et égale participation des femmes dans la prévention, la gestion, la résolution des conflits et dans les processus d’édification de la paix et de la reconstruction. En Afrique, l’Union Africaine a été le supporteur actif de la Résolution 1325 et a pris d’importantes mesures pour l’intégration transversale du genre dans ses programmes. En Afrique de l’Ouest la CEDEAO a mis en place le Réseau Femme et Paix de l’Espace CEDEAO qui a pour objectif de coordonner et d’optimiser les rôles et initiatives des femmes dans la prévention des conflits, le maintien de la paix et de la sécurité, les opérations de reconstruction post-conflit et la promotion des droits humains, particulièrement ceux des femmes et autres groupes vulnérables, pour assurer une paix durable dans les Etats de la CEDEAO. Je voudrai en ce moment difficile de peines et de douleurs adresser mon soutien indéfectible et toute ma compassion à mes sœurs ,mères et filles victimes de ces exactions humiliantes et déshonorantes . Ces pratiques ne font pas la fierté du Mali! Honte, et Déshonneur à ces bandits armés, ces criminels, ces apatrides et ces soit disant islamistes ! J’en appelle au Comité National pour le Redressement de la Démocratie et la Restauration de l’État , à la Communauté Internationale , à l’ Union Africaine et à la CEDEAO a mettre en œuvre la Responsabilité de Protéger pour trouver des solutions immédiates et idoines pour assurer la protection des populations civiles des souffrances et pillages et particulièrement nos sœurs et filles victimes de viols au Nord de notre pays . La paix a besoin des femmes. La force des femmes est une chance pour la paix. Mme Traoré Nana Sissako, présidente du groupe pivot droit et citoyenneté des femmes au Mali, porte-parole du mouvement des femmes pour la sortie de crise Nous condamnons avec la dernière rigueur les violences que les femmes subissent au Nord du Mali. Le Mali ne mérite pas une situation pareille à plus forte raison les femmes. Nous savons que dans toute situation de conflit les plus grandes victimes sont les femmes. Le cas du Mali ne ferra pas l’exception. Déjà, nos sœurs subissent toutes sortes de violences. Nous appelons l’opinion sous-régionale, régionale et internationale, parce que cette crise d’occupation inégale du territoire national par les rebelles, est une situation que tout le monde doit condamner et se mettre ensemble pour chercher la solution. Par rapport à tous ceux qui ont été signées dont la résolution 1325 et tout ce qui existe comme convention au niveau régionale et internationale, nous pensons aujourd’hui que des dispositions doivent être prises pour aider l’armée malienne pour la concrétisation du Nord Mali enfin de sortir nos sœurs de cette situation catastrophique dont nous déplorons. Bintou Maïga, femme politique C’est regrettable. Chez nous à Gao, il n’ya plus de vie. Les femmes, ont peur, les enfants ont peur. Les enfants ne vont plus à l’école. Il n’y a plus d’électricité, il n’y a pas d’eau. C’est inquiétant. Les filles et même les petites enfants ainsi que les femmes sont en train d’être violées. C’est déplorable. Ce sont des actes que je condamne fermement. Je me demande quelle solution nous pouvons trouver pour sortir de cela. Avec la situation que nous vivons aujourd’hui au pays, la seule solution, c’est que tout le monde se donne la main, pas seulement les gens de Gao, eux ne peuvent rien faire dans la mesure où ils ne peuvent pas sortir. Comme ce sit-in que nous sommes en train de faire aujourd’hui (jeudi 5 avril au CICB), c’est une des solutions. Peut être ensemble nous trouverons d’autres solutions. Sinon la situation est très difficile. On ne sait même pas comment s’en sortir. Mme Diané Mariam Koné, promotion de la femme, de l’enfant et de la famille La situation est déplorable. On voit qu’effectivement par rapport à tout ce qu’il y a comme violence, on utilise les femmes que cela soit les conflits, ou même simplement les combats intercommunautaire et tout ce qui s’en suit. On a toujours utilisé cette violence sur les femmes comme une arme. Je suis du ministère de la promotion de la femme, de l’enfant et de la famille, nous combattons fermement ces viols. C’est inacceptable. Ces femmes, sont leurs mères, leurs épouses, leurs sœurs, leurs filles et pis également leurs partenaires de tous les jours. Elles ne méritent pas d’être utilisées comme une arme. On demande à tout un chacun de nous aider à arrêter cette violence de façon générale en tout cas sur les femmes. Mme Bouaré Bintou Founé Samaké, Wildaf, Réseau femme droit et développement en Afrique C’est une situation très délicate. Quand on parle de drogue et de trafic d’armes c’est qu’il y a toutes sortes d’exaltions sur les personnes notamment les femmes et les enfants. Nous nous ne pouvons que lancer des appels à la communauté internationale pour qu’elle puisse porter assistance au Mali. C’est la responsabilité de protéger de tout un chacun de chaque nation qui est engagée. On a vu vite fait de prendre des sanctions contre le Mali mais on n’est pas en train de faire vite pour prendre des sanctions contre ces personnes qui ont en train de violer des femmes et des enfants au Nord. Je pense que la Cour Pénale Internationale doit s’investir pour situer les responsabilités et traduire les coupables devant la justice. Mme Bocoum Salimata Ouattara, présidente des secrétaires du Mali Je suis sidérée et choquée dans ma dignité que cela se passe au nord. Le Mali constitue 90% de musulmans. Surtout le nord qui sait démasquer de cela vu que nos sœurs vivent de ces viols là, cela me traumatise. J’ai une pensée à elles. Ces rebelles ne sont pas des humains, ils ne vont pas écouter. On peut parler à des hommes et à des humains. Je lance un appel à la communauté internationale de faire à cause de l’humanité qu’elle ne résume pas le problème au niveau de la personne du Capitaine Sanogo qu’elle voit les populations qui souffrent au nord. Qu’elle nous aide à libérer le nord. Le Mali est une grande famille, ces membres de la CEDEAO, ont leur source quelque part au Mali. Dieu leurs a donné le pouvoir qu’ils sachent l’utiliser. Sanogo nous a libéré, à cause Dieu que la CEDEAO ait un regard aux femmes et filles qui sont au nord. J’ai de la famille et mes membres là-bas, mais je suis impuissante. Capitaine Sanogo, lui seul n’a pas la solution, c’est l’union qui fait la force et je pense que c’est dans l’idée de l’union que la CEDEAO a été mise en place. Si vraiment ce ne sont pas des fins mots, que c’est de la réalité, ils n’ont qu’à se pencher sur le nord au lieu de s’occuper d’une seule personne. J’ai eu l’impression que la CEDEAO est un syndicat et non une communauté économique. Ce sont des intérêts personnels. Pour protéger ces femmes au nord, on ne peut qu’implorer Dieu, il est puissant et grand. Nous nous n’avons pas la force ni les moyens. Il ne faut pas qu’on se le cache. Ceux qui ont les moyens et peuvent nous aider, nous ont lâché. Que la France, nous lâche, elle ne nous a jamais aimé. Sinon, c’est elle qui nous a colonisé, c’est elle qui doit venir à notre secours aujourd’hui. Mais elle a dit qu’elle n’interviendra pas militairement au Mali, alors qu’elle l’a fait en Côte d’Ivoire. Qu’elle est la différence ? Je ne m’occupe pas de la France, car elle ce sont des jeux d’intérêts. Entre nous africains, que notre communauté nous lâche, c’est là où je n’ai pas compris et je n’ai pas de mot. Seule l’union de la force peut nous donner la victoire. Viols au Nord Mali Ces femmes ne méritent pas toutes ces atrocités Après la prise des trois régions du Nord-Mali par le MNLA, Ançar Dine, d’Al Qaïda et autres terroristes, les femmes sont en train d’être violées aux yeux de toutes les populations. Face à cette situation, nous avons donné la parole aux femmes pour qu’elles s’expriment là-dessus. Mme Djiré Mariam Diallo, présidente du Réseau des femmes conseillères municipales C’est une situation regrettable et déplorable. Partout dans le monde chaque fois qu’il ya la guerre, les femmes font l’objet de viols. La communauté internationale doit prendre des mesures enfin d’éviter de tel crime. C’est un crime qu’il faut condamner et éviter à tout prix. Non seulement les femmes font l’objet de viols ; elles sont massacrées ; les enfants, les époux et les frères sont exécutés. Les femmes payent les lourdes tribus des guerres. C’est pour cette raison que nous ne sommes pas pour les guerres. Nous sommes contre les guerres partout dans le monde. Parce que ce qui font le frais le plus, ce sont les femmes. Ceux qui sont à la base de tout cela doivent répondre de leurs actes, interpeller et juger pour que plus jamais qu’il n’y est plus ni de guerre ni de viols sur les femmes. Nous devrons tous œuvrer avec l’appui de la communauté internationale pour qu’on puisse mettre fin à ces guerres. Et celles qui ont subi les viols doivent être accompagnées sur le plan santé surtout avec les maladies et autres au besoin les faire soigner. Egalement, les accompagner moralement. Ce n’est pas facile dans un milieu, compte tenu de nos valeurs culturelles, qu’une femme qui a été violée puisse s’intégrer facilement dans ce milieu là encore. Je pense que ces femmes ont besoin d’accompagnement pour pouvoir supporter le mal. Mme Doumbia Mama Koïté, Présidente de FEMNET/MALI La situation que vit notre pays est dramatique ! Notre Peuple épris de Paix et de Justice ne mérite pas ce sort ! Comment faire pour protéger ces femmes impuissantes face à cette situation ? Le 31 octobre 2000, le Conseil de Sécurité de l’ONU a adopté la Résolution 1325. Cette résolution porte une attention particulière à l’impact des guerres sur les femmes et accentue également le rôle joué par les femmes en tant qu’actrices de paix. La Résolution 1325 interpelle tous les Etats membres des Nations Unies, toutes les parties prenantes lors des conflits armés et tous les acteurs impliqués dans le processus de désarmement et de paix à aborder les questions relatives à la paix et à la sécurité en prenant en compte la dimension genre. Depuis l’adoption de la Résolution 1325, trois autres Résolutions du Conseil de Sécurité des Nations Unies ont été adoptées pour renforcer l’agenda international sur les femmes, la paix et la sécurité. Il s’agit de la Résolution 1820 (adoptée en 2008) qui reconnait la violence sexuelle comme une tactique de guerre et appelle la communauté internationale à la prévenir ; les Résolutions 1888 et 1889 (adoptées en 2009) qui développent des mesures et actions à prendre pour renforcer la mise en œuvre des Résolutions 1325 et 1820. L’objectif de la Résolution est de protéger les femmes et les enfants (y compris les fillettes) qui constituent la frange de la population la plus vulnérable et la plus durement affectée lors des guerres et conflits et de promouvoir la pleine et égale participation des femmes dans la prévention, la gestion, la résolution des conflits et dans les processus d’édification de la paix et de la reconstruction. En Afrique, l’Union Africaine a été le supporteur actif de la Résolution 1325 et a pris d’importantes mesures pour l’intégration transversale du genre dans ses programmes. En Afrique de l’Ouest la CEDEAO a mis en place le Réseau Femme et Paix de l’Espace CEDEAO qui a pour objectif de coordonner et d’optimiser les rôles et initiatives des femmes dans la prévention des conflits, le maintien de la paix et de la sécurité, les opérations de reconstruction post-conflit et la promotion des droits humains, particulièrement ceux des femmes et autres groupes vulnérables, pour assurer une paix durable dans les Etats de la CEDEAO. Je voudrai en ce moment difficile de peines et de douleurs adresser mon soutien indéfectible et toute ma compassion à mes sœurs ,mères et filles victimes de ces exactions humiliantes et déshonorantes . Ces pratiques ne font pas la fierté du Mali! Honte, et Déshonneur à ces bandits armés, ces criminels, ces apatrides et ces soit disant islamistes ! J’en appelle au Comité National pour le Redressement de la Démocratie et la Restauration de l’État , à la Communauté Internationale , à l’ Union Africaine et à la CEDEAO a mettre en œuvre la Responsabilité de Protéger pour trouver des solutions immédiates et idoines pour assurer la protection des populations civiles des souffrances et pillages et particulièrement nos sœurs et filles victimes de viols au Nord de notre pays . La paix a besoin des femmes. La force des femmes est une chance pour la paix. Mme Traoré Nana Sissako, présidente du groupe pivot droit et citoyenneté des femmes au Mali, porte-parole du mouvement des femmes pour la sortie de crise Nous condamnons avec la dernière rigueur les violences que les femmes subissent au Nord du Mali. Le Mali ne mérite pas une situation pareille à plus forte raison les femmes. Nous savons que dans toute situation de conflit les plus grandes victimes sont les femmes. Le cas du Mali ne ferra pas l’exception. Déjà, nos sœurs subissent toutes sortes de violences. Nous appelons l’opinion sous-régionale, régionale et internationale, parce que cette crise d’occupation inégale du territoire national par les rebelles, est une situation que tout le monde doit condamner et se mettre ensemble pour chercher la solution. Par rapport à tous ceux qui ont été signées dont la résolution 1325 et tout ce qui existe comme convention au niveau régionale et internationale, nous pensons aujourd’hui que des dispositions doivent être prises pour aider l’armée malienne pour la concrétisation du Nord Mali enfin de sortir nos sœurs de cette situation catastrophique dont nous déplorons. Bintou Maïga, femme politique C’est regrettable. Chez nous à Gao, il n’ya plus de vie. Les femmes, ont peur, les enfants ont peur. Les enfants ne vont plus à l’école. Il n’y a plus d’électricité, il n’y a pas d’eau. C’est inquiétant. Les filles et même les petites enfants ainsi que les femmes sont en train d’être violées. C’est déplorable. Ce sont des actes que je condamne fermement. Je me demande quelle solution nous pouvons trouver pour sortir de cela. Avec la situation que nous vivons aujourd’hui au pays, la seule solution, c’est que tout le monde se donne la main, pas seulement les gens de Gao, eux ne peuvent rien faire dans la mesure où ils ne peuvent pas sortir. Comme ce sit-in que nous sommes en train de faire aujourd’hui (jeudi 5 avril au CICB), c’est une des solutions. Peut être ensemble nous trouverons d’autres solutions. Sinon la situation est très difficile. On ne sait même pas comment s’en sortir. Mme Diané Mariam Koné, promotion de la femme, de l’enfant et de la famille La situation est déplorable. On voit qu’effectivement par rapport à tout ce qu’il y a comme violence, on utilise les femmes que cela soit les conflits, ou même simplement les combats intercommunautaire et tout ce qui s’en suit. On a toujours utilisé cette violence sur les femmes comme une arme. Je suis du ministère de la promotion de la femme, de l’enfant et de la famille, nous combattons fermement ces viols. C’est inacceptable. Ces femmes, sont leurs mères, leurs épouses, leurs sœurs, leurs filles et pis également leurs partenaires de tous les jours. Elles ne méritent pas d’être utilisées comme une arme. On demande à tout un chacun de nous aider à arrêter cette violence de façon générale en tout cas sur les femmes. Mme Bouaré Bintou Founé Samaké, Wildaf, Réseau femme droit et développement en Afrique C’est une situation très délicate. Quand on parle de drogue et de trafic d’armes c’est qu’il y a toutes sortes d’exaltions sur les personnes notamment les femmes et les enfants. Nous nous ne pouvons que lancer des appels à la communauté internationale pour qu’elle puisse porter assistance au Mali. C’est la responsabilité de protéger de tout un chacun de chaque nation qui est engagée. On a vu vite fait de prendre des sanctions contre le Mali mais on n’est pas en train de faire vite pour prendre des sanctions contre ces personnes qui ont en train de violer des femmes et des enfants au Nord. Je pense que la Cour Pénale Internationale doit s’investir pour situer les responsabilités et traduire les coupables devant la justice. Mme Bocoum Salimata Ouattara, présidente des secrétaires du Mali Je suis sidérée et choquée dans ma dignité que cela se passe au nord. Le Mali constitue 90% de musulmans. Surtout le nord qui sait démasquer de cela vu que nos sœurs vivent de ces viols là, cela me traumatise. J’ai une pensée à elles. Ces rebelles ne sont pas des humains, ils ne vont pas écouter. On peut parler à des hommes et à des humains. Je lance un appel à la communauté internationale de faire à cause de l’humanité qu’elle ne résume pas le problème au niveau de la personne du Capitaine Sanogo qu’elle voit les populations qui souffrent au nord. Qu’elle nous aide à libérer le nord. Le Mali est une grande famille, ces membres de la CEDEAO, ont leur source quelque part au Mali. Dieu leurs a donné le pouvoir qu’ils sachent l’utiliser. Sanogo nous a libéré, à cause Dieu que la CEDEAO ait un regard aux femmes et filles qui sont au nord. J’ai de la famille et mes membres là-bas, mais je suis impuissante. Capitaine Sanogo, lui seul n’a pas la solution, c’est l’union qui fait la force et je pense que c’est dans l’idée de l’union que la CEDEAO a été mise en place. Si vraiment ce ne sont pas des fins mots, que c’est de la réalité, ils n’ont qu’à se pencher sur le nord au lieu de s’occuper d’une seule personne. J’ai eu l’impression que la CEDEAO est un syndicat et non une communauté économique. Ce sont des intérêts personnels. Pour protéger ces femmes au nord, on ne peut qu’implorer Dieu, il est puissant et grand. Nous nous n’avons pas la force ni les moyens. Il ne faut pas qu’on se le cache. Ceux qui ont les moyens et peuvent nous aider, nous ont lâché. Que la France, nous lâche, elle ne nous a jamais aimé. Sinon, c’est elle qui nous a colonisé, c’est elle qui doit venir à notre secours aujourd’hui. Mais elle a dit qu’elle n’interviendra pas militairement au Mali, alors qu’elle l’a fait en Côte d’Ivoire. Qu’elle est la différence ? Je ne m’occupe pas de la France, car elle ce sont des jeux d’intérêts. Entre nous africains, que notre communauté nous lâche, c’est là où je n’ai pas compris et je n’ai pas de mot. Seule l’union de la force peut nous donner la victoire. Yapi N’guessan source : abidjandirect Trois groupes islamistes armés contrôlent le Nord du Mali depuis près de neuf mois. Ils y ont commis de nombreuses exactions au nom de l'application rigoriste de la charia (loi islamique): amputations, lapidations, destructions de mausolées. Il s'agit d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), Ansar Dine (Défenseurs de l'islam) et le Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao) Ces trois mouvements regroupent, autour d'un noyau dur d'un millier d'hommes aguerris, 3 à 4.000 recrues récentes. Ils sont équipés d'un armement léger classique dans les guérillas (fusils d'assaut Kalachnikov, lances-roquettes RPG), mais aussi de matériels plus lourds provenant des arsenaux libyens (mitrailleuses lourdes de 14,5, canons anti-aériens, obusiers, peut-être missiles sol-air).
  3. le retour de baton pour l'instant retombent sur ces islamistes violeurs au mali hein je ne savais pas que le coran recommendait le viol hein?
  4. Pas étonnant que pas mals ont du aller en France! après avoir été chassés d’Algérie aussi voila ce qui expliquerais cette explosion d'islamistes en France qui sont allés dans les cités monter le caberlots des jeunes pour assurer leurs expansions ? ce que je soupçonnais suite des nikabs !
  5. C’était une grave erreur cette fichue intervention ? comme quoi iil ne faut pas écouter les voix des sirènes. Ulysse c'était attaché au mat de son bateau pour ne pas y ceder
  6. papy75

    La France est un paradis

    La France est un paradis ou il fait bon de vivre pour ceux qui savent vivres ! mais les pays ou ce n'est pas le paradis! ces pays là voudraient nous exporter leurs misères avec le cannabis !
  7. Mali: "les islamistes ont commencé à fuir Tombouctou", assurent des habitants Laurence BOUTREUX | AFP – il y a 1 heure 12 minutesAprès deux jours de voyage sur le fleuve Niger, une pirogue accoste à Mopti, dans le centre du Mali, en provenance de Tombouctou, dans le nord. "Là-bas, chez nous, les islamistes ont commencé à fuir", dit un étudiant venant de débarquer. "Il en reste quand même", nuance un commerçant.Au soleil couchant - que les touristes étrangers ne viennent plus contempler depuis des mois à Mopti, "la Venise malienne"-, ces habitants de Tombouctou, à 900 km de Bamako, échangent, presque gaiement, ce weekend, les dernières nouvelles de "la guerre". "J'habite à Tombouctou et nous sommes tous contents du président français François Hollande! On a l'impression qu'on va être libérés très bientôt", dit Sidi Touré, commerçant de 67 ans coiffé d'un turban vert, parti jeudi à bord d'une grande pirogue de sa ville "coupée du monde", sans réseau téléphonique.
  8. Là tu est à mon humble avis optimiste ,mais pourquoi pas hein!
  9. Et on avance ! Mali: après l'offensive éclair sur Gao, objectif Tombouctou Une colonne de soldats français et maliens se dirigeait dimanche vers la cité mythique de Tombouctou, au lendemain de la reconquête lors d'une offensive éclair de Gao, la plus grande ville du nord du Mali, où des soldats de la force africaine se sont déployés. L'aviation française a aussi bombardé des positions islamistes dans leur fief de Kidal, à 1.500 km de Bamako, alors que des sources font état depuis plusieurs jours d'un repli des combattants islamistes dans les montagnes de cette région, dans l'extrême nord-est malien. Soldats français et maliens progressaient parallèlement par voie terrestre sur un autre front, en direction de Tombouctou, ville-phare de l'islam en Afrique, à 900 km au nord-est de Bamako. Les "troupes françaises et maliennes" seront "bientôt près de Tombouctou", a assuré samedi le Premier ministre français Jean-Marc Ayrault. Mali : la maison du chef d'Ansar Dine … Atlantico.fr - il y a 1 heure 1 minute L'aviation française a bombardé la maison du chef du groupe armé Ansar Dine ainsi que des positions islamistes à Kidal et sa région, dans le nord-est du Mali. Mali : l'Union africaine "salue" l'intervention française Réunis dimanche à Addis Abeba, les pays membres de l'Union africaine ont déploré leur propre lenteur à agir au Mali par la voix de leur président sortant.L'Union africaine, réunie dimanche en sommet à Addis Abeba, a déploré, par la voix de son président sortant, sa propre lenteur à agir pour "défendre" le Mali et "salué" l'intervention militaire française sur le terrain. "Je tiens à saluer la France qui, face aux délais de réaction extrêmement longs de l'Union africaine et de la communauté internationale, a pris les devants et fait ce que nous aurions dû faire depuis longtemps pour défendre un pays membre", a déclaré le président béninois Thomas Boni Yayi, avant de passer la présidence tournante de l'UA au Premier ministre éthiopien, Hailemariam Desalegn. Le dirigeant béninois a encore fait part de sa "profonde reconnaissance" au président français, François Hollande, pour sa "décision salutaire" d'envoyer l'armée française au Mali. La France est intervenue militairement dans le pays en toute hâte mi-janvier, à la demande des autorités maliennes, face à l'avancée vers Bamako des insurgés islamistes qui occupent le nord du pays depuis mi-2012. Dimanche, son aviation a bombardé des positions islamistes dans leur fief de Kidal, à 1 500 km au nord-est de la capitale, tout en poursuivant la prise de contrôle de la plus importante ville du Nord, Gao. Des troupes africaines commencent aussi à arriver dans le pays, mais encore au compte-gouttes. Thomas Boni Yayi s'exprimait dimanche dans la capitale éthiopienne, où siège l'UA, lors de l'ouverture du 20e sommet de l'organisation panafricaine.
  10. papy75

    La France est un paradis

    erreur de destination
  11. le ver est déjà dans le fruit car il trouve un terrain favorable a son intrusion !
  12. vous avez oublé le viole pratiqué au mali par les djadistes ?
  13. papy75

    La France est un paradis

    Fumer cette saloperie , les chercheurs sont unanimes enlève de ton QI si tu en a beaucoup tant mieux pour toi mais celui qui en n'a peu tant pis pour lui hein! tout le monde fume mais ne ce jette pas à l'eau heureusement !
  14. Et si !en France en Belgique et en Angleterre la France n'a pas voulue de charia sur son territoire elle!sauf la Belgique et l’Angleterre
  15. Moi j'ai rencontré dieu un jour de beuverie extrême
  16. papy75

    La France est un paradis

    je remarque surtout habitant dans une cité justement ;que ces jeunes ne font rien pour s'en sortir contrairement à d'autres qui s'en sortent ? souvent en échec scolaire et traficants de cannabis ils n'ont aucuns respects des gens ou des lieux qu'ils fréquentent laissant derrières eux des paquets d'immondices quant ils s'en vont ( fatigant de mettre ses ordures dans un sac )? souvent ils dégradent par bêtises les immeubles qu'ils occupent laissant l'ardoise aux bailleurs . et cela n'est que le petit aperçu des choses Pour cela pour dire que si la France est un Paradis , d'autres en font un enfer hein!
  17. Des rigolos ses islamistes qui veulent changer le monde en chaos universelle avec retour à la case de départ les hommes de la préhistoire hein . Ils devraient se battre avec des massues ,des arcs et des flèches et des canons à pierres comme lances missiles
  18. ils ont pas compris que Tant que l'islam imposera son pouvoir despotique sur un Etat ils sera rejeté ,c'est normal.la religion doit rester religion ?l'islam n'a pas pour vocation gouverner politiquement comme il le fait dans les pays d Afrique du sud et du nord en ce moment . et plus il le fera plus la Fracture sera grande la violence aussi . L'islam est la seule religion qui impose sa dictature dans le monde et c'est inacceptable ? surtout dans les pays occidentaux .
  19. "Merci la France", scandent les Maliens à Montreuil AFP - il y a 10 minutes Les "merci la France!" concurrençaient le son des percussions, samedi à Montreuil, lors d'une manifestation de soutien à l'intervention française au Mali, au moment même où le ministère de la Défense à Paris annonçait la reprise de la ville de Gao. Les 800 manifestants, Maliens ou d'origine malienne pour la plupart, ont défilé sous les drapeaux français et maliens, et derrière une camionnette sur laquelle on pouvait lire "Afrique/Europe, alliés pour une paix durable", ou encore "Mali uni, une république laïque et démocratique".
  20. Je ne vois pourquoi on en fait tant pour cette demoiselle ? bien sur si elle est comme elle le prétend innocente c'est moche pour elle, mais cela reste à prouver. Pour l'instant quant à Holland je ne vois pas pourquoi il aurait dû se déplacer !
  21. Petit passage chez toi pour te souhaiter une bonne soirée et un bon weekend bisous .

  22. Ils avancent les petits gars, les villes les unes après les autres sont enfin libérées La ville de Gao (nord-est du Mali) a été reprise samedi par les armées française et malienne et des "contingents africains, formés de militaires nigériens et tchadiens, arrivent sur zone pour prendre le relais des forces" françaises, a annoncé le ministère de la Défense. Dans un communiqué, le ministère a affirmé que "dès ce (samedi) soir, Sadou Diallo, le maire de Gao réfugié à Bamako, a pu regagner sa ville, accompagné par le colonel Dako".
  23. Mali: les islamistes du Mujao veulent négocier la libération d'un otage français
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