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Frelser

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Tout ce qui a été posté par Frelser

  1. Qui a prétendu qu'ils ne l'étaient pas tous un peu sur les bords ? :p
  2. P.S. : La cohérence n'est jamais vraiment nulle, pour cela il faudrait un temps d'évolution infini. En revenche, la désintrication dûe à la décohérence est, quant à elle, provisoire. L'information intriquée masquée à cause du bruit thermique peut ainsi resurgir après la désintrication passagère. Le souci est donc le maintient des qubits stables, avec une décohérence asymptotique dans un système d'intrication à variable continue.
  3. Pour faire simple, l'état de superposition d'états découle de ce qu'avant la mesure, les particules dépareillées forment un seul système. La désintrication passagère découle de l'effondrement de la fonction d'onde et de la décohérence du système... Aucune désintrication n'est définitive ni complète, et la superposition des états et l'intrication des états dure tant que le système est cohérent, et ne subit pas de couplage avec l'extérieur. Le défi de l'ordinateur quantique étant de maintenir un système cohérent le plus longtemps possible pour obtenir une puissance de calcul très élevée. La cohérence n'est jamais nulle, pour cela il faudrait un temps d'évolution infini. Ainsi, des informations cryptées dissipées par le bruit thermique peut ressurgir après un certain délai. Au contraire, la désintrication dûe à la décohérence est provisoire.Concrètement, l'Univers en entier forme un système non-local. Tout est lié de par le fait que tout s'étant touché au moment où l'Univers formait une singularité, les distances sont une illusion hollographique. Cela ne signifie pas qu'il suffise de prendre 1000 atomes dans une boite pour obtenir un ordinateur quantique ! Les interactions entre les systèmes de qubits et leur environement déstabilisent les systèmes obtenus par exemple par des faisceaux laser les mettant en phases... Le défi est donc dans le maintient des états supersposés du système de qubits cohérent de façon la plus stable possible. Le faits que l'Univers est non-local ne signifie pas qu'on ne puisse pas obtenir des découplages et des états séparés quand le système d'interactions est influencé par le bruit thermique et des couplages imprévus.
  4. Tu confond état intriqué et particule intriquée. Tu ne vois pas que ce papier traite des intrications à variables continues dans le cadre de la fabrication des qubits ?
  5. Tu interprète encore une fois le terme de désintrication sans en comprendre le sens. On parle simplement des couplages avec l'environnement, dans le papier. Ce qui signifie une perturbation des qubits. Relis les posts que j'ai faits, je n'ai pas envie d'éterniser à t'expliquer tes confusions indéfiniment. Encore une fois, si l'intrication était seulement momentanée, on ne se casserait pas la tête à fabriquer des atomes intriqués. Il est question de les maintenir stables par rapport à leur environement dans le document que tu poste. Pour maintenir le système cohérent, il faut le maintenir stable sans couplage avec l'extérieur. Bonne nuit.
  6. Tu confonds tout. L'intrication est la corrélation du système des particules jumelées. La décohérence ou la superpositions d'états sont des propriétés quantiques distinctes de la corrélation. Je l'ai déjà souligné plus haut plusieurs fois, tu mélange tout et n'importe quoi. (Comme avec la superposition des états que tu voulais lier au paradoxe de de Broglie, que tu considérais lié au phénomène d'intrication...) Si les particules n'étaient corrélées que passagèrement, on ne se casserait pas la tête pour fabriquer 14 atomes intriquées quand-même Wipe ? La décohérence est une inquiétude, non pas par rapport à la corrélation, mais par rapport à la puissance de calcul, tout l'intérêt des qubits consistant en cet état supplémentaire. Ce qui doit démultiplier la puissance de l'ordinateur quantique...
  7. La décohérence mentionée par Zurek n'est pas lié à la corrélation des particules intriquées, mais à l'usage de cette propriété dans un super-calculateur qui en subit les effets. Puisque la force des qubits tient précisément en l'état de superposition des états... La durée de la décohérence des éléments peut être préjudiciable à la puissance de calcul.
  8. Je jète l'éponge. Franchement, tu a massacré mon topic avec une masse de désinformations et des tones de bricollages. Si tu utilisais ton cerveau ne serait-ce qu'une fraction de seconde, tu as toi-même posté que des chercheurs ont intriqué 14 atomes... Si c'est pour les utiliser une seule fois, pourquoi il se casseraient la tête, et quelle utilité ils compteraient tirer de ces 14 atomes ? J'ai expliqué qu'on peut fabriquer des particules intriquées indiscernables par double intrication de faisceaux de photons. Tu me sors un article de wikipédia qui dit ce que sont deux particules indiscernables. Que veux-tu que je fasse avec ça ?
  9. Ecoute Wipe, laisse tomber, tu devrais te contenter de parler de sujets que tu maitrise, parceque vraiment, tu es lourd là... Tu confonds manifestement la notion de décohérence quantique liée au phénomène de mesure et l'intrication des particules qui produit une corrélation qui rend les particules inséparables. La mesure ne détruit pas la corrélation, elle ne fait que rendre les particules iintriquées discernables.
  10. P.S. : On intrique les particules pour déterminer les états des paricules pareillées. Comme dit plus haut, on peut fabriquer des photons indiscernables par intrication double de faisceaux polarisés. On ne peut pas connaitre l'état de l'ensemble des particules de l'Univers. Pour des besoins pratiques, on produit donc des particules, et même des atomes, corrélées. Ainsi, on peut profiter d'états superposés dans l'espoir de fabriquer un jour un super-calculateur avec une puissance absolument inédite.
  11. On filtre et polarise les photons pour vérifier statistiquement les niveaux de corrélations... C'est parcequ'on n'a pas le moyen ni les technologies pour tester cela plus finement. Autrement la "polarisation" ne provoque pas la corrélation, ni ne la détruit... Elle permet juste de pouvoir comparer les mesures. La corrélation n'a rien à voir avec cette polarisation, elle découle de l'intrication.
  12. Pour pouvoir tester les violations des inégalités de Bell on doit d'abord réaliser une préparation d'un système dans un état pur. En sorte de pouvoir tester le niveau de corrélation entre les particules intriquées en tenant compte de la faiblesse et des limites des appareillages, pour trancher entre l'hypothèse de corrélations s'expliquant par une statistique sur base de paramètres déterministes, et la corrélation intrinsèque entre les particules intriquées prédite par la MQ. Autrement, ce n'est pas le fait de la mesure qui est la cause de cette corrélation, mais la corrélation du système unique qui se note par cette corrélation des états de spin. Il est possible de générer des paires de particules intriquées indiscernables par double intrication.
  13. L'approche et les citations sont puisées à partir de l'article de David Z. albert. Un spécialiste de la physique quantique... C'est vrai que très peu d'informations précises sur la MQ sont consultables sur la toile, et exact que beaucoup de bricolleurs en parlent en "savants auto-prodlamés" sur internet. Il faut donc pour s'assurer de l'exactitude des interventions consulter des ouvrages de spécialistes, ou faire soi-même une formation en physique théorique. On n'a pas à accepter ou s'insurger, ou encore à s'extasier devant les conséquences de la MQ.
  14. P.S. : Sans vouloir dériver dans un hs excessif, précisons que l'état de spin d'une particule ayant une influence physique relativement étendue, les effets de l'intrication s'étendent à une échelle macroscopique et même universelle. C'est pour cela que, l'Univers ayant formé une singularité au moment de sa naissance, l'ensemble de l'Univers est définitivement lié et forme un seul système. L'espace étant une illusion selon l'interprétation la plus catégorique. La réalité consistant donc en fait en un matroïde théorique sans dimension consistant en une pure information immatérielle et matricielle. http://projectavalon.net/forum4/showthread.php?1393-Nonlocal-Universe-Reality-as-a-Dream Extrait de l'article dans "Scientific American" de mars 2009 en ligne.
  15. "En physique, le principe de localité, connu également sous le nom de principe de séparabilité, stipule que des objets distants ne peuvent avoir une influence directe l'un sur l'autre; un objet ne peut être influencé que par son environnement immédiat." Lorsque les scientifiques ont montré que la théorie quantique prédisait des actions à distance d'objets séparés, on avait une prédiction de non-localité. Cela était donc un principe nouveau, "deux objets distants pouvaient avoir une influence instantanée l'un sur l'autre". C'était là, un nouveau principe physique, découlant du formalisme théorique de la MQ. Or, avec la violation des inégalités de Bell, on ne parle pas de principes de localité ou de non-localité, mais de théorie quantique non-locale. La RG étant une théorie locale, mais étant muette à l'échelle quantique.
  16. Précision sur cette intervention, une fois les particules intriquées mesurées, on connait les états de spin respectifs de celles-ci, et cela ne permet aucun transfert d'information instantané de par le fait que l'état des particules demeure strictement aléatoire aveugle avant les mesures, mais des particules intriquées restent intriquées définitivement. Une fois qu'elles ont été intriquées elles sont inséparables et forment un même système. Le côté "inattendu" est observé au moment de la mesure, mais l'état d'intrication est bien définitif. Sauf lorsque le système est perturbé par l'environnement dans un jeu de nouveaux couplages et de décohérence. C'est bien pour cela qu'on dit qu'elles sont inséparables.Un principe physique est un postulat admis comme vrai jusqu'au moment de son infirmation. Comme la théorie quantique prédisait des événements non-locaux, on parlait de principe de localité conventionelle, et de principe de non-localité... Or, les expériences sur la violation des inégalités de Bell ont démontré que le principe de localité était faux, et que la réalité quantique était non-locale. Ce n'est plus un principe théorique, mais un fait démontré expérimentalement.
  17. Avant de parler de sujets que tu es très loin de maitriser, apprend d'abord à respecter les gens auxquels tu t'adresse. Je te répondrai si tu présente des excuses et change ton comportement agressif. De toute façon ton dernier post est encore une fois une simple preuve de plus que tu ne maitrise pas le sujet, et n'a pas connaissance des processus de la démarche scientifique, en plus de dire des grossièretés et insulter tes interlocuteurs.
  18. Non, ce n'est pas parcequ'une hypothèse ne diffère pas des conséquences des théorie existantes qu'elle devient une concurrente. Elle doit d'abord se fonder sur une base réfutable, en sorte d'être évaluée. Un objet n'est localisé que dans l'espace Wipe. Cela dépend de la topologie de l'espace. Dans un espace séparé, il serait impossible d'observer des phénomènes d'intrication par exemple. La théorie est non locale, parceque cela a été démontré expérimentalement. Si le principe de localité est violé, alors ce n'est plus un principe physique. J'ai bien dit que les termes principe de non localité étaient un archaïsme d'avant les preuves expérimentales de la violation des inégalités de Bell, et servant parfois dans un but de vulgarisation des notions de séparabilité et de non localité. Et ajouté que ce n'est plus un principe, étant démontré expérimentalement.
  19. Tu ne comprend pas la différence entre la rechercher de failles dans une théorie et la résistence à accepter les conséquences d'une théorie : qui est une question de démarcation. Bien-sûr qu'on peut chercher à établir des hypothèses contradictoires avec une théorie, et cela est la démarche de la science. Mais en continuant à rester strictement distants à la théorie quantique standard, les physiciens réalistes font défaut au principe de démarcation. Un scientifique doit être indifférent à son objet d'étude.
  20. Sur la position des particules dans une onde non pas théorique mais réelle. Mais il n'y a pas de rapport avec des variables cachées.
  21. La théorie de Bohm est une concurrente à celle de l'école de Copenhague. Etant non locale, elle est acceptée comme plausible, et il y a certaines pistes qui sembleraient pouvoir enfin la conforter ou l'infirmer dans certaines de ses conséquences. Mais même si une partie est désormais réfutable, concernant certains aspects non liés à des variables cachées, il ne sied pas d'extrapoler cette piste à l'ensemble de la théorie. La version standard demeure la seule qui soit complètement conforme à toutes les observations. Et celle dont toutes les précictions, même les plus contre-intuitives ont été confortées avec une précision inouïe.Pour qu'une théorie devienne de valeur scientifique, il faut qu'elle conduise à des prédictions nouvelles, et que ces prédictions soient réfutables. Une fois que les prédictions sont réfutables, elle acquiert une valeur scientifique, et peut être éprouvée expérimentalement. En fonction de son pouvoir de prédictions, elle sera tenue pour viable ou non viable. Et si elle devance ses concurrentes, elle deviendra la théorie standard. C'est aussi simple que cela. La réfutabilité est la toute première condition requise pour élever une théorie dans le cadre du domaine scientifique. Une théorie non réfutable, ou réfutée n'a pas de valeur de science.
  22. Ah, et comment on va déterminer si elle est locale ou non locale si on ne lui donne aucune base réfutable ? Relis calmement et essayre d'abord de comprendre ce qui est écrit avant de sortir des bêtises. Franchement, il y a un de nous qui s'est bien ridiculisé ici, et qui semble y prendre goût. Et ce n'est pas moi, mais celui qui parle de choses dont il ne comprend même pas l'alfa. Pour qu'une hypothèse soit réfutable, il faut d'abord proposer une démarche de réfutabilité. Avant cela, rien n'a de valeur point de vue scientifique et expérimental. Je ne sais pas comment expliquer cela plus simplement que cela, il ne suffit pas d'imaginer une variable lambda ou oméga pour rendre une hypothèse scientifiquement valable.
  23. En simple, les inégalités de Bel ont démontré que la théorie quantique est non locale. Elle a permis de conforter les prédictions quantiques violant les principes de localité et de séparabilité. C'est pour cela qu'on dit dans le sens large que les variables cachées locales ont été infirmée, mais pas les variables cachées non locales.
  24. Il existe de nombreuses théories à variables cachées, elles ne se fondent pas sur les mêmes principes. La réfutation des inégalités de Bel concerne un type de variables proposées, pas toutes. C'est plus compliqué que tu semble l'imaginer.
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