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Tout ce qui a été posté par Frelser
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L'univers des vérités est comme un colosse aux pieds d'argiles, dès que les axiomes fondateurs sont interrogés, tout s'effondre. Cela vaut tant en mathématiques qu'en physique ou dans les règles morales qui nous semblent bien aller de soi.
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Tu crois m'atteindre, t'es loin du compte. :p
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Tu touches à ma vérité, je t'en colle une. :D
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Donc, la matière, c'est des ondes ou des particules dans ta verions de la vérité de bonne foi ?
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Croyance en Dieu et philosophie sont-elles compatibles ?
Frelser a répondu à un sujet dans Philosophie
Oui, mais cela ne vaut que pour les ensemble obliques et non numérisés. -
Croyance en Dieu et philosophie sont-elles compatibles ?
Frelser a répondu à un sujet dans Philosophie
Dois-je en conclure que tu ne peux pas démontrer cette objection de façon univoque. -
Croyance en Dieu et philosophie sont-elles compatibles ?
Frelser a répondu à un sujet dans Philosophie
Peux-tu développer ? -
Croyance en Dieu et philosophie sont-elles compatibles ?
Frelser a répondu à un sujet dans Philosophie
Le paradoxe est étudié par Bertrand Russel, qui a démontré que le cardinal de l'ensemble de tous les ensembles est forcément le plus grand cardinal. Et que donc l'ensemble de tous les ensembles contient son ensemble des parties, et donc est de cardinal supérieur ou égal à celui-ci. En posant comme axiome que cet ensemble des ensembles de ne pas appartenir à soi-même, le paradoxe persiste, en sorte que toute théorie obtenue en ajoutant des axiomes le reste également à un niveau supérieur.Une illustration plus ludique à ce paradoxe est le paradoxe du barbier : Dans un village il n'y a qu'un seul barbier et un ordre municipal exige que le barbier doit raser tout villageois mâle qui ne se rase pas soi-même : alors qui rase le barbier ? Si il se rase soi-même, il ne peut pas se raser. D'où le parrallèle avec le plus grand cardinal qui produit le paradoxe... -
Alors la matière c'est des ondes ou des particules, dis nous de bonne foi.
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Croyance en Dieu et philosophie sont-elles compatibles ?
Frelser a répondu à un sujet dans Philosophie
L'illusion que nous pouvons confiner l'Univers dans des formules s'estompe à mesure que nos réflexions sont poussées et affinées... Le problème des contradictions internes ne se réduit pas aux mathématiques par ailleurs. En physique aussi, nous en arrivons au fil des avancées techniques et théoriques à accepter les contradictions de nos modèles comme complémentaires. Au point que même ce qui nous semblait le plus évident s'envole en éclats. Le cas du paradoxe de de Broglie est ainsi intéressant, puisque la fonction d'onde psi qui se trouve uniformément distribuée dans la boite aux parois parfaitement réfléchissantes divisée en deux boites A et B envoyées respectivement à Paris et à Tokyo partagent la fonction d'onde en deux probabilités psi 1 et psi 2 malgré l'apparente séparation spatiale, ainsi l'électron se trouve en même temps à Paris et à Tokyo. Cela ne nous étonne pas quand nous connaissons l'effet tunnel, et la désintégration alpha... Or la MQ est bien fondée comme complète avec une précision allant jusqu'à cent écarts types, et cette expérience de pensée rejoignant par ailleurs les conséquences de la MQ prédisant également l'intrication de deux particules comme formant un seul objet même si en apparence on les séparait de part et d'autre des confins de l'Univers. Nos sens nous trompent, en nous faisant simuler des saveurs, sensations, émotions, couleurs, sons qui n'existent pas en dehors de notre esprit. Et même l'illusion de temps et d'espace séparé s'avère une simulation heuristique d'un univers dénué de tout ce que notre esprit nous permet de concevoir. L'imagination des permutations matricielles de Heisenberg a permis de mieux nous représenter les limites de notre ouverture sensorielle et théorique sur le monde de nos représentations. Wigner parlera ainsi d'ondes de conscience, et verra l'ultime réalité comme ces représentations mentales-mêmes. Puisque c'est la seule chose que nous puissions phénoménologiquement appréhender. Or, toutes ces lois, constantes ou expériences sensorielles ne sont que des coincidences statistiques et probabilistes qui émergent selon ce que nous nommons le théorème central limite, en sorte que nous ne puissions jamais que modéliser notre représentation illusoire en surface, des événements ainsi simulés et en imaginer des théories contradictoires toutes valables dans leur propre cadre paradigmatique. Alors que le fin fond de cette réalité extérieure est bien acausale. Il ressort alors que cet Univers qui émerge statistiquement n'a aucune cause et donc aucune raison d'émerger. Alors l'esprit réalise qu'un Principe a donc conduit à cette émergence, que certains nomment dieu. -
Ah retours vers le plancher des bovins quoi.. Pourquoi cela ne me surprend pas ?
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Non, l'autre joue c'est inciter l'autre au mal. Rendre un mal par un bien, c'est montrer l'exemple.
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Une personne que j'aime beaucoup a un jour dit une chose qui a changé ma vie : le sacrifice de soi pour autrui et souffler de la vie à autrui avant même de vivre devrait être un idéal.Lorsque je fais passer autrui avant moi, je resens un plaisir indescriptible que je ne resens jamais lorsque je me contente de faire ce que j'ai envie.
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La quête de la vérité est le moteur qui anime l'esprit et fait partie de nous. Mais la logique rigoureuse aboutit inexorablement à la conclusion fatale que la vérité n'existe pas. Il y a simplement de l'espérance et des approximations plus ou moins précisés ou étendues, qui sont par ailleurs souvent mutuellement exclusives. La seule certitude qui nous reste étant que l'existence est un paradoxe absolu, et qu'une chose ou un principe a causé son émergence, dont nous sommes témoins.
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Popper a proposé une méthode séduisants pour la négociation objjective de la notion de vérité. La démarcation (indifférence aux résultats du raisonnement) et la réfutabilité (pouvoir vérifier chaque point du raisonnement). Ockham a quant à lui contribué avec son rasoir à privilégier les explications les plus simples. Ces méthodes sésuisantes permettent de confronter les hypothèses en sorte de les éprouver par l'expérience et les trier si nous aboutissons à des conclusions contradictoires. Mais elles ont leurs limites. En effet, même si une hypothèse, un modèle ou une théorie se trouvait confortée complètement par les observations et mesures, elles devront demeurer réfutables pour maintenir le statut scientifique. Et le principe esthétiquement séduisant de considérer les explications les plus simples comme les plus plausibles n'est pas fondée sur une démonstration rigoureuse réfutable... Les sciences sont ainsi un système d'élaboration de vérités testables et réfutables, mais sont limitées dans le cadre protocollaire des paradigmes et axiomes fondateurs et des principes mêmes de la méthodologie expérimentale et théorique.
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En tout cas, il resort de toutes ces discussions une chose : ce n'est pas parcequ'une chose n'est pas vraie, qu'elle n'est pas fausse.
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Croyance en Dieu et philosophie sont-elles compatibles ?
Frelser a répondu à un sujet dans Philosophie
Allez, je vais te faire une fleur. Comme manifestement tu es réticent à admettre que la divergence d'une série et l'indécidabilité signifie que cela n'est pas sommable et que vu du niveau de ta cheville tu semble avoir le niveau de le comprendre. Que dis-tu dans ce cas du théorème de réarrangement de Riemann, lequel montre que dans certains cas, une série peut se réarranger pour converger vers n'importe quel réel, et même tendre à l'infini, en sorte la commutativité aussi s'évapore au coeur même des conventions mathématiques ? Un peu de lecture ? Presque tout est indécidable. -
Croyance en Dieu et philosophie sont-elles compatibles ?
Frelser a répondu à un sujet dans Philosophie
Ah oui, en dessous de la cheville... On avance alors. Mais cher ami, je ne conteste pas qu'il y ait des notions de série convergente, divergente etc. Je dis juste que la présentation du paradoxe qui s'appuie sur la série de Grandi est une conséquence des règles basiques en mathématiques, qui conduit à des contradictions internes, je ne vois pas d'utilité à mentionner les différentes formes de sommation, ni même contester que si la série est divergente on prenne pour convention de rejeter le résultat. Ce que je souligne c'est que si on prend les axiomes/postulats etc. mathématiques, on termine systématiquement avec des incohérences internes. Si pour une transposition d'une série mathématique sous forme de fonction j'obtiens disons n solutions divergentes, cela ne signifie pas qu'une seule de ces solutions est conforme. Le principe de rejeter certaines conséquences des conventions mathématiques, ou d'imposer certaines contraintes en vue de garantir la pertinence des mathématiques consiste en fait à simplement à partir du principe qu'elles sont cohérentes, pour ensuite rejeter des conséquences factuelles qui montrent le contraire. J'ai mentionné le cas de la division par 0. On admet que 0x∞=0 mais quand il s'agir de la conséquence toute logique 0/0=∞ nous rejetons cela comme absurde ? Encore avec tes additions et soustractions douteuses. :p -
Croyance en Dieu et philosophie sont-elles compatibles ?
Frelser a répondu à un sujet dans Philosophie
C'est deja-utilise, il digresse encore... ( ) Bious. -
Ce n'est pas le fait de connaitre la vérité qui est utile, la vérité c'est qu'il faut connaitre ce qui est utile car c'est plus utile.
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Je vois. En effet, il y a certaines réactions innées qui semblent présentes chez les enfants en bas-âge. Comme je l'ai mentionné et répété plus haut, je ne conteste pas cela. Je souligne que cela s'enracine plus profondément dans une recherche subconsciente de bien-être individuel ou collectif. En effet, si nous nous évertuions à démontrer que cette aversion à voir un autre souffrir est bien, sur quelle base référente extérieure nous fondrions-nous ?
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Croyance en Dieu et philosophie sont-elles compatibles ?
Frelser a répondu à un sujet dans Philosophie
Tu peux bien-sûr présenter un postulat ou une attente comme une démonstration, mais même si nous tenions cette approche pour évidente, elle ne changerait strictement rien au fait que ce paradoxe (0=1) est également conforme aux règles essentielles d'opérations arithmétiques et de priorités...La cohérence d'une approche ne pouvant permettre de conclure de façon objective au rejet de l'autre. Surtout qu'en mathématiques, il existe beaucoup d'autres équations à choix multiples, comme par exemple √(1)=+1 ou -1 sans que l'on ne considère qu'elles soient mutuellement exclusives, chacun pouvant se vérifier comme étant exact tel que (1x1)=1 et [(-1)x(-1)]=1 -
Croyance en Dieu et philosophie sont-elles compatibles ?
Frelser a répondu à un sujet dans Philosophie
Désolé, mais tu ne démontre rien en faisant cette citation. Tu n'explique rien que l'on puisse vérifier, tu te contente de te répéter. C'est là prendre pour résultat la solution attendue, ou autrement dit simplement prendre le problème à l'envers pour obtenir ce qui est désiré comme résultat pour confirmer que les mathématiques sont cohérentes. Gage à toi de vérifier cette affirmation que cette série doit converger si je le répète à l'infini. :) P.S. : Si nous devions appliquer les règles fondamentales des mathématiques en toute rigueur, nous devrions conclure que 0x∞=n puisque n/infini=0. Ce qui rejoindrait ce paradoxe de 1=0 selon la façon dont j'organise ma série d'additions et de soustractions infinie (sans limite). Or pourquoi admettre que 0x∞=0 tout en rejetant que 0\0=∞ ? Louis Couturat a ainsi pu soutenir que la division par 0 de tout nombre entier donne l'∞. Et cette conclusion est la plus évidente si on applique les règles fondatrices des mathématiques telles que les opérations de multiplication, de division, d'addition et de soustraction dès lors que nous touchons à l'infini. -
Croyance en Dieu et philosophie sont-elles compatibles ?
Frelser a répondu à un sujet dans Philosophie
Ton argument sur les limites et la convergence ne change rien au fait que l'opération consistant à organiser les parenthèses est conforme au principe de priorité des opération et du calcul en mathématiques. Tu ne peux pas utiliser une approche (les limites) pour le faire passer au dessus d'une autre (l'organisation du calcul par des parenthèses). Et rien ne justifie que cela ne soit plus valable si on le répère à l'infini. Par conséquent, ton objection nécessite autre chose que l'affirmation que ce paradoxe 0=1 ne serait pas valable parcequ'un autre mode d'approche mathématique n'aboutit pas à la même conclusion. Au contraire, cette contradiction renforce la démonstration que les mathématiques ne sont pas cohérentes même dans l'axiomatique interne et aboutissent à des paradoxes insolubles dans le cadre des règles qui l'érigent. A savoir ici les additions et les soustractions. -
Concernant la notion de vérité, il s'agit avant tout de plier devant une affirmation donnée émanant d'autrui ou de soi-même. Chacun pliant selon son choix purement individuel et en fonction de ses envies. Paradoxalement, cela n'a dialectiquement aucune limite et chacun peut croire strictement en n'importe quelle affirmation qui sera pour lui devenue une vérité. Ainsi, il n'y a aucune limite ultime à la vérité et absolument tout peut devenir vrai pour quiconque y croit fermement. Alors pour établir des relations sociales saines, nous tentons de convaincre autrui du bien-fondé de nos propres vérités, et cela devient d'autant plus pressant que leur remise en question nous est psychologiquement intolérable... Or, si nous creusons suffisement, nous nous apercevons assez rapidement que même nos certitudes qui nous paraissent les plus fulgurantes semblent ne pas convaincre tout le monde. Et lorsque nous essayons de les prouver de façon à ce que tout un chacun en arrive à devoir admettre leur bien-fondé de façon catégorique, nous nous apercevons que cela s'avère simplement irréalisable. Sans doute qu'un pelé sortira encore pour me dire que cela nest pas vrai !