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Tout ce qui a été posté par Frelser
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Puisqu'on est dans la rubrique religion, je te lance le défi de citer un exemple unique de contradiction entre deux versets du Coran. Pour ne pas prolonger le hs, choisis bien ce qui te paraît le plus limpide, et on revient à notre sujet. Ne cherche pas à embrouiller en dressant une liste à la noyage de poisson, je répondrai au premier point pour ne pas disperser le sujet.
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1), 2) Cher hybdidex, par "mouvement perpétuel", nous faisons appel à un mécanisme qui continuerait indéfiniment de façon purement mécanique. Sans système de contrôle intelligent. L'utilisation de servomoteurs fait que nous ne pouvons pas parler de mouvement perpétuel pour mes machines. Parcequ'il y a un ajustement périodique pour prolonger mécaniquement les processus. >> Comme avec mon moteur gravitationnel qui reproduit un mouvement synchrone Terre/Soleil à échelle réduite. 3) Non, il y a perte de masse, mais pas de matière. Il n'y a aucune création d'énergie. 5) Pas innovant en matière d'automatisation, mais innovant en terme de rendement énergétique.
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C'est exactement ça, tu te concentre sur le rendement en lumière, et considère la chaleur comme ne faisant pas partie du rendement énergétique. C'est la même chose avec le calcul du rendement de l'hydrogène, qui est calculé sur base de l'échange d'électrons entre anode et cathode avec une pile à hydrogène. On considère la chaleur émise comme une perte de rendement. L'idée de produire de l'hydrogène et le brûler pour augmenter le rendement du processus d'électrolyse et de susciter un emballement change le paradigme.
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Sauf que le sujet, c'est comment fonctionne un réacteur nucléaire.
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On parle de réactions nucléaires.
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Ok. Si on calcule en Joules, alors on a 1Wh = 3 600 J. Alors, 4428 J = 0,81 Wh. Il faut 10 kWh (2,7J) pour élever la température d'un réservoir hermétique de 100L de 178°C. >> En fait, la durée pour provoquer l'emballement est secondaire. Une fois le générateur lancé, on doit juste maintenir le système sans perte de chaleur.
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1. Il faut un entretient du dispositif dans tous les cas. 2. Il faut une catalyse, très vite la température produite va permettre de casser le dihydrogène, comme déjà souligné c'est un processus en boucle, il y a un emballement. 3. On s'est mal compris : l'eau chauffée est évacué par des tubages, où il actionne des turbines ou pistons à mesure que l'eau est chauffée, en fin de parcours il refroidit et retourne dans le réservoir par le fonds. 4. Pourtant c'est un processus inévitable, il faut juste un circuit hermétique et des clapet anti-retours. D'autant que 2 500°C atteint, on a un emballement.
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Une ampoule en tungstène consomme cette énergie pour émettre de la lumière, tu ne pourras pas chauffer chaque matière à une même température avec la même quantité d'énergie. Avec 100 W, tu peux allumer une lampe à incandescence. Pour chauffer 1g d'eau à 1 atm, il faut 0,0011263 W pendant une heure, pour 1L, il faut 1,123 W, avec une puissance de 100 W, tu peux chauffer 1L d'eau de 89°C.
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1) et 2) Encore une fois, non. On n'est pas sur la même longueur d'onde. Je ne contredis pas la conservation d'énergie, ni ne parle de mouvement perpétuel. 3) J'y peux rien si tu ne comprends pas la différence entre masse, matière et énergie. Si tu accélère une particule, elle prend de la masse. Une réaction nucléaire ne fait que briser des atomes pour faire ressortir l'énergie nucléaire. 5) Dans les générateurs que j'ai décris plus haut, il y a un paramètre innovant : l'automatisation de la production d'énergie sous contrôle servomoteur. La dimension temps est donc contournée. C'est la valeur instantanée entre dépense énergétique et production qui en résulte qu'il faut calculer. 6) Un Watt est égal à une tension de 1V et 1A pendant une seconde, C'est une quantité de puissance convertible en Joules. 1Wh = 3 600 J. 7) Si la flamme est produite dans une boule en molybdène dans un bassin d'eau, pendant une heure, on a une accumulation de chaleur qui ne peut pas d'évacuer. L'idée est de conduire et conserver la température de l'eau à haute température. J'ai exposé des calculs.
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1. L'eau est conducteur, mais j'ai proposé l'usage d'un électrolyte dans mon exposition au premier post. 2. Il y a moyen de le brûler, mais il peut être cassé avant. 3. Il y a un premier bassin où l'electrolyse est réalisé, un second où il sert à entretenir le chauffage d'une certaine quantité d'eau. 4. Non, l'eau chauffée gonfle spontanément, il voyage donc dans les tubages, on peut placer des turbines activées par la vapeur engendrée. > L'idéal serait que la chaleur produite suffise à entretenir une thermolyse (genre cycle soufre-iode) sans apport d'électricité, ce qui est possible puisque la combustion de l'hydrogène produit 2 800°C, tandis que électrolyse à haute température se contente de 2 500°C.
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Non. Il descend et se pose au fond.
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Avec un ballon d'air.
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Tu parles là en oubliant que tu comptais un sceau troué avec un ballon attaché à un bateau troué incapable de remonter sur l'eau. Ce sont des machines viables, même si le rendement est à vérifier experimentalement.
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1. Alors celui qui poste s'exprime très mal. Je pense que non. Cela dépend des électrodes. 2. Je parles de brûler l'hydrogène produit par l'electrolyse avec l'oxygène qui en en extrait. 3. Lequel de bassin ? Celui où à lieu l'electrolyse est maintenu à une température sensiblement inférieure à celui où est placé la boule en molybdène. 4. Il faut soit utiliser un circuit avec vase d'expansion et circuit de refroidissement secondaire pour faire tourner des turbines, soit produire un tirage avec une baisse de température en aval. 5. Le compartiment électrolyse est plus détendu. C'est un détail. 6. C'était en réponse à une remarque d'hybridex qui affirmait que 100 L d'eau chauffé une heure avec une flamme modeste de 2 800°C chaufferait de 0,01°C, et que tu semblait avaliser. C'est beaucoup d'énergie, et ça a autrefois permis de faire voyager des trains. 6. Certes.
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Je n'ai pas prétendu détenir l'omniscience, mais marqué mon étonnement sur une méconnaissance des fondamentaux de la physique dans un pays de l'Europe de l'Ouest où les études sont obligatoires et de niveau reconnu sur le plan international. Je ne m'attendais pas à trouver des physiciens, mais quand-même. Surtout, c'est la réactivité de certains intervenants qui m'a conduit à trouver qu"ils avaient un comportement digne de Cro-Magnon.
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Il me semblait que le fait de maintenir la température de l'eau à 2 500 °C, avec un bec maintenant une flamme dihydrogène permettrait un emballement qui optimiserait le rendement de électrolyse à haute température. En sorte d'employer l'énergie de la vapeur comme source d'énergie mécanique. C'est prometteur mais peut-être pas tant que je l'esperais. Peut-être le cycle souffre-iode, avec pour réactif l'eau chauffé directement à l'hydrogène en mode oxy en boucle est une bonne piste. Mais pour en connaître le rendement, il faut d'abord concevoir mon moteur. Ce que j'avoue ne pas avoir encore eu le moyen de réaliser.
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Finalement, ce générateur n'est peut-être pas aussi rentable. Mais il a des atouts, celui de restituer une bonne partie de l'énergie électrique fournie, tout en pouvant employer la chaleur pour se chauffer ou désaliniser de l'eau de mer, ainsi que de stocker une grande partie de l'énergie sous forme de vapeur...
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1. Vois par exemple ici. 2. Mais non, regarde ça : 3. C'est un détail ça. L'eau qui se condense est plus lourd que l'air, il suffit donc de positionner le brûleur plus haut que le niveau d'eau du compartiment où se réalise l'electrolyse, voir au dessus, ainsi que réservoir chauffé... 4. C'est pour ça que j'ai, dans mon premier post expliqué qu'il faut un servomoteur, un thermostat etc. Il faut aussi savoir que les turbines, si elles sont optimisées rendent la vapeur quasi liquide. 5. Non, pas une aspiration puissante, un tirage infime spontané. 6. J'ai converti les kPa en kg/m^2. >> Je dois avouer que c'est pour le moment un rendement théorique, je n'ai pas eu l'occasion de réaliser un démonstrateur. Je restes donc sur ce générateur avec un doute.
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1. C'est pourtant ce qu'il faut pour réaliser l'électrolyse sur l'eau pure. 2. C'est la combustion de l'hydrogène qui fait ça pour une énième fois. 3. Un étincelle avec un bouton piezo. 4. Revois mon premier post alors stp. 5. La différence de t° créé une dépression. 6. Pas compris.
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Excuse-moi, en fait, depuis mon smartphone, c'est un peu fastidieux de répondre plus précisément. Alors, volà. 1. J'ai donné l'énergie nominale nécessaire pour soutenir l'électrolyse pendant une heure, pour de l'eau pure, à 25 °C et 1 atmosphère. J'ai aussi souligné que selon la température et la pression élevée, comme dans mon dispositif, ce rendement était encore augmenté. 2. Secundo, je ne suis pas le premier à imaginer de produire de l'énergie par la combustion de l'H2, mais je crois être innovant en pensant à une production suivie d'une combustion directe, sans stockage, ainsi qu'à maintenir l'eau en circuit fermé et à valoriser l'énergie thermique obtenue. 3. L'anode et la cathode dirigent l'Oxygène et l'Hygrogène dans des couloirs, et sont acheminés par des tubages vers la chambre de combustion en molybdène, l'eau qui se condense contre la paroi intérieure de la chambre de combustion s'écoule vers le bas progressivement et est dirigée vers un circuit qui le refroidit, le traite, et le renvoie dans le réservoir du compartiment "électrolyse", comme montré dans mes schémas.
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P.S. : Il y a un moment que je me demande quelle puissance je pourrais obtenir si j'introduisais par injection, de l'eau refroidie sur un métal élevé à très haute température, placé dans une chambre à explosion. Je creuses encore.
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Ça en revanche, ce sont des procédés bien rodés. Essayons un autre mode de calcul, la tension de vapeur, d'une eau chauffée à 374°C est de 22 087kPa, ce qui correspond à une poussée de 2252247.193027 kg par m^2. Si j'organise mon réservoir comme un grand piston, il y aura donc une énergie de cet ordre de grandeur. Tu te représente cette puissance mentalement.
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Tu arrives donc à imaginer une casserole cubique de 47 cm de côté remplie d'eau, chauffée pendant une heure sur une flamme de 2 800°C, et que l'eau ait une augmentation de température de 0,01 °C après l'exercice. Je crois qu'on devrait vraiment tous dormir, et continuer demain ? Oui, mais ça c'est avec fes dispositifs fonctionnant différemment. J'ai exposé les calculs. Je ne vois pas quoi dire de plus désolé.
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Mettons que je sois mauvais physicien, arrives-tu à imaginer une grosse casserole de 100L posée sur une flamme de 2 800 °C pendant une heure, est-ce qu'il n'y a pas quelque chose qui cloche dans ton calcul supra, je veux dire, sans avoir de maîtrise en physique quantique ?
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29 kWh, si 100L d'eau est maintenu à 223°C pendant une heure, le calcul est plus haut. > Bien-sûr que l'ensemble de l'énergie de l'eau chauffée ne sera pas transformable, mais il est possible d'augmenter la température, et si le rendement des turbines est de 15,7% de l'énergie totale, on a déjà récupéré notre énergie, pour entrenenir le chauffage avec un bilan nul.