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Tout ce qui a été posté par Frelser
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Ah. Et, est-ce que tu as réfléchi longtemps pour arriver à cette conclusion ?
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Est-ce que tu penses qu'on peut tirer la production d'énergie en longueur ?
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Quand on brûle de l'essence, on fournit peu d'énergie et on en récupère beaucoup. Est-ce que c'est contraire à la thermodynamique ? Non. On utilise le désordre suscité pour activer des pistons. La façon dont tu produis cette température n'a évidemment aucun impact. En fait, en séparant l'H2 de l'O2 à travers des membranes, on crée passivement de l'ordre. Autrement l'équation à ce stade serait mauvaise. La thermolyse comme la combustion ajoutent du désordre. La combustion est un processus plus violent. Mais il est vrai qu'à une pression atmospherique normale, l'oxhydrogene s'auto enflamme dès 570°C. Il faut donc un très grand réservoir pour arriver à 2 500 °C. Ou se contenter d'un rendement moindre à cette frontière...
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Oui, ça c'est enfin une intervention pertinente. De fait, il faudra un entretient périodique du dispositif. Les plus grandes difficultés seront de pouvoir contenir autant de pression et de température, et de trouver les membranes avec un rendement et une longévité optimaux. L'entropie est le taux de désordre, le bilan global sera en réalité négatif, mais il me semble que l'entropie sera déplacée sur la dégradation des matériaux employés : bobines de cuivre, membranes, parois du réservoir etc.
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D'où viendrait la perte selon toi ? Sinon par le taux d'entropie ? > Le craquage de l'eau à 2 500°C est en theorie de 100%, et à équivalant molaire, la combustion des molécules de H2 + O2 obtenues permet de produire 2 900°C. Non ? > Ici, est-ce que l'entropie ne serait pas précisément cette différence de température ?
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Non, ça c'est évident. Vois-tu, quand l'électricité passe de l'anode à la cathode pendant l'electrolyse, le générateur entre en rotation, les électrons sont récupérés à la cathode, sans perte. Quand l'H et l'O passent à travers l'anode, et la cathode ils sont récupérés également sans perte. Quand il y a combustion, il n'y a aucune perte de masse, la température qui est en général une perte sur le bilan énergétique sert par ailleurs à entretenir la thermolyse. Par contre, le mouvement de rotation induit lors du transfert d'électrons arrache des électrons aux bobines de cuivre : c'est une énergie complémentaire positive. Et comme l'énergie calorifique de l'H produit une flamme de 2 900°C, tandis qu'à 2 500° C, les molécules d'H2O sont cassées, il devrait être possible dans de bonnes conditions exothermique, de maintenir la température de la citerne à 2 500°C durant de nombreux cycles ? Et poursuivre la production d'électricité plus longtemps...
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En fait, je fais le raisonnement suivant, la température de combustion oxy de l'H fait 2 800°C. Or, à 2 500°C il devient possible de casser l'eau sans fournir d'autre source d'énergie. Si le rendement exothermique est optimal, le nombre de cycles doit se prolonger, et donc la production d'électricité durer en longueur. Mais, je me demande si je loupés un paramètre.
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Si la température dans la citerne se maintient à 2 500°C, tant que de l'eau est reconduit dans le réservoir, il y aura production d'hydrogène. Tant qu'il y aura production d'H, il y aura production d'électricité, pour ensuite pouvoir brûler l'hydrogène à nouveau ? Non ?
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On est bien d'accord, je n'ai jamais affirmé le contraire. Je m'interroge juste sur la possibilité de susciter un emballement à 2 500°C, pour entretenir de nombreux cycles d'électrolyse à haute température, avec un rendement exergétique optimal, pour poursuive la recolte d'électricité durant tous les cycles ? Est-ce qu'il y a un élément qui m'échappe ? Je ne demande qu'à être éclairé.
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Et si j'utilises cette vapeur en l'élevant à 2 500°C, pour réaliser à partir de ma cuve une électrolyse à haute tempréature, comme exposé plus haut ? Quelle quantité d'énergie sera récupérée au second cycle selon toi ? Il semblerait que si les pertes sont proches de zéro, ce second cycle aurait un rendement énergétique proche de 100% ? Il faudrait donc ensuite entretenir la combustion à haute température et employer l'électricité au niveau de l'échange électrique entre anode et cathode pour activer mon générateur électrique ? > Est-ce qu'au bout de plusieurs cycles je n'aurai pas une hausse du rendement, puisque je récupère de l'électricité à chaque cycle dès le second cycle ?
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Il me semble que le calcul montré plus haut conduisait à ceci : il faudrait fournir 55 kWh pour produire 1 kg d'H, et la valeur calorifique d'1 kg d'H fournissait 120,5 MJ, ce qui fait 33,33_ kWh. Or, en effet, 33,33 kWh représentent 60,6060545454_ % des 55kWh fournis au départ. > Il y a donc bien, à ce niveau un rendement moyen sur le plan énergétique. Et, en effet, si il y a des pertes du fait des éventuelles fuites le rendement pourrait encore sensiblement baisser...
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Donc, on est d'accords que le rendement initial est de cet ordre. Pour l'effet de la température élevée par la combustion de l'hydrogène sur le déclenchement de l'effet thermique (électrolyse à haute température attendue dans mon générateur), tu ne penses pas que le bilan du rendement sera amélioré ? N.B. : N'oublions pas que la température est une énergie, donc en transformant l'énergie de la vapeur en énergie mécanique et électrique, nous la refroidissons pour un nouveau cycle. Voici le schéma (wiki) du fonctionnement de l'EHT.
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Donc, on est d'accords que le rendement initial est de cet ordre. Pour l'effet de la température élevée par la combustion de l'hydrogène sur le déclenchement de l'effet thermique (électrolyse à haute température attendue dans mon générateur), tu ne penses pas que le bilan du rendement sera amélioré en entretenant une température de 2 500°C ? Il faudrait réinjecter l'eau issue de la combustion dans le circuit, et faire circuler la vapeur dans de longs tubages pour la refroidir, tout en actionnant pistons et turbines pour la refroidir en générant de l'énergie mécanique et électrique. L'eau ainsi refroidie servant à entretenir la vaporisation et le compartiment de l'electrolyse.
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Mmadaaaam, Frelser a tappééé !!
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Encore une fois, je ne prétends pas que Nm3 serait une appellation avalisée par le BIPM, mais tu racontes n'importe quoi. Le N dans Nm3 ne représente pas une mesure de pression non plus, c'est juste que c'est une lettre qui représente également la valeur Newton. Comme la lettre T représente à la fois la valeur en température ou en durée de temps... C'est encore un débat stérile.
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Il n'empêche que le même symbole est utilisé pour représenter deux grandeurs physiques, et ce n'est qu'un seul exemple. Le temps et la température aussi sont représentés par le même symbole T.
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Le symbole de la masse en physique s'écrit tantôt avec majuscule (M) tantôt avec minuscule (m).
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1. Non. Au contraire, j'ai marqué mon étonnement quant au fait que des personnes ayant bénéficié du niveau d'études ouest européen valent sur des connaissances basiques en physique. 2. Non, masse s'écrit avec majuscule ou avec minuscule. Tu dois forcément connaître la fameuse formule e=mC^2
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1. Je ne me suis pas prétendu scientifique, et on n'est pas face à un jury. J'ai employé cette unité, parcequ'elle existe, et qu'elle est pratique. Je ne nie pas que le BIPM ne le reconnaît pas. On utilise par ailleurs parfois le même symbole pour désigner des réalités physiques distinctes comme "m" qui signifie à la fois "masse" et "mètre". 2. En science il n'y a pas de paramètre "confiance", il y a des calculs. Tu as vu plus haut que quand on me montre une erreur de calcul, je ne peux que plier. C'est normal, et je n'ai pas la prétention de ne jamais faire d'erreur. En fait, je suis même plus doué à faire des erreurs de calculs qu'à en faire de bons. :D
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1. On parle aussi de normo mètre cube, et ça s'écrit bien N. 2. Revois les calculs plus haut stp. > Le calcul varie selon le moyen d'électrolyse et l'électrolyte.
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1. https://www.dictionnaire-environnement.com/normal_metre_cube_nm3_ID477.html 2. 1 kg d’H2 = 11 Nm3 = 13,6 l d’H2 liquide = 23,3 l d’H2 à 700 bars et contient 33 kWh d’énergie produit par 52 kWh d’électricité.
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Nm3 signifie "normal mètre cube". 1kg d'H, équivaut à 11 normal mètre cube d'H. Et toi, tu restes égal à toi-même. Chacun sa classe.
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Ok. C'est une version très simplifiée de mon générateur exposé plus haut. La pression est de 1 bar en surface, or il atteint 3 bars à 20m de profondeur. Si j'ai un cylindre de 20m, que je suspends à la surface avec un ballon, et si je ferme le fond, est-ce que la colonne d'eau fera plonger mon réservoir ou pas ?
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1,23W . 3600 = 4420 J 5kWh > 1Nm3 hydrogène 1 kg hydrogène = 11 Nm3 5.11 kWh = 55 kWh 55 kWh = 15,27 J Pouvoir calorifique dihydrogène = 120,5 MJ/kg >> Tu trouves une erreur dedans ?