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Frelser

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Tout ce qui a été posté par Frelser

  1. Frelser

    Un Univers Probabiliste

    La notion d'infini est une projection mentale sans aucune réalité physique quelconque ni d'ailleurs possible. Si le temps émerge en même-temps que l'espace, alors ils disparait au point d'émergence de l'espace-temps. Et cela même si il existait d'autres univers, pour chaque univers un par un, sans qu'aucun ne se situe avant ou après l'autre (RG), ni à l'intérieur ou l'extérieur du notre (pas d'espace séparé). De même que les particules, molécules et organismes vivants ont émergé, les ondes traduites en termes de sons ou de couleurs en notre esprit, mais aussi le gout des saveurs, les émotions ou la douleur... Rien de tout cela n'existe en soi et par soi.
  2. Frelser

    Un Univers Probabiliste

    P.S. : La théorie hollographique de Bohm ne résiste pas à la systématique scientifique et n'est pas falsifiable. C'est encore une autre représentation mentale visant à rendre intelligible ce qui ne l'est pas. Le fondement de tout phénomène est dans le fond le mieux représenté par les matrices de permutations de Heisenberg. En effet, non seulement deux points de l'espace peuvent coincider et se superposer indépendament de leur distance apparente (abolissant entièrement la notion de distance ou de topologie spatiale), mais il est désormais acquis que toutes les propriétés comme la masse, le spin ou le charge d'une particule peuvent en être séparées et modifiées totalement. Ainsi, la seule chose qui demeure est la mesure d'observables.
  3. Frelser

    Vérité et réalité

    La problématique de la notion de vérité découle de l'interprétation subjective qui est soit admise sans analyse, soit sencée vérifiable donc incertaine. Tandis que celle de la notion de réalité, elle est suspicieuse de par le fait que nous n'avons accès aux phénomènes que par le biais de nos sens qui ne nous en donnent jamais qu'une quitessence. Comme de voiloir décrire les pensées d'une personne en la palpant.
  4. D'accord évidement sous cette perspective. Disons qu'il existe non pas de vraies races, mais certaines typologies plus ou moins floues, telles que noirs, asiatiques ou type européen... Mais nous sommes bien tous des bâtards. :p
  5. Frelser

    Un Univers Probabiliste

    Depuis Aspect, on n'en est plus là. Point de vue expérimental, la MQ n'a jamais été prise en défaut et elle a même été vérifiée à une échelle jamais égalée jusqu'à cente écart types. Voici une dernière confirmation de la puissance de la MQ. Le neutron observé en deux endroits distants de 4 cm en même temps. Le spin étant bien observé à une telle distance du neutron ?! Voici un article d'Alexandre Matzkin du CNRS. http://ati.tuwien.ac.at/news_topics/news_detail/article/8095//EN/
  6. Sur ce point tu te trompes. C'est simplement qu'une race signifie un groupe isolé génétiquement de tous les autres individus du groupe d'un niveau supérieur. Or, du noir foncé au blanc neige il n'y a aucune ligne franche... Il y a des ethnies (surtout culturelles), mais dès qu'on monte quelques générations en arrière, on descend tous de Napoléon et de Mahomet (coalescence génétique)...
  7. Frelser

    Vérité et réalité

    Il est plus facile d'infirmer une thèse que d'en confirmer une... A y penser, on retrouve également un peu la théorie de la "Structure des révolutions scientifiques" de Thomas Kuhn. Il y a des thèses bien rôdées soutenues par une ou plusieurs générations d'historiens qui reste en place malgré des contradictions ou incohérences internes et externes qui surgissent (Comme un syndrome d'attachement affectif à une thèse tant soutenue et défendue. ), jusqu'à ce qu'une thèse concurrente soit privilégiée par une autre génération qui sera le nouveau "canon". Parfois de nombreuses thèses se concurrençant sans que l'une ne sorte en avant de façon claire. On est tenté de choisir une seule thèse, or rien ne garantit qu'une seule soit meilleure ni suffisante qu'une autre. Sans oublier la dimension politique et l'instrumentalisation consciente ou inconsciente de l'histoire à des fins pragmatiques sans rapport avec le souci de fidélité à la recherche de l'histoire avec démarcation.
  8. Frelser

    Un Univers Probabiliste

    L'émergence de l'Univers et son organisation sont d'autant plus étonnantes que non seulement il y a de l'ordre qui s'instaure, mais surtout de par le fait que celui-ci conduit à des structures fidèles aux mathématiques de façon fine. Ainsi, les particules qui acquièrent une certaine masse par le champs de Higgs, se chargent et acquièrent un semblant de position dans un espace en réalité non séparé, se maintiennent de façon stable, se déterminent en nombre et en types de façon rigoureuse (brisure de symétrie), s'organisent en atomes, molécules... Des interactions virtuelles se crérent qui donnent une impression de lois magiques, répondant à des conditions rigoureuses... Mais cela continue, et des constantes s'instituent renforçant encore la coïncidence. Et tout cela à partir de règles dénudées de la notion d'espace, de temps ou de masse, de façon acausale ? La matière s'organise ainsi en galaxies, en systèmes stellaires, en planètes, ..., et des organismes vivants capables de survivre aux conditions extrêmes émergent sur Terre et probablement un peu partout dans l'Univers. Organismes capables de changer de forme d'une incroyable subtilité, s'adaptant aux conditions les plus inattendues. Mais l'ordre ne s'arrête pas encore à ce niveau de coïncidence, puisque les espèces évoluent de telle sorte que chaque individu d'un phylum donné reste équidistant de la moyenne génétique par séquence de l'ADN de chaque phylum suivant un modèle typologique que les horloges moléculaires ne peuvent pas expliquer. Cette équidistance génétique séquentielle systématique nécessitant que chaque mutation s'opérant dans le processus de l'évolution sur un locus donné soit telle qu'elle n'éloigne pas l'individu de son phylum, le maintienne à équidistance de chaque autre phylum pris un à un, tout en lui assurant un avantage adaptatif ? Mais le niveau d'ordre ne s'arrête pas encore à ce niveau, puisque des particules intriquées forment un seul objet indépendemment de la distance apparente qui les sépare, restant ainsi parfaitement fidèles aux conséquences statistiques et probabilistes des lois quantiques ayant ainsi émergé du néant... Mais le point le plus étonnant à l'émergence acausale de cet ordre surprenant est que théoriquement, absolument tout ce que notre esprit nous permet d'imaginer peut se réaliser à chaque instant. Puisqu'à chaque instant, une particule, des atomes et des organismes entiers peuvent surgir du vide quantique par effet tunnel en parfaite conformité à la MQ. L'air de la planète s'assembler en un coin de ma chambre, un objet se déformer sous mes yeux suivant des conditions probabilistes permises par la MQ. Qui a dit que dieu est omnipotent ?
  9. Frelser

    Vérité et réalité

    C'est vrai que point de vue épistémologique, on peut comparer les thèses d'histoire aux modèles et théories physiques. On a des données brutes, et on part de paradigmes pour tenter d'en sortir des conclusions réfutables.
  10. Bonjour, la Relativité Générale a montré que le temps n'est pas synchrone à travers l'Univers et peut s'accélérer, ralentir ou s'arrêter d'une région à l'autre n'étant en réalité qu'une dimension spatiale, la Mécanique Quantique montré quant à lui que deux points de l'espace quelle que soit leur apparente distance l'une par rapport à peuvent se trouver superposés. L'observaiton du Boson de Higgs a montré que la masse des particules ne leur appartient pas de manière intrinsèque... Depuis l'univers probabiliste et acausal quantique, l'illusion de particules ayant des propriétés intrinsèques telles que la masse ou la vitesse (pas d'espace séparable...), de molécules, lois statistiques émerge suivant le théorème central limite donnant l'illusion d'une réalité qui s'évanouït quand on y plonge plus précisément. Tout émerge de manière probabiliste et acausale. L'espace, le temps, l'illusion de lois et constantes, émotions, couleurs... Mais pourquoi tant d'ordre acausal ?
  11. Frelser

    Vérité et réalité

    La critique historique s'appuie sur l'archéologie, l'anthropologie, l'épigraphie, la paléographie, toute trace écrite ou autre et les assemble suivant une méthode rigoureuse pour en tirer des leçons.
  12. Frelser

    Vérité et réalité

    Que peut-on détenir en terme de vérité qui puisse être démontré autrement que par une concession ? Lorsque nous y réfléchissons de façon soutenue, aucune prétendue vérité ne résiste à une critique méthodique et analytique. La notion de vérité devrait entièrement céder la place au pragmatisme et à l'hédonisme pour développer une méthode heuristique utilitariste fondée sur les véritables besoins de l'humanité et optimiser notre confort et notre bien-être.
  13. Une femme blanche n'est pas moins intelligente qu'une femme noire, c'est prouvé ça. De meme qu'un chat noir n'est pas moins intelligent qu'un homme blanc, ou un homme blanc qu'un éléphant rose. C'est complètement privé tout ça, à condition de rester modeste.
  14. Il faudrait trouver la morale universelle et l'imposer de force au monde entier, si nécessaire par un bain de sang !
  15. Comme la conscience, les dimensions sont une illusion, tous les points de l'univers peuvent se trouver superposés deux par deux selon la MQ (effet EPR). Par conséquent, les dimensions ne sont qu'une simulation de mon esprit, tout comme les couleurs, saveurs et émotions... Or, rien de tout cela n'existe par soi. Pire, ils n'ont aucune causalité et ne devraient simplement pas exister. L'émergence de cette illusion nécessitant un Principe extérieur au temps, à l'espace et à l'energie sans lequel, cette illusion serait impossible.
  16. Ou était ta consciene avant la formation de ton cerveau ? Tu crois en la métempsychose ? (Encore un qui se croit une réincarnation de Marilyn...)
  17. C'est toi qui a créé ce monde qui n'a aucune raison d'exister ?
  18. Pour revenir au sujet, la pulsion de survie joue bien une fonction centrale dans la négociation des notions de bien ou de mal dans les conventions collectives, qui quoi que fluctuant sans aucune ligne rouge absolue, tendent néanmoins vers des valeurs moyennes de par la nature-même de notre condition. Or, dans le fond, ce que nous nommons bien ou mal est ce qui nous amène un avantage ou un tort. Et si la pulsion de vie et de reproduction domine et nous conduit à chercher à la préserver et la favoriser, c'est parceque dans le cas contraire nous ne serions probablement pas là pour en discuter. Or, la pulsion contraire de destruction et de mort existe également en l'homme, qui est peut-être le plus grand superprédateur que la Terre n'ait jamais porté. Pulsion de destruction, et fascination de la mort qui existe au fond de lui mais est sévèrement neutralisée, lui ayant permis de subsister dans le temps. Ainsi, une secte apocalyptique pourrait fort bien inverser ces valeurs les plus vitales, et ériger notre mort et notre extinction comme valeur supérieure. Car après tout, rien n'exige véritablement et de façon objective que nous puissions poser comme une vérité réfutable que la préservation de la vie humaine soit une nécessité ou un avantage. Nietzsche is dead, God mercy on him.
  19. C'est un raisonnement tautologique de parler de "mouvement continu" ou encore de "principe de moindre mouvement", car cela consiste à introduire une cause finale au problème, puisque le point (la position) de départ étant fixé au départ, le point (la position) d'arrivée demeure défininivement une inconnue. Cet essai de Bergson est un artéfact des débuts de la MQ. Son approche a depuis lors été infirmée par de nombreuses voies : logique, mathématique et physique. Partir de l'esprit qui est un produit de la matière pour le considérer comme l'essence du mouvement -qui soulève mathématiquement un paradoxe essentiel- sans lequel la matière ne permettrait pas à l'esprit d'émerger, est l'une des autres incohérences heuristique et épistémologique de son approche, et non des moindres.
  20. C'est pareil, j'ai déjà partagé mes conclusions plus haut. Pour repartir du point auquel on est arrivé, on retrouve notre : 0 x ∞ = n en partant de l'apriori que n/∞ =0 Or, si on reste intuitif, on va tendre vers 0 en fait, en sorte qu'il faille atteindre l'∞ pour atteindre 0... Et là tout devient plus intuitif. Puisque la valeur absolue |0| sans aucun chiffre après la virgule est de 1/∞ Logique donc que nous parvenions à une imprécision tendant à l'∞ quand nous tendons vers l'infini. Alors, si je veux par exemple parcourir une distance de Δm mètres en Δt secondes, je devrais passer par une infinité de points en une infinité d'instants... Or cela donne ∞/∞, donc la vitesse sera toujours impossible à garantir sans une précision absolue. Et on retrouve la notion d'un principe qui a rendu possible l'impossible.
  21. Ok, mais comme je l'ai mentionné plus haut même le fait que l'eau doit bouillir toujours à 100 °C sur base d'expériences répétés n fois, indépendemment du nombre de vérifications ne peut jamais garantir que cela sera comme cela...
  22. Je voudrais souligner que le fait d'arriver d'une part à : S=(1+1)+(1-1)+...=0 ... et d'autre parts à : 1-S=S=1/2 conduit au paradoxe 0=1/2 Or, si je m'amuse un peu, j'arrive à : 1-1+1-1+... = 1+1-1-1+...=S (1+1)+[(-1-1)+(1+1)]+[(1-1)+(1+1)]+...=S -S=S-2 2=2S S=1 et je décide à 1 Pour revenir au paradoxe 0=1 Je peux continuer ainsi : 1+1+1+1+[(1-1-1-1)+(1+1+1+1)]+...=S -S=S-4 S=2 ... et retrouver mon 0 x ∞ = n
  23. P.S. : Je corrige une coquille, Sommerfeld pose bien : 1-S=S et non S-1=S qui permet de décider = infini. 1-S=S permettant de décider à 1/2 à mi-distance en fait de 0 et de 1...
  24. Je n'aime pas entrer dans de longs calculs sur la toile, mais cette affirmation me plait assez bien. Dans ce cas, sans entrer dans de profondes discutions sur les différentes approches de sommation etc., soyons tout naturels...Dans ma série de Grandi qui est la base de ce questionnement qu'a-t-on en fait ? x=1 x=1-1 --> 0 x=1-1+1 --> 1 x=1-1+1-1 --> 0 ...et cela à l'infini.. ok ? Par conséquent, si Sommerfeld on arrive à S-1=S donc 1/2 ... ok ? La divergence vient bien de ce que j'obtiens une fois 0 et une fois 1... ok ? Par ailleurs, si on oublie le = on écrira par exemple [1+(-1+1)+1]+(-1+1)+(-1+1)+(-1+1)+...+...+(-1+1)+... et on aurait une divergence vers 2... ok ? Or, (1-1)+(1-1)+(1-1)+... à l'infini converge vers 0 ... ok ? Or si n : ∞ = 0 doit conduire intuitivement vers 0 x ∞ = n d'accord ? Or, si 0+0+0+0 .... = n x ∞ ma série de Grandi donne n. cqfd.
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