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Tout ce qui a été posté par Frelser
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Je me rends compte que je sors complètement du sujet du topic qui est l'hypothèse de Stephen Hawking qui dit que l'univers ne serait pas l'oeuvre de Dieu. En replongeant dans sa théorie M, je me rends compte qu'elle suggère selon un calcul mathématique l'existence de 10 exposant 200 univers probables créés en parrallèle lors du big bang. Non d'une infinité dans le sens philosophique. Il soutient que le temps n'existant pas avant le temps de Planck, il n'y aurait pas lieu de chercher un temps antérieur, et que le déterminisme apparent qui a conduit à l'émergence de la vie intelligente serait un accident découlant de ce que tous les univers probables auraient été explorés lors du big bang. Sur le plan scientifique, sa théorie rappelle le rejet de la gesèse bibilique quand la science est parvenue a expliquer le chemin physique qui a permis l'émergence de la vie... Mais là, Hawking vise à étendre cette recherche aléatoire à la genèse de notre univers sensible. Pour comprendre son raisonnement il faut se rappeler la théorie créationniste et du dessein intelligent. Par cette hypothèse, le physicien réfute en réalité le créationnisme et de dessein intelligent, la théorie anthropique... Mais il ne démontre pas qu'un dieu impersonnel n'aurait pu avoir généré l'univers de cette façon. Ce sujet reste et demeure métaphysique, jusqu'à ce que l'on explique comment l'univers a surgi du néant il y a quelques milliards d'années. Le fait d'appeler cette genèse création, et sa cause toujours mystérieuse dieu ou hasard ne change pas le problème qui demeure linguistique et cognitif. A moins que l'on m'explique de façon convaincante mon erreur de jugement sa thèse ne me parait pas concluante, pas plus que la théorie de l'évolution. Pour terniner, Stephen Hawking ne dit rien sur pourquoi le principe d'incertitude aurait agi juste pour former les 10 exp 200 univers possibles et non une infinité de chaque univers probable avant l'émergence du temps, et ce qui aurait conduit l'incertitude quantique à ne plus démultiplier la réalité à l'infini au niveau de chaque particule après l big bang ? L'incertitude quantique a existé au début, et continue d'exister dans l'univers en chaque point de celui-ci depuis le big bang. Or l'infini est un paradoxe absolu incompatible avec une physique intelligible. Car la physique quantique ne décrit pas l'univers dans le temps, mais en termes de probabilités à choix multiples. S'il existait donc 10 ex 200 types d'univer probables, il exiterait également une infinité d'exemplaires probables de chaque type d'univers ayant pu suivre autant de voies probables que le nombre de chemins infinis probables pour chaque particule avant ou après l'émergence du temps... Lorsque la physique quantique décrit une événement physique, il décrit les issues probables, non le nombre d'occurences potentielles pour chaque événement probable.
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Donc tu admets que la Bible, le Coran et les Evangiles peuvent contenir des erreurs scientifiques ? Quand tu dis qu'on comprends en même temps la religion, tu veux sous-entendre qu'elle ne trompait pas mais était simplement mal comprise ? Par exemple, crois-tu à la théorie du big bang et à la théorie de l'évolution ? Car pour marier science et religion, il faut se positionner sur ces théories... La Bible dit qu'Adam a été créé sur Terre d'argile. L'évolution dit que nous descendons de primates sauvages.
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Pour le changement d'aspect et les morts qui ressuscitent en sortant des tombes, il s'agit de rajouts particuliers et postérieurs. Le plus ancien des évangiles qui est celui de Marc ne disait pas cela. Le fait que Christ ait survécu a fort perturbé les esprits. Les pharisiens ont accusés les apôtres d'avoir volé le corps. Si Jésus est resté plusieurs jours enfermé dans la caverne sans boire ni manger, et son propre choc auraient pu néanmoins le défigurer aux yeux de certains disciples cmme affirmé dans les récits les plus tardifs. Une étude minutieuse des manuscrits démontre que la sortie de Jésus de la caverne a été le lieu de récits variants au cours des siècles.
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Combien de personnes que l'on croyait décédées ont repris conscience... Un témoignage dans des écrits postérieurs de plusieurs siècles (je penses aux manuscrits mémes, non aux datations historienne des rédactions originelles des synoptiques) au Messie dont les témoins directs n'ont laissé aucun écrit selon les historiens, malgré que la plupart des apôtres étaient lettrés tout comme Jésus vaut ce qu'il vaut. Lorsqu'on raconte une histoire à un gamin ses yeux brillent et il vit les événements en lui. Une personne instruite filtre les informations et use de son esprit critique. Si Jésus avait été décapité les rumeurs de sa résurrection pouraient être considérées comme un miracle. Mais aucun acte médical prouvant qu'il était vraiment mort au poteau ne pouvait s'opérer. Nier son retours n'a rien de scientifique, mais parler de retour de l'enfer est une légende. Jésus lui-même a pu croire avoir été ressuscité.
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Parfois on a tellement subi d'émotions fortes qu'on en devient insensible devant un événement choquant. C'est une façon de préserver sa santé mentale. Profite de ton autocontrôle pour les soutenir, pleurer n'a jamais ramené un défunt de l'autre côté. Amitié.
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Une belle horreur ?
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C'est toujours un peu troublant de changer de milieu. Même une fois adulte. Mais si tu vas de l'avant, et restes positif, tu as vite fait de te faire des amis. Allez bonne chance !
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l'univers est un livre crypté la religion est un livre crypté l'homme utilise la raison et la logique pour decrypter ces deux livres . Cette approche me rappelle la philosophie d'un grand théologien kurde. L'Univers est un livre ouvert à décripter. Mais puise-je te poser une question. Pour toi les écritures saintes peuvent-elles être en contradiction avec la science ? Si ce n'est pas le cas, alors il s'agit d'un acte de foi. Si oui, alors que penserais-tu si un passage contredisait une donnéé obtenue scientifiquement. Rejèterais-tu les données scientifiques, ou abandonnerais-tu la version écrite et sacrée ?
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Palimpseste. La chaleur maternelle, l'odeur de lavande, le chemin dans les prés sous le regard protecteur du soleil... Quel poète ne tomberait amoureux de ce parfum du rosier, qui raconte son histoire ? La vie n'est-elle pas trop précieuse, pour ne pas céder à un caprice innocent ? Ce sourire flamboyant de la vieille concierge, les rires si profonds et innocents des enfants dans les jardins... Les marroniers aussi racontent leurs histoires, le plaisir d'un moment de joie, les amoureux qui se fixaient rendez-vous à leurs pieds, un moment d'espoir indomptable. La prairie est parsemée de marguerites, l'herbe a dèjà dit bonjour au bitume, ou les cyclistes font leur tour matinal, sous le soleil d'été. Le plaisir de vivre dans la plume d'un poète peut-il se coucher sur un parchemin, avec la fidélité d'une épouse amoureuse ? La réalité a ses mystères, qu'aucun mot magique ne peut simuler, même par pour le poète malade.
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Non point de haine et de feu, ni de poussière d'étoiles. La douceur est abscente et la pitié a été sacrifiée à Makinka. Elle est morte, et bien morte. La colère matérialisée n'y est pour rien et un torrent de pleurs ne sera point un remède...
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La forêt était d'un vert sombre et froid. L'odeur des feuillage et les cris d'animaux m'engourdissaient et je resentais de la fatigue jusque dans les phalanges. Je continuais de marcher d'une allure égale à sa quête, sans faillir je chantonnais son nom pour ne pas l'oublier. S'était-il écoulé des heures, des semaines ou des années ? Soudain une idée fulgurante autant que meurtrissante me vint à l'esprit, et si elle n'eût jamais existé ? Cette seule idée me brisa les bras et me remplit les yeux de sang. Je me souvenais à présent. Elle nous avait abandonnés il y a il me semblait une éternité, pour lui.
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L'homme de science étudie son environnement de façon vérifiable. Un homme de religion est lié par les textes fondateurs de sa religion (si il s'agit d'une religion fondée sur les écritures bien évidement, autrement il se fondera sur les traditions orales). Donc, le religieux donne son opinion, mais le scientifique donne une théorie mesurable directement et critiquable car structuré en sorte d'être réfutable point par point.
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A Grenouille... Les dogmes peuvent être réfutés dans le sens commun en langue française. Moi je parles de réfutation dans le sens scientifique. La forme de la Terre n'est même pas un fait scientifique, c'est un fait tout court. Ensuite, la description de la forme de la Terre dans un langage technique avec des normes et des définitions décrètera que la Terre a une forme géodésique et en fera une description détaillée... La Bible continue de dire que la Terre est un disque immobile pour des temps indéfinis, on peut rejeter cette affirmation, mais le dogme restera éternellement un dogme. Je crois que tu ne saisis pas la nuance sémantique et dialectique de cette conséquence typique de la méthodologie scientifique moderne. Dire qu'on a réfuté un dogme signifierait que le dogme a été réformé et rendu conforme à la science contemporaine : cela s'appelle du concordisme. Mais c'est là mon approche philosophique propre, d'autres pourraient fort bien affirmer qu'un dogme démontré contraire aux faits scientifiques a été réfuté, comme on réfuterait la théorie de l'éther... Selon moi ce serait un abus de langage.
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Encore une fois, je ne dis pas que les dogmes seraient scientifiquement corrects. Je ne répèterai plus mes formulations car nous tournons en rond. Que la Terre soit plate ou non, si ce dogme est soutenu par le Vatican, il ne s'agit pas d'une thèse scientifique. On ne peut donc pas réfuter ce dogme on peut juste le reffuser scientifiquement. Pour abandonner le dogme, on ne fera pas une réfutation. Finalement le Vatican a soutenu qu'il s'agossait d'une métaphore pas d'une affirmation scientifique. Cette approche concordiste a donc fait abandonner le dogme qui autrefois conduisait au bucher. Je crois que tu ne comprends pas qu'en faisant des photos de la Terre depuis l'ISS par exemple, on prouve que la Terre est géodésique, mais on ne réfute pas que la Bible continue d'affimer que la Terre est un disque immobile. La Bible continue de comporter cette affirmation. Donc le dogme continue de rester tel quel... On peut le reffuser, mais pas le réfuter. Car il ne se fonde pas sur l'observation et la vérification.
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Salut Noureddine2, je penses qu'il y a ici aussi un problème de communication. Moi je parles de falsification dans le sens de Popper, toi tu parles d'exégèse. Même scientifique, du genre philologique et paléographique une exégèse n'a pas pour but de prouver l'exactitude scientifique d'un texte, seulement sa bonne compréhension. Que la lecture soit conforme aux données scientifiques ou non. Autrement, la falsification des écritures dites saintes signifie leur altération. Que le texte soit conforme ou non aux théories scientifiques, un texte sacré se lit indifféremment de la science et sans s'en soucier. Parfois, des passages des écrtitures sont conformes à des théories scientifiques. J'ai ainsi souvent entendu des musulmans dire et en ai vu écrire que le Coran parlerait du Big bang. C'est stupide. Le Coran ne donne pas de formule physique pour décrire l'inflation, la vitesse d'expansion ou de fond de radiation cosmique. J'ai vérifié cela dans les ouvrages d'exégèse classiques. Le Coran décrit un ciel qui s'étend et devient de plus en plus vaste et dit que la Terre et le ciel formaient un tout uni avant... Cela peut être conforme à certaines observations scientifiques, mais il s'agit d'une cosmogonie qui a largement préexisté au Coran, la croyance en la genèse du Monde depuis un oeuf cosmique qui donna les septs (indénombrables) cieux et la Terre existait déjà en Egypte Antique, au Japon et au Mali. Dire que le Coran parle du Big bang est un anachronisme, et est faux. Pour cela il faudrait y trouver des formules mesurables et réfutables. Je ne sais pas si mes propos sont plus clairs ainsi. Amitié.
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Si, cette réalité objective existe. Tout ce que nous voyons, sentons, expérimentons n'existe pas que dans notre tête, ça existe aussi en vrai. Il existe des choses qui ne dépendent pas de nos consciences. Tu me fais penser à ça : En fait, sans désirer faire l'avocat du diable, je voudrais souligner que la vérité n'est pas un concept rationnel et scientifique. Il y a un monde entre ce qui est perçu de la réalité extérieure et ce qui est décrit. Le choix terminologique et les nuances sémantiques et cognitives sont des faits incontournables qui brouillent la description de ce que nous percevons ou croyons percevoir. Parfois la marge entre un usage linguistique et le sens des mots respectifs utilisés peut paraitre incompatible. Comme quand je dis en français que je prends le train, ou que je mâches mes mots. Pour moi une dame peut avoir les cheveux longs mais une autre personne les verra courts... La réalité sera alors descriptible seulement après avoir déterminé un langage commun à accepter avant la conversation pour se mettre d'accord sur la description commune. Parfois des scientifiques utilisent des terminologies différemment du fait de leurs écoles respectives, et il faut des "traducteurs" pour qu'ils se comprennent. Même quand une autorité religieuse dit que la Terre est plate, elle est dans une sémantique cognitive hermétique qui est le domaine de la foi. La foi est imperméable aux cinq sens, et dans ce type de langage, l'homme de religion dira que la foi ne se mesure pas avec la science. Il privilégiera le texte à ses sens et aux démonstrations. Sauf s'il décide de quitter le dogme et opter pour la description scientifique. C'est dans ce sens que le dogme n'est pas falsifiable. La méthode pour abandonner ce dogme ne viendra jamais de la science, mais de la théologie même, par une exégèse nouvelle qui consistera en une grille de lecture différente du texte même. Mais un dogme peut toujours être incompatible avec la science. Un dogme est par essence indiscutable en dehors du cadre théologique. Or, la caractéristique typique d'un fait scientifique est qu'il peut constamment être revu et reformulé, être abandonné ou remplacé par de nouvelles observations dans de nouveaux termes. Ce qui est l'exact opposé d'un dogme. Un fait scientifique ne s'impose pas, un dogme s'impose. Donc, un fait scientifique ne peut annuler un dogme. C'est dans cette logique qu'un dogme est strictement infalsifiable.
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Eh ! Je n'ai jamais dis que les dogmes sont vrais. Les dogmes ne sont pas des faits scientifiques et peuvent de fait être antiscientifique, or ils ne sont pas du même registre. Ce n'est pas grâve, disons que certains dogmes sont falsifiables pour cesser les frais. Amitié.
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Tu confonds superstition et dogme. Un dogme est une affirmation sensée par définition être indiscutable. Un fait n'est scientifique que s'il est réfutable. Dans notre cas, un esprit scientifique ne dira pas Zeus n'existe pas, mais que nous n'avons aucun élément pour affirmer son existence. Autrement, il établira un dogme, car ce qui n'est pas réfutable n'es pas scientifique. Comment réfuter une affirmation qui ne se fonde pas sur l'expérimentation et la vérification ? Pour cette raison, les dogmes sont par essence strictement infalsifiables, n'étant nullement fondés sur le principe de vérification. On accepte ou on reffuse, mais on ne réfute pas. Un esprit scientifique se fonde sur l'observation, la vérification et l'expérimentaion. Un fait ne peut pas s'affirmer indiscutablement fondé et se réfuter par l'argumentation, ce sont des domaines incompatibles.
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ce-dernier était un E T (extra-terrestre), d'un genre extraordinaire puisqu'il se trouvait sur la planète Terre sous ses yeux, en dépit que toute animosité en bandoulière il ne savait comment l'étrangler, ni lui rompre les membres, ni l'assommer, ni l'immobiliser dans l'espace face à lui, ni..... lui faire un bisou non plus puisqu'il ne possédait pas de bouche :) Celui-ci utilisa donc en guise de bouche un orifice situé sous son aisselle tout dégoulinant, et profita pour bien serrer fermement la tête chauve et décharnue du viel homme dans le but de le massacrer. Mais il réalisa que c'était déjà chose faite quand il se resaisit...
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Voici l'histoire de monsieur Charle, un être antisocial qui voulait devenir médecin. Mais monsieur Charles avait finalement tranché pour devenir vétérinaire... Métier qu'il exerça jusqu'à ses derniers jours, oû il rejoint le Seigneur. Le serpent de madame Vandeput était de mauvais poil ce matin-là. Monsieur Charles attendit un moment de distraction de sa cliente pour lui pincer la queue très fortement et le serpent le mordit naturellement dans une douleur abominable. le vieux vétérinire nongénaire se précipita très vite et transpirant il sortit deux sereingues et deux capsules. Pour emplir la première sereingue avec la première capsule et piquer le serpent, qui se tortilla très violament et creva dans une très lente et longue agonie. Entre-temps, les mains tremblantes il brisa le pénis en verre de la seconde capsule pour y puiser l'anti-venin, il était devenu preque aussi pâle que mademoiselle Joséphine, cette jeune végétarienne que le vieux vétérinaire détaistant jusque dans ses boyaux. Il fit tomber la sereinge en sueurs et ses crampes l'empéchaient de s'abaisser la ramasser. Madame Vandeput encore sous le choc des événements avait perdu tous ses moyens. Voilà que le vieux vétérinaire se mit à se tortiller très violement, il rappelait son serpent à Madame Vndeput qui contemplat la scène impuissante et dans une sorte de crise épileptique d'une violence prodigieuse, il attrapa la cheville dénudée de la dame propriétaire du serpent et la fit basculer brutalement. Voyant qu'elle continuait de respirer il fit un effort surhumain pour attraper la barre en fer avec laquelle il torturait le chien de monieur Delachambre dont il détestait le regard méprisant, et se mit a essayer de frapper sur la tête de madame Vandeput pour l'achever, mais il ne trouvait pas assez de force pour y parvenir, et dans un rebond de souffrance moribonde attroce il mourut soudain. L'ange de la mort se présenta alors au vieux monsieur, il ne savait pas se retenir de grimacer étonné du spécimen....
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Le chemin est long qui mène au désespoir. Mais une fois épuisé, il fait place à la paix intérieure. Comme une feuille tu flottes au gré du vent. Est-ce que le soleil se lève encore, les oiseaux continuent-ils de chanter ? Quelle joie quand tu te réveilles au son de la télé du voisin obèse. La voix stridente de la maman des gamins de l'étage du dessus chatouille ton cerveau comme un prostituée de Moscou. Quel plaisir de vivre. Le chemin est long qui mène au désepoir.
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L'Univers n'est pas connu exactement, en l'occurence une telle question est trop précoce. Repose ta question vers 2112. Je te donnerai la réponse exacte en vérifiant.