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Frelser

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Tout ce qui a été posté par Frelser

  1. A bientot. Une isotropie intègre également les mêmes propriétés physiques indifféremment de la direction. Alors que l'homothétie se limite juste à l'absence de direction privilégiée. Dans mon modèle de relativité quantique, l'isotropie consiste en la racine de la loi fractale, probabiliste, tandis que chaque univers a sa propre échelle relative et est synchronisée par intrication en elle-même... Comme la cristalisation de l'eau : Chaque bifurcation crée une paire d'Univers, qui rétrécissent à une longueur nulle dès qu'une autre paire est créée... Sous forme de strates superposées sur le "mur de Planck". Chaque Univers, devrait selon mon intuition être organisé selon un espace à 2^2 dimensions. Ou a 2n^2n dimensions.
  2. C^|4| x C^4 = C^8 Désolé, je vais devoir m'absenter. A bientot ?
  3. Son propre carré, de façon fractale.
  4. P.S. : Les lois physiques, la stabilité des particules obtenues dans un même milieu intriqué, la causalité, les constantes sont ainsi la conséquence de l'intrication quantique qui synchronise chaque univers sous forme d'un système intriqué uni obéissant à une causalité propre. Passé, présent et futur tout est inscrit à la surface du mur de Planck, le temps devient asynchronique et entrelacé. (La relativité quantique fonctionne comme un super-calculateur quantique sans dimension contenu à la surface du mur de Planck.) Parceque e=mC^2. C est un tenseur de courbure qui décroit en passant à une racine inférieure lors de chaque passage à un nouvel espace-temps. # Je ne parle pas de C^C. J'ai corrigé cette erreur, on a besoin des puissance consécutives élevées siccessivement au carré.
  5. Bonjour les amis, Cher contrexemple : Quand nous posons que les volumes planckiens sont une rémanence du mur de Planck qui constitue le sous-espace devenu invisible du fait qu'il est régi au delà de la vitesse C que la RG prédit comme rendant le temps et la longueur nulles : les deux physiques fusionnent complètement dès que nous démontrons que la matière consiste en un retours à une mécanique quantique en atteignant le niveau d'énergie de C^2 ponctuellement sur la surface du mur de Planck. -- > Mon modèle démontre que c'est le cas. Ce sont les interactions qui décélèrent les particules qui les ramènent ponctuellement vers la RG à C. A l'espace-temps relativiste. Cordialement.
  6. Bonjour. En fait, pour revenir à ma théorie sur le décalage au mur de Planck, si il s'agit bien d'un effet relativiste quantique, cet effet, quel qu'il soit pourrait-il avoir un rapport quelconque avec l'accélération de l'expansion de l'Univers ? Qu'une accélération énigmatique ait été détecté vers 4 milliards d'années dans le passé pourrait-ce être un genre d'effet de distorsion persistante isotropique à l'approche d'un seuil clé du moment relativiste du big bang ? Cela aurait-il un rapport avec le décalage que je pointes dans mon papier ?
  7. Bonsoir criterium. Je suis content qu'une personne initiée en MQ soit interpellé par ma théorie. En toute modestie, la physique est un de mes centres d'intérêt mais pour l'écriture des formules je rames... Et l'aide d'une personne capable de m'aider à rendre mon modèle "présentable" pour la publier m'est nécessaire. Pour ta thèse, je pense, en toute humilité que le souci avec la théorie des cordes vient de la recherche d'une trace observable du sous-plan quantique... En fait, je pense que l'intuition de cordes vient d'une confusion sur la distance de l'espace-temps en regard de la surface du mur de Planck. J'ai, comme expliqué à Zenalpha, pointé du doigt sur une réduction de la dimension spatiale de C sur le mur de Planck et insisté sur le lien entre une variable 3 produisant apparemment un décalage canonique. Cela est une violation de la RG... J'ai ensuite montré comment on obtient la constante alpha d'interaction de structures fines à partir de la valeur nue de cette variable. Et montré comment on trouve la constante de gravitation à partir d'elle. -- > En fait, selon mon approche, lors du passage de l'espace-temps obéissant à C au sous-espace obéissant à C^, le temps et l'espace sont brisés par des jets de photons (caractérisant les interactions corpusculaires), permettant un nouvel état thermodynamique séparant les deux espace spatio-temporellement. La valeur de C sur l'échelle de Planck est une rémanence figée à la surface du mur de Planck. La divergence obtenue pour G à partir de ce décalage brisant la symétrie et faisant fluctuer la densité (le cosinus de la variable en est à l'origine et reste en contact comme par couture) et la valeur nue de C obtenue sur base de la valeur relativiste de C montre que le sous-espace interagit avec l'espace-temps, qui est bien au contact de celui-ci à la surface. En fait, comme dans ton intuition, j'ai aussi imaginé il y a quelques années que l'espace-temps grossirait à C^C en sorte de rendre les étrangetés de la MQ intelligibles... Mais finalement, j'ai compris qu'il y avait probablement un contact direct sur le mur de Planck figeant le temps à C^2, rendant la MQ infiniment lente à notre échelle. Or, C serait un tenseur de courbure L^2. Il y aurait bien une série de réductions en profondeur, mais sur des sous-espaces séparés physiquement indétectables depuis un espace parrallèle. L'intuition de cordes vient de cette idée à chercher les sous-espaces multiples après le mur du big bang. Mais si ma théorie est juste, on n'aura jamais d'indice observable de ces sous-univers, hormis cette rémanence au mur de Planck et la variable d'équilibrage intermédiaire. Amitié. P.S. : Cet écart serait une distorsion exceptionnelle relativiste de C lors du passage d'un espace au suivant. Ou une illusion de distorsion induisant précisément la brisure de symétrie et rendant cette impression (moyenne ?) de variation intoporellement figée. Ainsi aucune lumière provenant du sous-espace C^2 ne nous parviendra jamais. Et ses effets resteront définitivement indécelables depuis l'espace-temps dans lequel la lumière voyage trop lentement pour permettre une telle détection du plan inférieur.
  8. Cher Zenalpha, nous sommes en train de débattre d'une brisure de symétrie infinitésimale qui devrait servir à donner un sens à la physique théorique dans sa fondation. Certes, la longueur et le temps de Planck sont calculées sur base de la constante C (qui est la clé de voûte en RG). La longueur et le temps de Planck ont par ailleurs un rapport avec la masse, or l'une des énigmes de la physique siège très précisément sur la nature de la lumière... D'où d'une quantité d'énergie clé concernant la perturbation de densité primordiale... En physique, la précision est une condition non négociable. Fonder les mesures à ce niveau de précision est on ne peut plus légitime, du fait que nous cherchons une faille demeurant invisible nous empêchant de descendre sous Planck. Par conséquent, la question de la variation de la charge d'un photon peut siéger au coeur de notre quête de la physique de l'ultime. Tu constateras que mon modèle se fonde très exactement sur des interactions qui persistent entre de sous-plan quantique et la surface de l'Univers. Donc, on est bien au coeur du sujet. Oui, je continues sur la piste de C (qui est la clé de voûte de ma théorie) pour garder les rapports sur l'indexe de C. En déduisant α et G sur une valeur indexe unique de C, j'arrives à tester le degré de cohérence et de complétude de la théorie. J'établis ainsi deux valeurs critiques de G à partir de C : l'une comme liée à l'incertitude sur la valeur de la charge d'un photon, comme une projection à l'échelle cosmique de la constante de structure fine, et l'autre comme la vitesse absolue de C dont la limite de la vitesse est pris comme valeur invariable de G. Ensuite, sur base de ces deux valeurs j'intègres la question des effets de cette divergence en liant le tout à la marge d'imprécision soulignée plus tôt. Ou bien la RG est précise et les fondements de la physique sont aboutis, ou bien on a posé le doigt sur une imprécision et une faille qui permet d'unifier MQ et RG.J'ai donc en fait souligné deux points critiques : la charge énergétique du photon (toujours en interaction entre le sous plan quantique et la surface de l'Univers) et la valeur de G (qui est l'une des autres énigmes que nous cherchons à lier à la MQ) en montrant de façon triviale comment on aboutit à deux valeurs différentes même avec la même valeur de C !). C'est ce que j'ai veillé à réaliser dans mon papier. Merci pour ton intervention, vos remarques sont précieuses pour moi. Amitié.
  9. Bonsoir. Désolé Zenalpha. En mettant ma présentation à jour, j'ai effacé ton commentaire par une erreur de maniplulation. Un grand merci pour ton encouragement. Amitié !
  10. Bonjour. Je remodifies mon post principal, et postes juste les idées directrices de mon idée sur un moyen théorique d'unifier la Relativité Générale et la Mecanique quantique dans un modèle plus étendu et fondamental. Introduction : La physique a connu le siècle dernier deux grandes avancées majeures, jetant les fondations de deux théories demeurant jusqu'à ce jour inconciliables : la Relativité Générale qui décrit les événements physiques à l'échelle macroscopique mais achoppe sur l'échelle de l'infiniment petit. Et la Mécanique quantique, qui décrit avec une très grande précision les événements se déroulant à l'échelle de l'infiniment petit, mais qui conduit à des étrangetés contrariant le sens commun et l'intuition à l'échelle macroscopique. Depuis Isaac Newton et sa théorie sur la gravitation universelle, l'énigme de l'attraction à distance entre objets demeurait insoluble. Jusqu'à ce que les mathématiques arrivent à maturité, et que le jeune Einstein élabore la théorie de la relativité et introduise en physique théorique les notions de tenseurs de courbure et de distorsions spatio-temporelles. Néanmoins, la Relativité Générale demeurait non réfutable à sa limite et conduisait à une singularité primordiale détruisant la théorie à sa frontière. Les recherches sur la mécanique de l'infiniment petit visant à élucider l'origine du big bang allaient très rapidement conduire à une théorie concurrente, la Mécanique Quantique décrivant l'infiniment petit. Or, les deux théories, qui ne sont encore à ce jour jamais pris en défaut, demeurent incompatibles : l'une est déterministe, locale, réaliste, la seconde acausale, et non locale. De très nombreux chercheurs tentent depuis lors de concilier ces deux théories soeurs en une théorie plus étendue, qui décrirait tant l'infiniment petit que le macroscopique, sans succes jusqu'à ce jour. La complexité de la RG et du modèle Standard permettant des réajustements des formules à chaque mesure ou observation sortant des limites de leurs prédictions à attiré notre attention sur l'hypothèse d'un risque d'antériorité du paradigme. En effet, chaque expérience étant orientée dans le contexte du paradigme des théories éprouvées, se pourrait-il que nous soyions sur une piste condamnée à tourner en rond ? Dans ce papier, nous allons approcher le sujet d'un manière volontairement simplificatrice et explorer une piste inédite originale qui permettrait d'unifier la RG et la MQ dans un modèle de Relativité Quantique. Dans un premier temps nous allons présenter notre modèle. Ensuite, nous allons confronter, au gré de nos développements, celui-ci aux points obscurs de la physique théorique telle que les étrangetés de la MQ (dualité onde-corpuscule, non localité, effet tunnel, ...), les ambiguïtés conceptuelles de la RG (courbure de l'espace, distorsion spatio-temporelle, singularité primordiale, ...), et des zones d'ombres demeurant en chantier dans le cadre plus général du modèle standard (matière sombre, énergie noire, accélération de la vitesse d'expansion de l'univers, absence apparente de matière lévogyre, énigme de l'énergie du vide, microgravité, effet Casimir, ...) et encore d'autres points non élucidés à ce jour. Synthèse 1. Tout serait le produit de quantum bidimensionnels, des segments de droite infinitésimaux, de taille très en dessous d'une longueur de Planck. 2. Ces quantum obéiraient exclusivement à un mouvement inertiel et se toucheraient avec un degré de liberté de mouvement croissant avec le temps par effet Thermodynamique, produisant une expansion isotrope de l'espace-temps. 3. Leurs mouvements se synchroniseraient de proche en proche, initiant une mécanique quantique obéissant à des comportements synchronisés dans un espace fibré fractal. 4. L'expansion de l'univers, sa topologie et toutes ses structures dériveraient de ce taux d'entropie croissant, et l'espace-temps aurait une courbure fixée localement proportionnellement à la liberté de mouvement des objets qui le peuplent. 5. Cela se retrouve à travers les unités de Planck par un décalage entre une longueur d'une année-lumière et le rapport entre une longueur de Planck/une durée de Planck, rejoignant les inégalités de Heisenberg, le coté étrange de la MQ, l'absence d'anti-matière, le déficit apparent de l'énergie du vide quantique, l'accélération de l'epansion de l'univers, la forme trop dense des galaxies etc. ------------------------------- Mon blog : Relativité Quantique et Thermodynamique
  11. Bonjour Loopy. Merci pour les remarques. En fait, en cherchant à simplifier les notions je produis des incohérences terminologiques. J'écris trop vite, sans prendre le soin de me relire. Ce qui produit en effet, manifestement, un effet inverse d'incompréhension : non seulement par les initiés, mais même pour les non initiés. J'ai soumis mon papier à un spécialiste en mécanique quantique, qui ne m'a même pas répondu. Cela me décourage. Si un spécialiste en MQ veut participer à une publication quand la théorie sera présentable, cela m'honnorerait sincèrement. Amitié.
  12. Un agrandissement d'échelle qui n'obéit à aucune direction privilégiée. Chaque direction subit le même équlibre...
  13. Excusez-moi, mais on dirait des déséquilibrés qui sont focalisés sur un point et aveugles sur tout le reste. Le sujet ici n'est pas le Coran, et je ne me souviens pas avoir évoqué celui-ci en dehors de la citation du départ pour introduire le sujet. Nous ne sommes pas dans la rubrique religion, mais science. Alors, ou bien participez au sujet qui est un modèle sur lequel je travailles, ou bien prière de ne pas faire du HS. Merci.
  14. La longueur de Planck ne change pas. Elle est figée temporellement par rapport à la surface de l'Univers car tout ce qui le constitue se déplace au carré de la vitesse de la lumière. Le rapport entre une longueur de Planck et une année-lumière de la surface de l'espace devant juste varier métriquement si la RG est juste, le décalage que j'ai souligné est la marque de ce que l'espace-temps relativiste constitue la surface du volume de Planck sur lequel la physique relativiste bute. En fait, la RG elle-même serait un Univers achevé avec son passé, son présent et son futur sur la surface du mur de Planck.Imagines une infinité de quantum de dimensions infiniment petites confinées dans un volume unfiniment petit qui se percutent au carré de la vitesse de la lumière. Ne pouvant violer cette vitesse critique elles resteront agglutinées dans le volume d'espace et figées avec un taux d'entropie tendant à 0 à l'infini. Or, pour que l'espace quantique (le vide) puisse s'étendre comme prêdit par la RG, en un temps si court à une vitesse suffisante, la MQ doit permettre une vitesse limite plus élevée que C... Amitié.
  15. J'ai pour toi plusieurs questions alors Lorrain27. Selon la RG, est-ce que tout l'espace-temps n'est pas décrit comme le même et unique espace mais en agrandi ? Question n.2 : est-ce que le temps disparait en MQ. Question n.3 : est-ce que si la vitesse des particules du sous-plan quantique (l'infiniment petit) est comme je le soutiens dans mon papier le carré de C, on n'aboutirait pas très exactement à ces conséquences ? J'ai par ailleurs montré dans mon papier (déposé sur mon blog) comment on arrive à la conclusion que dans le sous-plan quantique, la vitesse critique est le carré de C. (Toute critique constructive est la bienvenue. Evidemment.) Cordialement.
  16. Pardon, bonjour Zenalpha. J'espère que tu te portes bien.
  17. P.S. : Tout étant en physique une question de mesure et d'interférence sensible, la limitation de vitesse conduit de même à un effet en réalité tout aussi intelligible sans magie... En effet, un objet qui se déplacerait à cette vitesse limite deviendrait indétectable, et rétrécirait proportionellement à la direction de sa trajectoire. Un objet s'approchant d'un autre objet ne pouvant jamais le dépasser, s'en rapprocherait jusqu'à se toucher à la vitesse limite plus ou moins tot ou tard selon leurs distances respectives. Un objet s'approchant d'un autre qui a une vitesse proche de la vitesse critique s'en approcherait et la contournerait par cet effet de distorsion... Ainsi, la MQ a pour clé initiant sa gravitation le carré de la vitesse de la lumière. L'énergie du vide quantique et son niveau de célérité, même proche de zéro aura en gravitation quantique un effet démultiplié sur les quantum de dimension infinitésimales. Qui interférera avec l'espace-temps depuis le sous-plan quantique. Toute la beauté pesistante étant la variance d'échelle rendant ces distorsions quasi insensibles à l'écart de ces vitesses ultimes de la physique...
  18. N.B. : Bonjour Lorain27. Pour revenir à nos moutons, le volume de Planck qui ne serait rien d'autre que la rémanance du mur de Planck à la surface de laquelle se formerait l'espace-temps relativiste devient de dimension nulle de par la vitesse de tous les éléments du sous-plan quantique au carré de la vitesse de la lumière : l'espace vide de quantum étant interprété comme une distance réduite comme soulevé dans notre papier (sur le blog). Il est intéressant que la rétraction des longeurs et du temps caractérisant la RG conduit à cette même conséquence... Les caractéristiques comme l'état de spin, le moment magnétique, la masse etc., seraient maintenues stables par une intrication. L'intrication devient un effet relativiste quantique quand les particules qui sont le fruit de C^2 se touchent sur la surface du mur de Planck à C^4, figeant le temps pour les paritules intriquées jusqu'à une perturbation relativiste... Cet effet relativiste quantique serait à l'origine des constantes relativistes, par un guidage spin-orbite. Il est remarquable que l'inertie des objets dans le vide devant maintenir leur trajectoire stable et à vitesse constante, la force primaire sera le seul niveau de force à se maintenir. La masse nulle des quantum ne permettant qu'une décélération (infiniment) nulle. De cette façon, la vitesse limite clé de la relativité quantique de C^2 s'explique de même sans magie, ainsi que l'intrication des quantum en jeux de miroirs inertiels à mouvement perpétuel. Le guidage spin-tronic pourrait avoir un mécanisme photonique, dirigeant les éléments constituant les quarks par des jeu d'émissions de photons de façon non-linéaire obéissant à une loi normale probabiliste. Autre conséquence qui devient triviale : la dualité onde particule. En effet, l'électron qui s'approche des fentes de Young serait une distorsion relativiste quantique, qui réduirait les dimensions des particules à l'approche de l'obstacle qui le ramène plus près de la limite de Planck du système, de façon asymptotique, maintenant la trajectoire avec une déviation angulaire variant de façon stochastique dans un rayon de circonférence proportionelle à cet effet de distorsion spatio temporelle du vide quantique à l'approche de la cible semblant également rétrécir à la vitesse de la lumière.
  19. N.B. : J'ai plusieurs théories pour le moment, celui que j'ai mentionné brièvement dans le post précédant, et un autre modèle fractal relativiste. Selon ce modèle-ci qui semble aussi conduire à une solution pertinente, les volumes de Planck sont spatialement séparés. Les quantum sont toujours des traits de taille canonique infinitésimals, mais étant accélérés ils oscillent et prennent la forme de sphères pleines d'énergie. On aboutit à un modèle de relativité quantique fractale (portant deux des initiales de mes vrais noms :p). L'intrication et la gravité quantique sont la clé de voûte de ce modèle. En effet, les quantums se déplacent à une vitesse canonique à C2, en sorte que lorsqu'ils se touchent ils sont déviés latéralement en tangante ne pouvant violer la gravité quantique. L'intrication qui est un effet relativiste quantique au seuil critique de C4 cessent toute oscillation ou entrent en phase miroir. La topologie devient fractale et l'intérieur des particules devient vide. Une particule atteint un seuil critique canonique avant de subir une brisure de symétrie en surface et faire émerger un nouveau système fractal. Les particules qui en sont issus étant intriquées acquièrent des caractéristiques quantiques canoniques et s'organisent suivant des processus non-linéaires stochastiques. Le cycle continue éternellement, les quantums étant d'une dimension infinitésimale tendant à 0 à la limite de l'infini. Critère obligé pour rendre la théorie réfutable à l'origine qui remonte au passé à l'infini pour tendre à 0 à l'infini dans le passé.
  20. Bonsoir. Je crois que j'ai mis le doigt juste ou il fallait. Les interressés peuvent suivre mes avancées sur mon blog. En fait, les volumes de Planck qui sont considérés comme la limite de la physique ne sont rien d'autre que le seul et unique mur de Planck. La différence entre la longeur de Planck et une année-lumière est la zone de contact, la surface de l'espace-temps relativiste. Le volume restant de Planck l'énergie noire... Les quanta d'énergie sont des sergments de droites de longueur canonique qui sont des tenseurs de courbure qui confinent tout l'espace-temps sur la suface du mur de Planck, qui grandit probablement très lentement du fait que l'échelle tend à zéro à l'infini. Ce qui justifie la flèche du temps, la thermodynamique, ... P.S. : Si un ou des chercheurs sont partants pour m'aider à publier, cela m'honnorerait. Car je crois que nous sommes peut-être à l'aube d'une révolution de la physique théorique. Cordialement.
  21. P.S. : :p Je n'insiste pas sur le nombre d'ordonnées retenues dans le rapport d'une unité d'espace-temps quantique. Je me suis arrêté à 9 chiffres, comme pour la valeur métrique de la vitesse de la lumière. Or, la divergence notée dès le quatrième rang du nombre ne peut pas être aussi importante, même à cette échelle de précision, vu les techniques de mesure hyper-précis utilisés par les chercheurs et théoriciens. En effet, la métrique conventionnelle n'a-t-elle pas été progressivement affinée au gré des techniques scientifiques de plus en plus exacts ? Mais un tel écart est trop élevé pour être attribuable à une erreur de mesure.
  22. Bonsoir. Merci à vous pour votre intérêt dont je suis indigne et qui me touche, je suis sincèrement ému par votre chaleur humaine. Je vous remercie de votre soutien. C'est certain que le décalage que je soutiens comme la source potentiel entre la RG et la MQ peut être une conséquence de l'imprécision des mesures, néanmoins si poussés réalisées par les chercheurs. Je me suis donc interrogé sur la souce profonde d'un tel décalage canonique entre un sous-espace quantique et la surface relativiste de l'Univers... Si un transfert de potentiel depuis le sous-espace quantique vers la surface de l'Univers s'opérait par fluctuation, semblant coudre les deux espaces, un décalage à la vitesse de la lumière semblerait renvoyer le flux d'énergie exactement au même point par un mouvement oscillatoire déterminé par son niveau de potentiel, tandis que les interactions relativistes s'opérant à la surface de l'Univers généreraient une certaine marge d'inertie semblant leur donner une forme en U ou en e projeté horizontalement à 360 degrés sur 3 dimensions caractéristiques observées dans la structure des orbitales des atomes suivant une topologie caractéristique de l'espace-temps à cette échelle à l'intersection de la RG et de la MQ. Tandis que ces interactions induisant une certaine inertie produiraient par rapport au sous-espace quantique suivant une trame quantique tracée lors du big bang à C^C, donneraient l'impression d'un volume d'espace manquant, que nous retrouvons commes des constantes de Planck. Ce qui induirait l'impression que la particule se trouve instantanément dans un volume d'espace plus étendu que son volume instantanné jusqu'au temps de la mesure. Si le sous-espace quantique obéit à une accélétation de C^C, le transfert d'énergie entre le sous-espace quantique et la surface de l'Univers pliant en fonction de son potentiel de fluctuation, semblerait venir et retourner entre son point de départ et la surface de l'Univers de façon ponctuelle, alors qu'elle serait légèrement déviée de par des interactions relativistes invisibles depuis la surface de l'espace-temps. L'intrication consistant en une synchronisation dans le sous-espace quantique due à un arrêt en surface les mettant en phase à une vitesse C^C relativiste quantique arrêtant l'effet du temps sur elles jusqu'à ce qu'elles soient désynchronisées au contact d'un élément extérieur à leur système à la surface de l'Univers. C'est une décélération des référentiels inertiels due à des interactions relativistes à la surface dynamique de l'espace-temps qui générerait ce décalage. N.B. : Il demeure évident, que si la longueur de Planck est constante, le temps de Planck constant et la vitesse de la lumière constante, et si l'expansion de l'Univers a une vitesse constante, une année-lumière devrait être proportionellement équivalente à une longueur de Planck divisée par un temps de Planck mais ayant simplement subit une variance d'échelle. On peut affirmer qu'une année lumière pourrait être un multiple quelconque de cet expace-temps quantique, mais alors il faut accepter que la vitesse de l'expansion de l'espace-temps obéit à une invariance d'échelle. Ce qui constitue la clé du paradigme de ma théorie.. La structure de l'émergeance de la matière suivant E = (FC^2)/a depuis le sous-espace quantique :
  23. Absolument. Je te remercie pour ton partage également. Je n'ai nullement la prétention de révolutionner la physique, mais je partageais comme tu l'as écrit une idée qui permettrait de jeter un pont entre RG et MQ.Je crois que la découverte d'une brisure de symétrie entre espace-temps quantique et espace-temps relativiste qui permet de retrouver les constantes structurantes de l'Univers alpha et G sont une piste solide ! On sent le rapport entre un décalage en sous-plan quantique et la relativité de l'espace-temps. Et on obtient un élément TANGIBLE trivial pour expliquer la gravitation quantique ! Mais pour ce qui est de l'interprétation de ceci, je suis encore à l'exploration. Serait-il possible que l'espace-temps ne soit pas courbé, mais lisse avec un sous-plan quantique remontant au mur de Planck qui lierait le tout en toile à C^C ? Merci également à Théia et azad pour leur soutien. Mais j'espère que vous garderez la hauteur en restant courtois envers des détracteurs pour rendre à la science son droit et sa beauté.. Amitié.
  24. Bonjour Lorain27. Toujours aussi fin et délicat qu'ouvert d'esprit ? Tiens, en outre d'être un spécialiste en physique théorique tu es psy ? Autant de modestie n'a de hauteur que la puissance de ton argumentation... Sans avoir la prétention de me comparer à ces grands hommes qui ont tracé les voies de la science moderne, quand un certain philosophe grec disait que la terre est sphérique on rigolait de lui, un certain monsieur à la barbe fournie qui disait que nous descendons des singes était ridiculisé par des scientifiques comme moi, un autre qui avait de forts penchants à l'ésotérisme jetait les fondements de la physique moderne dont on profite toujours... Et quand un savant tirant la langue soumettait une théorie de déformation spatio-temporelle, on le prenait pour un sot. Si nous nous limitions à des sobriquets pour évaluer la pertinence des théories scientifiques, on serait encore à l'age de la pierre. Et que resterait-il de la vraie science ? Cordialement.
  25. Oui, j'ai corrigé cette coquille. Mais tu remarqueras que je n'en suis plus à un barbarisme près. Je n'ai par ailleurs pas la prétention d'avoir convaincu le monde des physiciens. Je théorise, et je partage. Dévier le sujet dans des domaines d'attaques idiots n'est pas dans mes branches. Prière de se concentrer sur une critique du modèle ou de s'abstenir de poluer. Cordialement.
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