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Frelser

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Tout ce qui a été posté par Frelser

  1. Il serait avisé de lire la phrase jusqu'au bout. L'énergie du vide négligée par les théoriciens car "trop" élevé selon leurs modèles. Idem, ma théorie leur attribue une quantité d'énergie en dessous des limites de Planck, et ils deviennet bidimensionnels. Un désordonnancement des quantum corrélés, de l'entropie, du reffroidissement... Après mes réponses supra, si tu n'as pas compris tu peux encore lire mon papier ici : http://convanquisme.blogspot.be/2016/01/v-expansion-unilaterale-avec.html
  2. Déjà, quand il s'agit de théoriciens renommés cités par leurs pairs, introduire une theorie par trop innovante conduit souvent à un MUR. Alors, pour un pauvre illuminé de mon calibre. Hmm Hmm. Tiens, la publication similaire de Nottale qui allait en le sens de mon approche (et que j'ignorais totalement avant de me lancer dans cette piste, puisque lui-même n'a pour ainsi dire connu aucun écho) a essuyé de virulentes critiques. Ah bon ? Par conséquent, j'ai donc envoye une requête à Monsieur Nottale pour le prier de jeter un oeil sur mon papier : en insistant avoir sans doute mis le doigt sur des éléments fondamentaux pour conforter et vérifier la pertinence de mon modèle. Et, pas de surprise : aucune réponse. Donc, retour à la case départ. Cordialement. Oui, le vide quantique serait chargé d'énergie et d'une infinité de quantum infinitésimaux. Par un effet thermodynamique, ceux-ci se désordonneraient pour produire respectivement une courbure de l'espace-temps, de la matière et une impression de forces d'interactions mystérieuses agissant à distance... Le tout étant orchestré par des densités d'enchevêtrements de quantum, au gré de l'expansion de l'univers. L'énergie, le vide, la matière et les forces d'interactions ne seraient que les états de quantums bidimentionnels infinitésimaux subissant un effet thermodynamique dans un hyperespace à géométrie fractale. Bonne soirée.
  3. Bonjour. Ce matin, en faisant une recherche sur le web pour tester l'accessibilité vers mon papier (sur lequel je bricolles dans mon blog), je suis tombé sur une thèse semblable de Laurant Nottale. J'ai alors réalisé que son approche avait été très critiquée par ses pairs, et n'avait pour ainsi dire fait aucun écho. Mais, en lisant les critiques faites à l'encontre de son idée, je crois avoir peut-être apporté des éléments nouveaux comme un role de quantums bidimensionnels infinitésimaux, celui de l'enchevetrement spatio-temporel (intrication) et un effet thermodynamique... Et surtout la différence entre une longueur de Planck intemporelle sur un seul temps de Planck et une longueur relativiste d'une année lumière. Je me suis donc, avec mon habituelle arrogance, permis d'envoyer ce matin un mail à ce grand Monsieur. J'ai déjà épluché plusieurs silences de théoriciens que j'ai priés de jeter un oeil sur mon papier. En espérant que cette-fois une personne apte à en évaluer la pertinence ou la sottise puisse me dire si il y a, ou non, lieu de continuer sur cette piste. Cordialement.
  4. Cher Lorrain27, pourquoi tant insister sur un sujet qui n'est pas de son domaine de compérence avec tant de conviction ? Tu noteras que je n'ai jamais prétendu révolutionner la physique en initiant mon poste. Mais ceux qui me connaissent sur le forum savent que je ne suis pas non plus quelqu'un à lancer un sujet juste pour le lancer, et si je lance ce fil c'est bien parceque je pense avoir posé le doigt sur un détail fondamental. Je n'ai aucun diplôme à soumettre ici pour imposer un argument d'autorité que je ne m'attribue pas. Mais, j'ai quelques interventions ici même sur le forum dont certains internautes se souviendrons qui montrent que je n'écris pas au gré des vents. Comme celui-ci : neutrinos plus rapide que la lumière. J'avais aussi souligné que la compétition à la publication a plausiblement conduit l'équipe de BICEP2 a publier trop hativement et pointé sur la possibilité des perturbations de plans dûs à la Voie Lactée, ... Le temps m'a donné raison n'est-ce pas ? Cordialement.
  5. L'expansion de l'univers, les forces d'interactions et la matière consisteraient finalement en un effet thermodynamique qui s'opère sur le vide quantique. Le vide quantique serait une n-sphère fractale où une infinité de quantum bidimensionnels de dimension infinitésimale seraient organisés et corrélés de façon synchronisée. C'est le désordonnancement de ces densités de corrélations, ou enchevêtrements qui génèrerait l'expansion de l'espace, l'émergence de particules de matière par pairs opposés, et une impression de l'opération de champs de forces ou d'interactions de forces mystérieuses progressant de façon algorithmique (comme des produits hamiltoniens).
  6. Bonsoir Zenalpha. Merci pour tes precieuses interventions constructives ! L'idée d'un temps imaginaire, comme l'idée d'une démultiplication de la quantité d'informations se recoupent sémantiquement avec les conséquences de mon modèle. De même, l'idée d'une inflation, d'un univers holographique, le multivers d'Everett et le modèle standard semblent converger vers mon modèle... Mais les implications non solubles respectives semblent se résoudre dans le cadre de mon modèle sans incohérence ? 1/ La quantité d'informations provenant depuis derrière la limite de Planck des frères Bogdanov rejoint l'idée de leur transmissions depuis derrière le clivage scalaire par le biais de mémoire comportementale transmis par l'effet infinitésimal de densités d'intrications à des échelles indicernables. 2/ L'inflation rejoint une brisure de symétrie à la limite du mur de Planck, lors du clivage de métrique et en cascades comme relevé par l'équipe de Planck. 3/ Le structure fractale de mon modèle rejoint l'univers d'Everett, mais sous formes de copies convergentes corrélées par l'intrication dans un hyperespace. 4/ Les brisures de symétries du modèle standard, par niveaux de puissances, rejoint mon modèle de bifurcations à des profondeurs variables de l'hyperespace, et de décrochages scalaires des degrés de corrélations de façon gaussienne, obéissant à une loi normale. 5/ Le modèle hollographique rejoint l'intiuition d'une construction de l'Univers à sa surface. Amitié.
  7. P.S. : Pour tout de même répondre, ne fut-ce que brièvement sur la motivation de la citation de deux versets du Coran dans mon premier post. Toute théorie a un fondement philosophique, que celui-ci soit grec antique, taoiste ou autre... Mon modèle, j'en ai eu l'intuission (juste ou non, je ne le sais) en lisant le Coran, qui parlait de la création de toute chose par paire, de l'extension de la limite des ciels, de ciels superposés séparées, d'instructions envoyées aux ciels depuis l'espace, ... Et d'une expansion qui ne cesse. Donc, j'ai naturellement mentionné ceci, pour honnorer ce livre qui m'a orienté dans mes recherches. Simplement. Je n'ai jamais insinué que le Coran donnait des informations mathématiques sur la physique théorique. :p Cordialement.
  8. La religion joue un role dans les progrès techniques et technologiques, qu'elle bride en quelque sortes. Sans éthique ni morale, elle se retournerait contre nous-mêmes... L'islam n'a, historiquement, qu'exceptionnellement connu une opposition envers les progrès scientifiques. L'Occident amalgame souvent sont passé socio-anthropologique avec le reste de la planète. Chaque société, et chaque culture a eu un rapport philosophique endogène vis-à-vis du progrès et de la recherche scientifique. Mais, j'aimerais bien que nous ne dispersions pas le sujet. Cordialement.
  9. Bonjour. Merci pour ces bonnes résolutions. Cordialement.
  10. N.B. : J'ai montré dans le papier comment depuis la valeur métrique d'une année-lumière et celle d'un temps de planck pour une longueur de Planck, on trouve un décalage que j'ai nommé 3 d'une valeur de 0,000033601, et montré comment on trouve depuis elle la valeur de la constante de structure fine, ainsi que la valeur de la constante G de la gravitation. J'ai par ailleurs mOntré comment obtenir une valeur canonique de G différente de celle obtenue avec le décalage 3 par l'inverse de C (correspondant à l'inertie ponctuelle de la limite de vitesse du photon). Reste donc à mesurer l'état moyen de l'équilibre entre ces deux valeurs pour G et confronter avec les bases de données observationnelles plus fines. Sachant que la valeur pour G obtenue à partir de la valeur de 3 à la frontière de la métrique de Planck a une valeur fortement supérieure à celle obtenue par la valeur inverse de C à notre temps local contemporain. Autrement dit un indice d'un relachement de la force gravitationelle depuis la barrière métrique de Planck.
  11. Bonjour. En fait, pour le tenseur de courbure qui induirait un désalignement des géodésique indiscernable au-delà de celles prédites par la relativité générale permet de faire fusionner la mécanique quantique et la mécanique relativiste sous forme d'un continuum espace-temps relativiste, mais obéissant à une métrique variable générant la flèche du temps. Pour contourner une singularité à la limite du processus dans le passé, j'ai soutenu qu'un tenseur de courbure lache peut garantir une telle limite annulant mon modèle à la source. Or, ce tenseur de courbure devrait pouvoir s'évaluer de façon plus rigoureuse que ma proposition lui attribuant une valeur de [(L^2)+(L^-2)]... Il faudrait juste garantir un désalignement indiscernable dans les limites de la métrique relativiste. Par exemple, on peut poser ceci, de manière plus généraliste : [(L^2)+/-(L^-2n)]. La valeur de n pouvant, si ma conjecture est justifiée, être attribuée sur base de la mesure de l'accélération de l'expansion de l'Univers, ou du décalage entre la valeur d'une longeure de planck/un temps de Planck et une année lumière locale. Une confrontation de ces deux mesures fines devant permettre de trouver le désalignement indiscernable violant la RG au delà de ses limites métriques, ayant pour indice la valeur de C. Sachant que C étant la vitesse parcourue par un photon de masse nulle au gré de la topologie de l'espace-temps, et sa valeur devant être alignée à un tel désalignement. Le fait que le tenseur de courbure soit lache et varie indiscernablement semble par ailleurs intuitivement inévitable. Surtout que dans mon modèle, les forces d'interactions sont des densités d'intrications des quantums dirigeant la matière depuis ses profondeurs. La distance spatio-temporelle ne devrait qu'induire un tel relachement. J'espère que c'est compréhensible, car ça m'a l'air fondamental !
  12. Correction de coquille : c'est bien : [(L^2)+(L^-2)] qui induit une déviation, qui conduirait à une variation de métrique indécelable dans les limites de la métrique de la mécanique relativiste. Qui justifierai un clivage de métrique induisant un effet d'intemporalité en dessous des limites de Planck.
  13. Bonjour. J' modifié mon post principal, et postes juste les idées directrices de mon modèle théorique sur un moyen théorique d'unifier la Relativité Générale et la Mecanique quantique dans un modèle plus étendu et fondamental, sous forme de relativité quantique à géométrie fractale guidé par (1) d'une parts une expansion soumise à un tenseur de courbure variable du genre du tenseur de Riemann/Klainerman en L^2 ou une dérivée de celle-là*, et (2) d'autres parts par les interactions de quantum bidimensionnels de dimension infinitésimales en nombre infini voyageant depuis le centre d'un bulbe fractal vers sa surface en interagissant et s'organisant sous le guidage de l'intrication, (3) cette densité d'intrication étant soumise à un schéma qui se répète par des bijections de génératrice à bijectives soeurs du genre : (2X2)^n. Voici la présentation mise à jour sur laquelle je travailles encore ici, sur mon blog : http://convanquisme.blogspot.com/2016/01/v-expansion-unilaterale-avec.html --------------------- * Du genre : [(L^-2)-L^-2)]. Désalignant les géodésiques suivant une marge d'incertitude située sous le seuil mathématique de la métrique relativiste censurant ce qui se passe sous les limites de Planck. (a) L'espace devient un hyper-espace fractal, un Multivers. (b) Il n'y a aucune anisotropie détectable dans les limites de la métrique relativiste, du fait de la censure de la plage des événéments sub-quantiques situées très en-deçà des limites métriques de Planck fixées par C devenant variable, qui serait limité au seuil critique de C^-1 dans les sous-plans se décalant spatio-temporellement de façon asynchrone et asymptotique par rapport à notre temps dans notre dimension. Ce décalage spatio-temporel relativiste quantique serait la source du clivage métrique entre RG et MQ. Les événements se déroulant au delà des limites du décalage devenant figées temporellement, ce qui induit les étrangetés quantiques, comme la dualité onde corpuscule, l'intrication, la persistance de marge d'incertitude, les effets tunnels, ..., mais aussi l'effet d'expansion accéléée, résolvant l'énigme de la matière noire, l'absence de matière baryonique lévogyre, la parité des quarck...
  14. Bonsoir Pascalin. En fait, je peines à placer les termes exacts sur les représentations mentales. La physique quantique obéirait à une échelle de métriques spatio-temporelle de 1/C comparée à l'espace-temps relativiste. Notre Univers ayant un temps d'écoulement égale à Ce C de l'unité de temps propre de la métrique spatio-temporelle quantique.. Cela serait l'effet du passage du tenseur de courbure de L à son carré.d'une dimension à l'autre. Je vais essayer expliquer encore une fois. L'Univers serait composé de quantum d'énergie infinitésimaux, encore plus fondamentaux que le photon, bidimensionnels et de dimension infinitésimale. Le tenseur de courbure qui induit l'émergence de l'espace aux points de recoupement des géodésiques n'est jamais complètement aligné, mais induit une déviation d'un indice équivalent 1/C en sous-plan quantique, par rapport à ce qu'Einstein avait trouvé. Décalage ou déviation, indécelable dans la métrique relativiste, car sous les limites des unités de Planck. Qui, cumulé explique l'illusion d'énergie noire et de masse manquante (matière noire). Ainsi, la vitesse limite permise à l'échelle quantique devient égale à t^(-1). En conséquence de quoi, nous n'avons pas un espace unique à 4 dimensions, mais un hyperespace dynamique à géométrie fractale dont chaque point d'espace obéit à une géométrie obéissant à variation scalaire de déviation en tangente entre chaque strate de dimension d'un indice indiscernable par la nouvelle métrique atteinte à ce sueil critique en tangante. C'est cela la gravitation quantique (avec pour indexe canonique de la valeur de G de 1/C limitant la vitesse maximale des quantum et fixant une nouvelle métrique), qui fait que chaque espace reste en contact avec la dimension qui la précède à la limite critique autorisée à la surface de l'espace-temps, jusqu'à un seuil critique en tangante au sous-plan d'espace, mais avec un décalage de métrique fonctionnant par sauts le tenseur de courbure s'élève à son propre carré en cascades fractale, sans jamais complètement s'aligner. Ainsi, l'espace-temps se trouve superposé au sous-plan quantique, qui obéit à une limitation de pour sa propre valeur de C, équivalente mais décalée d'un indice canonique de \/¯C, de la racine de la valeur de la métrique à laquelle est soumis l'espace-temps. Cela suffit à maintenir l'image figée de ce qui se passe là-bas depuis la surface de l'espace-temps, comme une rémanence du mur de la limite temporelle de l'échelle quantique : indiscernable en RG ou le temps s'écoule au ralentit comparé à celui de la mécanique quantique de façon à rendre la dimension temps quantique indiscernable depuis la surface de l'espace-temps. Un variation d'échelle de l'ordre de L à L^2 se répète de façon canonique à l'infini. Et permet d'unifier RG et MQ. >> Du fait que le tenseur de courbure induit un décalage de la valeur absolue de L en la réduisant à la racine de sa valeur absolue, par des sauts canoniques, la frontière physique entre une dimension et la suivante demeure inviolable juste au point de contact, chacune commençant au seuil critique du voisin. L'espace suivant prend le relais à la tangante. >> Les événements qui se produisent à l'échelle quantique à une vitesse équivalente a 1/C restent immobiles du fait que la limite de C à notre échelle. Le temps quantique s'écoulant donc à une vitesse équivalente à 1/t par rapport à nous. >> Lors de la mesure, nous parvenons à observer les objets quantiques ponctuellement, au temps relativiste, induisant un effet de relativisme quantique qui nous permet d'observer un état ponctuel d'une observable quantique à la fois. P.S. : Le temps s'écoule donc à une vitesse indiscernable depuis la surface de l'espace-temps.
  15. http://scienceblogs.com/startswithabang/files/2013/04/Planck_cosmic_recipe_node_full_image.jpeg[/img Bonsoir, désolé dans le post précédant j'ai écrit de mémoire et à la va vite car j'étais occupé à d'autres choses... A l'attention des personnes qui s'y connaissent, je reformules parceque c'est important. Je vais, sur les conseils de Loopy, essayer de décrire mon raisonnement de façon plus intelligible. Car, comme j'ai du développer un paradigme tout à fait différent de ceux qui sont en usage en physique théorique, mes propos restent obscurs si une personne ne lit pas complètement et lentement. 1. Donc, selon mon modèle l'Univers obéit à une géométrie fractale gaussienne. La matière est composée de quantum bidimensionnels de dimension infiniment petite canonique en nombre infini qui voyagent du centre vers l'extérieur. 2. Leur vitesse se réduit au gré des contacts de proches en proches, qui induit par inertie chez elles des comportements giratoires et de mouvements compliques hautement non-linéaires persistants de façon à les synchroniser de proche en proches. 3. Lorsque le seuil de densité volumétrique diminue, et que leurs mouvements se réduisent à la racine carrée de leur vitesse antérieure, il se produit une brisure de symétrie, induisant des comportements asynchrones miroirs par paquets de quantum de vitesse réduite au carré de leur vitesse antérieure, transformée en masse et en propriétés synchronisés en miroirs. 4. Ce processus se répète à l'infini, chaque étape transformant les paquets décélérés en particules de quantum qui maintiennent au niveau des quantum une mémoire rémanante de leur mouvements mécaniques hérités de leur passé suivant une loi hautement non linéaire. 5. Les particules adoptent des comportements mécaniques inertiels qui coordonnent des systèmes canoniques stables. Chaque étape de division nuccléaire génère un système plus complexe que dans le passé, de façon fractale. 6. Les espaces obéissant à une vitesse équivalante à une racine paire de la valeur absolue de la vitesse critique permise propre, étant séparées des espaces à chaque bifurcation bijective, correspondanr à une réduction de vitesse à la racine carrée de leur vitesse précédante. 7. La matière de l'espace-temps obéit ainsi à la vitesse de C^2 à l'échelle quantique, et à la vitesse C^1 à l'échelle macroscopique. Les objets ne se touchent plus, mais agissent suivant l'intrication de l'infinité de quantums qui se communiquent les lois héritées maintenant les propriétés des particules caractéristiques : obéissant à des symétries étranges par paire. 8. Les forces d'interactions sont ainsi un comportement gaussien de synchronisation des quantums en nombre infini rendant la matière stable, obéissant à des lois qui sont dues à une causalité hautement non-linéaire. # Chaque passage d'une génératrice à deux branches filles jumelles, les particules obéissent à une mécanique suivant la racine carrée de la vitesse de C (sa valeur absolue). # Les objets ont des comportements plus ou moins maintenus synchronisés selon leur distance spatio-temporelle. # Chaque étape qui remonte à plus loin que la bifurcation antérieure ou future* devient asynchrone et invisible physiquement. # Chaque passage à un nouvel espace, obéit à e=mC^ dans un espace en 2x2 dimensions. Héritée de la géométrie fractale qui dérive par loi normale de ce processus universel. Ce processus explique les étrangetés de la MQ, des forces d'interactions, da relativité, l'absence apparente d'antimatière (ayant bifurqué en amon)... Mais aussi, l'énergie noire, et la matière noire. -------------- * La RG associe cela à des déformation spatio-temporelles. La MQ montre la puissance de l'intrication.
  16. P.S. : Je ne sais pas si cela peut tenir lieu d'un moyen de tester ma théorie en C^|2n|^2 à chaque passage à un espace-supérieur, mais j'obtiens ceci concernant la matière noire (la matière en mode C parrallèle intriquée dans des univers séparés spatio-temporellement, mais encore en interaction relativiste quantique par densité d'intrication) : 4,9e2 = 24,01% # Pour l'énergie noire, qui est l'éloignement en mode VCe4 : 4,9/2 = 2,45 (2,45^4) = 36,03 36,03 * 2 = 72,06 %
  17. Bonjour Loopy. Et ce texte-ci, tu en pense quoi : http://convanquisme.blogspot.be/2016/02/pour-ta-participation-au-sujet.html?m=1 Et du point IX (origine des forces physiques et densité d'intrications) ici : http://convanquisme.blogspot.com/2016/01/v-expansion-unilaterale-avec.html # Merci pour tes interventions. Sincèrement.
  18. Merci quand-même Zenalpha. En réalité, mon modèle, comme je le soulignes viens se poser en toile de fond aux deux théories (la RG et la MQ). Conceptuellement, elle permet de jeter un pont et elle résoud de façon élégante les énigmes comme la courbure de l'espace-temps, les étrangetés de la MQ, la genèse de l'ordre... Je vais faire un mea culpa, je ne suis pas diplome en physique théorique. Voilà pourquoi, je ne sais pas publier mon modèle, ni le soumettre à des experts pour la faire évaluer. Mais, je suis convaincu, peut-être a tord : ceci constitue une révolution potentielle pertinente de la physique théorique. J'ai envoyé des couriels à des personnalités renommées, mais aucune n'a considéré mon appel digne d'une réponse : même pas une moquerie. Alors, je postes sur internet, en espérant qu'une personne capable de m'aider à la rendre "publiable" me tendrait une main. Ou m'expliquerait pourquoi elle n'est pas digne de publication... Et si c'était une théorie dont la démonstration aurait précédé la formulation, mais n'avait pas été coorrectement interprétée ? Cordialement.
  19. Cher criterium, merci encore pour ta participation au sujet. Comme souligné par Loopy, pour éviter la singularité, j'ai retenu comme critère guidant isotropiquement mon multivers C comme un paramètre qui est réduit à sa racine par sauts lors de chaque passage d'un univers au suivant. Il devient un tenseur de courbure (de Ricci/de Kleinerman) en L^2. Lors de l'extension, la valeur de C est réduite juste pour l'amener à sa racine carrée. C'est ainsi, autrement, on tombe sur une sigularité qui fait s'effondrer la théorie. L'Univers est complètement chargée de quantum, la matière ordinaire interagit avec ses jumelles qui obéissent au même niveau de potentiel par isotropie et par interférence (masse manquante), par un etat synchronisé d'intrication... Tous les quantums de cet espace obéissent à la limite C de façon synchrone. Mais en profondeur, la désintégration nuccléaire conduit de la matière à traverser par effet tunnel le potentiel critique, pour se briser en deux et passer en mode racine de C qui les rend indétectables. Du point de vue géodésique et différentiel, on quite une branche de la fractale en bifurquant au seuil critique atteint. Les deux surfaces d'espace incurvés se séparent par sauts. Ces sauts sont assimilés dans mon modèle à une variable 3 permettant de lier RG et MQ de manière orthonormée. Pour ces particules, tout l'espace se réduit et passe dans un sous-espace de dimension infinitésimale comme prédit par la RG, leurs longeurs les réduisent de moitié. A l'intérieur de l'espace-temps, le passage en super-espace des quantum décélérés induit une perte de masse, qui fait accélérer l'expansion. La désynchronisation spatio-temporelle fait que le sous-espace en mode C^2 toujours chargé complètement selon le potentiel C^2, figeant celui-ci et le condamnant à une réduction relativiste quantique à l'état d'un volume de Planck de taille infinitésimale formant le sous-plan du nouvel espace qui fonctionne si lentement que cette dislocation censure toute possibilité d'observation sous Planck. On obtient ainsi un multivers ou chaque espace se superpose sur le précédant suivant un modèle géodésique inviolable, isotrope et asynchrone, avec conservation relative d'échelle. Les quantum de chaque univers qui le quittent en bifurquant de façon scalaire, orthonormé respectant une courbure canonique (L^|2n|^2) n'ont plus comme lien physique que le point de contact d'intrication fondamentale au point de bifurcation canonique lors du saut. >> On obtient à chaque saut des univers jumaux intriqués en réseaux, agissant par interférence uniquement jusqu'à ce que la norme du tenseur de courbure dépasse le seuil critique, induisant le fait de l'intrication canonique permise est limitée géométriquement jusqu'au saut suivant, induisant une illusion d'aléatoire du fait d'une structure géodésique fractale hautement non linéaire. >> Le tout se produisant dans un hyper-espace de dimension infiniment petite, grandissant à vitesse décélérant à une vitesse asymptotique.
  20. Dis cher Zenalpha, est-ce que tu pourrais présenter le modèle sur youtube dans une vidéo ? Ce serait un bon moyen de le faire connaitre et éventuellement avoir une évaluation venant de spécialistes en physique théorique.
  21. Bonsoir. Selon le modèle relativiste quantique fractal sur base bidimensionnelle obtenu de la fusion de la RG avec la MQ, on obtient apparamment un multivers réaliste présentant des apparences aléatoires. La causalité reste intrique fondamentalement...
  22. Oui ! Exactement ça Zenalpha, ce que je soutiens... Merci pour ton intervension. Bonne soirée.
  23. La dimension rémanante réduite d'espace-temps de Planck semble être sa dernière image, laissant une empreinte imprimée physiquement en trame de fond. La valeur de 3 qui est de 0,000033601 semble être le passage de l'énergie dans notre dimension comme tenseur de courbure imprimant sa taille apparente à la longueur de Planck. Qui est la valeur de la fammeuse gravité quantique, l'énergie noire, qui dirige comme montré dans mon papier la constante de la vitesse, la constante de structure fine, la constante de gravitation, mais également la constante de gravité quantique canonique reliant l'Univers par intrication et la rappelant à la source, car 2*0,000 000 0033 601=6,72e-9. La version primitive qui va fixer la nouvelle vitesse de la lumière dans le nouvel univers créé. Equivalente à la fonction inverse de C qui quitte l'Univers précédent et sert de tenseur de courbure pour le nouvel Univers. N.B. Avec soit un effet léger de distorsion relativiste quantique, soit une infime erreur dans les calculs de Planck, qu'on retrouve très légèrement dans l'obtention de la valeur de la constante de structure fine. L'exponentiel de cette valeur constituant bien la limite de la célérité de la lumière, comme l'asymptote de C donne la constante de gravitation quantique.
  24. En l'absence d'interaction avec un effet relativiste, les particules semblent se démultiplier et vouloir interférer avec leurs jumeaux des univers parrallèles et se démultiplier dans un rayon grandissant. Ce que la MQ qualifie comme un domaine de probabilité. Les interactions les ramènent chacune vers leur univers ponctuel. C'est pour cela que mon intuition me dit que tous les univers sont des versions du notre liés par intrication en amont, à l'infini...
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