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Reath

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Tout ce qui a été posté par Reath

  1. Reath

    un jour = une histoire

    Une phrase, trente ans après, un texte, aujourd'hui, un poème L'homme a inventé dieu pour l'aider à se battre dans la vie. Quand un homme a donné son cœur et son âme à un être sacré et qu'il se trouve subitement abandonné, qu'il perde la foi, il ne peut en vouloir à celui qui n'est plus et tourne sa haine vers l'humanité, dans son ensemble et dans chaque être en particulier, et n'a de cesse de chercher l'absolu avec l'espoir fou de trouver son salut. Il se détourne ainsi de la vie animale et cache le soleil à son âme et son corps, pour ne devenir qu'un fantôme insatiable, flottant entre les paradis et les enfers. Parfois, il voudrait faire disparaître le monde, d'autres fois, il voudrait le sauver. Parfois, il est en colère et voudrait infliger la souffrance, d'autres fois, il ressent cette souffrance et a beaucoup de peine. Je n'ai rien perdu Juste un peu de temps Je n'ai rien trouvé Juste un peu de temps Je ne possède rien Juste un peu de temps Je serai toujours moi Pour juste un peu de temps
  2. Reath

    un jour = une histoire

    Je suis l'homme. Dieu est une partie de moi. La science est une partie de moi. L'art est une partie de moi. L'intelligence et la pensée sont aussi une partie de moi et je ne crois pas, aussi puissantes puissent être celles-ci, qu'elles peuvent prendre la mesure de ce que je suis. Je suis la vie. La mort ne m'éteindra pas complètement car une partie de ma conscience survivra à travers mes enfants et mes congénères. Je suis la vie, sans éternité, imbriquée dans toutes les autres vies, composantes de l'humanité ; l'humanité, composante de notre âme, de mon âme.
  3. Reath

    un jour = une histoire

    Causette, Je ne sais pas ce qui t'es arrivé mais lorsque j'ai découvert ton sujet sur ce forum, j'avais eu plaisir à lire et à écrire, ici J'ignore où tu es allée et quel chemin tu as pris, qui t'a éloignée d'ici mais je te souhaite bon vent Les mots ne sont pas la vie, ils ressemblent plus à un miroir qui enlève une dimension à la réalité Qui nous empêchent parfois de croquer la pomme et de serrer très fort dans nos bras les êtres de chair et de sang Alors, mon voeu pour toi n'est ni le bonheur ni la peine mais de bien croquer la vie à pleine dent, de la prendre à bras le corps, avec tous tes sens, avec tout ce que tu es, que tu as toujours été et que tu seras toujours ! Merci, Causette...
  4. Reath

    un jour = une histoire

    Très jolie, ta réflexion sur le corbeau et le bouleau, Causette ! Un joli poème...
  5. Reath

    un jour = une histoire

    Bonjour, Causette 2 ! Bonjour, à tous ! Tu te souviens de moi, chère écrivaine du quotidien ? J'avais eu plaisir à te lire, à vous lire, ici, il y a quelques mois et je viens, aujourd'hui vous inviter sur le site que j'ai créé il y a quelques semaines où je publie tous mes textes, poèmes, nouvelles et autres histoires : http://mots-et-histoires.free-h.fr N'hésitez pas à y jeter un oeil et à partager le lien. Bons mots à tous ! Nora Reath Keo
  6. Reath

    un jour = une histoire

    Mes mains tremblent. Dès que mon coeur bat vite, mes mains tremblent. Toutes mes émotions parviennent inexorablement jusqu'au bout de mes doigts. Je devrais peut-être croiser mes bras derrière le dos mais je ne le fais pas. Que ce soit par l'amour ou la haine, mes mains tremblent. Je pourrais les mettre dans mes poches mais je me dis tant pis ! Qu'elles tremblent ! Elles ne cachent aucun sentiment et mon visage leur ressemble. Mes mains tremblent, et mes yeux, mon nez et ma bouche aussi ! Je suis une feuille légère qui vole au gré du souffle de mes passions. Mais je préfère les mouvements du coeur à l'immobilité de la raison...
  7. Reath

    un jour = une histoire

    Il m'est arrivé de dormir si profondément et de me réveillé dans une lumière parfaite sans pouvoir juger de la hauteur du soleil dans le ciel que j'avais perdu toute notion du temps, ignorant si c'était le matin, l'après-midi ou le début de soirée. Cette fois-là, je n'avais pas du tout envie de me lever. J'étais bien dans mon couchage, tout détendu et reposé. Je n'avais besoin de rien et je n'éprouvais aucune envie particulière. J'avais oublié mon nom, qui j'étais et ce que je devais faire. Je me contentais de respirer doucement sans rien ressentir de particulier. J'étais un peu en apesanteur, un peu amnésique, un peu en osmose avec tout et rien dans l'infini éternel d'une existence sans vie. L'éternité s'installe quand le temps disparaît et l'on devient éternel quand on oublie tout ce qu'on doit savoir.
  8. Reath

    un jour = une histoire

    J'ai planté ma tente sur un nuage. J'ai enfoncé le piquet centrale tout droit dans l'eau blanche et attaché aux quatre coins du ciel les cordes de la toile de cotton, qui ne détonnait pas avec le reste du paysage. Puis j'ai regardé le soleil. Comme il était trop lumineux, j'ai baissé les yeux et allongé au bord du cumulus, j'ai observé tout autour de moi. Au bout de quelques minutes, j'ai vu dispersées dans les vapeurs immaculées quelques unes de mes pensées. Comme je ne les reconnaissais pas toutes, j'en ai déduit que certaines appartenaient à d'autres. Peut-être s'etaient-elles echapées d'autres têtes, comme moi, des têtes dans les nuages...
  9. Reath

    un jour = une histoire

    Combien d'histoires ai-je commencées ? Je ne m'en rappelle plus. Je commence toujours par le titre, j'écris quelques lignes puis je me perds souvent après. Mais ce n'est pas triste, j'adore commencer des histoires qui s'annoncent plus palpitantes les unes que les autres. Comme ce sont des rêves, il n'est pas important finalement de les terminer. Je prépare le décollage, je remplis les réservoirs de ma fusée et je vise toujours les étoiles ou le soleil. J'attends que les nuages se dissipent, et par une nuit claire à la lumière de la lune ou par un jour au ciel bleu à la lumière du soleil, j'allume la mèche et le tout s'envole, le tout décolle ! Alors peu importe, si mes vaisseaux spatiaux n'atteignent pas leur objectif, j'en lancerai autant que mon imagination me le permettra. Ils restent tous dans ma tête, ils gravitent autour de moi quand je ferme les yeux et c'est un peu plus de vie que je rajoute à mon existence. J'aime bien avoir la tête dans le ciel et les pieds sur la terre et mon esprit vogue dans les airs.
  10. Reath

    un jour = une histoire

    Oui, ici, ma chère Cosette ! Comme il est agréable de venir lire et écrire, ici ! Quelle bonne idée as-tu eu d'ouvrir ce topic pour nous tous ! Je me lève, j'emmène mes petites à l'école, je viens faire un tour, ici ; je range, je nettoie, je viens faire un tour, ici ; je fais mes recherches, je flâne sur internet et je viens faire un tour, ici ; j'écris pour moi, j'écris pour vous... Ici est une petite porte pour l'évasion, l'imagination et la poésie ! Je ne suis pas grand-chose : je déambule à pieds dans ma petite maisonnée, je roule en voiture dans mon petit village et j'aime au mieux les miens. Je ne connais pas l'avenir et ma voix ne porte pas loin ; je ne vois pas au-delà du ciel et de l'horizon et je n'entends pas ceux du bout du monde. Mais dans ma tête, il y a l'infini où tout est vaste et sans limite, et c'est de là que me viennent les mots que j'inscris, ici.
  11. Reath

    un jour = une histoire

    La reine des étoiles tisse une toile toutes les nuits quand les rêveurs sont endormis. Son oeuvre, le firmament, avec ses astres petits et grands, couvre nos songes d'une beauté nocturne. Cette lumière astrale venue du ciel a parcouru pendant des années l'univers. Elle atterrit sur notre couvre-lit et veille à nous épargner l'obscurité lorsque nous nous éveillons d'un mauvais rêve. Le jour et la nuit, les astres nous accompagnent dans notre veille et dans notre sommeil. Les ténèbres ne peuvent surgir qu'au plus profond de notre esprit torturé, elles sont une pensée. A l'aube, regarder le jour éclatant naître et au crépuscule regarder les lumières du soir. Il est toujours une clarté quelque part à tout moment, à tout instant... Il faut avoir la volonté de regarder.
  12. Reath

    un jour = une histoire

    Recevoir l'ange du jour avec les yeux de l'enfant joyeux et confiant. Imaginer tous les jeux avec la lumière qui chasse les mauvais rêves et permet tous les mouvements. Je me lève ! Se détendre et s'étirer comme les chats. Lancer ses premiers sons, ses premiers mots matinaux avec la voix du haka. Je me lève ! Ne pas compter le temps, ne pas penser au soir, à la nuit mais à la fête. Courir vite, chanter sans musique, que celle qui trotte dans la tête. Je me lève ! Ange du jour, soleil sans voile, toute voile dehors, je respire et me grise de mon avenir optimiste et tous mes mots participeront aux rondes de ceux qui n'auront pas oublier de regarder le monde avec leurs yeux d'enfant !
  13. Reath

    un jour = une histoire

    Optimisme ou pessimisme ? N'est-ce pas qu'une question de choix ? Y-a-t-il meilleure raison pour préférer l'un ou l'autre ? Et à choisir, pourquoi ne pas embrasser l'optimisme et ne plus habiller ses lendemains de noir. Malgré les matins chagrins, se dire que le jour d'après, l'on verra la vie en rose. Même si le soleil ne réchauffe pas et que la lumière n'apporte pas la joie, croire, même désespérément, que tout ira bien, que le bonheur reviendra dans quelques heures ou quelques jours ! Espérer même chaque seconde, à chaque inspiration douloureuse, prier un souffle calme. Dans le malheur, dans la nuit noir, allumer une lanterne appelée OPTIMISME.
  14. Reath

    un jour = une histoire

    Petite insomnie. Cette nuit est blanche comme les murs de mon plafond et depuis des heures, je froisse mes pensées dans un chiffon chiffonné. Je pense à mon gros ventre qui a grossi avec les décennies et surtout depuis hier que je l'ai regardé de travers. J'ignorais qu'il était énorme de côté et j'aurais du enfiler mon pyjama sans vouloir l'admirer, maudite soit cette porte vitrée ! Mais la lune presque toute ronde n'est-elle pas belle, ce soir et les gens gourmands ne sont-ils pas des gens charmants ? Je ne regrette pas les crêpes au chocolat, les gauffres au sucre et les beignets aux pommes... Même, j'en remangerai à la première occasion ! Et de toute façon, je nage dans l'eau telle une sirène et flotte comme une madeleine ! Bonjour, Cosette 2, Jedino et Pako 12345, bonjour à tous ! Je m'en vais prendre une douche pour bien voir la petite balle de Ping tout à l'heure ! Parce que la madeleine, elle joue au tennis de table, et en compétition ! Pas au tennis, le terrain est trop grand !... Bon dimanche ! ;-)
  15. Reath

    un jour = une histoire

    Mon regard... Est-ce que les gens voient que je les regarde, que je les observe et que j'essaie de deviner ce qui se cache dans leurs pensées, quels sont leurs espoirs ainsi que les déceptions terrées dans leur coeur ? Bien sûr, je sondais les yeux des jolies filles afin de savoir si j'avais une chance d'une fois leur donner un baiser et de leur prendre la main. Mais je portais autant mon attention sur les garçons. Je me demandais qui ils étaient et ce qu'ils voulaient devenir, moi qui n'avait aucune idée de mon avenir. Et tous ces adultes à la mine souvent fatiguée, étaient-ils contents de leur présent ? Je voulais tant comprendre dans quel monde je vivais et qui étaient les gens. J'ai grandi ainsi. Mais aujourd'hui, je vieillis et je regarde moins les étrangers que je rencontre parce que je vois surtout le monde à travers les yeux de ma femme et de mes petites filles. Ce sont elles, à présent, qui emplissent mon regard ! Cosette 2, j'aime bien ton sujet mais l'inspiration n'est pas toujours au rendez-vous. Cependant, nous ne sommes pas toujours obligés d'écrire tous les jours de la grande littérature... ;-)
  16. Reath

    un jour = une histoire

    Lire, écrire, être lu, cela est si agréable. Personne ne coupe la parole à l'autre et chacun écoute vraiment, réfléchit de son côté, rêve sur les mots de l'autre, navigue dans un imaginaire commun sur les feuilles de nos pensées. Il n'y a plus de vérité ultime, plus rien à défendre, juste lire, écrire et rêver autant que l'on souhaite.
  17. Reath

    un jour = une histoire

    Je n'entends pas bien le monde. Je ne comprends pas ce qu'il me montre. Que me demande-t-il donc ? Je connais mon nom et le nom de mes parents. N'est-ce pas suffisant ? Je porte ce nom depuis trente-huit ans et le porterai toute ma vie. Ce nom, je l'ai donné à mon amie. Que veut-il de moi, ce monde aux nombreuses portes verrouillées dont je n'ai pas les clés ? Il me pose des questions et de mon mieux je réponds. Il me fait des démonstrations et sagement je réfléchis. Il me donne des ordres et poliment je refuse. Je n'entends pas bien ce monde mais il me semble que celui-ci ne m'entend pas bien non plus. Cependant ce monde m'appartient et je lui appartiens aussi. Je ne cracherai pas sur lui, ne le quitterai pas et je retournerai dans ses draps à l'heure venue, peut-être tout à l'heure... Alors, je respire fort et ne fermerai aucune porte, ni celle de mon coeur ni celle de mon esprit. J'ignore ce que je trouverai dans le lit de la mort mais aujourd'hui, j'écoute cette chanson qui dit que notre monde est merveilleux !
  18. Salut, charly-tango ! J'ai envoyé un manuscrit aux éditeurs il y a quelques années et j'ai reçu plusieurs réponses avec une critique, toujours la même, qui était que mon roman était inégal. J'ai eu la chance d'être lu en entier par quelques uns et la raison en est, je pense, que ma première page était assez bonne, entre autres, pour donner envie de lire la suite. Les premiers mots, les premières phrases et le première page doivent happer le lecteur de quelque manière que ce soit. Et j'avoue que ta première page ne me donne pas forcément envie de tourner une autre page, ce qui est dommage puisque la suite peut être très bon. Mais il faut comprendre le fonctionnement des éditeurs qui commence par la première lecture que tu dois au moins passer et ils reçoivent tellement de manuscrits, chaque jour, que tu dois te démarquer dès les premières lignes. Je ne suis pas capable de te conseiller comment les retravailler mais je pense que cela doit être fait pour que le lecteur ait vraiment envie de continuer à te lire. Je poste, ici, la première page de mon roman qui a été refusé pour te donner un exemple et aussi pour m'engager dans ma critique et me mettre en danger, sinon, je ne serais pas très crédible envers personne... "En Partance Je crois que la meilleure religion est cellede nos ancêtres. Elle n'est pas seulement une instance supérieure détachée detoute réalité, elle appartient aussi à notre culture et rythme pour une partimportante nos traditions ainsi que notre vie quotidienne, même si cela sembleparfois plus appartenir au passé. Mais le passé n'est jamais vraiment révolupuisque sans lui il n'y aurait pas de présent. Notre passé porte notre présentet notre présent porte notre futur. A notre image à tous, la religion n'est pasparfaite. Mais sans aller jusqu'à croire, il serait dommage de ne pas l'aimerparce qu'elle participe à notre identité. Qui ne ressent pas le besoin, un jourou l'autre, de remonter à la source, de trouver ses racines, de s'assurer qu'ilest ancré quelque part ? Je crois que ce moment est arrivé pour moi etj'aimerais joindre tous mes passés à aujourd'hui, où je fais le vſu de madestinée. Je suis né sur une terre fertile, tour à tourhumide et chaude, où les moines en orange, qui se promènent par deux, seprotègent du soleil avec leur ombrelle et ne savent de l'heure qu'avant ouaprès midi. Mais je n'ai pas eu le temps de grandir sur cette terre. De là-basje n'ai que des souvenirs empruntés et quelques photographies en noir et blanc. Dans ce pays tropical, la pluie ne mouillepas, elle lave. Les enfants la fêtent à belles dents ! Leurs mains tenduesvers le ciel guident l'eau sur tout leur corps. Il n'y a plus de dedans ni dedehors. C'est un amusement sans heurt où la joie commune et partagée plongedans l'insouciance et dans un total oubli du lendemain. Les savonnettes sepassent de mains en mains et tout est presque gratuit. Un sourire pour un autresourire. Rire pour rire. Le but de la vie : vivre ! Mais j'ai grandiici, où pendant longtemps, je n'ai pas su qu'un tel pays existait. Ici même,Paris, où petit à petit je me suis ressouvenu du sol qui avait soutenu mespremiers pas, Phnom Penh, capitale du Cambodge." Bon courage, charly ! Suit ton inspiration et ton instinct et éclate-toi bien !
  19. Reath

    un jour = une histoire

    Les mots dits tout haut sont bien dangereux, volatiles, légers et lourds à la fois. A haute voix ils montent puis retombent violemment au creux de l'oreille. Même chuchotés, même murmurés, ils arrivent à cogner le coeur qui bat alors plus vite et plus fort. Bien sûr, ils peuvent aussi donner le son du bonheur mais c'est contre la colère envers les autres que je me protège et contre une tristesse que je ne veux pas partager. Je fuis la violence des visages grimaçants. Je ne veux pas crier et j'ai peur quand les autres crient. Les mots, je préfère les lire, je préfère les écrire. Sur le papier, tout est atténué, les mots doux, les mots durs s'imprègnent directement dans mon esprit comme un souvenir et je peux rire ou larmoyer sans que personne ne me voie, en toute liberté, et je ne cognerai plus les murs ni ne me frapperai la poitrine. J'écrirai et je corrigerai jusqu'à ce que cela soit parfait, je lirai et relirai jusqu'à ce qu'il n'y ai plus que l'amour et l'amitié.
  20. Reath

    un jour = une histoire

    Merci beaucoup, Cosette 2 ! Aimer et écrire sont ce que je préfère dans la vie. Celle-ci est si difficile parfois mais ma moitié reste à mes côtés quoi qu'il arrive pour maintenir notre bateau à flots et protéger nos trois petits moussaillons. J'en profite aussi pour dire que j'adore tes textes qui m'apaisent et m'inspirent.
  21. Merci beaucoup pour tes encouragements et je suis touché par ton compliment parce que je trouve que tu écris très bien aussi.

  22. Reath

    un jour = une histoire

    Le premier être aimé. Seul, sur mon petit voilier, seul je décidais où aller et à qui ouvrir mon coeur, mais le premier être aimé, c'était moi. Au fur et à mesure des années, j'ai pris soin de mon bateau cabossé, je traversais les misères et me cognais à des rochers, mais je naviguais parfois aussi dans les étoiles. Puis, un jour, au détour d'un firmament, je l'ai rencontrée et elle est devenue le deuxième être aimé. Je l'ai fait monter dans mon petit voilier et nous voguons ensemble dans les tempêtes et dans les voies lactées. Depuis cinq ans que je l'aime, j'ai compris une chose : je ne sais plus m'aimer sans elle et l'ordre n'a plus d'importance. Nous sommes comme cette alliance que je porte : deux anneaux enclavés ! Elle est mon étoile du berger, elle est la lune de tous mes firmaments...
  23. Reath

    un jour = une histoire

    Je n'ai lu que les trois premières pages et la dernière mais j'adore ton sujet, Cosette 2, et je ne manquerai pas de lire plus tard tous les autres posts avec plaisir. Aujourd'hui, avec mes mains, du bout de mes doigts, j'écris. J'écris à droite, j'écris à gauche, je projette mes mots sur les écrans, sur les papiers, sur les murs et je lance même toutes ces phrases au plafond. J'ai peut-être une araignée qui ne tisse pas rond dans l'esprit. Hier, c'était pareil, il y a une semaine ou un mois, idem ! Et demain, j'espère que cela ira mieux. Bonne soirée, à tous !
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