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Kylir

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Tout ce qui a été posté par Kylir

  1. Bas alors ? Personne ne répond ! Johndoe ? Noladelle ? Vous n'avez rien à opposer ? Pas que ça me déplaise ! Mais dites-moi au moins si vous êtes d'accord !
  2. Globalement, tu viens de résumer la théorie de l'expansion de l'univers. Rattrapper l'onde de choc ? Mouais Je crois que selon Einstein, si on arrivait un jour à atteindre la vitesse de la lumière, toute sa théorie tomberait à l'eau, car notre masse serait infinie... ce qui est impossible, disait-il. Et si on va plus vite que la vitesse de la lumière, en théorie, on remonte le temps, je pense. Après, j'ai lu aussi que certains scientifiques pensaient que l'expansion de l'univers n'allait pas être éternelle, et qu'un jour il allait commencer à réagir inversement, c'est à dire à se rétracter sur lui-même. En théorie, le temps remontra donc en arrière... la matière rejoindra le point initial d'où elle est partie lors du Big Bang... et à nouveau, ce sera le "vide"... Ce ne sont que des théories, bien sûr... en plus, pour les soutenir, il faut déjà admettre l'histoire du Big Bang, qui ne répond pas à toutes les questions.
  3. Eryx, la partie de ton post sur les univers multiconnexes est intéressante (le reste aussi, d'ailleurs), j'avais jamais entendu parlé de cette théorie. Hum... disons que dans mes échappées intellectuelles d'amateur et de néophyte, je m'étais dit que l'infini existait probablement. Mon professeur de philosophie m'avait dit une fois : "Prend le nombre pi ; il est selon toute vraisemblance infini, et pourtant, il est "présent", il participe à l'existence d'une chose finie, à savoir un cercle." (Boaf ! Il ne me l'avait pas dit en ces termes, mais j'espère que vous saisirez l'idée ) J'ai trouvé que c'était assez sensé. Effectivement... que rétorquer. L'infini, pour moi, existerait bien. Je ne peux me l'imaginer, je ne peux que le concevoir théoriquement. Le temps serait infini, l'espace serait infini, et ce, à tous les points de vue (infiniment petit et infiniment grand)... peut-être d'autres choses encore ? la quantité de matière dans l'espace ? Que sais-je... Mon intuition me dit que quelque soit la raison pour laquelle le monde existe, etc... on (pardonnez ce "on", je savais pas quel pronom utiliser) a bien pris soin de le rendre assez complexe pour que jamais, il ne soit compréhensible dans sa globalité, par ses habitants.
  4. Bon, alors soyons un peu plus précis. Oui, il y a une sécurité chez les humains, également, pour favoriser la procréation. Mais quand même, tu remarqueras que les humains font l'amour en dehors de ces périodes "fécondes"... La très grande majorité des animaux (les exceptions ont déjà été citées, et sont toutes des espèces très intelligentes), non. Les femmes sont quand même capables de désirer quelqu'un, d'avoir envie de faire l'amour avec lui, sans pour autant être dans une période d'ovulation. Ensuite, tu me dis que chez les animaux aussi, l'acte amoureux est réalisé pour le plaisir. Apparemment, tu n'avais pas compris, mais c'est que je disais également. La différence réside dans le fait que cet instant de plaisir, c'est leur corps qui le leur réclame, en un cycle régulier, sans quoi il n'y aurait pas de procréation. En dehors de ces cycles, il ne leur vient pas à l'esprit de copuler. (Sauf, certaines espèces intelligentes, qui ont compris que certains actes leur procurent du plaisir.) La sexualité des animaux est avant tout un moyen reproductif, même si eux-mêmes ne le conçoient pas comme cela (d'ailleurs, ils ne conçoivent pas grand chose). Chez l'homme (son ancêtre), la prise de conscience du plaisir et de comment se le procurer (qu'ont déjà les primates et certains cétacés...) a entrainé une mutation de sa sexualité. Il est devenu capable de pratiquer l'amour quand cela lui chantait avec pour seul but, le plaisir. Il a dépassé les cycles naturels que la nature avait mis en place pour garantir la survie de l'espèce. A partir de là, ces cycles ont évolué, eux-aussi, car moins utiles. S'ils n'ont pas disparu, ils se sont multiplié ou ont pris de l'ampleur. Nous sommes capables de désirer, de fantasmer, presque n'importe quand ! Notre sexualité s'est avant tout axée sur la finalité du plaisir. Ainsi sont apparus l'homosexualité, la bisexualité, qui n'ont bien entendu plus d'ambition de procréation. Ce sont des sexualités qui découlent de cette logique évolutive : faire l'amour par et pour le plaisir.
  5. Ouais, enfin, mon cher Mazarino, quand je dis "nouvelles sexualités", j'entend pas "apparues il y a 30 ans". Elles sont nouvelles vis à vis des sexualités animales (boaf, flemme de réexpliquer, mais je les différencie dans mes anciens posts), et sont probablement aussi vieilles que l'homme "intelligent".
  6. Bien, alors j'ai moi même lu un document témoignant de l'étude dont nous fait part Johndoe, vis à vis des odeurs corporelles. C'est très intéressant ! La nature est bien faite : il semblerait que l'on soit attirés par les êtres qui offriraient le meilleur avenir pour nos progénitures. Ce document parlait aussi des homosexuels : leur cerveau (dans le cas d'hommes) réagirait de la même façon que celui des femmes hétérosexuelles en présence de phéromone masculine. Notre cerveau doit ensuite repérer si l'homme en question est un bon candidat (selon le critère dont parlait Johndoe). Les goûts personels (beauté, etc..) interviennent aussi. (à partir d'ici : interprétation personelle ) Si le candidat n'est pas retenu, alors, tant pis. Mais si le candidat passe les "test de sélection", il devient alors objet de désir : le cerveau, motivé par la phéromone, provoque la sensation de désir pour l'individu en question. Et là : les pensées nous arrivent, nos fantasmes apparaissent. mais pas forcément l'idée de faire un enfant. La nature a prévu cette éventualité dans le processus d'acceptation du de l'individu, mais la coppulation n'est pas forcément le but. La motivation première est le plaisir. Chez les animaux, idem. Mais pour accroître la probabilité des naissances, il y a le système de saison des amours. Ainsi, l'espèce connait quand même beaucoup de naissances. Chez l'homme, pas besoin de saisons des amours, puisqu'ils ont assez intelligents pour choisir d'avoir des enfnats quand ils le désireront. La plupart du temps, l'acte amoureux n'a que pour ambition le plaisir. ... D'où l'apparaition des nouvelles sexualités que sont bisexualité et homosexualité. La reproduction est moins un souci pour l'espèce humaine, donc, sa sexualité va encore plus se détourner vers la procuration du plaisir. J'en reviens à mon idée que l'apparition de l'homosexualité et de la bisexualité font partie de l'évolution de l'espèce.
  7. Moi, je joue à Project Zero 2, sur PS2 : un jeu d'horreur vraiment bien foutu, même si il ne fait pas très peur. J'ai aussi une partie de Devil May Cry 3 de commencée... mais bon... bloqué à un boss . EDIT : Rectification, Project Zero 2 fait vraiment peur ! Depuis que j'y ai rejoué, j'ai eu un bon lot de scènes biens flippantes.
  8. Je pense que cela dépend des cas. J'étais plus chaud pour dire que le suicide relevait de la lâcheté, mais les arguments de Mazarino m'ont fait réfléchir. C'est vrai, il y a des cas où le suicide relève du courage, et même de la noblesse. Et d'autres, c'est aussi vrai, où il s'agit plus d'un acte lâche pour éviter de souffrir plus... Je ne jète cependant pas la pierre aux suicidés. Bien que ce soit un acte plus ou moins lâche, il faut néanmoins du courage pour passer à l'acte. Et ce courage, il faut quand même qu'il soit conséquent (se tuer, c'est pas rien ; c'est plus dur encore que de tuer quelqu'un d'autre)... Cela nous donne une idée de ce qu'ils endurent pour trouver le courage de mettre un terme définitif à leur vie.
  9. Okay, je m'incline. J'avais mal compris ton premier post, désolé. Je suis d'accord avec ta vision des choses, finalement .
  10. Bien sûr, moi non plus je ne la considère pas comme une personne, cette bonne vieille nature. Tu remarqueras simplement que tout ce qui nous entoure est emprunt d'une certaine cohérence. Incroyable cette manière qu'a le cerveau de scanner les gens... Sur ce point, je ne peux pas te suivre ! On est des machines biologiques, okay ! Mais pas des méga robots high-tech avec vision infra-rouge intégrée. J'exagère, je suppose que tu voulais parler des détails évidents, du style "sain, riche, etc...". Ouais, enfin, si on rencontre de tels comportements, il y a aussi beaucoup d'autres critères, qui ne prennent pas en compte l'avenir de nos précieux gènes.
  11. Bon, (toujours selon ton raisonnement) si la nature voulait vraiment éviter les erreurs de "réglage", elle n'aurait pas laisser d'ouverture possible durant l'enfance, qui puise le faire changer de sexualité, surtout si elle avait déjà prévu des barrières génétiques. Or, elle l'a fait. Etrange. Peut-être ne voyait-"elle" pas cela comme une erreur de calibrage, mais une variable. Pour ta réponse sur les phéromones, okay, ça tient déjà plus debout. Du moins, ça tiendrait debout si la sexualité était comme tu le dis réellement définie à la naissance...
  12. Bon, je vais arrêter d'étaler mes idées, ça sert pas à grand chose, semble-t-il, et vais me contenter de démontrer les failles de ton raisonnement. Mon cher John Doe, tu n'as pas encore répondu à ma question que je t'en repose une seconde : Pour toi, les gènes déterminent déjà la sexualité des individus, puisque "l'anomalie" viendrait de là, selon toi. Et tu dis aussi que l'apprentissage et le vécu influencent quand même... Donc, certains qui n'auraient pas le gène "homo" pourraient quand même devenir homo, sous l'influence d'homo (je ne fais que suivre ton raisonnement) ? Dans ce cas, où est la soi-disant maladie ? Et surtout, où est l'utilité du code génétique ? Il n'en a pas, probablement... Comparer l'homosexualité à la mucoviscidose, 'fallait oser ! De plus en plus d'enfants naissent sans dents de sagesse. Cette mutation fait partie de l'évolution génétique de l'espèce humaine. Notre machoire s'adapte à notre nouveau mode de vie, et les dents de sagesse dviennent superflues. C'est plutôt à une mutation de ce genre que je pense lorsque je vois l'essor des nouvelles sexualités. Ce n'est pas une maladie, c'est quelque chose qui fait avancer l'espèce.
  13. Johndoe, tu me parles de divisions cellulaires et d'accidents génétiques... Toi, c'est comme ça que tu expliques l'homosexualité et la zoophilie, moi, non, donc, je ne vais pas revenir là-dessus. Ce que je voudrais que tu m'expliques, c'est : comment selon ta théorie, durant le processus d'attribution du code génétique d'un individu, un gène en rapport avec une espèce complètement différente à l'homme se retrouve concernée ? C'est bien ça, que tu entend, nan ? Pour toi, il y a parfois un gène qui apparait du style "sexualité tournée vers les chevaux". Où est le sens ? Où est la logique ? Cela ne peut pas se passer comme ça ! Nos gènes ne concernent que notre individualité et notre espèce animale ! Il n'y a jamais de gène destiné aux réactions vis à vis d'autres espèces ! C'est complètement absurde ! D'autant plus que ce gène tomberait vraiment du ciel ! Nos codes génétiques ne sont même pas sensés "savoir" quelles espèces animales nous entoureront à notre naissance ! Vis à vis de la zoophilie, je ne pense pas que l'on croise tant d'animaux consentants que cela dans la nature. Mais bon, on doit en trouver quand même, c'est certain. Mais je suis assez d'accord avec reves-vengeurs, là-dessus : cela relève plus, il me semble d'une perversion du style^"poupée gonflable".
  14. J'ai fait beaucoup de muscu, mais j'ai plus ou moins arrêté récemment u_u. J'adore le badmington, le basket, la gymnastique, et les sports de combat. Je pense que je fais environ 3 heures de sport par semaine, entre footing, muscu, gym. Mais bon... j'suis assez nerveux, comme mec, donc j'bouge pas mal. J'aimerai pas mal me mettre à l'aviron ! A la rentrée, j'irai faire mes études à Paris. u_u J'espère que je trouverai le temps de pratiquer un sport en club.
  15. Ouep, tout à fait d'accord, Noladelle.
  16. 3 chances de devenir homo... 1 à la naissance (gènes), 1 pendant l'enfance, et une une plus tard... 3 chances d'être raté, quoi. Je te suis, là, ça va ? Pour ce qui est de la naissance, non. Pas de sexualité liée au désir à la naissance. Pendant l'enfance, oui : à l'adolescence, plus exactement. C'est là que la sexualité se définit définitivement. Après, non. On peut avoir des pratiques homosexuelles et aimer ça, mais on ne devient pas homosexuel, dans le sens où on ne désire pas des membres du même sexe. Alors... explique moi, toi qui ne jure que par l'ADN, comment tu explique l'arrivée miraculeuse d'un gène qui crée des phéromones adaptés à une expèce n'ayant rien à voir avec l'homme, tel que le mouton, par exemple ? ça n'a absolument aucun sens... Des gens qui ne ressentent aucun désir, absolument aucun.... Ouais, je veux bien te croire, présente les moi, et je suis certain qu'il y aura une raison qui ne rlèvera pas de la zoophilie dans leur comportement.
  17. Enfin, si tu n'as pas dit que les portables étaient utiles en cours, ni même à l'école... rappelle nous juste en quoi tu justifies leur présence à l'école ?
  18. Bon, tout d'abord, Noladelle : Je voulais juste attirer l'attention sur le fait que l'on regroupe les actes homosexuels sous un même mot : homosexualité. Or, si l'homosexualité en tant que sexualité existe réellement, il y a aussi comme tu le montres ici, des actes qui ne relèvent pas de désir, mais juste d'expérimentation, de plaisir, de test, ou de défi. Ensuite, Johndoe : Tu parles d'accident génétique, une molécule produite à la place d'une autre, etc... J'en reviens à mon argument : les chiffres parlent d'eux mêmes. Devant le nombre d'homosexuels, ce n'est pas un accident mais une action voulue par le corps. Pour ce qui est de la zoophilie, interroge-toi même un zoophile. Je serai curieux qu'il te révèle n'avoir pour seul fantasme que de pratiquer l'amour avec un chevreuil, et qu'il n'envisage l'amour avec personne d'autre. Je maintiens qu'il s'agit d'un fantasme, et non pas d'une sexualité à part entière. Encore une fois (un vrai dialogue de sourd), je sais que les homosexuels ne choisissent pas ! C'est leur vécu qui détermine leur sexualité ! Il n'empêche qu'il y avait autant possibilité pour eux de devenir hétéro que bi. Le seul but de la vie est de procréer. Permets-moi de te dire que c'est discutable.
  19. Ouais, enfin, il me semble nécessaire de faire une différenciation quand même. L'homosexualité chez les animaux n'est pas la même que chez les humains. Les animaux les plus intelligents (primates, dauphins...) se rendent compte que certains actes leur apportent du plaisir. Il vont trouver des partenaires, peu importe lesquels, parfois même des objets, pour se faire du bien. Mais ça s'arrête là, ils ne sont pas à proprement parler homosexuels. Chez l'homme, c'est différent. L'homosexualité est une sexualité à part enitère, c'est à dire que l'objet du désir sexuel est clairement une personne du même sexe. On ne pratique pas l'homosexualité juste pour se faire du bien (ça existe, mais ce n'est pas la vraie homosexualité), on le fait, parce que c'est notre sexualité, parce que notre corps ne désire que des êtres du même sexe. EDIT pour répondre à Johndoe : Tout n'est pas marqué sur le code génétique. Il n'y est pas marqué que tu aimes les carottes, que tu aimes les pommes de terre, que tu es sympathique, courageux, etc.... Ce qui y est marqué est très sommaire pour ce qui est du domaine comportemental : juste quelques directives quant à la façon que l'on aura de réagir vis à vis de certains évènements, etc... Le reste est culturel. Tu parles des phéromones, okay. Seulement, pour moi, la détermination de quels phéromones seront créées se fait à l'adolescence, car avant les enfants n'ont pas de sexualité à proprement parlé, pas de désir. Une fois arrivés au cap où il faut s'engager vers une certaine sexualité, le crops produit les phéromones qui vont avec. Je susi d'accord avec toi, nous sommes des machines. Seulement, notre espèce a atteint un stade de son évolution qui fait qu'elle peut prendre conscience de nombreuses choses, parmi lesquelles pratiquer la sexualité dans le but du plaisir. La machine perfectible que l'on est acquiert donc une nouvelle capacité : celle de choisir sa sexualité. Tu vois, je pense que si à la base, nous étions des machines conçues pour se reproduire, le but de la reproduction est de pouvoir perpétrer l'espèce jusqu'à un stade assez élevé de son évolution, où là, son but va évoluer lui-aussi. Notre but biologique n'est peut-être plus simplement de perpétuer l'espèce.... mais aussi de profiter de la vie, et de s'épanouir dans le plaisir (et peut-être aussi de comprendre le fonctionnement de tout ce joli tralala qui nous entoure).
  20. Hum.... que dire. Pour ce qui est de la sexualité des enfants, de la part qu'a la génétique dans l'attribution de l'orientation sexuelle, je ne vais pas y revenir, puisque tu ne ne donnes aucun arguement et ne fait que dire "j'suis pas d'accord". Ensuite... Là, y en a à dire. Déjà, t'as pas mal tendance à t'écarter du sujet. Le développement de la stupidité ? Il favoriserait l'intérêt pour des choses inutiles ? exemples : art, scarifications... (très mal choisis.... 'vois pas le rapport avec la sexualité). Hum... Ouais, enfin, ce que tu appelles développement de la stupidité, moi je l'appelle développement de l'intelligence, mais il doit à peu près s'agir de la même chose . Ceux qui sont "méchants", ne sont pas victimes d'une erreur de programmation, eux non plus. Quand même, dans "ton" monde, y en a un paquet de gens ratés, victimes de malformations congénitales, etc... les seuls sains de corps et d'esprit seraient les gentils hétérosexuels, beaux, bien formés.. bref, pas grand monde, quoi. Ouais, le sadisme relève bien plus de l'humanité que de l'animalité. Seulement, on ne nait pas sadiques, tout comme on ne nait pas hétéro, gay, homo, gentil, cultivé, sympathique, etc... Toutes ces attributions sont culturelles. La génétique n'a presque rien à voir la-dedans. Ensuite, que l'on s'entende sur le terme normal une bonne fois pour toutes : lui aussi est culturel, il dépend de chacun. Alors parlons plutot de naturel, okay ? Comme je l'ai déjà expliqué, homosexualité, hétérosexualité sont naturelles, car découlant d'une évolution elle aussi naturelle. Après, zoohilie et pédophilie également. Elles n'en sont pas moins des dérives sous-classées (du domaine du fantasme), mais néanmoins naturelles. Là où il y a une différence, comme tu l'as fait remarqué, c'est que zoophilie et surtout pédophilie sont inacceptables dans le cadre de notre société (car nécessite viols et tromperies, cela n'échappera à personne, je pense). Ensuite, je répète encore une fois : zoophilie et pédophilie ne sont pas de sexualités en elle-même. On ne peut pas n'être que ça ! On est obligatoirement hétéro, bi ou homo à la fois. Zoophilie et pédophilie relèvent du domaine du fantasme, au même titre que le sado-masochisme, vouloir faire l'amour sur un billard, etc.... Et j'insiste encore une fois, arrête avec ce trip des mauvaises proframmations et questionne-toi sur le nombre des pseudos-mal-programmés dont tu parles ! Y en a un paquet ! Trop ! Beaucoup trop pour que ta théorie tienne la route !
  21. Hola... Les artistes les plus géniaux ne bénéficient pas forcément d'une intelligence supérieure. Peut-être d'une sensibilité très développée, mais surtout, ils savent comment retranscrire les ambiances, les sentiments, ou les messages qu'ils veulent véhiculer dans leurs oeuvres. Ce n'est absolument pas comparable à la découverte d'un continent. Cela n'a même rien à voir. On rentre dans ce que j'augurais dans mon précédent post : l'art se mèle avec de nombreux domaines. Tu as fait cette comparaison car pour toi, l'art puise sa force dans ce qu'il révolutionne un style, ou bien crée une nouvelle manière d'utiliser un matériau, ou bien de véhiculer quelque chose d'inédit. L'art se mèle ici à l'idée de "surprendre", l'innovation, l'originalité. Si ces aspects sont importants dans l'art, car créateurs de symboles... l'art ne se résume pas à ça. L'art, c'est quand même et avant tout créer uen ambiance, une essence, représenter une idée... C'est finalement assez difficile à exprimer, mais tous ceux qui apprécient la musique, le cinéma, etc... le comprendront : on ressent quelque chose devant une oeuvre, et c'est ça qui en fait la qualité. Les objets d'art les plus valorisés le sont beaucoup par effet de mode. A une autre époque, ou dans d'autres circonstances, ces oeuvres qui s'arrachent à des millions d'euro ne vaudront peut-être pas un clou.
  22. Bon, réponse au post de johndoe : Si, les humains peuvent influer sur leur orientation sexuelle. Ils ne la choisissent pas à proprement parlé, mais au départ, nous avons tous la même faculté à potentiellement devenir hétéro, homo ou bi. Notre parcours, notre éducation, tout ce que l'on peut vivre va fixer les règles de notre sexualité environ à l'adolescence. J'ouvre une parenthèse : avant l'adolescence, les enfants ne sont ni hétéros, ni homos, ni bis. Ils ne font que "tomber amoureux" de leurs camarades de classe, n'ont aucun désir sexuel, et peuvent donc aussi bien "aimer" une fille qu'un garçon, peu importe leur propre sexe. Leur éducation, la société véhiculant la normalité de l'hétérosexualité, il y a donc plus qui deviennent hétérosexuels que d'homos ou de bis. Ensuite, tu dis que le cerveau crée les sentiments, etc, dans l'unique but de favoriser le renouvellement de la vie. Soit. C'est vrai jusqu'à un certain point. Sans ce mécanisme, en effet, très peu de chances de voir els espèces animales prospérer. Mais, comme je l'ai déjà dit, avec le développement de l'intelligence, apparait la faculté de "modifier" sa sexualité. Oui, car avec l'intelligence, l'espèce est capable de comprendre la nécessité de la sexualité, peut se rendre compte de son but. Cette prise de conscience rend le plaisir, l'attraction entre les êtres moins utile dans le cadre reproductif, car les hommes peuvent choisir de procréer de leur propre chef, et ce même s'ils n'en tireraient pas de plaisir (car ils sont intelligents et conçoient la neccesité de l'acte). Alors... ce désir, se transforme. Il EVOLUE pour étendre la deuxième de ses raisons d'être : le plaisir. Si la sexulalité s'est diversifiée avec le développement de l'intelligence, c'est parce qu'elle devenait avant tout utile comme instrument de plaisir, et moins comlme un instrument de survie de l'espèce, comme à la base. C'est pourquoi je suis convaincu qu'il n'y a rien de contre nature là-dedans, le plaisir est naturel, et c'est justement la nature qui a fait evoluer notre sexualité dans ce but. Cela fait partie de l'évolution de l'espèce.
  23. Houla... Je comprend ton raisonnement, mais je ne suis absolument pas d'accord. Première chose, les homosexuels ne sont pas mal programmés. Tu te places du point de vue primirtif, animal. A l'adolescence, la sexualité se concrétise et fixe les règles qui vont définir la sexualité de l'individu. La processus est aussi complexe et hasardeux pour devenir hétéro qu'homo. L'un ne vaut pas mieux que l'autre. Sauf, si, comme pour toi, la sexualité suprême est celle qui permet la reproduction... Ensuite, l'homosexualité, une maladie ? Déjà : première chose, on ne peut pas en "guérir". Quand on l'est, on l'est. On peut par contre découvrir l'hétérosexualité même en étant gay, et se découvrir bisexuel. Et non, ce n'est pas comme avoir une malformation du pied, c'est comme aimer les carottes plutot que le céleri. Pour ce qui est des primates, crois-moi, ils ont des actes homosexuels. Seulement, je pense qu'il s'agit plus d'une masturbation assistée qu'un véritable acte homosexuel. Cela dit, on n'en est pas moins au coeur du problème : ils font cet acte pour en tirer du plaisir, et pas pour procréer. Ensuite, les animaux sont "victimes" de leur sexualité dnas le sens où (à quelques exceptions près comme les primates) ils ne la pratiquent que pour la procréation (la preuve en est qu'ils ont des périodes de rut et de chaleur). Même s'ils ne savent pas à quoi cela sert, ils le font. Et quand bien même ils en tirent du plaisir, ils ne récidiveront pas avant la prochaine saison des amours. Ensuite, la différenciation entre bisexualité, homosexualité, hétérosexualité et pédophilie, zoophilie, résident dans le fait que pour moi, ces deux dernières ne sont pas des sexualités en soi. On est, par exemple, hétérosexeul, et on peut avoir de surcroit des pulsion pédophiles. Mais on n'est pas QUE pédophile. C'est en ça que je les qualifie de dérives sous-classées par rapport à bisexualité ou homosexualité. Mais je reviens sur ce qui m'a choqué dans tes propos : l'homosexualité n'est pas une maladie ou une erreur de programmation. Notre statut d'animal doué de conscience nous permet de chosiir à un moment donné de notre formation, la sexualité qui prédominera chez nous. On peut être aussi bien hétéro que homo, il n'y a pas de ratage dans l'un comme dans l'autre. Nous avons une liberté sexuelle, nous, qui consommons l'acte comme un plaisir avant tout et non comme un acte reproductif. Je pense au contraire que cette liberté sexuelle fait partie de l'évolution.
  24. Je pense que l'art est une chose très complexe, qui se mèle bien souvent à de nombreux domaines. Au sens large, pour moi, la qualité d'une oeuvre d'art est fonction de ce qu'elle représente (pas physiquement), mais symboliquement. Les formes "classiques" de l'expression que sont dessin, écriture, musique, etc... sont les plus représentatives de l'art, car les plus mises en valeur, car elles apportent quelque chose de beau, qui perdure et qui se contemple, et aussi dont la symbolique est généralement plus accessible (on ressent tous quelque chose devant un tableau, un morceau de musique, etc...) Pourtant, le symbole, c'est ce qui fait l'artisitique, je pense. Ainsi, la toile blanche qui se vend hyper cher n'est artistique que par son symbole : la provocation. C'est l'acte, provoquer, que l'on reconnait comme vraiment fort, que l'on admire, que l'on contemple, et la toile blanche n'es est que le symbole. Ainsi, les plus provocateurs sont souvent les plus encensés, car leurs oeuvres sont des symboles à grande échelle : je veux dire que leurs oeuvres deviennent conuues pour leur côté sensationnel, et donc, elles deviennet des références, des symboles. Les plus classiques (et non moins admirables), peuvent écrire, composer, sans que leurs oeuvres deviennet des symboles à grande échelle, mais leur oeuvre peut néanmoins devenir symbolique pour quelqu'un en particulier. Chacun, devant une oeuvre, va ressentir quelque chose d'unique, de personnel, et de plus ou moins fort et mémorable. Plus ce sera fort, plus l'oeuvre sera symbolique pour l'individu en question, mais on ne peut pas vraiment prévoir qu'est-ce qui provoquera cette réaction. Ainsi, la valeur d'une oeuvre d'art est très subjective, et dépend de chacun. Un dessin fait par un enfant peut avoir un haut potentiel symbolioque et représenter une oeuvre d'art inestimable pour un parent, par exemple. Voilà, c'est ma vision de l'art... suceptible d'évoluer, bien sûr. Alors n'hésitez pas à la critiquer.
  25. Hum, vaste question ! Je ne sais plu qui a dit : "c'est aussi complexe de devenir hétéro que de devenir homo", ce qui est une vision que je partage. Donc, c'est clair, l'orientation sexuelle n'est pas un choix, elle découle de notre éducation, et de ce que l'on a pu vivre. C'est d'une complexité telle que ça en est incrontrôlable, je pense. Ce n'est pas de la faute des parents ni de l'individu en question, ce n'est de la faute de personne. Après... à savoir pourquoi l'homosexualité existe ? Je m'étais une fois dit dans un de mes délires bizarres (-_-) que c'était une tentative de la nature de modérer la croissance démographique humaine. Enfin quand même, certains primates aussi se livrant à des actes homosexuels, ça ne tient pas trop la route, en plus. J'en viens donc à penser, puisque les primates sont parmi les espèces les plus intelligentes du globe, que la possibilité d'une variation de la sexualité apparait avec le développement de l'intelligence. A un certain degré de leur évolution, certaines espèces acquièrent la faculté de concevoir l'acte reproducteur dans un autre but que pour la reproduction, avec pour seule motivation le plaisir. A partir de là, tout (ou presque) devient possible. La sexualité se libère, et la nature ne la bride plus avec l'exclusive attraction pour le sexe opposé. De là, naissent la bisexualité, l'homosexualité, qui sont tout aussi valables que l'hétérosexualité, pour ce qui est du rapport au plaisir, et un regard intelligent ne peut le nier, je pense. Cependant... je pense que certaiens dérives apparaissent à leur tour, avec ce débridage de la sexualité... telles que pédophilie, zoophilie, etc... Je pense que ces dernières tendances sont à part (heureusement), car elles ne s'accompagnent pas d'une attirance physique et sexuelle (du moins, je pense), mais juste d'une pulsion sadique ou quelque chose de comparable. La pédophilie, la zoophilie, etc... ne sont pas pour moi des sexualités à part entières comme l'hétérosexualité, la bisexualité ou l'homosexualité, mais sont en fait des dérives de celles-ci occasionnées par certains fantasmes sadiques, et ne comprennent pas une attirance sexuelle (contre laquelle on ne peut rien) comme les sexualités précedemment citées. Voilà.. hola, je viens de me relire, j'me suis un peu emporté, là quand même...
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