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eklipse

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Tout ce qui a été posté par eklipse

  1. perso j'aime l'action plus que la parlotte les violons au bout d'un moment...pffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffff guimauve
  2. oui ben chacun voit midi à sa porte...
  3. http://english.aljazeera.net/watch_now/ c'est beau à voir :-)))))
  4. Oui enfin la tête est tombée, mais les métastases et vautours sont toujours là, rien n'est encore gagné. Mais bravo à ce peuple courageux...un premier pas vers plus de liberté...et un bel exemple pour le monde entier
  5. Moi je trouve le symbole fort...chacun voit midi à sa porte!! (réponse à dihyia)
  6. Sa fonction est d'accompagner les élèves, pas de se faire sucer, ni de leur donner de l'alcool, j'ai mon bafa je suis animatrice (j'ai travaillé trois ans en centre de loisirs en banlieue), j'ai une responsabilité vis à vis des enfants, et c'est à moi de les protéger et non d'abuser d'eux! Si cet homme avait été une femme, je la condamnerai pareille, en agissant ainsi! elle aurait abusé de son statut pour pervertir des ados! Si j'avais été en présence d'un ado provocateur, ou séducteur, c'est à moi de lui poser l'interdit, de lui expliquer les règles d'une société, et de le canaliser! c'est mon rôle d'adulte et d'animateur! Cet accompagnateur, soit il a été mal formé, soit il a transgressé les règles en connaissance de cause! Si ce mec ne sait pas qu'on doit pas donner de l'alcool à des jeunes alors que c'est leur accompagnateur c'est GRAVE, pareil quant au fait de se faire sucer devant des jeunes dont il a la charge, il a mal fait son travail, c'est un incompétent et "dangereux" personnage! En tout cas si j'étais en charge d'une équipe d'animateurs, ce serait la porte direct pour lui! Il a pas les compétences, ni assez de caractère et maturité pour prendre en charge des ados! Oui je trouve la sexualité actuelle violente et laide, c'est mon ressenti, et mon vécu.
  7. Bon plus sérieusement la société actuelle est hyper sexualisée, affiches , films, pub, journaux, télévision. De plus la pornographie est en libre accès sur internet...alors après faut pas s'étonner qu'avec tout ce laxisme ambiant et hyperlibéralisme, la démission de certains parents et d'une grande partie de l'éducation nationale...plus la consommation d'alcool qui déshinibe...ben de telles situations arrivent...impensable à mon époque en tout cas! Je trouve normal qu'il y ait une sanction envers l'accompagnateur, il se doit de protéger les élèves et leur montrer le bon chemin, or lui a profité de son ascendant, pour réaliser un petit plaisir égoïste, peu glorieux de sa part! Quant à la jeune fille, elle est influençable, elle c'est peut être pas rendu compte du côté transgressif de la situation, de plus son attitude est peut être formatée par la vision de films pornos, en plus alcoolisée, plus émulation du groupe, ben elle pensait être " in"??libérée quoi? Perso je la sanctionnerai pas, pour cette fois. Si j'avais été prof là bas, je proposerais, suite à cet événement médiatisé, de parler sexualité avec les jeunes, en leur exposant certaines limites de la sexualité et la loi, ainsi que la définition de l'exhibitionnisme, la manipulation, et les dangers de l'alcool et de certaines images pornographiques(représentation de fantasmes humains) utilisées parfois comme effet de "mode".
  8. Michal Batory Michal Batory est né à Lodz, en Pologne, en 1959. Il étudie à l'école des Beaux-Arts de Lodz et obtient un diplôme en design graphique, avec une spécialisation en affiche. En 1987, il obtient une bourse et vient s'installer à Paris où il travaille dans une agence pendant quelques années. En 1994, il gagne un concours pour une exposition à la Cité des Sciences et de l'Industrie et devient indépendant.
  9. Egypte: 17e jour: l'armée accusée de torture Aujourd'hui, 11h04 Slate.fr Buzzer ! Jeudi 10 février - 10h45 [Al Jazeera] Nouvelles grèves attendues jeudi. Les syndicats égyptiens devraient appeler à une deuxième journée de grève jeudi 10 février, renforçant un mouvement de protestation qui entre dans son 17e jour. 5.000 docteurs et étudiants en médecine devraient notamment faire grève. 10h18 [Guardian] L'armée torture des détenus. L'armée égyptienne a secrètement détenu des centaines voire des milliers d'opposants supposés depuis le début des manifestations contre Hosni Moubarak, il y a plus de deux semaines. Selon des témoignages recueillis par le quotidien britannique le Guardian, certains d'entre eux ont été torturés. L'armée affirme depuis le début du mouvement qu'elle est neutre, et ne fait qu'empêcher les affrontements entre les deux camps. Mais de plus en plus de groupes de défense des droits de l'Homme l'accusent d'avoir participé à des enlèvements et à de la torture, des actes qui étaient jusqu'ici associés au service de renseignement d'Etat (SSI). Le Guardian a parlé à des témoins qui affirment avoir été battus et subi d'autres sévices infligés par l'armée, dans ce qui ressemble à une campagne d'intimidation. Des ONG ont documenté l'utilisation de chocs électriques sur des hommes détenus par l'armée. Toujours dans les colonnes du Guardian, un reporter de Radio Free Europe raconte les 28 heures qu'il a passées aux mains des service de police du régime de Moubarak, après s'être fait arrêté au cours d'un contrôle au Caire vendredi 4 février. Il affirme notamment avoir clairement entendu des prisonniers se faire torturer av... Lire la suite sur Slate.fr http://fr.news.yahoo.com/79/20110210/twl-e...or-fe7f0c9.html Les grandes lignes du discours «Devant le nombre de martyrs que nous avons perdus (...) j'ai ordonné qu'on fasse vite dans les enquêtes, et notamment (...) pour p^rendre les initiatives judiciaires nécessaires.» «J'ai demandé l'amendement de six articles de la Constitution: 76, 77, 88, 93 et 189, en plus de l'annulation de l'article 179.» «Ces amendements visent à faciliter les critères à la candidature présidentielle et à fixer un nombre défini et limité de mandats présidentiels. Ils visent aussi à surveiller les élections pour garantir transparence et régularité. Ceci nécessite de concrétiser l'équilibre pour protéger le pays du terrorisme et la garantie des libertés civiles.» «Je ne me suis jamais soumis à des injonctions ou des pressions extérieures.» «J'ai vu qu'il fallait déléguer une partie de mes pouvoirs au Vice-président, conformément à la Constiution» «L'Egypte reste une patrie chère que je ne peux quitter, jusqu'à ce que je sois enterré dans ce pays» Le discours de Moubarak en direct à 21h50 Avec presque une heure de retard, l'allocution du président Moubarak est enfin diffusée à la télévision: «Je m'adresse aujourd'hui du fond de mon coeur comme parlerait un père à ses enfants. Je vous dis que je suis fier de vous pour une nouvelle génération d'Egyptiens, une génération qui appelle à un changement pour le mieux et qui y tient. Qui rêve d'un avenir et qui le fasse sien. Je veux vous dire en toute chose que le sang de vos martyrs et des blessés ne sera pas inutile et que je ne ménagerai pas mes efforts pour punir les responsables avec toute la sévérité possible, et ceux qui ont failli dans l'intérêt des jeunes, selon la loi avec toute les sanctions nécessaires. Et je m'adresse aux familles de ces victimes innocentes. J'ai ressenti une profonde douleur, comme vous, et mon coeur a été peiné par ce qui s'est passé. Je réponds a vos revendications. Ceci est un engagement sur lequel je ne reviendrai pas et je suis déterminé à respecter mes engagements avec toute la sincérité et le sérieux, pour faire cela sans aucune hésitation ni retour en arrière. Il se base sur une profonde conviction que vos intentions sont pures et légitimes. Les erreurs peuvent arriver dans n'importe quel régime et il est important de les reconnaître et de les corrriger le plus rapidement possible. Et je vous dis qu'en tant que Président de la république je n'ai aucune hésitation à écouter mon pays et à lui répondre. Mais la honte, et ce qui est inacceptable et que je n'accepterai jamais, c'est d'écouter les injonctions de l'étranger. Chers Egyptiens, chers concitoyens, je me suis exprimé dans des termes clairs pour dire que je ne me présenterai pas aux prochaines élections et que je me suffis de ce que j'ai déjà donné depuis 60 ans, en temps de guerre comme en temps de paix. J'ai annoncé cela comme un engagement similaire à mon engagement de respecter et protéger la constitution et la volonté du peuple. C'est ce que j'ai juré devant Dieu et la patrie, et je m'y tiendrai jusqu'à ce que l'Egypte et son peuple arrivent à bon port. J'ai proposé une feuille de route pour sortir de cette crise et qui propose en même temps un cadre commun sur lequel nous nous mettrions d'accord pour un transfert pacifique des pouvoirs et pour un dialogue responsable, avec la plus grande part de sincérité et de transparence. En respectant mes responsabilités pour faire sortir mon pays de cette passe difficile, je me suis engagé à respecter ces étapes en demandant tout le soutien de ceux qui tiennent à l'Egypte et son peuple. Conformément à un consensus large sous la supervision de nos forces armées et braves, nous avons commencé un dialogue national constructif qui inclut les jeunes egyptiens ayant appelé au changement.» 20h02 [ Reuters ] Essam al-Eriam, un membre dirigeant des Frères musulmans, a confié à Reuters qu'il craignait un coup d'Etat militaire de l'armée: «Cela ressemble à un coup d'Etat militaire¿ Je suis inquiet. Le problème n'est pas le président mais son régime.» Il a ensuite rajouté que son organisation ne ferait pas de déclarations jusqu'à ce que la situation s'éclaircisse. 19h49 [ CBS News ] La chaîne d'information américaine propose ci-dessous de suivre l'immminente intervention télévisée dans un flux en direct embeddable. 19h53 [Reuters] Un manifestant réagit après l'intervention du commandant Hassan al-Roweny place Tahrir, au Caire (REUTERS/Suhaib Salem) 18h41 [ AFP via Le Figaro ] La télévision d'Etat a annoncé qu' Hosni Moubarak rencontre actuellement son vice-président et possible successeur Omar Souleimane . La chaîne a diffusé des images des deux hommes en train de discuter, mais l'AFP souligne qu' «il n'apparaissait pas clairement à quel moment les images ont été tournées.» 18h24 [Reuters] La place Tahrir jeudi 10 février (REUTERS/Yannis Behrakis): Lire la suite sur Slate.fr
  10. Entre la pression des Etats-Unis, la pression d'Israël, de l'Arabie saoudite, la pression de l'armée, la pression des mouvements religieux intégristes, sa situation géopolitique hautement stratégique...le peuple Egyptien est cerné par diverses puissances...casse tête ultra complexe...au centre d'une véritable poudrière
  11. Omar Suleiman : d'étranges amitiés Le changement dans la continuité. Samedi, le président égyptien Hosni Moubarak a nommé au nouveau poste de la vice-présidence un loyaliste par excellence, l'ancien général Omar Suleiman, chef des services secrets et candidat idéal à la succession pour les Etats-Unis. En prêtant serment, Omar Suleiman, homme de l'ombre du régime autocratique d'Egypte, a accèdé ce samedi à la vice-présidence du plus grand pays arabe. Un parcours hors du commun pour cet homme de 74 ans : issu d'une famille modeste, ce militaire de carrière, formé d'abord en Union soviétique dans les années 60 puis aux Etats-Unis durant les années 80, s'est taillé la réputation de dirigeant de services secrets le plus influent du monde arabo-musulman. Proche des milieux d'affaires, Omar Suleiman est reconnu comme un partenaire estimable pour les Américains et les Israéliens. Chargé depuis dix ans de la médiation dans le conflit israélo-palestinien, l'homme est également considéré comme un interlocuteur biaisé par le Hamas en raison de son opposition radicale aux Frères musulmans. Les alliés occidentaux, à l'inverse, lui sont reconnaissants d'avoir contenu les mouvements terroristes depuis sa nomination à la tête du renseignement en 1993. Mais c'est en 1995 que son destin prend un tour singulier : son insistance pour que Hosni Moubarak se déplace dans une voiture blindée lors de son voyage en éthiopie lui assurera la reconnaissance indéfectible du président égyptien, précisément victime d'une tentative d'attentat. Son apparition à ses côtés lors des funérailles du Syrien Hafez El-Assad, en 2000, sera jugé par les analystes égyptiens comme un signe d'adoubement pour une éventuelle succession. Dix ans plus tard, c'est la manifestation, présentée comme spontanée, de partisans d'Omar Suleiman dans les rues du Caire, en septembre dernier, qui indiquera la progression de son installation au c¿ur de l'appareil d'Etat égyptien. De par son double statut, militaire et civil, l'homme paraissait depuis longtemps tout désigné pour succéder à Hosni Moubarak, soit par la voie des élections, soit par un « coup d'Etat » plus ou moins feutré. Sa bonne image chez les Américains ¿auprès desquels il a été formé au renseignement militaire, notamment à Fort Bragg- devrait le favoriser pour prendre la place du Rais. Ses accointances au sein de la classe politique israélienne sont également jugées rassurantes par l'actuel gouvernement de Benjamin Netanyahu. Sa connexion à Tel Aviv a souvent été très utile : ainsi, en 2001, comme le rapporte le journaliste Thomas Gordon, c'est grâce à sa proximité avec le Mossad, et notamment avec un haut responsable se disant proche de la mouvance Al Qaida, que le chef des services secrets égyptiens a pu apprendre l'imminence de l'attentat du 11-Septembre et en informer le responsable de l'antenne de la CIA au Caire. En vain, semble-t-il¿ Quoiqu'il en soit, si Omar Suleiman devait succéder dans les prochains temps à Hosni Moubarak, cela n'augurerait rien de bon pour les libertés civiles : outre son approbation de la torture à l'encontre des militants islamistes emprisonnés, les Egyptiens lui doivent également son soutien pour la prolongation de l'état d'urgence dans le pays, un système structurellement néfaste à l'application des droits de l'homme. Au travers de la situation égyptienne en cours, le monde arabe connaît son épreuve de vérité : l'enjeu sera de savoir si la tutelle de l'Occident sera maintenue ou bien si les aspirations démocratiques du peuple à l'autonomie pourront enfin s'exprimer. Hicham Hamza http://polymedia.skynetblogs.be/tag/cia%20egypte Avec ce Suleiman les Egyptiens vont rien gagner au change!
  12. Suleiman a fait lui aussi un discours...il veut restaurer la paix et la sécurité...appelle le peuple Egyptien à l'unité et de regarder vers le futur, leur demande de rentrer chez eux, de reprendre le travail, et leur conseil de ne plus regarder la télévision diffusé par les satélites, et d'écouter leur propre conscience...bla bla bla...c'est à ces dirigeants d'écouter la voix du peuple....nuance
  13. Moubarak accroché au pouvoir comme une moule à son rocher! Publié : le 30/01/2011 par Benji dans Actualité générale étrange métaphore mais la situation est un peu comme cela, la mer est démontée, des creux impressionnants et des vagues à tout démonter sur 2 kilomètres dans les terres, et la moule reste accrochée à son caillou, ignorant la tempête, ou la sous estimant¿J'avais rapporté que le président « pourrait » avoir quitté le pouvoir, ben non, il est toujours là, et cela ne s'arrange pas!
  14. La peur d'Israël, en paix froide avec l'Egypte de Moubarak La présence d'Israël parmi ceux que le soulèvement des Egyptiens inquiète le plus n'est surprenante qu'à première vue. Certes, l'antienne israélienne sur « la seule démocratie du Moyen-Orient » aurait pu faire penser que l'évolution du plus grand pays arabe vers la démocratie aurait dû combler de joie son voisin hébreu. Mais Israël ne redoute rien de plus que la fin du statu quo qui dure depuis plus de trois décennies, avec une paix froide avec l'Egypte, depuis le traité de paix conclu en 1979 par Anouar el-Sadate, le prédécesseur assassiné de Hosni Moubarak. Cette paix décevante permet toutefois à Israël de ne plus redouter une guerre sur son flanc sud avec le pays le plus peuplé et le plus important du monde arabe. Cette paix n'est pas populaire parmi les Egyptiens de la rue, qui voient dans le même temps le conflit palestinien s'enliser dans une impasse durable. Les Israéliens sont pris dans une contradiction : une Egypte démocratique à côté d'un Israël démocratique ressemble à un scénario idéal pour garantir la paix, mais les dirigeants et l'opinion de l'Etat hébreu y voient surtout le risque d'une victoire des Frères musulmans, et de tensions potentiellement mortelles sur la paix israélo-égyptienne. Le choix des Israéliens : une passation du pouvoir en douceur entre Moubarak et Souleiman, avec un semblant d'ouverture politique qui garderait solidement les Frères musulmans à l'écart de toute influence. Les Israéliens connaissent bien Souleiman, ancien chef des services secrets égyptiens, et, comme l'ont montré les télégrammes diplomatiques américains de WikiLeaks, ils l'apprécient. Le ministre de la Défense israélien, Ehud Barak, se trouvait mercredi à Washington pour marteler ce message auprès des responsables américains. Arabie saoudite, Jordanie¿ Un « front du refus » aussi arabe Les Israéliens ne sont pas les seuls à refuser un changement brutal au Caire, et à la faire de moins en moins discrètement savoir à Washington. L'Arabie saoudite, les Emirats arabes unis et la Jordanie sont, eux aussi, du côté de ceux qui redoutent l'onde de choc d'un changement de pouvoir au Caire, traditionnellement la capitale la plus importante du monde arabe. Si la petite Tunisie a été capable de déclencher cette lame de fond parmi les peuples arabes, avec des manifestations et soubresauts du Yémen à l'Algérie en passant par la Jordanie, que dire de l'impact prévisible d'un changement de régime dans la grande Egypte provoqué par la rue ? Grand allié des Etats-Unis, l'Arabie saoudite, pays le plus riche avec ses réserves de pétrole et de gaz, le plus peuplé de la péninsule arabique avec 28 millions d'habitants, et le plus conservateur avec le régime de monarchie absolue d'inspiration wahhabite, se sent particulièrement menacée par les événements de Tunisie et d'Egypte. Les dirigeants saoudiens, qui imposent à leur société un islamisme encore plus rigoriste que celui d'Iran pourtant plus décrié dans le monde, redoutent la contagion contestataire au sein d'une jeunesse tout aussi connectée que celles du reste du monde arabe, et qui étouffe dans un pays où les femmes n'ont toujours pas le droit de conduire, où les différences sociales sont immenses malgré un clientélisme qui redistribue une partie des richesses pétrolières, où toute idée novatrice est considérée comme subversive. Pas un seul régime arabe ne peut aujourd'hui se sentir en sécurité si la révolte des Egyptiens peut abattre un régime aussi fort que celui de Hosni Moubarak en quelques semaines de protestations. Les mêmes causes peuvent produire les mêmes effets, même si les conditions sont différentes sous le règne de dictateurs militaires à la Moubarak ou à la Ben Ali, de despotes politico-policiers à la Assad, ou des monarchies plus ou moins éclairées, du Golfe au Maroc en passant par la Jordanie. Ce « front du refus » n'a aujourd'hui de prise que sur les Etats-Unis, seule puissance extérieure influente sur l'ensemble de la région, et qu'il pousse à freiner plutôt qu'à accélerer le changement réclamé par les peuples. Il n'en a guère, toutefois, sur l'opinion de leurs sujets, dont la moyenne d'âge est aujourd'hui de 24 ans, et qui aspirent à vivre autrement. http://www.rue89.com/2011/02/10/letrange-f...s-arabes-189856
  15. Par contre certains marocains aiment bien les bimbos opulentes... Roooooo...ze rigole totonounet
  16. bonne idée...la peinture en spray sur les visières et pare brise...contre ....jdc jdr http://www.theatlantic.com/international/a...anslated/70388/
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