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Les mots qui ne sont pas des concepts mathématiques n'ont pas de valeur formelle pour faire une démonstration. Quand on parle de preuve de l'existence de Dieu on parle toujours dans le vide.
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Nouvelle théorie d'unification de la physique à particule unique
alexandreW a répondu à un(e) sujet de alexandreW dans Sciences
Je pense que ça peut bien sur avoir un intérêt. Moi, je m'étais fixé comme règle: on doit toujours pouvoir expliquer en quoi est faite la particule la plus petite, d'où cette théorie fractale. On part de règle et on arrive à un raisonnement qui tient. Einstein disait: la vitesse de la lumière est la même quelque soit le référentiel... et le pire c'est que ça marche. La mécanique quantique dit: l'incertitude sur l'impulsion x incertitude sur la position=h constante de planck. Les statisticiens disent la vie biologique est gaussienne et ça marche. Alors pourquoi pas ces règles que tu énumères... Bonne nuit... -
Nouvelle théorie d'unification de la physique à particule unique
alexandreW a répondu à un(e) sujet de alexandreW dans Sciences
Je te remercie pour ce superbe exposé compréhensible par tous et très didactique. Le spin peut il être considéré comme étant la conséquence d'une répartition irrégulière des charges dans une particule? En IRM, les spins des protons (donc des hydrogènes) sont avant magnétisation aléatoires et réparties dans toutes les directions. La magnétisation du champs B0 fait que les spins se dirigent soit dans le sens de B0 (1000 000 dans ce sens )pour presque la moitié dans l'autre sens (999999 dans l'autre sens) cette petite différence est à l'origine de l'IRM. On considère en IRM que le proton est un dipole mais dans ce cas tous les spins devraient être orientés dans le sens de B0. La différence en l'axe de rotation physique et l'axe gyromagnétique est à l'origine de multiples cercles très rapides de rotation de l'axe gyromagnétique (comme la terre avec son axe magnétique décalé de son axe de rotation) ces mouvements sont à l'origine des ondes de réémission par les protons qui sont captés par des antennes en IRM Le proton se comporte comme la terre!! Comment expliquer ça? La notion de charge en quoi consiste t elle vraiment et intuitivement à ton avis? Tu as raison, à un moment donné on fera avec qui veut participer une mégasynthèse de cette théorie compréhensible par tous. -
Nouvelle théorie d'unification de la physique à particule unique
alexandreW a répondu à un(e) sujet de alexandreW dans Sciences
La notion de spin est d'utilisation courante dans la vie de tous les jours puisque l'irm est basé sur ce principe. En Irm, on met un individu dans un champs magnétique intense, le champs B0 qui magnétise le patient pendant à peu près 6 minutes ou moins actuellement. Ce champs met en rotation les protons à une vitesse rotatoire W proportionnelle au champs magnétique. Il existe un décalage de rotation entre la rotation du champs magnétique et la rotation physique du proton, ceci entraîne une rotation circulaire du moment gyromagnétique du proton à l'origine de ce qu'on appelle le cercle de precession en IRM. Un champs perpendiculaire B1 à B0 est mise en place pour dévier les champs magnétiques des protons c'est le T1, quand on arrête B1 les champs magnétiques se réaxent c'est la relaxation c'est le T2. Chaque tissu du corps a une densité, un T1 et un T2 caractéristique. Le spin est une notion étrange de rotation lié au fait que les particules se comportent comme des dipôles qu'on peut mettre en rotation avec un champs magnétique. Penser que l'irm a été inventé fin des années 60, il a fallu 15 ans pour que l'informatique permettent de faire des images... Gallium va nous parler prochainement de la notion de spin. -
Nouvelle théorie d'unification de la physique à particule unique
alexandreW a répondu à un(e) sujet de alexandreW dans Sciences
Salut Gallium! Ce serait vraiment super s'il acceptait de nous faire rêver sur ce domaine. A bientôt -
Nouvelle théorie d'unification de la physique à particule unique
alexandreW a répondu à un(e) sujet de alexandreW dans Sciences
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Nouvelle théorie d'unification de la physique à particule unique
alexandreW a répondu à un(e) sujet de alexandreW dans Sciences
Bonne année à toi aussi. Désolé pour le pavé... -
Nouvelle théorie d'unification de la physique à particule unique
alexandreW a répondu à un(e) sujet de alexandreW dans Sciences
Bonjour Gallium, merci pour ces réponses qui sont comme d'habitudes très détaillées et didactiques! Je connaissais les formules de transformations de Lorenz (je pense que tu les manipules bien mieux que moi). La vitesse de la lumière est la même quelque soit le référentiel même pour un référentiel à 99% de la vitesse de la lumière par rapport à un autre référentiel Ce qui veut dire que la dans tous les référentiels, on mesurera la vitesse c pour la lumière, mais comme le temps est très ralenti à 99% de la vitesse de la lumière ,alors la lumière que l'on mesure avec un temps ralenti par rapport au référentiel à l'arrêt, fera qu'on verra toujours la vitesse aller à c même si l'objet lancé à 99% de c allume la lumière. On observera par contre un effet doppler relatif pour ces objet en mouvement (je ne donnerai pas les formules mais l'effet s'observe à 90° par rapport au mouvement (encore un effet de la relativité!). Je sais qu'il n'y a pas d'additivité des vitesses de manière galiléenne, l'espace pour la relativité n'est pas galiléen. Ce que je voulais dire, je me suis encore une fois mal exprimé, je m'en excuse ( c'est pas facile pour moi, je ne suis qu'un amateur) c'est que l'hyperfluide dans la théorie à particule unique ( qui est dans un espace galiléen infiniment intriqué, une sorte d'espace fractal) va à la vitesse des masses environnantes à l'échelle d'un amas galactique local. Il existe un repère fiable dans notre U c'est le grand attracteur, l'axe de la corde, et une galaxie de référence. Ce qui veut dire que la vitesse de l'hyperfluide dans un amas galactique a localement une vitesse qu'on pourrait qualifier de nulle par rapport à c ( négligeable par rapport à c) car il va à la vitesse des masse environnantes (à l'origine de l'hyperfluide). L'hyperfluide a une célérité égale à c pour la lumière quelque soit l'endroit dans notre U. Mais par rapport au référentiel grand attracteur, un amas peu avoir une certaine vitesse v, une onde lumineuse pourra se déplacer à la vitesse v+c dans le référentiel grand attracteur. Avec la vitesse les masses de basse densité qui sont presque vides subissent une augmentation inertielle dans la théorie à particule unique, ce qui entraine à la fois un écrasement dans le sens de la marche et un ralentissement des mouvements, l'accélération et la gravitation produisent les mêmes effets selon le même principe que la démonstration présent dans le DOC précédent. En gros on devrait avoir à l'échelle locorégionale les mêmes effets que ce qui est décrit dans la relativité, cette théorie, je ne la remet pas en question pour les masses de faible densité et à l'échelle locorégionale. Dans une échelle plus grande, on peut imaginer que les amas galactiques s'éloignent en s'accélérant pour le moment, les masses d'hyperfluide ont donc des vecteurs vitesses par rapport à notre référentiel local. Une onde lumineuse partant de notre amas galactique pourrait attraper un flux d'hyerpfluide comme une onde sonore avec le vent, la célérité du son restant toujours identique. C'est à peu près ça que je voulais dire, tu vas peut être nous aider à l'exprimer mieux. Une masse de très forte densité dans cette théorie pourrait franchir le mur de la lumière et créer un cône MAC lumineux (comme le font les électrons dans le plexiglas qui font un cône mac à l'origine du rayonnement de Charenkov pardon pour l'orthographe...) On pourrait suspecter certains flashs gammas d'être l'expression de ces phénomènes (il y a bien sur bien d'autres explications possibles aux flash gammas comme la fusion de deux étoiles à neutrons, de deux trous noirs....) Dans la théorie à particule unique pour que les cordes existent il faut que celles-ci soit alimentées ( en prébigbangs qui créent des U dans la zone de recrutement gravitationnelle), les prébigbang qui approximativement pèseraient de l'ordre de 100 milliards de galaxies et qui auraient un diamètre de l'ordre de 10 millions de kilomètres pourraient traverser notre U dans toutes les directions à des vitesses vectorielles variables dont beaucoup seraient supraluminiques et seraient à l'origine de la majorité des flashs gammas observés. Des masses aussi importantes devraient avoir un effet terrible sur l'espace temps en relativité! Pour ces masses de cet ordre la gravitation est égale à l'antigravitation ( cf le premier doc du forum, la masse étant surtout périphérique, il n'y a plus d'électrons, toutes les cordes gravitationnelles sont transformées en particules U antigravitationnelles donc la somme des deux forces est nulle) Par contre on peut imaginer l'effet inertiel que ça peut créer avec un ralentissement terrible des mouvements des masses ( ça pourrait expliquer la vie très longues des étoiles géantes bleues à vie longue même si bien sur il peut exister d'autres explications). Désolé Gallium pour ces explications intuitives un peu diarrhéiques... Le photon: Bien sur qu'il faut tenir compte de la dualité onde-particule, la mécanique quantique peut devenir très intuitive. Imaginons un réseau multidirectionnel anisotrope de cordes d'hyperfluide ayant une vitesse quasinégligeable par rapport à l'environnement massique. La corde d'hyperfluide est faite de réseaux de quasars (comme il a été découvert récemment dans notre propre univers) , elle est produite en permanence par les masses mais est également détruite régulièrement par les masses les cordes rompus ou les quasars libérés passent en big crunch et se retransforment en prébigbang (à pouvoir gravitationnel nul). La tension de la corde d'hyperfluide est presque nulle, le frottement existe mais dans le cas particuliers négligeable, le module de Young très petit. La longueur des cordes de l'hyperfluide est très importante donc la fréquence propre de cette corde est très basse avec des longueurs d'ondes de plusieurs millions de kilomètre. Le photon serait un vibration d'un ou de quelques quasars dans cette corde qui se transmettrait de corde en corde si celles-ci sont à peu près parallèles. Plus la fréquence du photon est élevée moins elle met en vibration de quasars et plus l'espace ou est cantonné le photon est petit et plus l'amplitude de cette onde est importante, plus le photon a une fréquence basse plus le nombre de quasars vibrant est élevé mais avec une amplitude basse. Les photons de basse fréquence ont plus de risque circuler le long de la corde expliquant leur plus grand espace de présence ainsi que leur faible pouvoir de discrimination dans l'utilisation pour déterminer une petite distance entre deux points. Plus la fréquence est élevée plus l'amplitude de vibration la protège d'une contamination longitudinale de l'onde. On comprend que la vitesse de la lumière est constante dans le vide ce qui n'est pas le cas dans une masse(c'est tout le principe de l'optique d'ailleurs). Merci Gallium pour tes remarques (on s'amuse à réimaginer un univers galiléen, c'est peut être faux mais au moins on s'amuse bien) -
Nouvelle théorie d'unification de la physique à particule unique
alexandreW a répondu à un(e) sujet de alexandreW dans Sciences
Bonne année Gallium, je te souhaites une très bonne année pleine de découvertes fondamentales et de surprises. Bonne année à tous. Je pense comme toi que dans les toutes petites dimensions, la relativité ne s'applique plus Le photon s'il devait répondre à la relativité devrait soit avoir une masse infinie puisqu'il se place à la vitesse c soit une masse nulle, dans ce cas on se demande comment il peut transporter de l'énergie (à cause de l'équivalence masse-énergie) D'abord, on peut se demander ce qu'est un photon: dans la théorie à particule unique, c'est une pure onde de pression avec un mouvement de translation sur un seul U d'une corde d'hyperfluide ( il s'agit d'un U quasar de petite dimension, le mouvement peut être en translation ou en mouvement longitudinal le long d'une corde d'hyperfluide pendant un temps( ceci pourrait expliquer le phénomènes quantiques:la vibration longitudinale résiduelle pourrait interférer avec le photon qui suit dans l'expérience de la double fente). J'avoue que je n'ai pas été clair sur la deuxième partie. La célérité de la lumière dans l'hyperfluide est toujours égale à C comme la vitesse du son dans l'air à pression et température donnée. Pour l'hyperfluide c'est à peu près la même chose, l'onde lumineuse (ou le quanta de mouvement transversal) se déplace à la vitesse c, mais les masses créent des mouvements d'hyperfluide (les lignes gravitationnelles participent à l'hyerfluide, si l'hyerfluide a un vitesse v par rappport à un autre référentiel l'onde lumineuse va aller à C+v par rapport à se référentiel donc la lumière ira plus vite que que la lumière par rapport à ce référentiel par contre la vitesse relative de la lumière par rapport àl'hyperfluide local est toujours c. Pour qu'il y ait réfraction comme en optique il faut qu'il y ait une limite nette entre deux zones de célérité de la lumière différente (comme en optique) ce qui n'est pas le cas ici. La lumière est simplement déviée par les masse comme dans la relativité mais l'explication n'est pas la courbure de l'espace-temps. Bien sur tout ceci ne sont que des intuitions et je m'amuse simplement à imaginer, je n'ai pas ton niveau ni ta célérité (justement) en math et en physique. En parlant de célérité, j'ai l'impression que ça n'a pas le même sens en anglais (je l'ai lu dans le livre de Brian Green) pour les anglais célérité veut dire vitesse vectorielle d'une masse et vitesse son module? -
Nouvelle théorie d'unification de la physique à particule unique
alexandreW a répondu à un(e) sujet de alexandreW dans Sciences
Bonjour Gallium, je reprends ta citation: Quant au ralentissement du temps, effectivement il serait tentant de penser à un dérèglement des appareils de mesure. Le processus de vieillissement est en fait lui aussi ralenti, l'horloge biologique aussi. Tout est affecté. Il me semblerait douteux que tout soit affecté, sauf le temps, alors que c'est de lui que tout part. En supposant qu'il n'y ait aucun dérèglement des appareils de mesure, tous les mécanismes de la physiques pourraient être ralentis par une augmentation inertielle des masses. Les mouvements serait plus lents, la conduction électrique plus lente et les appareils de mesure donneraient une mesure de temps ralentie sans pour autant que le temps soit lui-même affecté. Dans la relativité restreinte la célérité est le vecteur vitesse dans un espace en quatre dimensions. Le module de ce vecteur est la vitesse. Pour tout objet Einstein dit: dans un espace en quatre dimensions (x, y, z, ict(le temps)) la vitesse de toute masse est égale à c. En gros si la dimension t est égale à 0 alors l'objet va à la vitesse de la lumière, si la dimension temps est maximale alors l'objet est immobile (mais le module du vecteur célérité de tout objet sera toujours égal à c) La relativité générale vient apporter une réponse au problème de la gravitation grâce au principe d'équivalence entre accélération d'une masse en général et gravitation. Toute masse crée une déformation en cuvette de l'espace temps ou d'autres masses on tendance à tomber , plus la masse est importante plus cette déformation est importante. C'est là que ça devient étrange et non intuitif, cette gravitation ralentit également le temps. Intuitivement, je préfèrerai imaginer que les lignes gravitationnelles plus nombreuses et plus rapides qui traversent une masse augmentent l'inertie de celle-ci donnant les même symptômes de ralentissements de mouvements qui peuvent être interprétés comme un ralentissement du temps. Personnellement, je pense que la vitesse c est locorégionalement constante mais qu'elle varie par rapport à nous puisque cette vitesse varie en partie en fonction des masses rencontrées qui sont à l'origine de l'hyperfluide dans la théorie à particule unique. Dans ce cas c subirait des accélérations et des décélérations quand la lumière fait de long trajets intergalactiques, en moyenne c serait relativement constante sur un long trajet. On pourrait imaginer une théorie sans trame espace-temps. Qu'en penses tu Gallium? -
Nouvelle théorie d'unification de la physique à particule unique
alexandreW a répondu à un(e) sujet de alexandreW dans Sciences
Bonjour Afarensis, Si l'hyperfluide existe, les photons en grandes quantité pourraient effectivement casser ces cordes et libérer une énergie supplémentaire. La fatigue de la lumière peut trouver plusieurs explications comme l'a expliqué Gallium, de même pour le ralentissement de la sonde américaine. Rien n'est encore sur, comme je l'ai dit précédemment. Il faudra attendre les preuves expérimentales pour pouvoir confirmer ou infirmer une théorie M ou une autre, pour le moment, il n'existe pas de preuve formelle. Bonjour Gallium, On parlait de la disparition de la théorie de l'éther que beaucoup de preuves expérimentales ont entamé notamment l'expérience sus-citée et également des mesure de vitesses lumineuses de couples d'étoiles. Mais si les masses étaient à l'origine de cet hyperfluide, cet hyperfluide se comporterait comme la trame espace temps dans la théorie de la relativité (une plus grande densité en hyperfluide à proximité d'une masse provoquerait une augmentation de l'inertie des masses localement et donc provoquerait une nette diminution des mouvements à énergie cinétique égale (ce qui reviendrait à observer un ralentissement du temps observé comme dans la relativité). La vitesse de la lumière est la même quelque soit le référentiel, même avec la théorie de l'hyperfluide ça tient la route, l'hyperfluide étant en général, fabriquée par les masses du référentiel , la vitesse relative de l'hyperfluide est nulle et donc la vitesse de transmission de la lumière reste la même. Il serait intéressant de faire des mesures de la vitesse C à distance des masses et à des vitesses variables de référentiel, là ça pourrait devenir parlant, mais difficile en pratique. L'hyperfluide se comportant comme la trame espace-temps de la relativité, les résultat observés seront très proches( il est difficile d'aller à des vitesses importantes avec notre technologie). La trame de l'espace devient palpable avec l'hyperfluide. Le problème des théorie avec des cordes ou des particules d'interaction est le suivant: Il y aura toujours quelqu'un pour poser une question qui prouve qu'on a pas affaire avec une théorie de grande unification: De quoi sont faites les cordes? d'énergie C'est quoi l'énergie dans le cas particuliers? Pourquoi les cordes ont elles décidé de vibrer d'une certaine manière? Les particules d'interaction sont faites de quoi? comment délivrent elles leur message? (c'est la poste... je plaisante) Il faudrait qu'on arrive à trouver une théorie qui explique tout et qu'on puisse toujours répondre à toutes les questions. Je sais c'est pas gagné. On compte sur des gens comme toi pour trouver ce mystère, c'est d'ailleurs ton travail et tu as de la chance de travailler dans ce domaine. A bientôt -
Nouvelle théorie d'unification de la physique à particule unique
alexandreW a répondu à un(e) sujet de alexandreW dans Sciences
Merci Gallium pour cet exposé, je trouve ça génial, je reste toujours stupéfait par le côté multimédia de tes explications, actuellement être professeur avec les moyens techniques disponibles, tu dois vraiment t'amuser. Je suis dans la lecture du livre que tu m'a conseillé, je comprends la problématique d'unification de la physique quantique et de la relativité puisque les observations vont dans ce sens: Même si les explications cordales de la nature ne peuvent être vérifiées, si ça permet de faire des prédictions théoriques vérifiables, en attendant mieux, c'est cette théorie qu'il faut utiliser. De toute façon, on croit toujours tenir la bonne explication dans ce domaine et on trouve toujours mieux, mais c'est ça qui est stimulant dans les sciences. Comment explique-t-on les réseaux de quasars découverts récemment? avec la théorie M? Les cordelettes infiniment fines des quacks sont faites de quoi? pourquoi vibrent -elles d'une certaine manière? Pourquoi l'univers est il tel qu'il est avec cet équilibre précaire? On en revient tout doucement à l'existence de Dieu en attendant mieux comme explication. Je continue pour ma part à penser que Dieu s'il existe ne se cache pas dans la physique. Le temps, qui subit des déformations me dérange, parce que le concept même de temps n'est pas clair pour moi? Existe-t-il vraiment ce temps ou est ce une simple mesure du mouvement? Les dimensions mathématiques a -t -on le droit de leur faire subir des déformations? Faire subir des lois physiques à des lois mathématiques n'est ce pas une erreur de raisonnement? (j'ouvre le débat, ce n'est pas une critique) -
Nouvelle théorie d'unification de la physique à particule unique
alexandreW a répondu à un(e) sujet de alexandreW dans Sciences
Bonjour Afarensis, Pourquoi pas? de toute façon personne n' a de certitude la dessus -
Nouvelle théorie d'unification de la physique à particule unique
alexandreW a répondu à un(e) sujet de alexandreW dans Sciences
C'est vraiment super comme exposé gallium, les images animés...Je ne comprends pas comment du fais pour faire ça, tu as accès à des liens de ta fac pour faire des cours, une sorte de base de données de films? Je me fais l'avocat du diable: dans l'expérience que tu citais pour la mesure de la vitesse de la lumière à deux moments de l'année devant prouver l'inexistence de l'éther. Si le superfluide est fabriqué en permanence par les masses il est normal que nous mesurions les mêmes vitesse pour la lumière à deux moments de l'année. La vitesse relative du flux d'éther étant toujours la même... Comment explique t on la fatigue de la lumière? Comment explique t'on le ralentissement inattendu de la sonde qui va vers alpha du centaure? N est ce pas la preuve qu'il y a un frottement avec quelque chose? Le superfluide s''il existe n'est pas superfluide... La trame espace temps de la relativité a le mérite d'être simple pour expliquer le ralentissement du temps avec les accélérations (vitesse et gravitation) en temps de déformation de celle-ci. Mais ralentissement des mouvements signifie t il ralentissement du temps local? Ou tout simplement augmentation inertielle d'une zone de l'espace? (J'ouvre le débat...) -
Nouvelle théorie d'unification de la physique à particule unique
alexandreW a répondu à un(e) sujet de alexandreW dans Sciences
J'aimerai ouvrir le débat sur la notion de temps et de la relativité, le temps existe-t-il vraiment ou est il lié à l'observateur qui observe des mouvements, est il partie intégrante d'un maillage espace temps que les masses peuvent modifier. La limite C dans le vide n'est elle pas la preuve en fait de l'existence de "l'éther" remplissant l'espace?. Peut on imaginer une autre théorie influant sur les mouvements mais ne changeant pas le temps? Pourquoi la mécanique quantique et la théorie de la relativité ont elles leur propre indication (pour les petits quantiques, pour les grands relativité comme pour un médicament...) Vous trouverez ci joint un doc, j'ai appelé éther, superfluide à la demande générale, parce que l'éther ça rappelle trop les hôpitaux (plus maintenant mais il y a 10 ans!!). Les formules ne passent pas en format ASCI c'est pour ça que je les ai mis en DOC. Vous pouvez critiquer (en restant correct cf lois du forum qui sont magnifiques), tout modifier apporter votre grain de sel, cette tentative théorique est open source... On rappelle que la théorie de la relativité a pris comme postulat que les lois de la physique sont les mêmes quelque soit les référentiels galiléens (à la gravitation près), aucune masse ni onde ne peut dépasser c la vitesse de la lumière dans le vide (on suppose que l’éther n’existe pas). Pour que ce postulat fonctionne, on a utilisé des mathématiques adaptées (espace de Minkowski, transformation de LORENTZ pour passer d’un référentiel à l’autre, la nécessité de ne pas dépasser c entraîne une compression du paramètre t, le temps …) Je pense qu’il n’est pas logique d’agir sur un paramètre t qui ne sert qu’à mesurer le mouvement. Le fait que les mouvements se ralentissent avec la vitesse selon la formule consacrée, ne signifie pas que le temps ralentisse (tv=1/racine(1-(v²/c2))) On peut imaginer que le phénomène de ralentissement des mouvements soit lié à la présence du superfluide : La matière peu dense (jusqu’à l’étoile à neutron) est presque vide, toute masse ressemble à des grillages tridimensionnels avec des mailles de grand diamètre. Avec la vitesse, la probabilité de rompre des cordes du superfluide augmente (ces cordes sont fragiles, étant donné que les Us qui la composent ont des très gros grands attracteurs), les fragments des cordes libérés se comportent comme un gaz circulant dans ces canaux. La cassure des cordes lors de la situation d’équilibre se produit sur le front d’avancement de l’objet, ce qui explique la présence d’un mur lumineux devant l’objet. Je vous adresse ci-joint une citation très intéressante de Gallium spécialiste de la mécanique quantique qui nous parle de ce problème temps dans la mécanique quantique: Citation (Gallium @ samedi 25 décembre 2010 à 12h20) * Elle reste cohérente du moment que l'on s'occupe de l'infiniment petit, autrement dit des échelles quantiques. Dans le monde macroscopique, la physique quantique n'a plus aucune utilité et mène à des aberrations, puisque le monde macroscopique se comporte davantage de façon ordonnée tandis qu'en mécanique quantique de façon chaotique, au niveau de l'espace-temps. En mécanique quantique le temps existe, de même que l'espace, mais le tissu spatio-temporel est si agité qu'il est impossible de se situer dans l'espace ou dans le temps. 1seconde peut durer 1million d'années et je pourrais tout aussi bien être à droite d'un électron qu'à sa gauche ou au-dessus, raison pour laquelle il est nécessaire d'user des probabilités et du principe d'incertitude de Heinsenberg pour prévoir la position d'une particule, du moins sa probabilité de se trouver à tel ou tel endroit. relativit_.zip -
Je suis d'accord qu'une seconde peut durer des milliards d'années à cette échelle mais ce n'est pas à mon avis à cause de la trame espace temps...
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Pour une onde gravitationnelle oui pour une perte brutale de masse comme dans une supernova non Je suis d'accord avec toi, on peut toujours débattre et dire ce qu'on pense vive les forums!!! espace-temps de liberté...
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J' espère que vous avez passé un bon réveillon!! Je pense que le problème de la discussion actuelle est axée sur le fait que dans la relativité, le temps n'existe pas, il fait parti d'un même groupe l'espace-temps indissociable. En mécanique quantique c'est l'onde-particule qui est indissociable. Est la un moyen de mettre dans un même paquet (cadeau) tout ce qu'on ne comprend pas et qui ne colle pas avec l'observation? La non compréhension de certains phénomènes physiques pourrait s'expliquer par le fait que leur mécanisme intime se fait à une vitesse inimaginable pour nous, nous donnant l'impression qu'une particule peut être partout en même temps. On peut faire la même remarque pour la relativité, la trame espace-temps est là pour essayer de comprendre la vitesse des effets gravitationnels qui semblent presque instantanés (je ne parle pas des ondes gravitationnelles qui vont à la vitesse de la lumière) mais d'une disparition brutale de masse changeant instantanément les mouvements des masses environnantes dans leur trajectoire.
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C'est dommage parce que le présent est plutôt sympathique...homéomorphe à quel autre espace dans ce cas particulier? Passe une bonne soirée.
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Tu ne penses pas qu'il existe un temps le plus petit existant pour le présent, le temps de Planck? Le présent durerait un temps de planck? Toi tu penses que le présent dans un espace métrique homéomorphe continu est un ensemble vide? Soit le présent durerait 0 secondes? Ou tout simplement, le présent est le seul temps ou toutes les masses ont une vitesse nulle...
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Salut Gallium On voulait peut être parler de cadeaux pour présents, c'est normal vu la date. Je te souhaite un joyeux noël. En dehors de ça, le présent pourrait être un ouvert comme dans l'espace topologique R, le présent est en ouvert soit le groupe complémentaire de l'union du passé et du futur! Amitiés
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La dimension temps est un concept mathématique pour conceptualiser la notion de mouvement. Sans mouvement pas de temps. On pourrait imaginer qu'il n'existe pas de temps universel mais le mouvement donne la notion de temps. En relativité restreinte, le mouvement ralentit le temps en relativité générale, c'est la masse qui déforme l'espace topologique espace-temps pour expliquer la rapidité de l'influence de la masse sur une autre masse. Et si tout ça n'était qu'une vue de l'esprit. Si la vitesse augmentait l'inertie des masses, en ralentissant le mouvement à énergie égale, on a une impression de ralentissement du temps constaté, pour l'effet de la gravitation sur le temps, on pourrait faire la même remarque, les lignes gravitationnelles qui traversent la masse augmenterait l'inertie de celle-ci donnant une impression de ralentissement temporel. Le temps serait une dimension de confort facilitant les calculs physiques mais n'étant pas une réalité physique. Dans chaque repère il faudrait prendre un repère inertiel en mouvement circulaire pour servir de repère temporel... Si les vitesses des masses étaient beaucoup plus importantes dans le très petit, est ce que ça signifierait que le temps a changé, ou tout simplement que le mouvements observés par un observateur lent lui donnent une impression de changement temporel? Le temps vaste sujet, ah désolé, je vous en fait perdre...
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Nouvelle théorie d'unification de la physique à particule unique
alexandreW a répondu à un(e) sujet de alexandreW dans Sciences
Donc, la position verticale de la particule est nommée y, l'erreur de la position de y est donc B/2 Au premier minimum, on simplifie (sinus delta théta=delta théta car delta théta est petit) Sin (deltat théta)=Py (composante verticale de l'impulsion)/PO (composante horizontale de l'impulsion) On peut donc écrire Py= P0 delta théta Par la physique ondulatoire classique on sait que delta théta=lambda (longueur d'onde)/B En gros plus la fente est étroite plus l'angle est important, intuitivement ça marche bien plus la fente est étroite plus ça diffracte, plus l'onde s'étale... Py=P0 lambda/B L'incertitude sur y position verticale de la particule= largeur de la fente =B On se rappelle du principe d'incertitude d'EINSENBERG:delta y X delta Py=h (constante de planck) On a donc: P0 lambda /B X B= P0 lambda =h L'impulsion horizontale multipliée par la longueur d'onde est constante=h constante de planck. En gros, si on a une grande incertitude sur cette valeur P, alors on a un certitude sur sa position, à l'inverse si on a une grande incertitude (B petit) alors on a une grande certitude sur la valeur de l'impulsion (longueur d'onde L'étalement est grand dans ce cas et on peut mesurer lambda précisément. On peut par cette méthode mesurer la longueur d'onde d'une particule. Rien qu'en rusant, par la logique on arrive à trouver une valeur qui nous semblait inaccessible... Cette équation dit aussi, que plus Po est grand plus petit est la longueur d'onde et ça s'est logique, plus le ressort vibre vite plus l'impulsion est importante, rappelez vous les bompers du flipper... Voyez c'est étrange la mécanique quantique mais c'est compréhensible... On peut imaginer la situation de manière intuitive dans la théorie à particule unique: Les particules se comportent de manière différente selon qu'elle sont des ondes de pression transversales (un photon), une boucle (un électron , un positon..), une torsion dans l'axe (un neutrino...) un ensemble de boucles associées (un proton, un neutron, un atome, une molécule) Dans le cas d'un photon, la transmission dans une direction se fait seulement si la corde adjacente est parallèle à un angle théta près. Ceci veut dire que le photon quand on le regarde de près avance légèrement en zig zag. On peut imaginer que si la corde adjacente n'est pas dans un parallélisme acceptable, il ne se mettra pas en résonance et ne transmettra pas l'onde. Ce deltat théta explique qu'une onde horizontale qui ne devrait pas avoir de composante d'impulsion verticale a un composante verticale... Dans tous les cas ou les cordes du superfluides balayent l'espace il y a une probabilité d'impact avec la matière donc de transfert d'énergie, ce qui n'est pas le cas des transfert d'énergie par torsion, on comprend ainsi mieux le comportement du neutrino. Bien sur , vous l'avez compris tout ceci n'est qu'une intuition physique non mathématisée mais je suis sur qu'un jour on s'amusera à mathématiser tous ensemble ces hypothèses en direct dans ce forum... Ps: merci Gallium pour le livre l'univers élégant, j'adore, il a du fumer pour imaginer tout ça (je n'ai pas de leçon à donner à ce niveau...)(je ne fume pas c'est une image...) -
Nouvelle théorie d'unification de la physique à particule unique
alexandreW a répondu à un(e) sujet de alexandreW dans Sciences
J'étais entrain de parler de mécanique quantique d'après Feymann, un génie de la physique L'expérience suivante concerne des particules qui viennent de très loin et qui viennent donc horizontalement. Le dessin ci dessous est tiré de son excellent livre: mécanique quantique. Les particules arrivent horizontalement, ils devraient donc n'avoir qu'une impulsion horizontale dominante p0 le capteur à droite est un compteur de particule, ça veut dire que la particule arrive toute entière (sans nuance, 0 ou 1), la courbe correspond à l'accumulation des impacts. B est la largeur de la fente, delta (théta) l'angle pour arriver au premier minimum. La distance au premier minimum est lambda (c'est de la physique ondulatoire traditionnelle). Je vous expliquerais demain ou on veut en venir avec cette expérience... Le but des expériences qui vont venir est de comprendre ce que représente un paquet d'onde... Pour les physiciens quantiques , les particules n'existent pas, ce sont des ondes-particules... Les ondes ont tendance à s'étaler, pas les ondes particules, elles restent groupées mystère... Elles se comportent soit comme une bille quand on les regarde de trop près soit comme une onde de billes individuelles... bizarre, ont elles une âme de mouton ? -
Nouvelle théorie d'unification de la physique à particule unique
alexandreW a répondu à un(e) sujet de alexandreW dans Sciences
Dans cette théorie, il faudrait imaginer que le temps passerait à une vitesse très importante quand on passe d'une dimension à celle du dessous. On pourrait prendre comme hypothèse que notre univers est dans une corde et que nous sommes dans de la matière, notre corde arrive en base de boucle régulièrement (chaque boucle est un quark de la matière de la dimension du dessus). On pourrait imaginer que nous arrivons en base de boucle tous les 250 millions d'années, ce qui entraîne un échange de cordes de la dimension du dessous de la notre avec l'univers qui arrive en sortie de boucle. Cette échange produit une modification de la physique nucléaire dans notre univers (physique à 8 quarks), qui pourrait provoquer un grand bouleversement de l'activité solaire, lui même à l'origine des extinctions massives des espèces constatées tous les 250 millions d'années. Certains pensent que cette modification climatique aurait pu durer plusieurs dizaines voire plusieurs centaines d'années...Le scénario 2012 serait donc possible... A une autre échelle, les photons émis lors des excitations nucléaires durent 10^-39 secondes et pourrait correspondre à l'échelle du dessous à la même durée qu'un passage en base de boucle (soit quelques dizaines ou centaines d'années) 1 seconde à notre échelle pourrait donc durer 10^13 milliards d'année dans l'échelle du dessous c'est un ordre de grandeur. Ce ne sont que des hypothèses bien sur si on veut imaginer que la particule la plus petite de notre dimension est l'univers de la dimension du dessous...