Ah enfin, Merci Transporteur, on va pouvoir débattre sur le fond maintenant...
Confronté au vieillissement de la population et au ralentissement de la croissance économique, le système des retraites par répartition risque d'imploser après 2030. Jamais le pouvoir d'achat des retraites n'a été aussi entamé, à la fois par les impôts (l'abattement fiscal est passé de 35000 à 20000 FF et la taxation des revenus du patrimoine correspond à une double imposition), par les prélèvements sociaux (qui à cause de la CSG et du RDS ont augmenté de 8,7 % depuis 1990) et par l'inflation (+ 12 % depuis 1990).
Les fonctionnaires bénéficient déjà d'une compensation, et de taille : la garantie de l'emploi. En outre, leurs pensions sont garanties par l'état. Le montant des cotisations atteint 10 % du salaire dans le privé, contre 8 % seulement pour les traitements. Le mode de calcul repose sur les 25 meilleures années dans le privé, et sur les 6 derniers mois dans le secteur public. L'âge d'ouverture des droits est fixé à 60 ans par la loi, sauf pour les fonctionnaires, pour lesquels 15 ans de cotisations suffisent. L'âge moyen de départ à la retraite est de 61,2 ans pour les salariés du privé, de 58,5 ans pour les agents de l'état.
Faux !!!
La fixation d'une norme rigide et autoritaire en matière de temps de travail porte atteinte à la liberté du travail, principe essentiel de notre civilisation. De nombreux Français souhaiteraient travailler plus, pour gagner plus. En outre, cette norme risque d'aboutir à diminuer les prestations: si on augmente la durée de cotisation, par exemple de 40 à 42,5 ans alors que la majorité des jeunes entrent dans la vie active à 25 ans, pour cotiser 42,5 ans, il faudrait partir en retraite à 67,5 ans. La retraite étant fixée à 60 ans, on perd 7,5 ans. On fera ainsi baisser la pension de 20 à 25 %, et le cotisant ne s'en apercevra que lors de son départ en retraite!
Les élites décadentes ont laissé penser au peuple frauçais qu'il pouvait à la fois travailler moins, gagner autant et bénéficier de l'ouverture génaralisée de notre économie à la concurrence étrangère. Le résultat est là : disparition de pans entiers de notre industrie, millions de chômeurs, effondrement de la Sécurité Sociale et donc des retraites.
Il faut dire la vérité aux Français : le versement de leur retraite est subordonné à leur travail. Il leur faudra donc travailler plus, plus tôt et plus longtemps, pour espérer sauver le système de retraite, que celui-ci repose uniquement sur la répartition ou sur le double pilier de la répartition et de la capitalisation.
Source d'épanouissement personnel et matrice du développement de la cité, le travail, sang de la civilisation, est encore et toujours l'une des valeurs essentielles qui structurent la société.
La soumission de nos emplois et de nos produits à la concurrence internationale est la première cause du chômage de masse. Pour rester compétitives, les entreprises n'ont eu le choix qu'entre trois solutions :
- licencier pour diminuer leurs coûts de production et faire face à la guerre des prix sur le marché mondial,
- se délocaliser dans les pays où le travail est moins cher, ce qui signifie la disparition de nos grandes industries riches en main-d'¿uvre,
- remplacer les nationaux par une main d'oeuvre étrangère bon marché.
Il faut donc protéger nos frontières commerciales en relevant quand il le faut les droits de douane, et protéger notre marché de l'emploi en le réservant en priorité aux nationaux.
Ils sont venus ici en connaissance de cause et en sachant qu'ils violaient les lois françaises sur l'immigration, et savaient
très bien qu'ils devaient préalablement demander un visa .
Ils travaillent illégalement « au noir » (car il faut bien qu'ils se nourrissent), en toute connaissance de cause, mais se
servent ensuite de cet alibi pour réclamer, devant les caméras compatissantes, la régularisation de leur situation : ils étalent ainsi leurs violations des lois françaises pour revendiquer leur régularisation : c'est un comble .. faisant ainsi l'apologie de la violation de nos lois !!!
On veut faire venir des immigrés, alors que la France est incapable de fournir un travail à chacun de ses propres enfants. Et puis il faudra expliquer comment un travailleur peu qualifié du tiers-monde va pouvoir payer la retraite d'un cadre supérieur. Grâce à un véritable déferlement migratoire, le nombre compenserait sans doute la faiblesse unitaire des cotisations, mais cela poserait évidemment bien d'autres problèmes!
pour éviter la ruée à l'Est des entreprises, liée à l'élargissement de l'Europe, et la ruée à l'Ouest des cerveaux, liée au fiscalisme, il est nécessaire de mettre en ¿uvre les principes suivants :
- la restauration de la préférence nationale en matière d'emploi, abolie en 1981 ;
- la diminution des prélèvements obligatoires (les plus élevés en Occident), liés entre autres au coût de l'immigration ;
- la protection de notre économie contre l'euro-mondialisme, qui place nos entreprises devant une seule alternative la faillite ou la délocalisation ;
- la réforme de notre système de formation.
Faux, c'est plutôt rendre leur liberté aux travailleurs.
En fin de compte, les salaires, l'épargne, les profits et les successions sont le fruit du travaiL C'est donc l'activité elle-même qni est pénalisée lorsqu'un niveau hallucinant de prélèvements pénalise les reveous (IR, CSG, RDS, IS ... ), puisque cela décourage les meilleures volontés. En outre, la structure de la fiscalité elle-même est défavorable à l'embauche : comme les charges sociales sont trop élevées, les employeurs préfèrent, quand ils le peuvent, remplacer les hommes par des machines.
Il faut donc, au plus vite, supprimer l'impôt sur le revenu et l'impôt sur les successions en ligne directe, afin de redonner à nos compatriotes la légitime récompense de leurs efforts, de leurs risques, de leurs initiatives.
La durée hebdomadaire moyenne du travail en France est de 36 heures, contre 40 heures en Allemagne, et plus de 43 heures en Angleterre !
Je suis bien d'accord avec toi quand tu dis qu'il y a des inégalité tel que les clandestins qui ne sont pas aussi malheureux que vous voulez bien le faire croire et que :
* ils ont accès aux soins gratuits par l'AME ( Aide Médicalisée d'Etat ),
* Ils ont droit à la CMU dans l'attente de leur régularisation (et à la carte vitale que certains considèrent comme une
véritable reconnaissance de leurs droits),
* Leurs enfants sont accueillis immédiatement et gratuitement dans nos écoles,
* Ils obtiennent des logements par des contacts déjà en place,
* Certains d'entre eux, régularisés, disent que, maintenant qu'ils étaient en règle, ils avaient beaucoup plus de mal à trouver un emploi qu'avant !!!
* Je me permets de vous informer aussi que, pour beaucoup d'entre eux, la régularisation est un moyen d'avoir accès à beaucoup d'autres avantages sociaux ( et pas forcément au travail ) et qu'une fois régularisés, ils font faire, par exemple, des dossiers MDPH pour faire reconnaître une invalidité ( pour eux ou leur femme ) afin de toucher l'AAH ( allocation adulte handicapé ..sans avoir à travailler )!
* Quant aux demandes de nationalité française, elles concernent surtout des 50 ans et plus qui veulent pouvoir faire
librement la navette entre leur pays du Maghreb et la France pour pouvoir se faire soigner chez nous : quelle motivation et quel amour de la France !!!!
A situation de l'emploi et des salaires inchangée, et par quel miracle changerait-elle, est-il possible de sauver les retraites complémentaires, sachant que le même problème se pose pour les retraites du régime général ? Il n'existe que peu de solutions :
- augmenter les cotisations d'un point dès 2010 n'aurait qu'un effet provisoire - en 2030, l' Agirc présenterait un déficit annuel de 2,3 milliards, de 6,8 milliards pour l'Arrco ; à comparer aux 14 milliards évoqués ci-dessus si rien n'était entrepris ;
- baisser encore le rendement (aujourd'hui 100 euros cotisés aboutissent à environ 7 euros de pensions par an) - les prix officiels, précisons-le, grimpant moins vite que les salaires, le rendement des régimes se dégrade avec régularité;
- augmenter d'un trimestre par an l'âge à partir duquel la pension Agirc-Arrco peut être liquidée sans décote ; elle s'appliquerait à partir de 2011, pour les personnes de 61 ans, soit un an de plus qu'actuellement en 2014. L'économie serait de 1 milliard par an. Economie à comparer aux 4 milliards de déficit prévus pour 2015, et aux 14 milliards attendus vers 2030.
Quoi qu'il en soit, ces mesures qui, on le voit, seraient insuffisantes, creuseraient encore l'inégalité entre les salariés du secteur privé par rapport aux fonctionnaires et bénéficiaires des régimes spéciaux. Mais il est vrai que la rue leur appartient.
Patronat et syndicats viennent de se rencontrer... pour ne rien décider. Ils ont reconduit jusqu'à fin 2010 les règles de l'Arrco et de l'Agirc. C'est un soulagement pour les salariés qui vont prendre leur retraite d'ici à fin 2010. Quant à la pérennité des retraites, elle n'est pas assurée et moins encore garantie. C'est à la veille des élections de 2012 que le gouvernement devra trancher. Nous lui souhaitons bonne chance ! Mais en dernier ressort c'est la bonne santé de l'économie, le plein emploi, des salaires en hausse qui, au-delà de la sécurité qu'ils apportent, préserveront les pensions. Si aucun décret ne garantit le développement économique, le devoir (et le rôle) du gouvernement est de créer les conditions qui le favorisent. C'est une question de compétence, de courage et de volonté. Nos hommes politiques n'en manquent-ils pas ?
Les maux dont est victime la Famille se sont encore aggravés :
- atteinte à la vie de l'enfant à naître aggravée par l'allongement de la période de recours possible à l'avortement avec la loi Aubry,
- décadence des m¿urs que favorise, entre autres, le PACS, dont l'objectif est de rendre possible l'adoption d'un enfant par un couple d'homosexuels,
- volonté de plus en plus affirmée de politiciens de gauche comme de l'UMP, de légaliser la drogue, véritable fléau pour notre jeunesse, dont les «rave-party» sont un vecteur important que les pouvoirs publics au mieux laissent faire, au pire dont ils facilitent l'organisation,
- remise en cause de la dignité de la femme notamment du fait de l'islamisation de notre Nation,
- dégradation du statut social, économique et fiscal de la Famille et particulièrement de la mère de famille...
En matière de retraites, le constat est identique. Dans ce domaine comme pour la natalité, les différents gouvernements ont choisi la politique suicidaire de l'immigration comme solution à court terme. Par ailleurs, les réformes indispensables et urgentes ont toutes été remises à plus tard. Celles annoncées ne se résumeront à presque rien compte tenu du chantage syndical à la grève et à la volonté du système de conserver des régimes lourds, rigides et inégalitaires.