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Yakulu

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Tout ce qui a été posté par Yakulu

  1. Est-ce que vous connaissez ou avez-vous connaissance d'un club de Krav-Maga dans la Vienne (86) ? Car malgré mes nombreuses recherches je n'ai rien trouvé...
  2. En effet ruski_stil en France le "marché" n'est pas très rependu pour la PR et de plus le salaire bof bof... C'est pour ça que je vais aller travailler aux USA :blush: Et oui comme tu as dit, avoir un background dans l'armée (qui plus est dans les FS) est un plus !
  3. Dans ma campagne je n'ai rien à part de la Savate Défense à 40 minutes de chez moi... :/
  4. Ouep je sais le Krav c'est le top, mais il n'y en a pas dans ma région...
  5. Bon on ne va pas débattre sur qui peut entrer au GIGN ! Je sais ce que je dis. Moi qui pratique la muscu très régulièrement (environ 12h par semaine) je peux vous dire que malgré ma force et ma carrure je ne sais pas frapper, donc mes coups n'ont pas de forces.... C'est bien beau d'avoir des biceps de 50 cm, mais encore faut-il savoir s'en servir et pour ça seul des connaissances en arts martiaux ou sports de combats à mon sens sont indispensables ! Et oui beaucoup de société recrute des anciens membres des FS ou du GIGN, RAID et GIPN, BRI etc. pour faire Garde du Corps ! Euh oui c'est un copier-coller, mais de mon forum qui parle de la Gendarmerie et plus particulièrement des ESOG (http://esog-gendarmerie.forumactif.net/ Donc enfin pourquoi je dis que les Gardes du Corps doivent avoir un bon niveau en art martial ? Tout simplement pour pouvoir suivre les formations du U.S Training (c'est la même chose pour le tir) !
  6. Alors là non non non du tout !!! ll faut être Gendarme pour pouvoir postuler au GIGN (ce n'est pas les CPA le GI) !!! Et je sais de quoi je parle... ! Ensuite oui il est vrai que des anciens des FS peuvent intégrer le GI, mais ils doivent être Gendarme (concours sous-off ou officier et ESOG ou EOGN) ! Bien-sûr eux ils n'ont pas leur preuves à faire pendant 3-5 ans en unité, car ils les ont déjà fait dans les FS ! ET enfin je n'ai pas dit qu'il fallait prendre les inters à la légères ! Seulement je voulais prouver que les membres du GIGN ne sont pas des fous de la gachette et qu'ils ont une très grande connaissance dans le milieu des arts martiaux et sports de combats ! Bon je crois qu'on s'écarte du sujet principal :blush:
  7. Encore des erreurs ^^ Pour le sport qui pratiquent c'est vrai qu'ils font les sport qu'ils "veulent", mais certains sont obligatoires du style PC (Parcours du Combattant) etc. Pour pouvoir postuler il faut une ancienneté de 3-5 ans dans la GENDARMERIE UNIQUEMENT !!! Pourquoi 3-5 ans ? Tout simplement parce qu'il faut entre 3 et 5 ans pour avoir la note minimale requise pour postuler au GIGN ! Et oui c'est une note qu'il faut ! Celle-ci est attribué par le Chef d'Escadron (pour ceux qui sont en Gendarmerie Mobile ou en Garde Républicaine) ou le Chef de Centre (pour ceux qui sont en Gendarmerie Départementale) en fonction du travail fournit, la discipline etc. En effet, être bon en sport ça ne suffit pas ! Ensuite non ils n'attendent pas tous le GIGN avec un esprit de warrior !!! La plupart des individus qu'ils interpellent sont des pauvres types psychologiquement instable ! C'est très rare lorsque des coups de feux sont tirés, mais il est vrai que ça arrive et pour ça tu as raison ils ne vont pas aller faire des clés de bras ! Pour ceux qui ça intéresse voici les différentes forces du GIGN. Tous les membres doivent au moins passer 5 ans dans la (FI) Force d'Intervention avant de pouvoir se former pour la spécialité qu'ils souhaitent (les femmes elles n'ont pas le chois elles sont directement affectée et ceux pour toute leur carrière au GI à la Force Observation/Recherche) ! Force Intervention (FI) La force "intervention" (FI) est l'héritière du GIGN tel qu'il existait jusqu'au 1er septembre 2007. Désormais déchargée des contraintes de gestions administratives et logistiques, elle peut se consacrer uniquement au métier "intervention", central dans l'activité opérationnelle du GIGN. La FI est composée d'une centaine de militaires regroupés au sein de quatre sections, aguerris aux techniques les plus exigeantes. Ces sections sont en mesure d'intervenir de manière autonome ou, éventuellement, dans le cadre d'un dispositif de plus grande ampleur, de manière coordonnée. Ce sont elles qui arment les détachements d'intervention d'urgence et de deuxième urgence. Dans le cadre d'une opération majeure exigeant un engagement massif des forces du GIGN, la force "intervention", placée sous les ordres du commandant du GIGN épaulé par son poste de commandement (PC) de crise, se verrait appuyée et soutenue par les autres entités de l'unité, afin d'être en mesure de se consacrer massivement aux opérations offensives du type assaut. Pour répondre au contrat opérationnel fixé au GIGN, la force "intervention" entretient et développe des capacités qui lui permettent de répondre, de manière autonome ou en coordination avec les autres forces, aux multiples situations de crise auxquelles est confrontée l'unité, qu'elles soient de caractère "policier" ou exigent la mise en oeuvre de techniques et tactiques spécifiques au contre-terrorisme. Parmi les domaines les plus exigeants, on peut citer: -le contre-terrorisme aérien; -le contre-terrorisme maritime; -l'intervention sur bâtiment, notamment dans le cadre de prise d'otages de grande ampleur; -l'intervention sur train; -dans des milieux particuliers comme les centrales nucléaires, les milieux carcéraux, mais aussi le désert, la forêt, la montagne. Par ailleurs, la force "intervention" s'engage sur des arrestations et opérations complexes de police judiciaire. Filatures à fin d'interpellation, arrestations de véhicules en mouvement, arrestations en milieu ouvert ou dans des domiciles durcis, opérations de flagrant délit, extorsions de fonds, enlèvements constituent une part importante de l'activité de la force. Toutes ces capacités exigent la maîtrise individuelle et collective de techniques telles que le tir, le sport de combat, le parachutisme, la plongée, l'effraction, l'infiltration discrète, le franchissement, autant de domaines exigeant un investissement personnel fort. Force Observation Recherche (FOR) La force "observation/recherche" (FOR) est spécialisée dans la recherche de l'acquisition du renseignement d'ordre judiciaire ou administratif dans le cadre de la lutte contre le terrorisme et le grand banditisme. La FOR est l'héritière des capacités opérationnelles et techniques du groupe observation/recherche de l'escadron parachutisme d'intervention de la gendarmerie nationale (EPIGN). Travaillant principalement au profit des unités de recherche de la Gendarmerie nationale, sur des affaires particulièrement sensibles, elle développe des capacités humaines et techniques basées sur les méthodes d'investigation spécialisée. Les hommes et les femmes qui composent la FOR sont rompus aux techniques de filatures et d'observation qu'ils font évoluer en permanence pour répondre aux nouvelles menaces. Ils peuvent basculer indifféremment d'une opération transfrontalière de suivi à un dispositif complet de surveillance en zone urbaine ou rurale. Leurs capacités tactiques leur permettent également d'être projetés par moyens spéciaux sur des théâtres dégradés pour des missions d'infiltration et de recherche de renseignements en tous lieux et en toutes circontances. La FOR dispose de personnels spécialement qualifiés dans de nombreux domaines (parachutisme, plongée, montagne, sports de combat, changement d'apparence, etc.) et de moyens de haute technicité qui concourent à la réussite de ses engagements. Agissant sur le haut du spectre des actions de renseignement opérationnel de la gendarmerie, la FOR s'appuie sur des savoir-faire éprouvés en missions ainsi que sur des concepts innovants. Son engagement, particulièrement dense et continu, lui confère une expérience opérationnelle unique. Toujours "entre l'ombre et la lumière", elle doit répondre à des impératifs de furtivité et de discrétion qui sont les garants de la réussite de ses opérations. Enfin, la FOR participe, au titre de ses spécialités, aux autres actions du GIGN en coordination avec les autres forces, notamment dans les situations de crises les plus extrêmes, qui nécessitent l'engagement d'un nombre élevé d'opérationnels rompus aux techniques de l'intervention. Force Sécurité Protection (FSP) (Les "Gardes du Corps") La force "sécurité/protection" (FSP) est la composante du GIGN à laquelle sont confiées des missions de sécurité et de protection, sur le territoire national ou à l'étranger, au profit de personnalités sensibles et/ou menacées et/ou de sites revêtant une sensibilité avérée. Héritière de l'escadron parachutiste d'intervention et riche d'une expérience de près de 25 ans, elle couvre l'ensemble du spectre de la sécurité/protection. Les militaires de la FSP sont susceptibles d'être mis en alerte et engagés dans des délais réduits en France ou à l'étranger, dans des opérations isolées (sécurité de personnel diplomatique dans un pays en crise ou en guerre) ou combinées (théâtre d'opération extérieure notamment). Ils peuvent être déployés au profit du ministère des Affaires étrangères ou d'organismes internationaux (ONU, Union européenne...) sur proposition de l'Etat français. Ils mettent en oeuvre des savoir-faire spécifiques et sont en mesure d'armer différents dispositifs adaptés à la mission confiée. Par ailleurs, la FSP offre une capacité d'expertise permanente dans le domaine de la sûreté/sécurité d'emprises civiles ou militaires, en France comme à l'étranger. Elle peut mener ses études dans un cadre interministériel ou à l'occasion d'une mission de protection d'autorité civile ou militaire. Enfin, composante du GIGN, la FSP est en mesure d'apporter son concours aux autres forces dans des domaines d'action transverses. La FSP dispose en effet de personnels pourvus d'un haut niveau de compétence qui peuvent être engagés dans des opérations requérant la mise en oeuvre de savoir-faire tactiques en milieu hostile ou dans une crise majeure (contre-terrorisme) conjointement et/ou en appui des autres forces du GIGN. Force Appui Opérationnel (FAO) Créée pour répondre aux besoins très spécifiques du GIGN, la force "appui opérationnel" (FAO) regroupe l'ensemble des moyens spéciaux de l'unité (optiques, acoustiques, explosifs, cynophiles, etc), ainsi que les capacités et métiers opérationnels rares et particulièrement spécialisés. Les capacités de FAO se déclinent en huit sections ou cellules: La cellule "technique d'adaptation opérationnelle", qui intervient en soutien des forces en modifiant ou copiant tout objet courant en vue d'un emploi en opérations. La cellule "d'appui cynophile": spécialisée dans la recherche d'engins piégés (détection de matière active et mise en sécurité), est placée sous le même régime d'alerte que le détachement d'intervention d'urgence. La cellule "dépiégeage d'assaut" (détection et traitement de pièges dans l'action): cette cellule constitue également, avec la cellule cynophile et la cellule NRBC (Nucléaire-radiologique-biologique-chimique), un élément de réponse à la menace NRBCE (Nucléaire-radiologique-biologique-chimique-explosif). La cellule "NRBC" (intervention en milieu vicié et conseil au commandement): l'existence de la cellule "NRBC" est issue de la réforme de 2007. Elle offre au GIGN une réelle capacité d'anticipation et de réaction dans un domaine sensible. En étroite coordination avec l'ensemble du dispositif NRBC de la Gendarmerie nationale, elle offre au GIGN des possibilités de traiter une crise en atmosphère viciée et d'intervenir en sécurité dans l'enceinte des centres nucléaires de production d'électricité. La cellule "effraction" (création de brèches, notamment avec l'utilisation d'explosifs). La cellule "tirs spéciaux": elle a en charge la réflexion et la préparation de l'unité en matière de tirs spécifiques (armes lourdes ou à très longue distance, armes à létalité réduite, etc) ainsi que la mise en oeuvre de tout armement en vue d'un usage particulier au combat (appui feu très longue distance, tir de saturation, tir sélectif). Elle dispense régulièrement des actions de formation au profit des forces. La cellule "ouverture fine" (intrusion discrète sans utilisation d'explosifs ou de dispositifs classiques d'effraction). Force Formation Un cursus de formation unique pour une meilleure interopérabilité. Tous les gendarmes intégrant le GIGN dans un poste opérationnel font, à l'issue du stage de formation, un passage au sein de la force "intervention". Par la suite, certains resteront dans cette force, d'autres basculeront dans l'une ou l'autre des forces, selon les besoins et les aptitudes. Deux points importants ressortent donc de ce dispositif: une sélection unique pour tous les candidats à des postes opérationnels; une formation initiale axée en priorité sur le métier de l'intervention. Des formations variées La sélection et la formation initiale, assurées par une cellule spécifique, forment l'une des composantes centrales de la force "formation". La section "formations nationales et internationales" dispense, quant à elle, à des gendarmes départementaux et/ou mobiles une instruction variée, depuis l'intervention jusqu'à la protection de personnalités, en passant par la conduite, la négociation, la formation de tireurs d'élite. C'est dans ce cadre que PI2G et négociateurs régionaux sont notamment formés. Ces formations sont également dispensées tout au long de l'année, sur le territoire national comme à l'étranger, au profit de stagiaires de nationalités diverses. La section "entraînements spécialisés" est chargée de l'organisation comme du suivi des formations et des entraînements dans les domaines très techniques que sont la plongée et le parachutisme. La cellule "formation continue des cadres" assure une partie de l'instruction théorique et pratique des gradés. Enfin, toutes ces actions de formation sont suivies de près par la cellule "sécurité à l'instruction et aux entraînements" chargée de trouver l'équilibre entre la nécessaire sécurité et le réalisme indispensable des exercices. Etat-major Opérationnel Sous les ordres d'un officier supérieur ayant une prise directe sur les opérations, le GIGN traduit dans son organisation la priorité donnée aux opérations. L'état-major des opérations (EMOPS) est au coeur des activités opérationnelles du GIGN: Il veille à la préparation opérationnelle des différentes forces, propose les contrats opérationnels de chacune d'elles et le contrat collectif de l'unité. Pour cela, il exerce notamment une veille permanente sur l'évolution de la menace et les modes d'actions de l'adversaire; Il contrôle l'engagement de l'unité au quotidien. Il est le point d'entrée unique de toutes les demandes de mise en oeuvre du GIGN, qui sont évaluées puis suivies dans le temps. Dès l'ordre d'engagement donné, l'EMOPS permet au commandant d'unité d'exercer sa responsabilité de contrôleur opérationnel sur le détachement engagé; Il apporte une plus-value décisive en matière de gestion de crise. Projetable et pouvant s'insérer dans un dispositif interarmées ou interministériel, il arme, en situation opérationnelle, un PC de crise offrant au commandant d'unité une capacité de négociation, d'analyse du renseignement, de planification et de conduite des opérations. Etat-major d'Administration et de Soutien Entité nouvelle induite par la réorganisation de l'unité,l'état-major d'administration et de soutien traite de domaines essentiels dont le bon fonctionnement, au quotidien comme en opérations, est un facteur important du maintien de la capacité opérationnelle du GIGN. Le bureau des ressources humaines Point de convergence en matière de gestion de l'homme, le bureau des ressources humaines (BRH) traduit dans son organisation la volonté de placer les personnels opérationnels au coeur du nouveau dispositif. Structuré en 5 services complémentaires (administration active, notation, chancellerie, stages et administration 3D), le BRH propose un point unique d'entrée chargé d'analyser et de traiter tous les dossiers administratifs, en étroite relation avec les organismes concernés. Il constitue l'interface privilégiée avec l'ensemble des militaires du GIGN pour toutes les démarches individuelles relatives aux ressources humaines. Le bureau du soutien opérationnel Composé de personnels spécialisés, il est chargé de répondre aux exigences du contrat opérationnel du GIGN sur le plan du soutien, notamment par l'élaboration de procédures innovantes (services budget, finances, équipements...), ainsi que par l'acquisition et la mise en oeuvre de matériels spécifiques ou sensibles (service transmission et système d'information et de commandement, service mobilité...). Il est garant également du maintien en condition des infrastructures nécessaires à la vie quotidienne de l'unité.Il joue, d'autre part, un rôle important, notamment lorsque l'unité est impliquée dans un engagement massif ou mené sous le signe de l'urgence, quant à la gestion des aspects logistiques de crise. Enfin, la mise en place en son sein d'un service dédié à la recherche et au développement de nouveaux systèmes intégrant les technologies de pointe, commandé par un ingénieur de l'armement détaché de la DGA, permet de conserver une démarche prospective et innovante conforme à la politique d'anticipation du GIGN.
  8. Exactement Nissard ! En France les Gardes du Corps qui sont armés font partie soit des FS, du GIGN, du GIPN ou du RAID ! Les "autres" ne sont pas armés ! C'est pour ça que je vais aller faire mes formations aux USA chez U.S Training Center (ex Blackwater) http://www.ustraining.com/new/index.asp ! Et de plus un APR (Agent de Protection Rapprochée) en France ne gagne pas grand-chose en terme de salaire et les formations dispensées par des organismes privés ne sont pas reconnues à l'étranger...
  9. Euh alors Sylvano tu fais quelques petites erreurs ^^ Donc pour le GIGN il est vrai que tous les tests sont éliminatoires ! En revanche, pour le combat rapproché tu te trompes ! Ils font beaucoup de sport de combat et le sport numéro 1 au GI c'est le Krav-Maga (il y a quelques années de ça, Richard Douieb était venu prodiguer ses conseils et son expérience dans ce milieu). Pour le comment les inters se terminent et bien la plupart du temps c'est grâce aux négociateurs qui font un boulot formidable pour que les individus se rendent. L'utilisation des armes est repoussé à son maximum et est utilisé en dernier recourt ! Du reste pour que les membres de la colonne d'assaut ou l'appui ouvre le feux il faut que ce soit l'individu qu'ils vont aller cherché qui ouvre le feux en premier ! Ils n'ont pas le droit de tirer de suite ! Dans leur contexte c'est une faute professionnelle très grave ! Maintenant pour les Gardes du Corps. Et bien non ils ne sont pas tous issus des FS, du RAID, du GIPN ou du GIGN ! En France il y a des organismes privés (SEGOPEX, IFS2I, OFAPS etc.) qui forment des personnes pour être Garde du Corps ! Eux ils s'occupent des VIP ! Les FS, GIGN etc. eux s'occupent des chefs d'états ou des hommes politiques ! Et enfin après la dissuasion la meilleure arme du Garde du Corps lors d'une agression est ça maitrise des arts martiaux !
  10. Ah je ne savais pas ce côté historique ! Merci pour ces précisions :blush:
  11. Personne n'a d'avis pour la Savate Défense ?
  12. Alors quelques petites erreurs sur le GIGN. Ils sont environ 300 à ce jours, car en 2007, le GIGN, le GSPR et l'EPIGN ont fusionés pour ne plus former qu'un seul groupe (c'est le GIGN deuxième génération c'est pour ça qu'il y a deux étoiles sur l'ecusson). Ensuite on dit pas la Brigade d'intervention, mais la FI (Force d'Intervention). En Gendarmerie c'est deux choses bien différente. Et comme l'a dit misterom31 les femmes ne sont pas en FI, mais directement affectée à la FOR (Force Observation/Recherche). Jujutsu pour le GI pourquoi pas... Mais lors du test d'agressivité c'est de la boxe pieds et poings qu'ils font, donc fait un peu de muay thaï histoire d'avoir quelque base ! Sinon au sein du GIGN le sport de combat numéro 1 c'est le krav-maga ! Pour en revenir au sujet initial j'ai découvert la savate défense ! Et en attendant de pouvoir faire du krav-maga je pense que c'est le sport adapté pour être Garde du Corps !
  13. Donc avant de faire un self défense il faut déjà un sport de "base" oki ! Euh le Kick-Boxing et le Full-Contact ? Même avis que les autres :blush:
  14. Je viens de découvrir le MMA c'est super complet !!! Je pense que pour un Garde du Corps c'est le sport de combat qu'il faut !!! Non ?
  15. On m'a parlé du krav-maga aussi... J'ai regardé quelques vidéos sur le net et apparement ce serait ce que le GIGN et les SWAT utilisent !!! Quelqu'un peut me confirmer et me dire si c'est vrai un bon self-défense ?
  16. Oula non du tout aucun Bac, car je vais faire mes formations dans le meilleur centre de formation au monde il s'agit de Blackwater qui est aux USA ! Ensuite oui je sais qu'il ne faut pas que un art martial, mais le tir, la musculation, la cours à pied et puis l'Anglais :blush: Sinon on m'a parlé du Krav-Maga aussi....
  17. Ouai enfin avec les autres c'est la même chose non ?
  18. Et qu'est-ce que vous pensez de l'Aïkido ?
  19. Ah oui je sais très bien qu'un sport de combat ça ne suffirat pas ! Il me faut "juste" de très bonnes bases dans un sport de combat pour pouvoir suivre les formations de USTC ! Et non nissard je ne suis pas sur Paris !
  20. Il me faut un sport dit de percussion (je ne sais pas à quel type de sport cela correspond) de manière à neutraliser un individu tout en protégeant mon client !
  21. Bonjour à toutes et à tous je m'appelle Arnaud et j'ai 18 ans ! Je ne connais rien du tout au monde des sports de combats, donc je m'inscris pour prendre des renseignements ! Voilà j'ai pour projet d'être Garde du Corps (j'ai déjà toutes les infos etc...) et pour ça il faut que j'ai un très bon niveau en sport de combat ! Hors je ne sais pas lequel choisis ! Juste un problème dans ma "campagne" je n'ai pas vraiment le choix ! C'est Judo, Jujitsu ou Karaté ! J'avais entendu parler du Kick-Boxing qui serait excellent pour mon projet, mais bon le club le plus se situe à plus d'une heure de circulation de chez moi :/ Bon voilà j'espère que vous pourrez m'aider =)
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