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Peut-être voulais-je écrire bredouillé, après tout. Tradutor, trahitor. Mais je te signale que les propos que je tiens sont tous sans exception inspirés par des lectures que j'ai faites que et que je peux justifier par des liens. Lesquels liens n'ont rien à voir avec ceux dont s'inspirent les éditeurs de la Place Saint-Sulpice.

On n'est jamais si bien br..lé que par soit-même, c'est bien connu.

Et je précise, puisque tu refuses de t'en souvenir, que mon ennemi avec lequel, je ne puis pacifier, c'est la Religion et donc ceux qui cherchent à la colporter comme un Julot, étale ses Morues.

J'étale des choses tirées de diverses sources d'inspiration. Rien de plus.

Je l'avais ratée, celle-là ! La Missionnaire, auto-investie, s'imagine qu'un@Anatole1949apprécie de dialoguer avec elle. Mais personnellement, je pense qu'elle aurait tendance à prendre ses hosties pour des lanternes et à se complaire dans le rôle de l'Apôtre persécuté. Aveuglée qu'elle est sans doute par la croyance orgueilleuse que ce qu'elle appelle son âme est différente de celle des autres, c'est-à-dire immortelle. Je me permets d'ailleurs de noter que sauf erreur de ma part, le mot âme n'est jamais présent dans les propos tenus par Jésus lui-même, qui le remplace par cœur. Les Rabbins de l'époque dont Jésus parlait la langue n'utilisaient pas non plus ce mot. Ils parlaient de la néfesh, autrement dit de l'individu lui-même en tant qu'entité, et du basar, mot dont la consonance pourrait paraître ironique et qui représentait tout bêtement... la charcuterie, cœur, foie, estomac, enfin la fressure si vous préférez. Pour ce qui en est de l'âme, il faut en remonter à la Genèse où il apparaît que le sixième jour Dieu modela, à son image, un être lui ressemblant et auquel il a donné la vie en soufflant sur lui. Les falsificateurs des écrits anciens ont imaginé que ce souffle est à l'origine de l'âme. Les gens de la Kabbale pensent, quant à eux, que l'âme, la ruah pourrait bien être le résultat du vol du fruit de l'arbre de la Connaissance dérobé par les premiers hommes. Et donc que Dieu, pas plus qu'aux animaux (et aux femmes, selon nos amis les Chrétiens) n'a voulu l'accorder à Adam. Vol qui a fait dire aux Élohim (mot interdit dans le Nouveau Testament et qui désigne non pas un, mais une communauté de Dieux) "Maintenant, ils seront comme des Dieux". De là à en conclure que l'âme, si elle existait, serait plutôt un don du Diable, Et qu'il saura quoi en faire après notre disparition. Il n'y a qu'un pas que je m'empresse de franchir. On peut ainsi raisonnablement penser après lecture de ceci que si un paradis devait exister, il est fort peu probable que ce soit la possession d'une âme qui puisse nous en donner l'accès. Il suffit de s'appuyer sur la portée des malédictions divines qui s'étalent couramment sur plus de 777 générations. Soit un peu plus de 15 000 ans. On est loin de la prescription, comme vous le voyez.

Ça, c'est bien vrai. La preuve : Pendant "La Nuit des Longs Couteaux" à la belle époque, aucun des participants, n'avait de certificat de baptême sur lui. Un lien qui montre que l'auteur de cette réponse, connaît bien mal les autres fidèles de son église : Églises protestantes d'Allemagne face au nazisme - Wikiwand Les Catholiques n'étaient pas en reste d'ailleurs pour aider les nazis cherchant à échapper à leur sort. Le brave Pape Pie XII, celui qui bénissait les avions italiens partant larguer leurs bombes, s'était même associé à l'action des Evangélistes Américains dans ce projet. https://www.monde-diplomatique.fr/2016/07/LACROIX_RIZ/55929 Revenons aux Evangéliste (60% de la population allemande du Troisième Reich) évoquée ici par un article relatant leurs exploits chez les Alsaciens qui les révéraient : L'Église protestante d'Alsace contrainte d'ausculter son passé nazi Bref, l'auteure de cette réponse, devrait relativiser ses connaissances concernant le cheminement intellectuel de la branche religieuse qu'elle porte aux nues. Que demeurent heureux ceux qui ont vus et qui continuent de croire. Bien entendu, je reconnais mon manque d'honnêteté, mais avouez quand même, que trop, c'est trop ! Ou qu'il y aurait peut-être eu moins de camps de la mort sans ceux-là. En effet, je rappelle ma conviction : Les coupables ne sont ni Dieu, ni ceux qui croient en lui. Ce sont les Religions.

C'est vrai que "repoussoir" eut-été plus approprié.

Voilà surement ce que se dit un psychiatre au moment où, soudain, il établit un diagnostic sur l'état mental de son patient.

@Mitte_Rail Vraiment ? Où donc est l'incohérence quand on se permet de rappeler la définition, d'un mot qui risque d'être utilisé souvent ?

Hé bien accorde ce droit à tous.

Oui. Et alors ? Je pressens la venue d'une perfidie... Vas-y, précise, je suis vacciné.

Hélas, elle ne peut pas comprendre ! Voilà l'étymologie du mot comprendre Étymol. et Hist. 1. Ca 1120 « saisir, prendre » (Psautier d'Oxford, éd. Fr. Michel, 58, 13 : e seient cumpris en la lur superbe [et comprehendantur in superbia sua]) − 1604 ds Gdf.; 2. fin xiie-début xiiies. « concevoir, saisir par l'intelligence » (S. Gregoire, Sermo de Sapientia, éd. Foerster, 286, 3), rare av. le xves. (ca 1450 Mistère Viel Testament, éd. J. de Rothschild, t. 1, p. 210); 3. fin xiies. « inclure, contenir en soi, englober » (Clemence Barking, Vie Ste Catherine, 1164 ds T.-L.). Empr. au lat. class. compre(he)ndere (composé de cum « avec » et prehendere « prendre, saisir ») littéralement « saisir ensemble, embrasser quelque chose, entourer quelque chose » d'où « saisir par l'intelligence, embrasser par la pensée » Je pense qu'ainsi, tu comprendras pourquoi

Je propose que les athées réclament l'autorisation de prôner leurs convictions en des lieux de réunion où ils pourraient débattre de leur Foi. Et le fronton de ces édifices porterait la devise : L'ENNEMI, CE N'EST PAS DIEU. L'ENNEMI CE N'EST PAS SA RÉSIDENCE PRINCIPALE. L'ENNEMI CE SONT SES RÉSIDENCES SECONDAIRES. Et, comme le wokisme est à la mode, je suppose que la demande sera vite agréée.

Désolé, le hasard que le Temps nous impose m'a fait poster au même moment que vous. Vous coupant la parole, en quelque sorte. Avouez tout de même que je suis assez gentil avec ceux qui sont habités par la Foi. Laquelle est unique, me semble-t-il, même si vous estimez, que la vôtre a un petit quelque chose que les autres n'ont pas.

Voilà un bon début. C'est aussi ce que je pense, puisque je crois que la prémisse de ce qui finira par devenir Dieu, émane de la contemplation du Monde qui nous entoure et que même si l'on ne cherche pas à la développer trop longtemps, la graine est en nous toujours prête à éclore... C'est là où nous divergeons. Les lieux que tu cites sont l'équivalent de ce que peuvent être des verrues, des chancres ou des abcès pour le corps humain. La récente épidémie de Covid s'est lentement résorbée, en partie, je crois, grâce aux méthodes de confinement qui nous furent imposées. L'ennemi n'est pas le virus isolé qui finit par disparaître avec la destruction de la cellule qu'il a investi, mais plutôt le lieu où il abonde, là où les anticorps ne peuvent plus l'atteindre. À partir de cette image très simplificatrice, la marche à suivre devient évidente. Il ne sert à rien de s'attaquer au croyant lui-même qui finalement n'est qu'un individu doté d'une faculté intérieure, je dirais même d'une qualité, qui ne présente aucun danger pour son environnement. Au contraire, la cible, c'est le nid, le foyer, à partir duquel se propage l'infection et dans lequel se prélassent les parasites et les corrupteurs, ceux qui veulent dominer l'Homme. C'est cela qu'il convient de détruire en premier. Et tu as très bien indiqué les cibles à privilégier : églises, mosquées, temples, synagogues. Après, et compte tenu du résultat de cette épuration (architecturale, je précise) on pourrait peut-être aussi songer à des choses comme Sénats, Chambres de Députés, Ministères… Et l'Age d'Or, ne sera pas loin.

OK, je comprends mieux. Il ne s'agit donc pas de considérer l'au-delà comme un lieu, d'où pourrait venir, un danger. (comme pouvait le laisser croire la forme de la phrase) mais plutôt de dire "continuer à les protéger quand je serais dans l'au-delà" Belle abnégation et merveilleux optimisme. Mais, tout de même, ne pensez-vous pas que celui qui serait doté de ces deux qualités, pourrait encore avoir le pouvoir de les mettre en application et pourvoir à la sécurité de ses enfants, une fois rendu dans les orbes du septième ciel ? Que vous ne puissiez répondre à cela, ne me remplirait de joie, croyez-le bien, car je suis prêt à reconnaître qu'en discutant, nous avons tenté mutuellement de nous ménager et d'être conciliants l'un envers l'autre ce qui sans que l'on ne s'en rende compte nous à conduit au point, où tout devient possible et acceptable. Merveilleux pouvoir de l'échange, qui autorise à la fois les pires horreurs et les plus beaux rêves. PS Finalement je regrette d'avoir inventé ce sujet " ... si l'on pacifiait ?" car ici, on y arrive très bien.

C'est gentil, ça. Un bon choc électrique fait voir 36 chandelles. Et cela doit les aider à imaginer les feux d'artifice du 14 Juillet...

C'est vrai, mais dans une vieille TV ou dans un oscilloscope cathodique, on voit parfaitement l'endroit où il s'écrase.

Peux-tu préciser ta pensée, s'il te plaît. Je saisi mal en quoi on aurait besoin d'être protégé de l'au-delà. Fais-tu référence à Ecclésiaste 4:10 "Malheur à l'Homme seul, s'il tombe, personne ne le relèvera" ?

J'en frémis d'avance si j'ai bien compris ! Est-ce à dire que l'on met des enfants au monde pour qu'ils continuent à nous aimer ou au moins songer à nous après notre mort ? C'est vrai, que certaines philosophies prônent l'idée que l'âme pourrait perdurer tant qu'il existe ne fut-ce qu'un individu à songer encore à vous après votre mort, Ce n'est que lorsque tout le monde vous a oublié que votre âme, à son tour, s'endort et meurt pour l'éternité. En tout cas, si cela était, ce serait bien triste. Ainsi, enfant, j'entendais parler du grand-père de mon père et je reconnais humblement qu'à part aujourd'hui cela fait au moins 50 ans que je n'avais pas songé à lui. Me voilà devenu, à mon insu, arrière grand-parricide par omission. Et inversement, je tremble quand je pense que les âmes d'un Hitler ou d'un Staline doivent être encore toutes frétillantes de jeunesse, aujourd'hui. Mais je reconnais qu'un certain Misty, chat de son espèce, que j'ai adoré de son vivant et auquel je pense très souvent, vient me rendre visite, la nuit, dans mes rêves. Serait-ce pour me remercier ? Et, si c'était pour cela qu'on a inventé le 1er novembre, Fête de tous les morts ? Histoire de ne pas dépeupler le Paradis, qui sait ?

On pourrait au moins espérer de toi, que tu saches te relire toi-même. hé bien tu vois ton prophète : c'est le chimpanzé que j'évoquais. Adieu.

Ça, c'est du Danois, du Finlandais ou du Serbo-Croate sous-titré en Patagonnais ancien. Parce que ce que j'y comprends, c'est que tu veux dire qu'un jour, un chimpanzé qui s'était pris une noix de coco sur la tête a prédit ... "que n'est pas loin le jour où apparaîtra le Coca Cola" Il vaut mieux arrêter, ne crois-tu pas ?

Primo, quand je dis que je m'exclus de votre groupe, je ne suis violent qu'envers moi-même. Car bien évidemment, et en me trompant probablement, je pense comme vous. Mais, je l'ai fait mille fois en disant que la Foi vient bien avant que ne viennent les religions et leurs écrits. Le croyant n'a que sa Foi, comme richesse. Elle lui permet de s'intégrer au monde du vivant et de comprendre le sens d'un mot comme Communion. Cela étant, cette Foi, ne lui apporte rien pour ce qui concerne les questions essentielles ou existentielles : la Mort reste là, omniprésente et qui l'attend, patiente et inexorable. C'est là qu'interviennent les chantres des religions, toutes confondues, qui, trouvant des âmes préparées à être asservies, n'ont qu'à ajouter quelques promesses fallacieuses, les laissant croire que le passage forcé sur terre, n'est que le mal nécessaire à un avenir radieux après leur mort. L'argument dont l'avènement reste très improbable n'en n'est pas moins génial et toutes les Religions s'en sont emparées. Comment y résister ? Il en est, qui succombent. "Grand bien leur fasse" comme le dit si souvent @Passiflore... quand elle abandonne la Passiflorure au profit du persiflage.

Pas de montres sans horloger, pas de musique sans compositeur. Le Monde semble tourner rond, et les oiseaux sont d'excellents musiciens. N'es-tu pas capable d'accepter que cela peut suffire à accréditer ou simplement à faire naitre une croyance ? Croyance qui pourrait rester intime et discrète, mais qui gagne tout de même à être appuyée par le mot. Lequel malheureusement peut-être porteur d'idée subversive, je le reconnais. Ha que le Monde serait beau si l'Homme était doté de la faculté de communiquer par transmission de pensées... Pas de mensonges, pas de pièges qui se cacheraient derrière le Verbe. On ne percevrait que les images qui habitent nos interlocuteurs : tout serait limpide et à défaut se s'accepter mutuellement, au moins on reconnaîtrait ceux qui parlent à votre coeur et pour cela mériteraient notre confiance.

J'approuverais l'intégralité du post s'il n'était pas réduit par ces cinq petits mots un peu réducteurs.