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Imparfaite

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Tout ce qui a été posté par Imparfaite

  1. Me semble que si les prêtres pouvaient se marier ça changerait pas mal de choses.
  2. Je viens de commencer "Vipère au poing" d'Hervé Bazin.
  3. ÿnumérer nos points communs?! Pour débuter : Les chats, les voyages, comme toi j'ai vécu outre mer (Nle Calédonie) et à Avignon, la sensibilité sans doute, l'insomnie, Dr House (hé faut pas l'oublier^^), etc. Je pense encore en découvrir mais c'est un bon début n'est-ce pas ? Biz, bonne journée!

  4. Poum poum poum, ça fait éléphant^^

  5. Ah oui, ça y'est, j'ai l'air sotte... Et sur la pointe des pieds... poum poum poum... Je m'en vais.

  6. Est-ce normal que mon commentaire n'apparaisse pas? Petit bug ? Je teste ... ! (j'ai pas l'air sotte...)

  7. Wow mais je me rends compte que nous avons pas mal de points communs... Tout ceci est bien suspect. Devrais-je tous les citer?

    Biz et bonne fin de soirée, de nuit.

  8. Alors toi! Tu commences à me plaire :blush: Tu as lu la suite d'Illusions Perdues cad Splendeurs et misères des Courtisanes? J'ai une toute petite préférence pour le second (sans doute parce que j'adore Vautrin) c'est pour ça que je t'en parle. Biz coupine.
  9. Je vis, je meurs: je me brule et me noie, J'ai chaud extrême en endurant froidure; La vie m'est et trop molle et trop dure, J'ai grands ennuis entremélés de joie. Tout en un coup je ris et je larmoie, Et en plaisir maint grief tourment j'endure; Mon bien s'en va, et à jamais il dure, Tout en un coup je sèche et je verdoie. Ainsi Amour inconstamment me mène Et, quand je pense avoir plus de douleur, Sans y penser je me trouve hors de peine. Puis, quand je crois ma joie être certaine, Et être en haut de mon désiré heur, Il me remet en mon premier malheur. Louise Labé
  10. Les parisiens, toujours aussi chanceux! :blush: Suite à l'exposition du Grand Palais de nombreux magazines sont consacrés à Turner, j'en ai profité cette semaine pour acheter le "Dossier de l'Art", par manque de temps je n'ai fait que le feuilleter mais voilà qui me donne envie de le dévorer. En tout cas merci Thyia, te lire est un régal.
  11. Je n'ai jamais été très bonne pour philosopher mais je dirais que fuir la vérité est quelque chose de très courant, de très humain. Je citerai en exemple les personnes qui refusent de vieillir et qui passent sous le bistouri, c'est complètement se voiler la face. Il y a aussi ceux qui s'isolent pour ne pas être confronté à la réalité, cela arrive parfois pour les gens qui refusent la mort d'un proche. Cette fatalité-là il est beaucoup plus facile de la contourner que de l'accepter, c'est aussi valable devant l'échec. En définitive, lorsqu'on dit que toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire, on sait aussi qu'elles ne sont pas bonnes à entendre, à voir, à subir et l'on préfère s'aveugler et se rendre sourd.
  12. Générique de la Famille Addams (1964) name="allowFullScreen" value="true"></param><param name="allowscriptaccess" value="always"></param><embed src=" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="480" height="385"></embed></object>&"> name="allowFullScreen" value="true"></param><param name="allowscriptaccess" value="always"></param><embed src=" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="480" height="385"></embed></object>&" type="application/x-shockwave-flash" wmode="transparent" width="425" height="350" />
  13. Coucou, Petit Up. J'aimerais savoir où vous en êtes ? Combien sommes-nous à avoir le livre ? L'avez-vous commencé ? :blush:
  14. Coucou, un petit passage sur ton profil que je découvre, très belle page personnelle. J'en profite pour saluer tes participations souvent intéressantes de ci, de là sur le forum. ++ :)

  15. Et un dernier... :blush: Oceano Nox O combien de marins, combien de capitaines Qui sont partis joyeux pour des courses lointaines Dans ce morne horizon se sont évanouis! Combien ont disparus, dure et triste fortune! Dans une mer sans fond, par une nuit sans lune, Dans l'aveugle océan à jamais enfouis! Combien de patrons morts avec leurs équipages! L'ouragan de leur vie a pris toutes les pages Et d'un souffle il a tout dispersé sur les flots! Nul ne saura leur fin dans l'abîme plongée. Chaque vague en passant d'un butin s'est chargée; L'une a saisi l'esquif, l'autre les matelots! Nul ne sait votre sort, pauvres têtes perdues! Vous roulez à travers les sombres étendues, heurtant de vos fronts morts des écueils inconnus. Oh! Que de vieux parents qui n'avaient plus qu'un rêve, Sont morts en attendant tous les jours sur la grêve, Ce qui ne sont pas revenus! On s'entretient de vous parfois dans les veillées. Maint joyeux cercle, assis sur des ancres rouillées, Mêle encor quelques temps vos noms d'ombre couverts Aux rires, aux refrains, aux récits d'aventures, Aux baisers qu'on dérobe à vos belles futures, Tandis que vous dormez dans les goémons verts! On demande:-Où sont-ils? Sont-ils roi dans quelque île? Nous ont-ils délaissés pour un bord plus fertile?- Puis votre souvenir même est enseveli. Le corps se perd dans l'eau, le nom dans la mémoire. Le temps, qui sur toute ombre en verse une plus noire, Sur le sombre océan jette le sombre oubli. Bientôt des yeux de tous votre ombre est disparue. L'un n'a-t-il pas sa barque et l'autre sa charrue? Seules, durant ces nuits où l'orage est vainqueur, Vos veuves aux fronts blancs, lasses de vous attendre, Parlent encor de vous en remuant la cendre De leur foyer et de leur coeur! Et quand la tombe enfin a fermé leurs paupières, Rien ne sait plus vos noms, pas même une humble pierre Dans l'étroit cimetière où l'écho nous répond, Pas même un saule vert qui s'éffeuille à l'automne, Pas même la chanson naïve et monotone Que chante un mendiant à l'angle d'un vieux pont! Où sont-ils les marins sombrés dans les nuits noires? O flots! Que vous savez de lugubres histoires! Flots profonds redoutés des mères à genoux! Vous vous les racontez en montant les marées, Et c'est ce qui vous fait ces voix désespérées Que vous avez le soir quand vous venez vers nous! Victor Hugo
  16. Ils ne sont peut-être pas exceptionnels ni même beaux, mais qu'est-ce qu'ils sont sympatoches! : Ce soir, Si j'écrivais un poème pour la postérité? fichtre la belle idée je me sens sûr de moi j'y vas et à la postérité j'y dis merde et remerde et reremerde drôlement feintée la postérité qui attendait son poème ah mais Raymond Queneau - La Môme néant Quoi qu'a dit ? - A dit rin. Quoi qu'a fait ? - A fait rin. A quoi qu'a pense ? - A pense à rin. Pourquoi qu'a dit rin ? Pourquoi qu'a fait rin ? Pourquoi qu'a pense à rin ? - A' xiste pas. Jean Tardieu
  17. J'ai retrouvé la dite scène... clic Non vraiment, tu n'as rien manqué :blush: Je préfère me fier comme toi au roman de Dumas bien qu'il soit lui aussi très romancé. A noter que dans le téléfilm, Henri de Navarre et Margot couche ensemble de suite après leur rencontre... On nous prend vraiment pour des idiots.
  18. Imparfaite

    Broderie

    Coucou, J'aime beaucoup aussi, les couleurs semblent moins ternes. Merci pour ces photos, c'est gentil. :blush:
  19. Oh merci beaucoup bounti! C'est exactement ça, elle est superbe cette musique.
  20. Oops je viens de te lire. J'ai regardé le début puis j'ai reçu un coup de téléphone qui a duré jusqu'à la fin du film. J'ai tout de même pu me faire un avis et il n'est pas très bon. Le peu que j'ai vu était d'un ennuiii! Le téléfilm est inspiré d'un livre d'Heinrich Mann (perso je ne connais pas) et malgré tout beaucoup de scènes m'ont étonnées quant à leur véracité. Un exemple ? C'est peut-être un fait historique mais j'ai un doute : Charles IX énervé d'apprendre que Margot couche avec Guise lui donne une fessée monumentale devant Catherine de Médicis, qui elle, n'en perd pas une miette et en rajoute même une couche en allant mordre la fesse sa fille qui comme on s'en doute hurle de douleur. Non seulement ça m'a étonnée mais en plus choquée :blush: (j'suis une 'tite nature!). Je pense que tu en aurais eu des critiques à fournir, crois-moi!
  21. Si ça peut te consoler les critiques de ce téléfilm ne sont pas bonnes, le papier de Tél*rama est corrosif. Je le regarderai néanmoins pour me faire une idée mais a priori tu ne rates pas grand chose.
  22. Sans vraiment te connaître je te souhaite un très bon anniversaire Savannah :blush: Puisse cette journée t'apporter un milliard de petits bonheurs.
  23. Coucou, Je viens de voir une bande annonce sur FR3, jeudi il y a un téléfilm sur Henri IV!
  24. Coucou :blush: Merci pour tes conseils. J'ai donc bien fait de le commander, il sera sans doute ma prochaine lecture de suite après Dumas.
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