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Criterium

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Tout ce qui a été posté par Criterium

  1. Criterium

    Bouton sur le sein

    Exactement. Décrit vite fait comme ça, ce peut être tout et n'importe quoi; d'un simple poil qui pour x raison, se serait infecté de manière bénigne, et le liquide blanc serait un peu de pus, comme les boutons sur le dos des garçons, ou, ce peut très bien être quelque chose de plus grave. N'hésite pas => réflexe médecin.
  2. Les derniers livres que j'aie lu: La nuit bengali de Mircea Eliade - j'étais tellement étonné de voir qu'il avait aussi écrit des romans (le monsieur est plus connu pour son oeuvre et ses essais centrés autour des mythes, mythologies - religieuses et politiques - et des religions) que mon sang n'a fait qu'un tour en le voyant en librairie, je l'ai pris - c'est l'histoire d'un jeune Anglais fraîchement arrivé aux Indes, qui va partager la vie d'une famille de brahmanes aisés. La fille de la famille lui paraît d'abord laide, mais il s'aperçoit vite qu'il est en vérité très sensible à sa beauté particulière et à ses traits d'esprits... s'ensuit l'histoire d'un amour impossible envers et contre tout, les moeurs, la caste, la culture... histoire qui, vous vous en doutez, ne peut plus qu'être triste. Je l'ai lu en une matinée :smile2: Le traité des trois imposteurs, un manuscrit anonyme du XVIème - quoique certains y voient une invention du XVIIIème, du coup postérieure ou contemporaine aux Lumières - libertaire et incisif contre les grands monothéïsmes. Rafraîchissant; si effectivement il date du XVIème, il montre bien l'histoire de ces grands mouvements de pensées qui se préparaient en Europe. A noter qu'un passage m'a semblé être repris mot à mot ou presque dans Aline et Valcour de Sade, il faudra que je vérifie de plus près. Et puis une collègue m'avait prêté La vie devant soi, un roman assez drôle, le début de la vie mouvementée d'un enfant de prostitué, écrit à la première personne, confié aux bons soins de Madame Rosa, qui s'occupe de tels enfants. Celui-ci lui est tellement dévoué qu'il l'accompagne malgré la maladie, la vieillesse, la mort. Signé Emile Ajar (qui est le même auteur que Romain Gary, et qui du coup a pu être double Goncourt, hihi pas bête lui).
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