Aller au contenu

Nouvelle théorie d'unification de la physique à particule unique

Noter ce sujet


alexandreW

Messages recommandés

Invité Boomer901
Invités, Posté(e)
Invité Boomer901
Invité Boomer901 Invités 0 message
Posté(e)

Merci Gallium, super instructif, je pourrais la ramener en science-phy ^^

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Membre, 59ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 59ans‚
Posté(e)

C'est vraiment super comme exposé gallium, les images animés...Je ne comprends pas comment du fais pour faire ça, tu as accès à des liens de ta fac pour faire des cours, une sorte de base de données de films?

Je me fais l'avocat du diable: dans l'expérience que tu citais pour la mesure de la vitesse de la lumière à deux moments de l'année devant prouver l'inexistence de l'éther.

Si le superfluide est fabriqué en permanence par les masses il est normal que nous mesurions les mêmes vitesse pour la lumière à deux moments de l'année.

La vitesse relative du flux d'éther étant toujours la même...

Comment explique t on la fatigue de la lumière?

Comment explique t'on le ralentissement inattendu de la sonde qui va vers alpha du centaure?

N est ce pas la preuve qu'il y a un frottement avec quelque chose?

Le superfluide s''il existe n'est pas superfluide...

La trame espace temps de la relativité a le mérite d'être simple pour expliquer le ralentissement du temps avec les accélérations (vitesse et gravitation) en temps de déformation de celle-ci.

Mais ralentissement des mouvements signifie t il ralentissement du temps local?

Ou tout simplement augmentation inertielle d'une zone de l'espace?

(J'ouvre le débat...)

Modifié par alexandreW
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, , 58ans Posté(e)
Afarensis Membre 3 752 messages
58ans‚ ,
Posté(e)

SALUT. sans rien y entraver à ce cours je pourrais néanmoins tenter d'expliquer la fatigue de la lumière, par le fait que (sans faire de mysticisme quelconque) dans l'espace il se livre une guerre permanente entre la lumière et l'obscurité. Enfin une guerre je me comprends, un état de fait. Parfois l'espace noir et vide peut être si dense que la lumière peine à le traverser et se fatigue en essayant. L'attraction de cette matière noire estimée hyperfluide tire les photons à se replier sur eux même et ils en perdent leur pouvoir. Fatigue de la lumière. Des fois c'est l'inverse qui se produit la lumière est si forte qu'elle désagrège à son passage les composants de l'hyperfluide.

Merci de rien ce fût un plaisir... :cray:

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Gallium
Invités, Posté(e)
Invité Gallium
Invité Gallium Invités 0 message
Posté(e)
C'est vraiment super comme exposé gallium, les images animés...Je ne comprends pas comment du fais pour faire ça, tu as accès à des liens de ta fac pour faire des cours, une sorte de base de données de films?

Non, mais en général Google images© donne des éléments intéressants d'illustration. Sinon effectivement sur le site de l'UM2 il y a un accès aux cours en ligne, surtout utile pour les révisions d'avant partiels.

Je me fais l'avocat du diable: dans l'expérience que tu citais pour la mesure de la vitesse de la lumière à deux moments de l'année devant prouver l'inexistence de l'éther.

Si le superfluide est fabriqué en permanence par les masses il est normal que nous mesurions les mêmes vitesse pour la lumière à deux moments de l'année.

La vitesse relative du flux d'éther étant toujours la même...

Sur cette page très intéressante, il est expliqué en quoi l'expérience Michelson et Morley (qui n'est pas la seule) a effectivement conduit à la conclusion de l'inexistence de l'éther.

Cette page est en anglais (comme souvent en sciences), j'espère que ça ne posera de souci à personne. Le paragraphe qui nous intéresse est le suivant :

Prevailing theories held that ether formed an absolute reference frame with respect to which the rest of the universe was stationary. It would therefore follow that it should appear to be moving from the perspective of an observer on the sun-orbiting Earth. As a result, light would sometimes travel in the same direction of the ether, and others times in the opposite direction. Thus, the idea was to measure the speed of light in different directions in order to measure speed of the ether relative to Earth, thus establishing its existence.

Je peux tenter une traduction approximative :

Les théories actuelles ont soutenu que l'éther constituait une référence absolue à l'égard duquel le reste de l'univers était stationnaire. Il s'ensuivrait qu'il devrait se déplacer pour un observateur terrestre en orbite autour du Soleil. En conséquence, la lumière voyagerait parfois dans la même direction que l'éther, et parfois dans sa direction opposée. Ainsi, l'idée était de mesurer la vitesse de la lumière dans différentes directions afin de mesurer la vitesse de l'éther par rapport à la Terre, de ce fait établir son existence.

De même ce passage :

In 1895, Lorentz concluded that the "null" result obtained by Michelson and Morley was caused by a effect of contraction made by the ether on their apparatus and introduced the length contraction equation

mimg215.gif

where L is the contracted length, mimg216.gif is the rest length, v is the velocity of the frame of reference, and c is the speed of light. Although the main interpretation of Lorentz for this equation was rejected later, the equation is still correct and was the first of a sequence of new equations developed by Poincaré, Lorentz, and others, resulting in a new branch of physics ultimately brought to fruition by Albert Einstein in special relativity. Einstein's idea of space-time contraction replaced Lorentz's interpretation of the contraction equation, and once and for all relegated ether to the history books

En 1895, Lorentz a conclu que le résultat « nul » obtenu par Michelson et Morley était dû à un effet de contraction généré par l'éther sur leur appareil de mesure, il a alors présenté l'équation de contraction des longueurs

mimg215.gif

là où L est la longueur contractée, mimg216.gif est la longueur au repos, v la vitesse du cadre de référence, et c la célérité de la lumière. Bien que l'interprétation principale de Lorentz pour cette équation ait été rejetée plus tard, l'équation reste correcte et constituait la première d'une série de nouvelles équations développées par Poincaré, Lorentz, et d'autres, ayant pour résultat une nouvelle branche de la physique finalement menée à son terme par Albert Einstein dans la relativité restreinte. L'idée d'Einstein de la contraction de l'espace-temps a finalement remplacé l'interprétation de Lorentz de l'équation de contraction, et a définitivement relégué l'éther aux livres d'histoire.

Mes traductions ne sont pas fantastiques, mais l'important est d'en comprendre le sens. Plusieurs expériences ont remis en question cette notion d'éther, celle de Michelson et Morley n'en a été qu'une parmi d'autres.

La fatigue de la lumière s'explique autrement que par la présence d'un éther. Nous savons que l'expansion de l'univers est à l'origine de cette fatigue, mais pourquoi ? C'est une très bonne question. Notons que la théorie de la lumière fatiguée n'est pas la seule théorie qui tente d'expliquer ce phénomène. Il y a aussi tout simplement l'effet Doppler-Fizeau qui se pose comme explication possible. Mais effectivement cette question reste l'objet de recherches (intenses ?).

Outersolarsystem_objectpositions_labels_comp-fr.png

Liste approximative des hypothèses.

Quant au ralentissement du temps, effectivement il serait tentant de penser à un dérèglement des appareils de mesure. Le processus de vieillissement est en fait lui aussi ralenti, l'horloge biologique aussi. Tout est affecté. Il me semblerait douteux que tout soit affecté, sauf le temps, alors que c'est de lui que tout part.

Bonne nuit.

G@llium

Modifié par Gallium
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Toto75019
Invités, Posté(e)
Invité Toto75019
Invité Toto75019 Invités 0 message
Posté(e)

je plante un drapeau pour pas oublier ce topic :cray:

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 59ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 59ans‚
Posté(e)
SALUT. sans rien y entraver à ce cours je pourrais néanmoins tenter d'expliquer la fatigue de la lumière, par le fait que (sans faire de mysticisme quelconque) dans l'espace il se livre une guerre permanente entre la lumière et l'obscurité. Enfin une guerre je me comprends, un état de fait. Parfois l'espace noir et vide peut être si dense que la lumière peine à le traverser et se fatigue en essayant. L'attraction de cette matière noire estimée hyperfluide tire les photons à se replier sur eux même et ils en perdent leur pouvoir. Fatigue de la lumière. Des fois c'est l'inverse qui se produit la lumière est si forte qu'elle désagrège à son passage les composants de l'hyperfluide.

Merci de rien ce fût un plaisir... :cray:

Bonjour Afarensis,

Pourquoi pas? de toute façon personne n' a de certitude la dessus

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 59ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 59ans‚
Posté(e)

Merci Gallium pour cet exposé, je trouve ça génial, je reste toujours stupéfait par le côté multimédia de tes explications, actuellement être professeur avec les moyens techniques disponibles, tu dois vraiment t'amuser.

Je suis dans la lecture du livre que tu m'a conseillé, je comprends la problématique d'unification de la physique quantique et de la relativité puisque les observations vont dans ce sens:

Même si les explications cordales de la nature ne peuvent être vérifiées, si ça permet de faire des prédictions théoriques vérifiables, en attendant mieux, c'est cette théorie qu'il faut utiliser.

De toute façon, on croit toujours tenir la bonne explication dans ce domaine et on trouve toujours mieux, mais c'est ça qui est stimulant dans les sciences.

Comment explique-t-on les réseaux de quasars découverts récemment? avec la théorie M?

Les cordelettes infiniment fines des quacks sont faites de quoi? pourquoi vibrent -elles d'une certaine manière?

Pourquoi l'univers est il tel qu'il est avec cet équilibre précaire?

On en revient tout doucement à l'existence de Dieu en attendant mieux comme explication.

Je continue pour ma part à penser que Dieu s'il existe ne se cache pas dans la physique.

Le temps, qui subit des déformations me dérange, parce que le concept même de temps n'est pas clair pour moi?

Existe-t-il vraiment ce temps ou est ce une simple mesure du mouvement?

Les dimensions mathématiques a -t -on le droit de leur faire subir des déformations?

Faire subir des lois physiques à des lois mathématiques n'est ce pas une erreur de raisonnement?

(j'ouvre le débat, ce n'est pas une critique)

Modifié par alexandreW
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, , 58ans Posté(e)
Afarensis Membre 3 752 messages
58ans‚ ,
Posté(e)
Bonjour Afarensis,

Pourquoi pas? de toute façon personne n' a de certitude la dessus

Si. Moi.

:cray:

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 59ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 59ans‚
Posté(e)

Bonjour Afarensis,

Si l'hyperfluide existe, les photons en grandes quantité pourraient effectivement casser ces cordes et libérer une énergie supplémentaire.

La fatigue de la lumière peut trouver plusieurs explications comme l'a expliqué Gallium, de même pour le ralentissement de la sonde américaine.

Rien n'est encore sur, comme je l'ai dit précédemment.

Il faudra attendre les preuves expérimentales pour pouvoir confirmer ou infirmer une théorie M ou une autre, pour le moment, il n'existe pas de preuve formelle.

Bonjour Gallium,

On parlait de la disparition de la théorie de l'éther que beaucoup de preuves expérimentales ont entamé notamment l'expérience sus-citée et également des mesure de vitesses lumineuses de couples d'étoiles.

Mais si les masses étaient à l'origine de cet hyperfluide, cet hyperfluide se comporterait comme la trame espace temps dans la théorie de la relativité (une plus grande densité en hyperfluide à proximité d'une masse provoquerait une augmentation de l'inertie des masses localement et donc provoquerait une nette diminution des mouvements à énergie cinétique égale (ce qui reviendrait à observer un ralentissement du temps observé comme dans la relativité).

La vitesse de la lumière est la même quelque soit le référentiel, même avec la théorie de l'hyperfluide ça tient la route, l'hyperfluide étant en général, fabriquée par les masses du référentiel , la vitesse relative de l'hyperfluide est nulle et donc la vitesse de transmission de la lumière reste la même.

Il serait intéressant de faire des mesures de la vitesse C à distance des masses et à des vitesses variables de référentiel, là ça pourrait devenir parlant, mais difficile en pratique.

L'hyperfluide se comportant comme la trame espace-temps de la relativité, les résultat observés seront très proches( il est difficile d'aller à des vitesses importantes avec notre technologie).

La trame de l'espace devient palpable avec l'hyperfluide.

Le problème des théorie avec des cordes ou des particules d'interaction est le suivant:

Il y aura toujours quelqu'un pour poser une question qui prouve qu'on a pas affaire avec une théorie de grande unification:

De quoi sont faites les cordes? d'énergie

C'est quoi l'énergie dans le cas particuliers?

Pourquoi les cordes ont elles décidé de vibrer d'une certaine manière?

Les particules d'interaction sont faites de quoi? comment délivrent elles leur message? (c'est la poste... je plaisante)

Il faudrait qu'on arrive à trouver une théorie qui explique tout et qu'on puisse toujours répondre à toutes les questions.

Je sais c'est pas gagné.

On compte sur des gens comme toi pour trouver ce mystère, c'est d'ailleurs ton travail et tu as de la chance de travailler dans ce domaine.

A bientôt

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 59ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 59ans‚
Posté(e)

Bonjour Gallium, je reprends ta citation:

Quant au ralentissement du temps, effectivement il serait tentant de penser à un dérèglement des appareils de mesure. Le processus de vieillissement est en fait lui aussi ralenti, l'horloge biologique aussi. Tout est affecté. Il me semblerait douteux que tout soit affecté, sauf le temps, alors que c'est de lui que tout part.

En supposant qu'il n'y ait aucun dérèglement des appareils de mesure, tous les mécanismes de la physiques pourraient être ralentis par une augmentation inertielle des masses.

Les mouvements serait plus lents, la conduction électrique plus lente et les appareils de mesure donneraient une mesure de temps ralentie sans pour autant que le temps soit lui-même affecté.

Dans la relativité restreinte la célérité est le vecteur vitesse dans un espace en quatre dimensions.

Le module de ce vecteur est la vitesse.

Pour tout objet Einstein dit: dans un espace en quatre dimensions (x, y, z, ict(le temps)) la vitesse de toute masse est égale à c.

En gros si la dimension t est égale à 0 alors l'objet va à la vitesse de la lumière, si la dimension temps est maximale alors l'objet est immobile (mais le module du vecteur célérité de tout objet sera toujours égal à c)

La relativité générale vient apporter une réponse au problème de la gravitation grâce au principe d'équivalence entre accélération d'une masse en général et gravitation.

Toute masse crée une déformation en cuvette de l'espace temps ou d'autres masses on tendance à tomber , plus la masse est importante plus cette déformation est importante.

C'est là que ça devient étrange et non intuitif, cette gravitation ralentit également le temps.

Intuitivement, je préfèrerai imaginer que les lignes gravitationnelles plus nombreuses et plus rapides qui traversent une masse augmentent l'inertie de celle-ci donnant les même symptômes de ralentissements de mouvements qui peuvent être interprétés comme un ralentissement du temps.

Personnellement, je pense que la vitesse c est locorégionalement constante mais qu'elle varie par rapport à nous puisque cette vitesse varie en partie en fonction des masses rencontrées qui sont à l'origine de l'hyperfluide dans la théorie à particule unique.

Dans ce cas c subirait des accélérations et des décélérations quand la lumière fait de long trajets intergalactiques, en moyenne c serait relativement constante sur un long trajet.

On pourrait imaginer une théorie sans trame espace-temps.

Qu'en penses tu Gallium?

Modifié par alexandreW
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Gallium
Invités, Posté(e)
Invité Gallium
Invité Gallium Invités 0 message
Posté(e)
Bonjour Gallium, je reprends ta citation:

Quant au ralentissement du temps, effectivement il serait tentant de penser à un dérèglement des appareils de mesure. Le processus de vieillissement est en fait lui aussi ralenti, l'horloge biologique aussi. Tout est affecté. Il me semblerait douteux que tout soit affecté, sauf le temps, alors que c'est de lui que tout part.

En supposant qu'il n'y ait aucun dérèglement des appareils de mesure, tous les mécanismes de la physiques pourraient être ralentis par une augmentation inertielle des masses.

Les mouvements serait plus lents, la conduction électrique plus lente et les appareils de mesure donneraient une mesure de temps ralentie sans pour autant que le temps soit lui-même affecté

Et un photon, qui n'a pas de masse et pour lequel le temps ne s'écoule plus, devrait être infiniment lourd ?

Pour la deuxième partie de ton message je ne comprends pas trop. Il est un fait établi que c est une constante, que la célérité de la lumière ne varie pas dans un référentiel galiléen (=référentiel inertiel). c est une constante, une particule sans masse se déplace, comme un photon, à 299 792 km.s-1 peu importe le référentiel, du moment que l'on est dans le même milieu réfractant. Je ne comprends pas cette idée de variation de c, pourrais-tu m'expliquer davantage ?

Bonne année, meilleurs voeux.

G@llium

Modifié par Gallium
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 59ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 59ans‚
Posté(e)

Bonne année Gallium, je te souhaites une très bonne année pleine de découvertes fondamentales et de surprises.

Bonne année à tous.

Je pense comme toi que dans les toutes petites dimensions, la relativité ne s'applique plus

Le photon s'il devait répondre à la relativité devrait soit avoir une masse infinie puisqu'il se place à la vitesse c soit une masse nulle, dans ce cas on se demande comment il peut transporter de l'énergie (à cause de l'équivalence masse-énergie)

D'abord, on peut se demander ce qu'est un photon: dans la théorie à particule unique, c'est une pure onde de pression avec un mouvement de translation sur un seul U d'une corde d'hyperfluide ( il s'agit d'un U quasar de petite dimension, le mouvement peut être en translation ou en mouvement longitudinal le long d'une corde d'hyperfluide pendant un temps( ceci pourrait expliquer le phénomènes quantiques:la vibration longitudinale résiduelle pourrait interférer avec le photon qui suit dans l'expérience de la double fente).

J'avoue que je n'ai pas été clair sur la deuxième partie.

La célérité de la lumière dans l'hyperfluide est toujours égale à C comme la vitesse du son dans l'air à pression et température donnée.

Pour l'hyperfluide c'est à peu près la même chose, l'onde lumineuse (ou le quanta de mouvement transversal) se déplace à la vitesse c, mais les masses créent des mouvements d'hyperfluide (les lignes gravitationnelles participent à l'hyerfluide, si l'hyerfluide a un vitesse v par rappport à un autre référentiel l'onde lumineuse va aller à C+v par rapport à se référentiel donc la lumière ira plus vite que que la lumière par rapport à ce référentiel par contre la vitesse relative de la lumière par rapport àl'hyperfluide local est toujours c.

Pour qu'il y ait réfraction comme en optique il faut qu'il y ait une limite nette entre deux zones de célérité de la lumière différente (comme en optique) ce qui n'est pas le cas ici.

La lumière est simplement déviée par les masse comme dans la relativité mais l'explication n'est pas la courbure de l'espace-temps.

Bien sur tout ceci ne sont que des intuitions et je m'amuse simplement à imaginer, je n'ai pas ton niveau ni ta célérité (justement) en math et en physique.

En parlant de célérité, j'ai l'impression que ça n'a pas le même sens en anglais (je l'ai lu dans le livre de Brian Green) pour les anglais célérité veut dire vitesse vectorielle d'une masse et vitesse son module?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Gallium
Invités, Posté(e)
Invité Gallium
Invité Gallium Invités 0 message
Posté(e)

Qu'est-ce qu'une photon ? Tu poses là une très bonne question, et finalement pas si évidente que cela. J'avais donné sur un autre fil une conception du photon intéressante que voici :

« Il ne faut pas voir le photon comme une particule ponctuelle qui se situe à un endroit sur l'onde qui lui est associé, mais bien comme un objet purement quantique (donc impossible à se représenter, ce qui est paradoxal) défini par une fonction d'onde. Mais on peut faire l'analogie avec une onde : dans le cas où ce sont des ondes à la surface de l'eau qui sont diffractées, on ne dit pas qu'il existe plusieurs trajectoires... »

Dans ta théorie, tu le conçois uniquement comme une onde, si j'ai bien compris. Or, j'espère que tu prends en compte la dualité corpuscule-onde, autrement l'aspect corpusculaire et ondulatoire du photon. Ces deux aspects sont essentiels pour évoquer le photon.

Quant à ta deuxième partie, je suis en désaccord. En mécanique newtonienne, à faibles vitesses, on pourrait en effet considérer des vitesses qui s'ajoutent, or, ce fonctionnement s'estompe quand les vitesses atteignent c/10. Admettons que ton hyperfluide se déplace à une vitesse v par rapport à un certain référentiel, il est important de comprendre que la vitesse du photon sera toujours c, qu'on soit dans le référentiel de l'hyperfluide ou dans le référentiel inertiel (qui évalue un mouvement hyperfluide). Ce c+v ne marche pas.

En physique, on dit que l'additivité des vitesses ne fonctionne plus à partir de vitesses élevées, c/10 d'après la transformation de Lorentz. Michelson et Morley montrent que cette vitesse est constante dans tout référentiel inertiel, ce que constitue le référentiel qui voit l'hyperfluide en déplacement.

Une formule d'additivité ne serait pas valable, et on utiliserait la transformation de Lorentz que voici :

3d109782dab4d205e34b05dedbb284b7.png

En plus propre :

vitesse.gif

Ou sous forme matricielle :

fdaf7c39483969aa2efb8895fc10b915.png

Modifié par Gallium
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Gallium
Invités, Posté(e)
Invité Gallium
Invité Gallium Invités 0 message
Posté(e)

D'ailleurs, que nous nous déplacions à 99% de la vitesse lumière dans le sens d'un photon dans un référentiel ou que nous soyons immobile dans ce même référentiel, nous verrons toujours un photon se déplacer à c. C'est essentiel en relativité restreinte : pas d'additivité, et c reste une constante.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 59ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 59ans‚
Posté(e)

Bonjour Gallium, merci pour ces réponses qui sont comme d'habitudes très détaillées et didactiques!

Je connaissais les formules de transformations de Lorenz (je pense que tu les manipules bien mieux que moi).

La vitesse de la lumière est la même quelque soit le référentiel même pour un référentiel à 99% de la vitesse de la lumière par rapport à un autre référentiel

Ce qui veut dire que la dans tous les référentiels, on mesurera la vitesse c pour la lumière, mais comme le temps est très ralenti à 99% de la vitesse de la lumière ,alors la lumière que l'on mesure avec un temps ralenti par rapport au référentiel à l'arrêt, fera qu'on verra toujours la vitesse aller à c même si l'objet lancé à 99% de c allume la lumière.

On observera par contre un effet doppler relatif pour ces objet en mouvement (je ne donnerai pas les formules mais l'effet s'observe à 90° par rapport au mouvement (encore un effet de la relativité!).

Je sais qu'il n'y a pas d'additivité des vitesses de manière galiléenne, l'espace pour la relativité n'est pas galiléen.

Ce que je voulais dire, je me suis encore une fois mal exprimé, je m'en excuse ( c'est pas facile pour moi, je ne suis qu'un amateur) c'est que l'hyperfluide dans la théorie à particule unique ( qui est dans un espace galiléen infiniment intriqué, une sorte d'espace fractal) va à la vitesse des masses environnantes à l'échelle d'un amas galactique local.

Il existe un repère fiable dans notre U c'est le grand attracteur, l'axe de la corde, et une galaxie de référence.

Ce qui veut dire que la vitesse de l'hyperfluide dans un amas galactique a localement une vitesse qu'on pourrait qualifier de nulle par rapport à c ( négligeable par rapport à c) car il va à la vitesse des masse environnantes (à l'origine de l'hyperfluide).

L'hyperfluide a une célérité égale à c pour la lumière quelque soit l'endroit dans notre U.

Mais par rapport au référentiel grand attracteur, un amas peu avoir une certaine vitesse v, une onde lumineuse pourra se déplacer à la vitesse v+c dans le référentiel grand attracteur.

Avec la vitesse les masses de basse densité qui sont presque vides subissent une augmentation inertielle dans la théorie à particule unique, ce qui entraine à la fois un écrasement dans le sens de la marche et un ralentissement des mouvements, l'accélération et la gravitation produisent les mêmes effets selon le même principe que la démonstration présent dans le DOC précédent.

En gros on devrait avoir à l'échelle locorégionale les mêmes effets que ce qui est décrit dans la relativité, cette théorie, je ne la remet pas en question pour les masses de faible densité et à l'échelle locorégionale.

Dans une échelle plus grande, on peut imaginer que les amas galactiques s'éloignent en s'accélérant pour le moment, les masses d'hyperfluide ont donc des vecteurs vitesses par rapport à notre référentiel local.

Une onde lumineuse partant de notre amas galactique pourrait attraper un flux d'hyerpfluide comme une onde sonore avec le vent, la célérité du son restant toujours identique.

C'est à peu près ça que je voulais dire, tu vas peut être nous aider à l'exprimer mieux.

Une masse de très forte densité dans cette théorie pourrait franchir le mur de la lumière et créer un cône MAC lumineux (comme le font les électrons dans le plexiglas qui font un cône mac à l'origine du rayonnement de Charenkov pardon pour l'orthographe...)

On pourrait suspecter certains flashs gammas d'être l'expression de ces phénomènes (il y a bien sur bien d'autres explications possibles aux flash gammas comme la fusion de deux étoiles à neutrons, de deux trous noirs....)

Dans la théorie à particule unique pour que les cordes existent il faut que celles-ci soit alimentées ( en prébigbangs qui créent des U dans la zone de recrutement gravitationnelle), les prébigbang qui approximativement pèseraient de l'ordre de 100 milliards de galaxies et qui auraient un diamètre de l'ordre de 10 millions de kilomètres pourraient traverser notre U dans toutes les directions à des vitesses vectorielles variables dont beaucoup seraient supraluminiques et seraient à l'origine de la majorité des flashs gammas observés.

Des masses aussi importantes devraient avoir un effet terrible sur l'espace temps en relativité!

Pour ces masses de cet ordre la gravitation est égale à l'antigravitation ( cf le premier doc du forum, la masse étant surtout périphérique, il n'y a plus d'électrons, toutes les cordes gravitationnelles sont transformées en particules U antigravitationnelles donc la somme des deux forces est nulle) Par contre on peut imaginer l'effet inertiel que ça peut créer avec un ralentissement terrible des mouvements des masses ( ça pourrait expliquer la vie très longues des étoiles géantes bleues à vie longue même si bien sur il peut exister d'autres explications).

Désolé Gallium pour ces explications intuitives un peu diarrhéiques...

Le photon:

Bien sur qu'il faut tenir compte de la dualité onde-particule, la mécanique quantique peut devenir très intuitive.

Imaginons un réseau multidirectionnel anisotrope de cordes d'hyperfluide ayant une vitesse quasinégligeable par rapport à l'environnement massique.

La corde d'hyperfluide est faite de réseaux de quasars (comme il a été découvert récemment dans notre propre univers) , elle est produite en permanence par les masses mais est également détruite régulièrement par les masses les cordes rompus ou les quasars libérés passent en big crunch et se retransforment en prébigbang (à pouvoir gravitationnel nul).

La tension de la corde d'hyperfluide est presque nulle, le frottement existe mais dans le cas particuliers négligeable, le module de Young très petit.

La longueur des cordes de l'hyperfluide est très importante donc la fréquence propre de cette corde est très basse avec des longueurs d'ondes de plusieurs millions de kilomètre.

Le photon serait un vibration d'un ou de quelques quasars dans cette corde qui se transmettrait de corde en corde si celles-ci sont à peu près parallèles.

Plus la fréquence du photon est élevée moins elle met en vibration de quasars et plus l'espace ou est cantonné le photon est petit et plus l'amplitude de cette onde est importante, plus le photon a une fréquence basse plus le nombre de quasars vibrant est élevé mais avec une amplitude basse.

Les photons de basse fréquence ont plus de risque circuler le long de la corde expliquant leur plus grand espace de présence ainsi que leur faible pouvoir de discrimination dans l'utilisation pour déterminer une petite distance entre deux points.

Plus la fréquence est élevée plus l'amplitude de vibration la protège d'une contamination longitudinale de l'onde.

On comprend que la vitesse de la lumière est constante dans le vide ce qui n'est pas le cas dans une masse(c'est tout le principe de l'optique d'ailleurs).

Merci Gallium pour tes remarques (on s'amuse à réimaginer un univers galiléen, c'est peut être faux mais au moins on s'amuse bien)

Modifié par alexandreW
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité caupine
Invités, Posté(e)
Invité caupine
Invité caupine Invités 0 message
Posté(e)

mais ils sont mignons ces deux là... :o° ..ça va je ne vous dérrange pas... :D nan ce serai avec grand plaisir que je vous répondrais mais là vu les pavés...je me sens pas d'humeur. :cray:

néanmoins je vous souhaite une bonne et heureuse année quand même... :o

ha le photon *soupire* tout un programme... :p

Modifié par caupine
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Gallium
Invités, Posté(e)
Invité Gallium
Invité Gallium Invités 0 message
Posté(e)
Le photon s'il devait répondre à la relativité devrait soit avoir une masse infinie puisqu'il se place à la vitesse c soit une masse nulle, dans ce cas on se demande comment il peut transporter de l'énergie (à cause de l'équivalence masse-énergie)

Il faut savoir que E=mc² découle précisément du fait que le photon est une particule sans masse. D'où l'absurdité de certains qui voudraient prouver par cette formule qu'un photon a une masse.

En réalité il existe une formule générale qui est : E²=m²c4 + p²c².

Puisque m=0 dans le cas du photon, alors la formule qui s'applique pour les particules sans masse est E=pc, avec p=hv/c.

E=mc² n'est valable que pour les particules massiques.

Si le photon venait à avoir une masse, alors toutes ces formules devraient être remises en cause, en même temps que la relativité.

mais ils sont mignons ces deux là... ..ça va je ne vous dérrange pas... nan ce serai avec grand plaisir que je vous répondrais mais là vu les pavés...je me sens pas d'humeur.

néanmoins je vous souhaite une bonne et heureuse année quand même...

ha le photon *soupire* tout un programme...

Bonne année à toi aussi, meilleurs voeux !

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 59ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 59ans‚
Posté(e)
mais ils sont mignons ces deux là... :o° ..ça va je ne vous dérrange pas... :D nan ce serai avec grand plaisir que je vous répondrais mais là vu les pavés...je me sens pas d'humeur. :cray:

néanmoins je vous souhaite une bonne et heureuse année quand même... :o

ha le photon *soupire* tout un programme... :p

Bonne année à toi aussi.

Désolé pour le pavé...

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 59ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 59ans‚
Posté(e)

Il faut savoir que E=mc² découle précisément du fait que le photon est une particule sans masse. D'où l'absurdité de certains qui voudraient prouver par cette formule qu'un photon a une masse.

En réalité il existe une formule générale qui est : E²=m²c4 + p²c².

Puisque m=0 dans le cas du photon, alors la formule qui s'applique pour les particules sans masse est E=pc, avec p=hv/c.

E=mc² n'est valable que pour les particules massiques.

Si le photon venait à avoir une masse, alors toutes ces formules devraient être remises en cause, en même temps que la relativité.

Je suis d'accord avec toi, un photon qui a une masse c'est une absurdité, je pense qu'un photon ce n'est qu'un mouvement de trame espace-temps en relativité, un mouvement faisant penser à un pendule de Newton amélioré dans le théorie à particule unique, mais pas quelque chose de massique.

Super univers élégant, j'en étais à la moitié et je l'ai perdu! (je le trainais partout) c'est pas grave je vais le racheter on le trouve partout celui-là (édition poche) :cray:

Comment expliques tu la transformation d'un photon en particules qui ont des masses?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Gallium
Invités, Posté(e)
Invité Gallium
Invité Gallium Invités 0 message
Posté(e)
Comment expliques tu la transformation d'un photon en particules qui ont des masses?

C'est en rapport avec la chromodynamique quantique et les spin. Je peux tenter de développer ce que je pense si tu veux.

Néanmoins Mad_World serait très compétent pour te répondre là-dessus.

NB : Tu n'es pas le seul à avoir perdu le bouquin, moi aussi je ne l'ai plus. Je l'avais prêté et il semble être parti aux oubliettes, jamais revenu ...

(ou comment enrichir Brian Greene)

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

Chargement

×