Docaled

Les Passantes : Antoine Pol repris par Georges Brassens Je veux dédier ce poème A toutes les femmes qu'on aime Pendant quelques instants secrets A celles qu'on connaît à peine Qu'un destin différent entraîne Et qu'on ne retrouve jamais A celle qu'on voit apparaître Une seconde à sa fenêtre Et qui, preste, s'évanouit Mais dont la svelte silhouette Est si gracieuse et fluette Qu'on en demeure épanoui A la compagne de voyage Dont les yeux, charmant paysage Font paraître court le chemin Qu'on est seul, peut-être, à comprendre Et qu'on laisse pourtant descendre Sans avoir effleuré sa main A celles qui sont déjà prises Et qui, vivant des heures grises Près d'un être trop différent Vous ont, inutile folie, Laissé voir la mélancolie D'un avenir désespérant Chères images aperçues Espérances d'un jour déçues Vous serez dans l'oubli demain Pour peu que le bonheur survienne Il est rare qu'on se souvienne Des épisodes du chemin Mais si l'on a manqué sa vie On songe avec un peu d'envie A tous ces bonheurs entrevus Aux baisers qu'on n'osa pas prendre Aux coeurs qui doivent vous attendre Aux yeux qu'on a jamais revu Alors, aux soirs de lassitude Tout en peuplant sa solitude Des fantômes du souvenir On pleure les lèvres absentes De toutes ces belles passantes Que l'on n'a pas su retenir Bravo et Merci de parler d'Antoine Pol

A l'aube du 3ème millènaire Mes.....écoulés Comme un chapelet que l'on égrène S'écoulent les années Que jamais ne reviennent Le temps de nos erreurs passées Qu'à l'aube du 3ème millénaire Nos frères, nos fils, nos ainés Fassent que notre planète Soit terre de fraternité Que font ils? Où sont ils donc? Qu'ils nous reviennent Dieu le Père Son fils bien aimé Le sourire de la Vierge Le retour de la Chrétienté Mesdames et Messieurs S'il vous plait Comme litanie ou rengaine Permettez-moi de nommer Pour leurs pratiques et leurs idées Les Partis d'où jaillit la haine Qui se développe dans nos cités Je parle bien-sur du FN Du MNR déclaré Je ne peux citer leurs noms Il faut que je m'abstienne à regrets Je ne peux passer sous silence La politique des affairistes Celle des fausses amitiés Les bavures de la Police Les élections parfois truquées Les pots de vin, l'injustice Les délits d'initier Les ..je ne t'aime pas...Je t'aime De deux personnes emblématiques Malheureusement aujourd'hui Députés L'une originaire de Corse, l'autre de Vendée Je veux maintenant dire..merde Sommes-nous pas en liberté Au 3ème millénaire Voir le monde de la pauvreté Que ma mémoire se souvienne Il y plus de 50 années Occupant nos rues et ruelles Hommes, Femmes, enfants affamés Triaient déja dans les poubelles Recherchant de quoi manger Mais aujourd'hui rien n'a changé Qu'ils nous arrivent du Magreb De l'Ethiopie Qu'ils soient Français N'ayant à offrir que leur peine Ces sans logis, ces sans papiers Durant des jours, voire des semaines Sans couvertures ni oreillers S'unissent pour faire la grève Faisant éclater leur misère Dans nos églises transformées En immenses camps retranchés A l'heure de la 2000 ème Que pour beaucoup avez fêté Avez-vous un instant observé Une minute de silence En quelque sorte une trêve Afin d'avoir une pensée Pour ces millions de gens qui crèvent Au sein de nos beaux quartiers Couchés sous un réverbère Sur quelques marches d'escalier Cet homme n'est il pas ton frère? Offre lui ton amitié Qu'à l'aube du 3 ème millénaire Présidents et Députés Au fond d'eux mêmes se souviennent Du temps qui le fit rêver Des lilas blancs et des bleuets A toutes celles Et ceux que j'aime A vous public je tenais A dédier ce...petit poème Empreint de ma sincérité Docaled

c'est vrai Zazou, surement un fantasme ...... Mille excuses et te dis merci pour ta belle réponse pour mon texte. A plus

Faut-'il que les humains Soient à ce point stupides Pour croire que demain Le monde fraternise Ami ouvre les yeux Regarde autour de toi Chacun défend son Dieu Tout le monde fait sa loi Les empires se déchirent Pour de maigres butins Envahir d'autres empires Tiens, regarde leurs mains Elles sont rouges de sang Et dans leurs yeux, la haine Envers les pauvres gens Qui souffrent et qui peinent Ils n'ont qu'une obsession C'est vouloir le pouvoir Faisant abstraction De ce monde, l'histoire Les guerres de religion Celles de cent ans Les Francs et les Bourbons Et bien plus récement L'Algérie, le Vietnam L'Afrique, le Kosovo Sans épargner les Femmes Pour la France, c'est bientôt Mon fils, ma chair, ma vie Je ne veux que tu viennes Dans ce monde en folie Vois, je trinque à la tienne Je ne te ferai pas J'ai peur en l'avenir Si je te garde en moi Toi seul, est mon empire Docaled

Ne jugez pas mes actes Ma façon de vivre Peu importe des cloaques Je ne suis pas stupide Pour vous c'est bric à brac L'envie de me détruire N'ayez crainte à avoir Je suis loin du suicide Comme tout étre humain J'ai soif de découvertes En souhaitant que demain Ta main me soit offerte Je veux voir le soleil Se lever sur la lande Tes yeux qui s'émerveillent En te disant" Mon ange" Te prendre par le bras Que tous deux nous puissions Marcher d'un même pas Connaitre la passion Combattre la bétise Le qu'en dira t'on Ajouterai le racisme Le délit d'opinion Tous ces mots qui gangrénent notre société Afin de dire....Je t'aime à l'etranger Poursuivant mon chemin Le coeur toujours en quête J'ai connu des chagrins Et nombre d'amourettes Viendra t'elle un jour Cette fille aux yeux bleus M'offrant tout son amour Avant que d'être vieux Que nous puissions ensemble Envisager l'avenir Marcher en plein decembre En ses seins me blottir Lui exprimer ma joie Partager le bonheur Y croire une dernière fois Avant que vienne l'heure Où la Dame à la faux Que personne n'appelle Me frappe dans le dos Pour un trop long sommeil Vous mes amis, mes proches A mes enfants chéris Sachez que je m'accroche A la vie Docaled

Oui trois chats et deux couples de cailles