Les lecteurs de mauvais livres sont médiocres, ceci est un fait, car incapables de dissocier une oeuvre d'un torchon, du fait justement, chez les jeunes, de ces professeurs démagogues qui insèrent "grand corps malade" en leur programme de première. Il faut en outre ajouter à cela, les désoeuvrés qui se complaisent en la lecture fainéante et honteusement démocratique, d'ouvrages excessivement dangereux pour la survie du bon goût.
La littérature défendue ici s'étend à tous les genres, et offre différents degrès de lecture, qui n'omettent pas la distraction, bien au contraire.