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  1. Il est vrai que pour un musulman il n y arien qu'on peut faire sans l'entourer des principes de l'islam,...Usagis a raison, car pour nous l'islam n'est pas seulement une relation Homme -Dieu, c'est un mode de vie bsé sur des buts et des principes qui nous evitent les egarements qui sont la cause de tous les maux de la socièté et l'eclatement familal , et si le Topic parle de la relation ....il est necessaire de connaitre son sens chez les uns et les autres , et a chacun de peser les pours et les contres de chaque avis...
  2. J'ai entendu dire que Michael Jackson s'est convertis a l'islam au Bahrein? info ou Intox?.. cequi m'a mis la puce à l'orille est le fait qu'aucune chaine Tv n'en parle alor que d'habitude ils se ruent pour n'importe quel geste ou parole il fait....afaire a suivre...
  3. Oulà! ...Incroyable comme tu y vas on dirait un spécialiste de l'islam....tu devrais mettre a jours tes connaissane sur l'islam mon cher... pour obeir aux désir de l'homme l'homme aussi devrait assouvir les desirs de la femme et cette dernière a le droit de demander le divorce auprès du juge sans attendre l'approbation de son mari si ce dernier ne la satisfait pas moralement , sexuellement ou materiellement concernant ses besoins vestimentaires ou nutritionnels, m^me si elle est plus riche que lui elle a le droit de ne rien lui donner, et peersonne n'a le droit de lui en vouloir,..., les Oulemas vont jusqu'a considerér que celui qui neglige sexuellement sa femme chaque quatre jour commets un péché,m^me plus il est péché de lui faire l'acte sexuelle sans les preliminaires et les jeux erotique qui font que elle aussi obtienne du plaisir, et si on accorde ces textes avec ceux qui interdisent aux hommes d'humiler leurs femmes d'être justes envers elles,... on comprends que les textes auxquels tu fais référence font partie d'un ensemble de textes et les uns expliquent les autres ....c'est la methodologie a prendre pour arriver au bon sens de n'importe quel sujet pour ce qui s'agit de battre les femmes tu as tout faux..le Coran n'autorise de frapper les femmes qu'en dernier recours si cela peut sauver le couple ( sinon ce n'est pas la peine) mais pas pour n'importe quel motif, ce n'est permis que si le problème est trés grave et qui menace le mariage, mais cette étape ne doit pas preceder l'etape de la discussion si cette etape n'apporte rien le mari utilise le moyen de s'isoler sexuellement de sa femme si celle ci ne revient pas a sa raison et s'entête au dépends de son ménage il a le droit de la frapper mais pas d'une façon brutale mais seulement d'une façon significative qui peut la faire reflechir que les choses vont plus loin qu'il n'en faut,...mais si elle maintien sa position là entrent les instances du divorce et on interpelle un sage parmis sa famille et un autre parmis la famille du mari pour essayer de reconcilier le couple ou décider que le divorce est la seule solution... et dans tout les cas si le mari dépasse ses limites la femme a le droit de lever son cas au juge. et celui ci doit lui rendre justice. Mais dire qu'il a le droit de la tuer ....là c'est de la désinformation ...., il faut que tu sache que dans le Coran (Sourate -lalumière-) si quelqu'un trouve sa femme en train de faire l'amour avec un autre homme il il faut d'abord qu'il y est avec lui trois autres temoins qui doivent temoigner chacun a part de ce qu'ils ont vu et qu'il n y est pas de divergences dans leurs temoignages au risque qu'ils soient fouettés 80 coup de fouets avec le mari, c'est seulement dans ce cas qu'elle sera jugée pour adultère- Au cas ou il n ya pas de témoins , le mari doit jurer 4 fois qu'il a raison et la 5ème que Dieu le maudisse s'il ment, et elle doit jurer 4 fois qu'il est un menteur et la 5ème que la colère de Dieu s'abatte sur elle s'il dit la verité. Si les deux font ce serment devant le juge aucun d'eux ne sera poursuivi mais si l'un d'eux avoue par conscience devant Allah il sera poursuivi par la justice. Mais dans le cas où le mari tue sa femme en l'accusant pour adultère sans preuve il sera jugé pour homicide. il faut que tu sache que dans l'islam les punitions sont gelées si le moindre soupçon persiste et ce sur ordre du Prophete (bp sur lui) Pour la polygamie, l'islam a le merite de ne pas être une religion hypocrite si beaucoup d'homme ont besoins de plus d'une femme pour saisfaire leurs besoins l'islam leur autorise de se marier avec d'autres femmes a condition que ce soit dans la clarté et au sus de tout le monde et qu'il sooit equitable envers toutes ses femmes....c'est mieux que d'avoir un mari qui vous trompe avec d'autres femmes ou maitresses....ou de multiplier les mariages et les divorces au grands damne des enfants.... les plus grands prophetes avaient plus une femme m^me que la limite n'existait pas avant l'islam , le Roi David en avait d'après les ecrits un millier de femmes a sa disposition, l'islam a limité le nombre a quatre femmes et puis d'abord c'est aux femmes que revient la décision d'accepter de se marier avec un polygame. Et autre chose la femme a le droit d'exiger sur le contrat de mariage que son mari nne prenne pas d'autre femmes qu'elle. Pour le mariage avec des filles de bas age cela était tributaire des coutumes de l'epoque et bien avant , les filles se mariaient très jeunes, d'ailleurs le Prophete Abraham bien avant l'islam s'et marié avec Sarai alors qu'elle n'avait que 12 ans,..., et même après le prophete (bp sur lui) et dans la sociète chretienne au moyen âge , d'ailleurs Charlemagne lui même s'et marié a une fille de bas âge, le mode de vie et les mentalités faisaient que les fille murissaient vite, et d'ailleurs biologiquement parlant les filles devenaient pubère plus précoément que les garçons. C'est pour ca que personne de l'epoque de notre Prophete n'a dit quelque chose sur le sujet vu que 'cetait courant. Ce n'est que de nos jour que certain en font un cheval de bataille pour discrediter nottre Prophete. D'autre part l'islam prends en considération les meurs de chaque époque et si aujourd'hui il n'est pas normal de vior une fille de 9 ans se marier les legsilateurs doivent accorder leur legislations sur ce fait et c'estce qui est fait dans lea plus part des legislatiosn des pays musulmans.
  4. Justement Colombine , moi je suis pour la moralisation de cette relation sans qu'il y est tabou , car pour un croyant la relation sexuelle est un aspect de la création qui a surement un but dans un couple et pour le couple, il ne s'agit pas de satisfaire un besoin bestial sans lui mettre une touche humaine basée sur le respect et dont l'un des buts est de mettre du ciment entre le couple, et justement du point de vue musulman ce nest pas un tabou d'en parler dans un cadre sociologique ou scientifique loin de la vulgarité, le see n'est pas une souillure c'ets un don de Dieu qu'i comme tout les dons il faut en faire un usage noble a la hauteur de la noblesse de l'Homme comme être sensé ... et c'est un sujet courant dans les preches dans les mosquées ou dans les livres qui etudient la relation entre l'homme et la femme,..., justemnet ce n'est pas tabou d'en parler chez nous....il s'agit seulement de choisir les mots pour le faire pour que tout reste dans le respect...
  5. Je vous invite a voir une autre vision de la relation sexuelle dans un couple ... http://www.bladi.net/forum/2190-limportanc...les-sheikh.html
  6. La question est posé a l'envers a mon avis, dire que l'homosexualité est une evolution et de là l'adoption par des homos, c'est faux c'est un retour en arrière au temps de sodome et gomorphe, des homos il en a toujours existé, mais le fait est que c'est le temps des cigales,..., les fourmis taisez -vous! ce sont les heteros qui devinennt marginaux, les travailleurs des cons! ... à la place de Dieu il ya des idoles de variétés et de cinema et de la mode! ...pour la plupart des homos ou des maris et epouses infidèles leur seul leitmotiv l'argent!...Ah! Maudit Satan ! tu fais bien ton travail...mais rira bien qui rira le dernier!
  7. un orchestre harmonieux contre moi. D'une part on m'accuse de ne rien comprendre et quand j'apporte des arguments on dit que c'est trop long....Ca prouve que vous n'avez rien lu et que vous ne lirez rien tant que ca vient de celui qui s'oppose a vos idées et vous appelez ca un dialogue?...pour ce qui s'agir de copier coller a chacun ses sources et ses arguments et je n'en voufrait rien a quiconque de faire pareil , moi je ne met pas n'imoprte quoi ,...J'ai mis des avis autres que les miens comme ca on ne m'accuse pas de parler tout seul,..., d'autre avant moi on fait du copier coller a leur guise et personne ne leur a fait la remarque,...,Si vous cherchez la facilité pourkoi choisir de tels sujets ouvrez d'autre topic qui parlent de Tom et Jerry par exemple cela vous permettera de rire et vous amuser...Pour la laicité Grenouille verte je comprends ta strategie de créer de fausses accusations pour détourner les avis de l'essentiel et du sens dont je les ai présenté,...,et si tu savait lire tu aurait compris que ce n'est pas la laicité qui me dérange mais c'est d'en faire un pretexte pour arriver a des fin pas trés laiques ... et c'est justement là la difference entre ceux qui sont conditionnés par un Clergé laique formés de politiciens et journalistes ou autres habiles dans le prêt a penser , du coup ils sont endoctrinés au nom de la laicité , et ceux qui essayent de cerner le problème dans ses sources et se liberer des préjugés , mais a vous lire c'est moi qui aie l'impression que vous faites partie d'une secte marchant au pas sur une même musique.... J'avait cru faire honneur a ce forum en y participant avec serieux, alors je décide de ne plus poster koi que ce soit sur ce sujet ni sur celui du port du voile vu que c'est les mêmes qui y sont ...et je m'escuse pour ceux que je ne connais pas....Salutations amicales
  8. sissimo

    Le port du voile à l'école

    IL YA DEUX TOPICS CHAMEAULOqui ont convergés sur lemême sujet et là c'est l'article en complet que je vous invite a lire , et c'est une suite qe j'attends pas des remarques comme bis repetita, là il va vous falloir faire des efforts vous avez trop dormis!...lol c'est pou rire, mais je suis serieux quand a attendre la suite...
  9. Caez là tu me decoit ! un tel sujet ne merite t-il pas autant d'effort?...moi j'essayes d'analyser les avis simplistes en retournant aux sources du problème, car sans cet effort que nous devons tous faire on restera sur nos positions basées sur des préjugés et un esprit de moquerie qui n'enrichi pas le dialogue...et pour mes discours cher caez il a été conditionné par le niveau de discussion que certains on tenu qui vas dans le sens de la dérision et de l'arrogance plutôt que dans le sens de la raison et du savoir, et je crois si j'avais été de ton côté sur se sujet tu n'aurait pas traité mes discours de la sorte, ...enfin ce n'est pas grave je ne t'en veut pas pour autant je reste fidèle au forum je sens qu'on devient une famille pleine de dsicorde mais une famille tout de même...
  10. Merci cyrixon Maintenant je vous demande de faire avec moi une reflexion en remplacant les roles...je m'explique dans la phase Renaissance et reforme, il eut l'Edit de Nantes, certaines libertés on été promulguées pour les autres cultes autres que le culte catholique...imaginons que nous parlons de la laicité avnt ces interdits contre des comportements individuels pourtant promulgués par la Declaration des Droits de l'Homme concernant les individu a savoir "liberté d'opinion et d'expression même religieuse" et puis suite a un sursaut de volonté de preserver l'homogeneité de la republique selon un stereotype occidental on promulgue des lois restreignantes contre les autres culte comme l'a fait Louis XIV en revocant l'Edit de Nantes qui voulait une Homogeneité a la catholique? Du fait a mon humble avis c'est ce comportement que sont en train de faire les institutions dites laiques de la républiques au nom de la laicité -qui est aussi innocente de tout ca que le loup du sang de Joseph- et ce'st un retour en arrière qui commence par le foulard et peut aller vers d'autres choses toujours au nom de la laicité, et je ne suis pas le seul a le penser, certains spécialiste l'on dit clairement dont voici un exemple et ils ne sont pas musulmans loin de là, La laïcité devient ainsi le fétiche derrière lequel cacher une exclusion sociale croissante, une islamophobie tout aussi croissante et peut-être la préoccupation ¿ comme le soupçonne Alain Badiou dans l'article ironique et égratigneur publié par Il Manifesto ¿ que les jeunes filles voilées, élèves sérieuses et motivées, deviennent vite les premières de la classe et puis qui sait. Ce que l'on agite contre ces élèves (le curieux est que le respect de la laïcité soit exigé d'elles plutôt que de l'école publique, ses contenus, ses enseignants) c'est en réalité un formalisme radical de la laïcité, vidée de tout contenu concret. Plus inquiétante encore est l'invocation non critique de l'universalisme de la part d'une composante féministe qui parvient à soutenir (Elisabeth Badinter l'a fait) que l'hijab est pire que la prostitution, cette dernière n'étant qu'une manifestation de la liberté de disposer de son propre corps. L'universalisme particulier de marque occidentale, et avec lui la mission civilisatrice qui imposerait d'émanciper les nouvelles indigènes finissent ainsi par substituer la critique rigoureuse du neutre masculin universel, un des apports théoriques décisifs du féminisme. On comprend alors pourquoi dans cette controverse ou d'autres de même nature, la bête noire serait le relativisme culturel, au point que même les anti prohibitionnistes se sentent obligés de mettre en avant des formules du type « sans rien concéder au relativisme ». Derrière cette rhétorique, qui ne fait aucune distinction entre relativisme éthique et relativisme en tant que principe méthodologique, est-il permis de suspecter que se nicherait le bon vieil ethnocentrisme colonial ?(tiré d'un article paru dans le quotidien italien Il Manifesto, le 17 mars 2004. Par Annamaria Rivera, anthropologue.
  11. sissimo

    Le port du voile à l'école

    on se jette des fleurs maintenant.! mais bon! Qu'elle est cette histoire de la main de fatma comme si c'est un signe religieux ? ca n'a rien avoir avec la religion ni de prêt ni de loin!! ...vous devriez elargir vos connaissance sur l'islam avnt de le critiquer...Mais comme pour toi c'est difficile de comprendre pourkoi des filles se voilent pour d'autres exhibent leurs corps gratuitement et font semblant ensuite d'être offusquées par le comportement de certains pervers, mais là c'est une question d'avis chacun est libre de ses pensées... Je vous demande maintenant de faire l'effort d'aller au delà de ce que vous penser et de lire ce que pensent des spécialistes, vous direz que je ne choisit que ceux qui vont dans le sens de mes propos, peut-être, mais a chacun ses arguments je vous laisse lire ceci: LIBRES PAR LA LOI : L'ENVERS DU VOILE Par Annamaria Rivera, anthropologue. Article paru dans le quotidien italien Il Manifesto, le 17 mars 2004. é la fin des années 70, les jeunes filles que nous étions quittèrent tout-à-coup minijupe et jeans collants pour revêtir de longues jupes à fleurs. La jupe féministe se répandit dans les écoles et les universités e il n'y eut proviseur ni professeur qui parvint à avoir raison de ce signe ostentatoire. Toutes, peut-être, n'en étaient pas conscientes mais cette façon de se vêtir si féminin était le résultat du mécanisme qui peut se définir comme ¿retournement du stigmate¿ : la transformation du signe d'une appartenance dévalorisée en emblème orgueilleusement affiché, selon le classique modèle de black is beautiful. Avec un brin de génie et d'ironie, la multitude (comme on dirait de nos jours) de jeunes filles de tous âges qui composaient la marée du mouvement féministe redonna vigueur à un costume qui, dans l'opinion commune, pouvait évoquer une féminité traditionnelle et passivement acceptée. Dans cette tenue (qui par la suite, comme il arrive souvent, devint une mode) il y avait le manifeste du mouvement : la critique de l'émancipation à tout prix, le droit de définir sa propre appartenance singulière de genre. C'était surtout un symbole ironique et puissant de la rébellion contre le corps féminin objet et marchandise. Soyons clairs : je n'entends point procéder ici à une assimilation entre le foulard (en français dans le texte) islamique et la jupe féministe. La comparaison, toutefois, me permet de remarquer une banalité oubliée dans la querelle autour de la loi française ¿contre le voile' : la liberté féminine ¿ pour reprendre une formule abusive ¿ ne se mesure pas aux centimètres de corps exposés au regard. De celle-ci il n'est pas de négation plus radicale que les nudités féminines qui à la télévision font la haie devant les corps masculins complètement vêtus qui discutent politique. Et cela me permet de souligner que les signes vestimentaires ¿ comme tous les signes ¿ assument des significations diverses selon qu'ils sont effectués en une situation historique donnée ; et qu'il n'y a pas exacte correspondance entre le sens investi en certains costumes et le sens que lui confère aujourd'hui celui ou celle qui l'endosse. Ma grand-mère ne sortait jamais sans son fichu sur la tête et pourtant elle n'était ni soumise ni traditionaliste. Alma et Lila Lévy, toutes jeunes citoyennes françaises expulsées d'un lycée d'Aubervillers parce qu'elles s'étaient refusées à retirer le hijab, sont des jeunes files indépendantes et combattives qui revendiquent le droit de s'autodéterminer. Filles d'un avocat de gauche, athée de famille juive, et d'une enseignante de famille kabyle et catholique, elle ne sont pas suspectes de s'être laissé contraindre ou manipuler par un père ou un frère intégriste. Leur cas est exemplaire de la recherche d'une identité autonome de celle des parents, d'une révolte de génération qui peut même se teinter (nous devons nous rappeler notre adolescence) d'une nuance de mysticisme. Qui peut soutenir que leur hijab veuille signifier la soumission au pouvoir masculin ? En somme, toute discussion sérieuse autour de la controverse du voile, devrait partir de la reconnaissance de la signification plurielle de ce signifiant et distinguer rigoureusement les divers contextes historiques. : l'hijab à la française, revêtu au surplus par des citoyennes françaises, ne peut être confondu avec le voile des femmes saoudiennes ou soudanaises. Bien sûr, même dans le premier cas cela peut être un symptôme de l'influence croissante de l'intégrisme, mais souvent cela est l'expression d'un traditionalisme de résistance à l'exclusion sociale, à l'infériorisation dont sont victimes les personnes d'origine immigrée. Ou alors c'est un signe réinventé entre un parcours d'assimilation et de modernisation : dans ce cas sa fonction paradoxale est de conférer une visibilité dans l'espace public. Ou encore c'est la suite d'une négociation avec l'environnement familial : la possibilité de se promener seules et de poursuivre des études, même tête couverte, fait ainsi de l'hijab la couverture d'une innovation de comportement. Il est d'autant plus paradoxal que ce soit précisément la controverse publique autour du voile ¿ jusqu'à décréter légalement la punition de l'expulsion de l'école publique des adolescentes qui justement sont réputées victimes par leurs propres prohibitionnistes ¿ qu'en France, à partir de l'affaire de Creil en 1989, on a rendu visible ce qui auparavant était socialement invisible, et on a sacralisé ce qui au plus était banal. Emmanuel Terray a raison d'user du terme d'hystérie politique : la crise de l'intégration des citoyens d'origine immigrée et la stagnation du processus d'égalisation entre les sexes ¿ écrit-il en un ouvrage collectif à paraître incessamment en France ¿ mène la société française à substituer aux problèmes réels qu'elle ne sait pas résoudre, " ¿ un problème fictif, imaginaire, construit de telle sorte qu'il puisse être traité avec les seules ressources du discours et par le seul maniement des symboles " La laïcité devient ainsi le fétiche derrière lequel cacher une exclusion sociale croissante, une islamophobie tout aussi croissante et peut-être la préoccupation ¿ comme le soupçonne Alain Badiou dans l'article ironique et égratigneur publié par Il Manifesto ¿ que les jeunes filles voilées, élèves sérieuses et motivées, deviennent vite les premières de la classe et puis qui sait. Ce que l'on agite contre ces élèves (le curieux est que le respect de la laïcité soit exigé d'elles plutôt que de l'école publique, ses contenus, ses enseignants) c'est en réalité un formalisme radical de la laïcité, vidée de tout contenu concret. Plus inquiétante encore est l'invocation non critique de l'universalisme de la part d'une composante féministe qui parvient à soutenir (Elisabeth Badinter l'a fait) que l'hijab est pire que la prostitution, cette dernière n'étant qu'une manifestation de la liberté de disposer de son propre corps. L'universalisme particulier de marque occidentale, et avec lui la mission civilisatrice qui imposerait d'émanciper les nouvelles indigènes finissent ainsi par substituer la critique rigoureuse du neutre masculin universel, un des apports théoriques décisifs du féminisme. On comprend alors pourquoi dans cette controverse ou d'autres de même nature, la bête noire serait le relativisme culturel, au point que même les anti prohibitionnistes se sentent obligés de mettre en avant des formules du type « sans rien concéder au relativisme ». Derrière cette rhétorique, qui ne fait aucune distinction entre relativisme éthique et relativisme en tant que principe méthodologique, est-il permis de suspecter que se nicherait le bon vieil ethnocentrisme colonial ?
  12. Il est vrai qu'en fin de compte parler de la femme et de sa condition dans la société converge avec les traditions et la religion du fait ca converge avec ce que comprennent les uns et les autres de la laicité, vous parler tous avec ce terme et 'dautres encore comme ostentatoire proselytisme et autres mais est ce que tout le monde comprends le vrai sens de ces mots dans le contexte que nous debattons? est ce que faire du proselytisme ou exprimer sa religion a titre individuel va a l'encontre de la laicité? qui connait vraiment l'histoire de la laicité et ses principes en concordance avec les droits de l'Homme? je vous propose dans un but de reflexion profonde et pour fructifier le débat et je suis comme vous en quête de savoir plus et comprendre mieux les propos de autres au lieu que laisser la passion dominer sur le savoir, je disais je vous propose de lire une partie de l'histoire de la laicité et ses conclusions , je vous demande d'être patients voici le texte : la Renaissance et la Réforme La civilisation européenne est profondément transformée au quinzième et au seizième siècle. Pour ne citer que quelques éléments : l'ouverture vers des mondes nouveaux dont la Méditerranée cesse d'être le centre ; dans le monde méditerranéen lui-même, la chute de Constantinople en 1453, la fin de la « reconquista » espagnole en 1492, la bataille de Lépante en 1572 modifient durablement les grands équilibres politiques. Dans le domaine culturel, une approche plus exigeante des patrimoines de l'Antiquité devenue référence et modèle, particulièrement dans les domaines de l'archéologie et de la philologie, l'invention de l'imprimerie et sa diffusion rapide changent complètement les relations aux textes et aux savoirs. En France, deux manières d'être chrétien se distinguent peu à peu à partir de 1540 environ. Pour le « réformé », de nouvelles pratiques, comme la lecture personnelle, le libre examen de la Bible devenue plus accessible parce qu'imprimée, s'appuient sur une nouvelle orientation théologique qui privilégie la relation personnelle entre la créature et son créateur, et le salut accordé par la grâce. Pour les catholiques, l'Eglise reste l'unique médiatrice du salut. La coexistence difficile de ces deux courants, les positions diverses des souverains successifs, le sentiment d'un risque pour l'unité du royaume aboutissent à quarante années de guerres « de religion » entre catholiques, dénommés parfois Ligueurs, et réformés dénommés Huguenots. Ces guerres qui commencent en 1560 et qui sont caractérisées par une violence et une férocité extraordinaires, ne s'achèveront qu'en 1598 par la promulgation de l'Edit de Nantes. Pour la première fois, le souverain, le roi Henri IV, lui-même huguenot devenu catholique avant son couronnement, tente de mettre en place la coexistence des deux confessions sur des bases territorialisées : le royaume est catholique, mais les réformés obtiennent l'autorisation d'implanter leurs lieux de culte dans un nombre limité de places qui leur seront garanties. Cette mesure ne fait d'ailleurs que reconnaître la réalité d'une implantation protestante dans plusieurs zones du royaume. Réformés et catholiques pourront à égalité occuper offices, charges et fonctions du royaume. Il existe donc là un premier desserrement des liens entre l'Etat monarchique et la religion, desserrement jugé d'ailleurs opportun par certains penseurs politiques de l'époque, Bodin entre autres. La révocation de l'Edit de Nantes Mais au XVIIe siècle, une nouvelle vision politique appuyée sur la Contre-réforme, partagée par Bossuet et par Louis XIV, en monarque soucieux avant tout de l'homogénéité du royaume, aboutit à la révocation de l'Edit de Nantes, en 1685. Cette logique politique prétend refonder le royaume sur l'homogénéité de la religion du souverain et de ses sujets. La religion devient, de ce fait, un instrument de contrôle social : en effet, en rendant à la religion catholique son monopole en matière de pouvoir spirituel, et en la contrôlant, on contrôle le royaume ; le système de la direction des consciences et de la confession, particulier à la pratique catholique, permet une diffusion plus homogène de la norme religieuse qui se confond alors avec la norme morale et avec la norme politique. En tout cas, cette réaction va à l'encontre de toute la réflexion de la philosophie politique du XVIIe siècle représentée par Hobbes, Spinoza, Locke, ou Bayle, qui fait au contraire apparaître la nécessité du pluralisme et de la tolérance. Dans les faits, les institutions sociales et politiques de la France, apparemment consolidées, sont en réalité figées et bloquées. Donc, à partir de la révocation de l'édit de Nantes, les liens entre la monarchie et l'institution ecclésiastique sont de nouveau resserrés, aux bénéfices réciproques des deux institutions. E/ Le XVIIIe siècle Dans le domaine des idées, tout le travail de réflexion, d'élaboration politique et juridique mené par les Montesquieu, Voltaire, Rousseau, Condorcet et d'autres encore, va se faire hors de ces institutions bloquées, sans elles et contre elles. De nouveaux paradigmes : l'importance du travail de la raison, la notion de droit et des droits des individus, la distinction entre peuple et nation, la séparation des pouvoirs, la notion de progrès, vont être débattus et élaborés par les philosophes des Lumières et se répandre en France et en Europe, sans entraîner de modification dans les institutions politiques et religieuses du Royaume. A partir de 1770, l'unanimité se fait sur la nécessité de les réformer ; mais l'accord ne se fait pas sur la nature et les modalités de ces réformes, si bien que toutes les tentatives échouent. II/ De la Révolution à 1905 A/ La période révolutionnaire En 1789, les Etats Généraux sont convoqués, et d'un seul coup, l'archaïsme du système monarchique, avec la religion pour seule légitimation, apparaît de manière évidente, même pour une partie des dignitaires de l'Eglise catholique. Du point de vue qui nous intéresse, la période révolutionnaire se caractérise par un certain nombre d'événements, de décisions, de lois, qui concernent et mêlent souvent plusieurs domaines ; nous tenterons d'en distinguer les conséquences pour les individus, pour la nature de l'Etat, et pour la place désormais dévolue aux religions. 1/ Pour les individus : a/ La Déclaration des Droits de l'Homme affirme la liberté d'opinion et d'expression, même religieuse. b/ Un premier pluralisme religieux de fait s'installe dans le royaume, avec la reconnaissance de la religion des Juifs, et avec le fait que les Protestants bénéficiaient depuis 1787 d'un édit de tolérance. c/ Enfin, un certain nombre de mesures traduisent pour tous les habitants du royaume, puis de la République, un rapport avec l'administration civile indépendant de toute appartenance ou référence religieuse. En particulier, l'état civil tenu par les communes se substitue en 1791-92 aux registres paroissiaux tenus par les curés, donc pour les seuls catholiques. Par voie de conséquence, les faits anthropologiques, naissances, mariages (civils), décès, prennent le pas sur les sacrements ou les cérémonies religieuses qui les accompagnent ou les solennisent. C'est donc pour les individus, trois nouvelles acquisitions : liberté de conscience et d'expression, légitimité de la pluralité de ces expressions, et surtout, détermination de l'identité et des droits de l'individu hors de la norme religieuse. 2/ Pour la nature de l'Etat : a/ Le fondement du pouvoir est désormais politique et non plus religieux ; la légitimité du souverain, qui reposait sur une religion commune avec tous ses sujets, repose dès lors sur la Nation. b/ Dès 1789, le clergé cesse d'exister en tant qu'« ordre » , c'est-à-dire comme une catégorie sociale et politique qui serait dotée d'une spécificité et d'une statut particulier. c/ En 1791, intervient la suppression simultanée des corporations et des congrégations de religieux, comme si ces corps intermédiaires, organisés les uns et les autres sur des bases religieuses qui leur assuraient cohérence et cohésion, faisaient obstacle entre la nation et son souverain. Le long dix-neuvième siècle ne suffira pas à effacer cette idée née de la Révolution, qui consiste à n'accepter que deux instances dans le jeu politique, l'Etat et le peuple, sans la médiation des « corps » de la société civile. En fondant la légitimité de la monarchie sur la nation, en acceptant que le clergé disparaisse comme « ordre » dans la représentation des états généraux, en supprimant corporations et congrégations, le pouvoir politique prend ainsi son autonomie par rapport à la religion.
  13. Non Caez penser que la femme n'a pas le droit de se montrer nue est un avis chacun ses croyances, et ses principes mais il n ya pas de lois pour le lui interdire. Mais si la laicité permet a chacun de mettre ce qu'il veut et de faire ce qu'il veut de son corps pourkoi demunire les filles de ce droit? c'est leur corps, celles qui ne veulent pas le mettre sont libres aussi et ce'st pareil pour le port de la croix ou la kipa si un juif veut s'identifier en tant que tel en portant la kipa personne n'as le droit de lui restreindre ce droit et de mêm pour le chretien ou le boudhiste ou autres la société française est faite comme ca avec toutes ces couleurs c'est normal de voir cette diversités dans tous les lieux publics ou autres c'est ca le sens de la diversité culturelle, pourkoi voir en ces differences une agression? pourkoi ne pas nous accepter les uns les autres avec nos differences?
  14. Vois tu grenouille verte entre crucifix et habit il y a tout un monde aussi grand que la difference entre un mur et un corps le mur est bâti par les denis publics et un corps est crée par Dieu le mur est la propriete de tous, le corps a son proprietaire qui a le droit de lui mettre ce qu'il veut comme habits et c'est ca la liberté.
  15. Chameaulo je vise principalement les politiques et les médias car c'est un monde a eux seuls, mais je pense que tu fais partie du lot qui auront compris de koi je parles tu peux faire semblant de ne pas le penser mais si on est sensés et si on pretend comprendre les chose et le cours des evenements, la vérité dont je parle saute aux yeux a moin de vivre sur une autre planete, et je ne t'accuse pas d'être d'accord qu'on persecute l'islam mais la logique est que tout le monde sait qu'on le persecute car c'est la seule religion qui avance dans les sociètés doucement et surement , 50000 convertis en 2005 rien qu'en france et de sources françaises...
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