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LeMel

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  1. "on verra l'état du peuple dans 4 ans et demi" j'allais en dire autant...! A te lire, on pourrait croire que l'on vit dans un pays du Tiers-monde, où les gens se raccrochent aux "miettes" qu'ils pourront bien trouver... mais non non, je te rassure, notre pays est développé et sa société entretient encore un minimum de justice et d'équité...Seulement oui, c'est sûr qu'en s'opposant à la modernisation, l'ouverture de son économie, à la relance de la France et de L'UE, "l'état du peuple" ne peut que se dégrader... Et à propos de révolution, je me demande comment un parti politique qui se présente aux élections présidentielles peut encore être de nos jours "révolutionnaire". La révolution, peut etre, mais pour révolutionner quoi ? Pour faire de la France une société égalitariste et liberticide ? Ah mais pardon, le peuple d'un Etat développé, démocratique et laïc n'a "plus rien à perdre"....
  2. Je ne conteste pas la validité de ces chiffres, mais tient seulement à préciser qu'ils sont différent de ceux présentés sur wikipédia (tiré d'un rapportdu FMI de 2006) : ces derniers indiquent que la Roumanie et la Bulgarie ont un PIB en parité de pouvoir d'achat (qui prend en compte les différents niveau de cout de la vie suivant les pays) qui s'établit à environ 9 800 $, contre 9107 $ pour la Turquie (source :http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_pay...29_par_habitant ). Or cette mesure me paraît plus judicieuse.. Enfin de toute façon, cela ne remet pas en cause ton argument, Kraft : il est absurde de s'opposer à l'entrée de la Turquie dans l'UE sous couvert de simples considérations économiques de ce type, puisque la richesse de la Turquie par habitant équivaut à celle de la Bulgarie ou de la Roumanie. Et l'entrée des 12 nouveaux en 2004 et 2007 est pour l'instant une formidable réussite économique : le niveau de vie y progresse vite, particulièrement depuis leur adhésion. Ce qui est gênant pour moi, ce sont ces quelques autres épines plantées et dont le pays a du mal à se défaire...le génocide arménien, tout d'abord, que la Turquie s'obstine à ne pas reconnaître, or cette dernière est indispensable pour la normalisation des relations avec l'Arménie voisine et la mise en adéquation des valeurs fondamentales de l'UE. Les différents avec la Chypre : la Turquie refuse toujours d'ouvrir ses ports et ses aéroports aux navires et avions chypriote, pourtant membre de l'Union Européenne ! De plus, il n'est pas à exclure d'une probable "délaïcisation" de la Turquie :n'oublions pas que le pouvoir est aux mains d'un parti qui se dit "islamiste modéré", l'AKP -mais la laïcité est fortement ancrée dans la culture turque. Et du côté des pays membres, les opinions publiques restent divisées sur cette question suivant les pays, et sont de toutes manières souvent réticentes à un nouvel élargissement dans un futur proche, vers quelques pays que ce soit. Mais malgré tout, son entrée établirait un "pont" entre l'UE et le moyen-orient, étendrait sa zone d'influence (particulièrement sur le Caucase et le moyen-orient), ouvrirait un vaste et porteur marché aux entreprises européennes, ouvrirait l'UE au sud et à l'Orient, renforcerait son poids sur la scène internationale. Et avec la future probable ratification du traité simplifié de Lisbonne, il ne sera pas question de dysfonctionnement des institutions. Bref, à mon avis, une fois ces quelques problèmes résolus et d'ici une dizaine d'années, lorsque les Européens seront prêt pour un nouvel élargissement de taille, la question de l'entrée de la Turquie dans l'UE pourrait sérieusement se poser. En 2007, il est encore trop tôt !
  3. une révolution...non mais c'est du grand n'importe quoi ! J'ai du mal à croire que certains ici puisse vraiment appuyer ça... La France est un pays démocratique. Une révolution dans la France actuelle, quelque soit la forme qu'elle prend, est totalement anti-démocratique, arbitraire et dangereuse. N'oubliez pas que de nos jours, les "révolutions" sont plutot des coups d'Etats fomentés pas une opposition belleiqueuse, et ce dans ds pays PAUVRES ou ayant des régimes de nature AUTORITAIRE. Dans nos sociétés occidentales actuelles démocratiques, je ne crois pas et m'oppose fortement au pouvoir de la rue, dicté par des minorités agitées ! Il ne devait qu'exister le pouvoir des urnes !! (Et comme slogan à tout ça : "La révolution, une abberation !" )
  4. Sans parler de la dernière réplique ("abbatez-moi ces impots de merde"), que je trouve affreusement simpliste, je dois dire que la question posée pour le sondage m'a laissé perplexe : j'ai été tenté de répondre OUI aux droit de succession et à l'ISF, mais les réponses possibles me paraissaient trop binaires. Ne serait-ils pas plus judicieux de conserver ces impôts, masi en les allégeant et en les dirigeant vers les ménages les plus aisés ? Supprimer entièrement l'ISF, sans aucune compensation par la création d'un autre impôt serait à mon avis contraire à la déontologie mais surtout mal vu par l'opinion publique: on annonce la création d'un TVA sociale tout en supprimant l'ISF ? ça en devient indécent ! Idem pour les droits de succession : les supprimer entièrement va totalement à l'encontre du principe de mérite, entre autres. Je suis par contre tout à fait d'accord pour dire qu'il faut les alléger substantiellement par rapport aux taux pratiqués actuellement : les droits de succession entraîne souvent des détournements de la loi ou des situations absurde (qlqn ici avait parlé de l'exemple d'un viticulteur...), et créés un manque à gagner considérable pour les proches des individus décédés. Et en prenant ça sous un angle plus large, la système actuel en devient de même absurde : les parents, lorsqu'ils décédent, ont alors souvent engrangés un patrimoine non négligeable, du fait d'une vie entière de travail; les enfants, lorsqu'ils héritent, sous souvent dans l'âge où l'on a besoin d'argent, lorsque leurs enfants débutent des études supérieures par exemple. Alors qu'un simple transfert de ces biens des parents aux enfants paraitrait logique, parce que ces derniers en ont le plus besoin, l'on préfère que l'Etat en prélève une bonne partie ! Absurde ! Bref, OUI au droits de succession et à l'ISF pour les plus riches, mais allégés fortement et dans la limite de toutes manières d'un bouclier fiscal à 50 voire 40% : il faut éviter la fuite des capitaux et des cerveaux !
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