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Lyli May

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À propos de Lyli May

  • Date de naissance 03/05/2005

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Forumeur en herbe (4/14)

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  1. Lyli May

    Rendez-vous

    Je vous remercie d’avoir tous pris le temps de répondre à mon message. Je ne bois pas, ne fume pas, et ne consomme pas de sucre rapide. La mort ne me fait pas peur autant que les conséquences que cela pourrait avoir pour les autres. Je pense souvent à des manières de mettre fin à mes jours (écrasée par un train/tram/véhicule, m’ouvrir les veines, un « accident » de voiture, sauter d’un pont), mais chaque option me ramène à la pensée du traumatisme et désagrément que cela pourrait causer à ceux qui m’entourent. J’ai conscience de l’impact que cela aurait, par exemple, sur le conducteur, la gêne pour les utilitaires des transport en commun ou sur ma sœur si quelque chose se passait dans la salle de bain à côté de sa chambre. Je me demande comment je pourrais supporter la culpabilité de causer de la douleur à mes proches, alors que je ne veux que trouver un moyen de mourir. La réalité de ces pensées me fait me sentir encore plus piégée. Mais vous me direz je serais morte alors qu’est-ce que j’en aurais à faire. Beaucoup de gens meurent tous les jours, et pourtant le monde tourne encore, alors je ne veux pas que leur monde s’arrête parce que le mien l’a fait. Je ne le sais pas moi même. La psychiatrie m’a demandée, comment je me sentais, qu’est-ce qui me poussait à faire ça, comment est mon environnement quand je fais une ts. Les réponses : rien, je ne ressens rien, je me sens hors de moi mais pas dans le terme colérique. Juste, tout devient brumeux et ce n’est pas une métaphore, je vois vraiment trouble et je n’arrive plus à écrire, ni à parler, ni à lire. On m’a dit sur un autre forum avant celui-ci d’aller voir un ophtalmologue mais il n’a pas trouvé ce qui clochait. Je n’ai aucune idée de pourquoi je fais ça. J’ai jamais eu de copain (et pas sûre que j’en veuille), donc pas de rupture, pas de grossesse, quand je suis avec ma famille je m’enferme les 3/4 de mon temps dans ma chambre, car je veux être seule (je dirais même que la solitude est quelque chose que j’apprécie), manque d’amour mes parents m’ont offert tout l’amour dont j’avais besoin. C’est vrai que je suis terrifiée à l’idée de raté le concours, mais c’est récent.
  2. Lyli May

    Rendez-vous

    Bonsoir, Je suis désolée de vous déranger. Depuis le 26 novembre, j’ai entamé une démarche d’aide suite aux divers problèmes que j’ai pu développer. J’ai commencé par un rendez-vous avec une infirmière spécialisée en psychiatrie, qui m’a ensuite dirigée vers un médecin généraliste ayant quelques compétences en psychiatrie. Je dois vous avouer que le rendez-vous avec ce médecin ne s’est pas très bien passé. Elle m’a menacée de m’hospitaliser si je ne parlais pas à mes parents de ma situation. J’avais un autre rendez-vous prévu avec elle la semaine dernière, mais j’ai préféré l’annuler. (Mal)heureusement, l’infirmière et le médecin ont insisté pour me revoir. J’ai finalement accepté, pour ne pas me fermer complètement à l’idée et me convaincre que j’aurais au moins essayé. Elles m’ont proposé un rendez-vous avec une psychiatre, car elles se sentaient impuissantes face à ma situation et n’avaient pas de réelles solutions ou aides à m’apporter. C’était, honnêtement, ce à quoi je m’attendais. Aujourd’hui, j’ai vu la psychiatre. Elle a immédiatement souhaité me prescrire des médicaments. À ce moment-là, j’étais déjà un peu sceptique. Elle m’a proposé deux types de traitements : - Des antidépresseurs, à prendre tous les jours à heure fixe. Mais petit problème : comment expliquer à mes parents que je prends des médicaments et en plus qui sont non accessibles en vente libre ? - De l’Atarax, un médicament destiné aux personnes très anxieuses. Notre médecin traitant en avait déjà prescrit à ma sœur lorsqu’elle passait ses examens de L3. Le souci avec l’Atarax, c’est qu’il fait partie des médicaments que je mélange lorsque je fais mes tentatives de suicide (TS), aux côtés de Doliprane, codéine, Izzalgi, ibuprofène, prednisone, Vogalib, Maxilase… Tous ces médicaments ont été obtenus légalement, je tiens à le préciser. Mais voilà où ça coince : je n’ai rien dit à la psychiatre à ce sujet, et elle semble déterminée à vouloir me prescrire ces “petits comprimés” à prendre chaque jour. Je trouve ça paradoxal : bourrer quelqu’un de médicaments pour l’empêcher de… se bourrer de médicaments. D’un côté, je me dis que je devrais lui dire la vérité, surtout que je lui ai menti sur la date de ma dernière TS. Quelque chose comme : “Bonjour, la dernière fois que j’ai essayé de mourir, c’était il y a 4 jours. J’ai pris le double de la dose recommandée de chaque médicament. Finalement, j’ai réussi à dormir une nuit complète, mais le lendemain, j’ai pleuré toutes les larmes de mon corps en me réveillant.” Mais d’un autre côté, je me dis que ces prescriptions pourraient raviver mon stock, qui commence à s’épuiser. Si je consomme tout mon stock en petites crises, je n’aurai plus rien si je fais une grosse crise. Et ça peut être… plus ou moins bénéfique. Le problème, c’est que maintenant elle sait que je suis sceptique à l’idée de prendre des médicaments. Si je lui en parle, j’ai peur qu’elle pense que je cherche simplement une excuse pour refuser l’Atarax. Mais si je ne lui dis rien, et qu’elle m’en prescrit, je sais que je vais les utiliser, mais pas forcément dans le contexte approprié. En plus de tout cela, elle m’a expliqué que la prise d’antidépresseurs pouvait favoriser l’appétit. Je n’ai pas envie d’avoir un appétit plus important. Avec la préparation de mon concours, je n’ai plus vraiment le temps de faire du sport ou de me dépenser. Et je ne suis déjà pas particulièrement mince. Depuis environ 4 mois, je ne mange qu’un repas par jour, le soir, uniquement parce que ma sœur est là. Le reste du temps, je ne consomme rien, à part de l’eau, du thé ou des tisanes. J’ai perdu environ dix kilos depuis octobre. Si je me remets à manger avec les médicaments, je vais prendre du poids, ce qui me rendra encore plus mal. Et qui dit plus mal dit… plus de TS. La boucle est bouclée. Selon vous, est-ce mieux de lui parler de tout cela ou de ne rien dire ?
  3. Lyli May

    Je me suis fixée une date butoir le 27 mai 2025 jusque là, je me donnerai le temps pour aller mieux. Passer cette date, je réaliserai mon second vœux qui deviendra mon unique vœu
  4. Lyli May

    Est-ce que ce n’est pas un caprice d’une enfant pourrie gâtée ? Mes parents m’ont toujours tout donné, tout ce que j’ai toujours voulu je l’ai eu. Aujourd’hui comme je n’arrive pas à avoir ce que je veux ce que j’attends de moi, je fais un caprice…comme une enfant. Au final ça ne serait que de l’égoïsme, après tout il y a pire souffrance. peut être que crow a raison, et qu’il semble juste que je ne veuille pas aller bien. Si j’arrêtais de me plaindre finira-t-elle par passer.
  5. Lyli May

    C’est très pesant. Il ne se passe pas un jour sans que je ne pense à une façon de mourir
  6. Lyli May

    Il serait peut être temps de s’arrêter là vous ne croyez pas ? Allez voir un médecin généraliste ou psychiatre n’ajouterai que des frais supplémentaires à ma famille, je serais un poids en plus à supporter. Mes parents sont commerçants, ils sont tous les deux dans leur commerce et plus ça va plus gens leur en demande, aujourd’hui ils font 7h-13h 14h30-20h tous les jours sauf le dimanche où ils font 7h30-12h45. Ma mère vient de subir une intervention chirurgicale sérieuse, et leur métier est un métier physique ils doivent porter des charges lourdes, elle a donc sous arrêt de travail pendant 1mois et demi. Comme étant patronne, (et pour le bien de l’entreprise d’après le comptable), elle n’a pas pu recevoir son salaire au mois d’octobre. Bref. Tout ça pour dire que l’on n’est pas à plaindre dans ma famille, mais on ne roule pas sur l’or non plus. Comme je l’ai dit plus tôt il a été très difficile pour eux de pouvoir m’acheter une voiture l’an dernier. Peut-être que certains/certaines d’entre vous penserons que je suis trop rattachée/ trop dépendante de mes parents. J’avais des jobs étudiants quand j’étais au lycée, mais à ma première année d’étude simplement le loyer de mon appartement plus l’essence de ma voiture a brûlé les 3/4 de mes économies. Donc oui financièrement je dépends de mes parents. Non, les seuls « amis » que j’avais au lycée ne s’intéressaient qu’aux notes que j’avais prises en cours L’équitation mais pareil… c’est hors budget ce mois-ci, et en plus, vous n’allez pas apprécier mais si je fais de l’équitation c’est parce que je peux mourir à tout moment… la lecture mais en ce moment, elle remue plus le couteau dans la plaie…
  7. Lyli May

    J’ai pensé à plusieurs façon de mourir, me jeter sous un train, un tram, un bus, une voiture. Je serais sûre de trouver la mort dans l’un de ces cas, mais… de un ça ne serait pas cool pour le conducteur, et de deux ce que je veux c’est arrêter d’être un poids pour le monde alors en me jetant sur les rails d’un train, je créerai que des problèmes. La pendaison me semblait une bonne idée, peu de chance de survie, généralement on les retrouve trop tard… Le problème c’est pour la ou les personne(s) qui va/vont me retrouver, il y a deux façons de mourir par pendaison, le cou du lapin (dénucage), ou étouffement et lorsque vous vous étouffez, vous avez un relâchement des sphincters qui entraîne une perte involontaire de l’urine et des selles, et en plus vous pouvez aussi vomir, du à des contractions de votre estomac. Comme les personnes susceptible de me retrouver sont ma mère, ma sœur ou mon père, je n’aimerais pas qu’ils aient cette dernière image de moi. Alors j’ai pensé à un accident de voiture, tout simple. Sans témoins sans dommage collatéral. Je plante ma voiture contre un arbre à une vitesse excessive, sans airbag, sans ceinture… Je me serais simplement endormi au volant. Mais mes parents se sont saignés pour pouvoir acheter ma voiture. Ils ont laissé la sueur de leur front, et ça serait égoïste de ma part. En plus les connaissant ils s’en voudront de m’avoir achetée cette voiture qui « m’aura » ôté la vie. M’ouvrir les veines, n’est pas non plus une option. Je n’apprécie pas la brûlure que laisse le passage de la lame, et cette douleur m’effraie même. Donc, j’ai choisi la voie médicamenteuse. Tout ce qui rentré fait ventre. Alprazolam, codéine, izalgi, Doliprane, paracetamol, néfopam… Je me suis ratée de peu ce printemps. J’avais fait une promesse à ma confidente, c’est de la prévenir avant de retoucher aux médicaments. Hier soir la tentation était trop forte alors j’ai fait avec ce que j’avais dans ma chambre, mais comme je le craignais c’était suffisant pour me gazer mais pas pour mourir Ça fait 12 ans que je me répète ces phrases, que ce n’est qu’une phase que ça va passer, que c’est normal c’est l’adolescence, le passage à l’âge adulte
  8. Lyli May

    Je me plains de mon mal-être. Ce que je ressens peut divaguer selon la situation, ça peut être du dégoût et de la haine, de la déception, de la tristesse en vers moi-même, ou un vide complet et totale. Il m’arrive d’avoir lors de plus grosses « crises » des brouillards mentaux. Quand je n’arrive plus à regarder mon reflet, j’arrête de manger pendant 3-4 jours, si je mange et surtout le soir je deviens incapable de dormir car je suis rongée par la culpabilité et je pars en crise d’insomnie dans les toilettes essayant de me faire vomir. Quand j’étais petite (13-14 ans) je me mordais les bras (biceps), et flagellais mes cuisses avec une ceinture. Ma mère m’a surprise et elle m’a emmené chez notre médecin qui lui a conseillé d’aller voir un psy. Ça n’a rien changé, hormis qu’aujourd’hui je suis plus discrète, j’ai arrêté de me confier à mon entourage, de dire ce que je ressens, j’évite de montrer mes émotions. Je ne me suis jamais scarifier, enfin j’ai essayé mais je n’ai pas trouvé de soulagement en le tailladant les bras. La souffrance m’effraie un peu. Je fais de l’équitation. Pas particulièrement parce que j’apprécie ce sport, c’est juste qu’il est dangereux et que je sais que je peux mourir à n’importe quel moment. Sinon, je suis étudiante en Licence mention science de la vie option biochimie et je prépare le concours d’entrée en école vétérinaire. La licence n’était pas un choix c’est la voie qui m’a été imposée. J’ai eu une baisse de motivation en terminale, je n’arrivais plus à trouver du plaisir à venir en cours notamment a ceux de physique-chimie et SVT. Les seuls cours que j’appréciais étaient l’histoire car le prof était sympa, et les maths complé car la prof était gentille et on était vraiment libre de travailler comme on le voulait du moment qu’on le faisait dans le calme. En somme, j’avais 17 de moyenne en première contre 12 en terminale. Je n’ai été accepté nul part immédiatement sur parcoursup, et refuser dans les écoles prépa. Licence de bio : au niveau des cours ça c’est plutôt bien passé, j’ai cartonné en maths alors que je n’y croyais pas parce que mes notes en TD n’était pas terrible (11-14) et là où j’ai eu 20 en TD de physique j’ai eu 2,75 au partiel… le reste était moyen entre 11 jusqu’à 17. Au final j’ai validé le semestre à 12,34 sur un classement de 53/185 (29% un peu près). Au deuxième semestre j’essaye de m’y mettre à fond mais il y a une matière où je pêche, et c’est mon premier partiel. Je me suis entraînée avec les exercices de TD et les annales mis à notre disposition, peu importe à quel point je les ai fait, refait et rerefait le résultat était toujours le même tout était toujours faux, et j’avais beau demander à mon prof de l’aide il me répétait la même chose : « c’est de la logique ». Le jour de l’épreuve, je suis devenue complètement folle, je pleurais devant ma copie pendant que j’écrivais tous mes résultats au brouillon, sur la copie à rendre j’ai mis uniquement ceux que je pensais justes, j’ai eu 9/20. J’ai donné mon brouillon à mon prof si jamais il pouvait le corriger, il l’a noté à 13/20. Après ça j’ai complètement décroché, j’essayais de mémoriser mes cours mais rien ne rentrait, le reste du temps je le passais dans mon lit dans le noir, je me réveillais en pleine nuit récitant à moitié mes cours avec des phrases sans queue ni tête. Je suis passée à rat les pâquerettes ayant validé à 10,976 sur un classement de 69/164 (≈42%). Validation de l’année à 11,658 sur un classement de 33/117 (≈28%). J’ai perdu toute envie, j’ai fais des ts qui n’ont pas abouti, comme celle d’hier soir… La suite vous la connaissez. Aujourd’hui j’ai eu des nouvelles notes : 6,67/20, 9/20, 10/20, 5/20, 14,17/20, 15,38/20 et 17,5/20 ( mais cette note est à part elle était donnée). Voilà, maintenant vous savez un peu près tout…
  9. Lyli May

    Bonjour, Euh… Je ne sais pas pourquoi je vous écris… Juste ça ne va pas. J’ai essayé de trouver de l’aide mais, ça ne fonctionne pas. Les services d’appels, ils m’ont recalée, me disant d’appeler quand j’aurais les idées plus claires et ordonnées. Les psy, ils en n’ont qu’après mon argent, je paye la séance avant de faire la séance qui n’est pas donnée, et si je ne viens pas (je rate la séance) elle m’est quand même déduite. Et 90€ pour que je me tape sur la tête en répétant des phrases en boucle, je me sens plus attardée et humiliée qu’autre chose. Mon médecin, il veut simplement me gaver de médicaments (ceci je n’ai pas besoin de lui pour ça) et me coller en burn out (chose que je ne crois pas que ça existe) Mes proches, ils sont aussi perdu que moi et ils ne savent plus quoi faire d’ailleurs mon dernier confident est parti hier. La mort, elle n’est pas venue cette nuit malgré que je l’ai appelée. Je ne sais plus quoi faire. On me dit qu’il faut que j’en parle mais quand j’en parle on me dit d’arrêter de me plaindre. Personne ne veut de moi, mais personne ne veut que je meurs. Alors oui, pour une fois je l’assume, je suis complètement perdue.
  10. Lyli May

    Demande de conseil

    Merci d’avoir pris le temps de m’écouter et pour vos conseils
  11. Lyli May

    Demande de conseil

    Je suis incapable d’aimer. Je peux apprécier certaines choses comme lire, ou parler avec ce garçon. Mais je ne peux pas éprouver des sentiments forts pour quelqu’un. Même pour mon autre confident, à des moments elle me dit qu’elle m’aime, malheureusement, je n’arrive pas à lui répondre que c’est mon cas. Je ne dis pas que je ne l’aime pas, elle n’est pas méchante au contraire elle est très gentille et ouverte d’esprit. J’apprécie mes conversations avec elle aussi. Et puis je doute d’être faite pour une relation amoureuse. J’ai pu parler un peu avec elle hier sur ça. Ce qu’elle n’aime pas c’est que j’essaye d’arranger la situation avec lui. Ils se sont parler avant moi, elle a essayé de l’aider comme avec moi. Mais il s’est replié sur lui même et il a arrêté de lui parler du jour au lendemain, enfaite il a arrêté de parler tout court sur le forum, c’était juste une ombre vagabonde dans le fil de conversation. (J’en connais la raison, mais ne préfère pas la citer) Au bout de deux mois de conversation, il voulait mon numéro pour parler ailleurs que sur le forum, dans un premier temps j’ai refusé et j’ai créé un faux compte Instagram, lui il s’en ai créé un. Puis pareil au bout de deux mois il m’a redemandé mon numéro. Il a eu le droit à un numéro à chaque question personnelle à laquelle il voulait bien répondre sincèrement. Il y a certaines choses sur lesquelles je sais qu’il ne m’a pas menti, comme son identité, son adresse et son métier. Après pour le reste (âge notamment) c’est moins sûr. Elle depuis qu’il l’a laissée en plan dans leur discussion, elle ne l’aime plus vraiment. Elle dit qu’elle le trouve sombre, obscur, étrange. Je m’excuse par avance pour les fautes d’orthographe
  12. Lyli May

    Demande de conseil

    Être éprise d’un homme voilà une drôle de chose pour moi…
  13. Lyli May

    Demande de conseil

    De toute façon le temps que je n’engageais pas la conversation, il ne le fera pas. Motivée, je le suis, mais réussir en est une autre, et aussi est-ce que moi je conviens à ce genre d’étude ? Je l’ai déjà fait, mais au final ma sœur ne change pas son comportement et mes parents me répondent seulement « c’est ta sœur, tu sais comme elle est, fait les choses pour toi ». J’ai déçu mon autre confident, en vous demandant conseil. Je ne lui dis pas tout et cela semble la blesser, elle dit avoir peur que je l’abandonne et que je parte pour quelqu’un d’autre. J’ai eu de nouvelles notes, elles sont pires que les précédentes alors que j’ai apporté plus de travail. Je lis en moyenne 40 minutes par jours Vous pouvez développer ?
  14. Lyli May

    Demande de conseil

    Il me comprend sur beaucoup d’aspects que beaucoup de personnes ne comprennent pas
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