Ambre_Deff

Dans la rubrique « Un peu d’humour dans ce monde de brutes ! » nous avons aujourd’hui l’immense plaisir de vous proposer un article exceptionnel sur le phénomène de Stringuéfaction du Shorty. Observable dans la plupart des régions peuplées du globe et, en particulier dans les pays industrialisés – ce qui ne les glorifie d’ailleurs pas vraiment – la Stringuéfaction du Shorty relève d’un processus lent et complexe dont le caractère monopolisant est primordial. Prenez un cul, de préférence bombé et moulé dans un jean – l’examen n’en sera que meilleur. Ce cul est surplombé d’un visage en grande conversation avec un autre visage lui-même doté d’un cul. Seul le premier des deux culs nous intéresse ici. A un instant t, vous pouvez voir deux demi-droites d’origine l’entre-jambe E et perpendiculaires en ce même point. L’angle s’ouvre vers le haut. A l’instant t+1, cet angle ne mesure plus que 60° et à l’instant t+2, 30°. Parallèlement à cela, la conversation continue bon train sans qu’à aucun moment une quelconque gêne ne se fasse sentir de façon apparente. Pourtant, en considérant l’activité psychique de la tête du cul en question, on remarque qu’environ 70% des connexions neuronales de l’attention et de la réceptivité sont monopolisées et déviées vers l’unique considération du mécanisme décrit précédemment. Nul dispositif musculaire autre que manuel ne permettant de remettre la culotte en place, le cerveau élabore des stratégies de dissimulation, d’où l’absence de perturbation de la tâche en cours malgré la centralisation de l’activité mentale. Mais dépenser tant d’énergie dans une telle comédie n’est-il pas tout à fait absurde ? Ceci est bien la preuve du tissu de mensonge sur lequel est construit l’Humanité.