A L'Aveugle de Xavier Palud.
Bon cherchez pas Olivier Marchal c'est peine perdue. Le maitre du polar noir à la française peu encore dormir tranquille. Reste qu' A L'Aveugle est un bon film, vous passerez un bon moment, pas très long et c'est pas plus mal. Car a vouloir nous dévoiler l'identité du tueur quasi dans les premières minutes du film et axer le scenario sur les dialogues plutôt que sur un scenario "pétaradant" que revêt d'habitude le genre, Palud nous l'a fait psycho, jouant un peu (je dis un peu....) à Heat de Michael Man. Mais voilà, ça part au quart de tour, Gamblin est noir à souhait, trés bon dans le genre flic désabusé, Lambert (pour une fois ....) s'oublie :D .... mais on s'ennuie assez vite. Dommage aussi que l'équipiere de Gamblin, Raphaelle Apogué "récite" son texte, que l'affrontement avec leurs supérieures soit du déjà vu et si mal joué.
Mais encore une fois, ça se regarde sans déplaisir car le tandem Gamblin/Wilson fonctionne plutôt bien.
L'histoire :
Synopsis et détails
Le cadavre mutilé d’une jeune femme est retrouvé à son domicile. Pas d’effraction, pas de témoin : le crime est parfait. L’enquête est confiée au commandant Lassalle, un flic expérimenté et solitaire, détruit par la mort de sa femme. Alors que d’autres meurtres tout aussi sanglants sont perpétrés, Lassalle est intrigué par la personnalité d’un aveugle, Narvik. Mais l’alibi du suspect est plausible et son infirmité le met hors de cause. Un étrange duel, telle une partie d’échecs, s’engage alors entre les deux hommes.
(Source AlloCiné.com)