Baphomet

L'étude de Pyrenne omet le facteur discrimination de la justice/ de la pression populaire américaine. Brefs de certaines causes de ces erreurs. Elle n'est donc pas valable ici.

La plupart des prisonniers libérés pour leur innocence sont des noirs ou des hispanniques. Nous n'avons pas ce problème là en France !

Notre système judiciaire ne condamnera jamais un homme pour la couleur de sa peau ! Nous ne sommes pas des Américains, nous ne nous prenons pas pour les maîtres du monde. Tu peux donc laisser ces études de côté.

La parole n'est qu'une suite numérique que tu peux lire sur ton écran. Et toi, tu en conclus d'office que j'agirais ? Inanité !!!

Le régime d'Hitler n'avait pas la même idée que moi de ce qui était nuisible. Je ne m'attaque qu'à ceux qui créé un capharnaüm au sein de leur lieu de vie ! Ceux qui crées un climat d'angoisse, de terreur, même derrière les barreaux ( métaphore de la liberté future ).

Moi, je ne suis pas néfaste à mon prochain !

Justement ! Ne jugeons plus l'humanité sous les règles du bien et du mal, mais du bien commun ! Nous sommes tous faillibles, tous prêts à appuyer sur la gachette. Voilà pourquoi nous devons avoir des sensations destinés à nous libérer de ces envies de meurtres, de vengance. La mort des personnes précitées suffira !

Il faut raccourcir les procédures. La France est devenue trop procédurière ; la simplicité, dans le cas présent, sera bénéfique pour tout le monde ! Regardez, parce que la peine de mort n'existe pas, le gouvernement a du créer des centres où l'enfermement pourra être reconduit de façon illimitée. La seule chose de bien qu'a faite Rachida Dati... Mais ces centres mobilisent des terrains, sur lesquels nous pourrions construire des maisons pour nos SDF, des usines pour nos ouvrier ! Et surtout, ils ne font que retarder l'inévitable : ces centres sont destinés à devenir des mouroirs. Gagnons du temps, liquidons.

Une humanisation rampante a dans un premier temps égaré l'esprit collectif vers une compassion déplacée envers les pires défauts de l'être humains. On a commencé à parler de guérison, de thérapie, le tout au nom d'une nature humaine jugée forcément bonne. Cette compassion va pourtant à l'encontre même de la nature. Cette dernière ne pense ni en bien ni en mal. L'être humain comporte des tares, irréversibles, et c'est comme ça ! La nature humaine est plus que ça : c'est une dose d'émotion qu'il s'agit absolument d'évacuer, pour la sureté du groupe. Or, cette compassion envers les pires tares dont personnes ne pourra rien empêche les vraies victimes d'arriver à la place idéale pour un tant soi peu de soulagement : pouvoir passer une nuit tranquille, sans penser que l'agresseur est dans le coin, prêt à surgir ! On s'en fout du coût, on s'en fout de l'humanité. Même un avocat n'est même pas apte à s'occuper des pédophiles et des violeurs ; cette défense ne devrait pas exister pour eux, en toute logique. Le plus important, c'est qu'on en revient de plus en plus à la peine de mort parce que, chez les Français, la coupe est pleine et commence à déborder. Donc, OUI ! Il faut rétablir la peine capitale, soit par décapitation, soit par fusillade, des violeurs et pédophiles notoires, dont rien ni personne ne pourra JAMAIS rien. Ce sont des tiques, des sangsues !