marseille62180

Je lis les diverses réponses et je me dis qu'il faut plus de grandeur à ce sujet, ce n'est pas une question de paradis ou d'enfer. Il faut garder en tête que toute chose dans cette univers, quand elle est usée ou encore accidentée, se décompose pour à nouveau se recomposer en une nouvelle chose. Ce n'est juste que la loi de l'évolution qui veut ça, pour se perfectionner en utilisant la loi du plus fort, pour toujours avancer avec la meilleure sélection. Chaque nouvelle génération est un pas de plus vers une certaine perfection évolutive, alors comprenons que les vieilles générations n'ont plus leur place. (Fini la Peugeot 403 sans aucune option :smile2: Il en est de même avec les espèces vivantes, je conçois le monde que de cette manière pour qu'il soit logique. Après la mort, on est tout juste amené à recommencer une vie avec un nouveau corps, tel qu'il soit (animaux, insectes et végétaux), dans le but d'aider la sélection naturelle à aller vers sa perfection. En tous les cas, c'est comme ça que je le perçois, bien que certain pense que c'est une perte de temps que de vouloir résoudre des sujets dit "irrésolvables". Avoir une idée c'est déjà un pas vers la vérité, c'est le but de la philosophie, que chacun donne son avis pour que l'on sélectionne les meilleures hypothèses.

"Une vie après la mort ?", c'est, selon moi, que la logique des choses. Tout d'abord, "Pourquoi mourir ?", la réponse semble évidente, tout est une question de génération évolutive, nos enfants sont génétiquement supérieures à nous, tout comme leurs propres enfants le seront par rapport à eux, que "faites-vous de votre vieux portable ou de votre vielle voiture ?", vous la remplacez pour une question de technologie évolutive, la nature fait de même avec nous, elle nous remplacent par des "modèles" plus évoluées. A partir de ce petit texte, on peut en déduire que notre but n'est pas de s'attacher à des personnes mais bien de nous reproduire pour continuer de perpétuer l'évolution de notre espèce animale que peut être l'homme. C'est simple, après la vie, une autre vie nous attend, la mort c'est juste le changement de "machine", celle que vous aviez est usée ou accidentée alors, comme pour une voiture, vous en changez. On ne se cache pas que dans ce changement de corps, ce n'est pas automatiquement un nouveau corps humain qui nous attend mais n'importe lequel que contient notre nature (animaux, insectes et plantes). Aussi fou que ça puissent en paraître c'est ce qui nous attend. Bien sûr, j'ai des théories plus complètes sur ce sujet qui parle de ce que nous sommes vraiment mais la place serait trop vaste, puis à chacun sa petite idée. A+.

Je fais un petit saut et que vois-je ?, des doutes sur ma vrai personnalité, pour que ça soit clair, je ne suis pas suicidaire, ni un trouble fait, ni un rabat-joie, pour ce qui est de mon petit texte "une balle de part en part", c'était un moyen d'expression à base de poésie, un peu cynique je vous l'accorde, et si on le relit, il est plutôt bien écrit, une pensée retranscrit en de jolies métaphores, maintenant à chacun ses avis, des textes, j'en ai écris des centaines et il y en de tous les genres, alors "NO PANIC", laissez vos questions, j'y répondrai ici même, A+.

Oh, excusez-moi, il est vrai que mon texte n'est pas des plus jolis, je n'ai rien de suicidaire, je vous rassure :smile2: C'était juste une pensée convertit en métaphore car pour moi, ce n'est pas des plus facile en ce moment mais relativisons ! "Nous vivons encore dans l'histoire, mais le moment approche ou nous en sortirons, ou nous en serons sortis, bien plus, en droit, l'histoire est déjà arrivée à son terme, et ce n'est que par la faute de notre inconscience qu'elle dure encore dans les faits" Eric Weil

UNE BALLE DE PART EN PART ________________________________________________________________________________ _________________________________________________________________________________ __________ L'écriture est, pour moi, toujours la meilleure façon de me divertir, il y a plusieurs façon de l'aborder, il y a celle qui raconte sa vie, celle qui est prétentieuse, celle qui cherche des solutions, celle qui pose des questions, celle qui use de la poésie et pour ce soir, celle qui fait appel aux métaphores, je suis dans une période de doute extrêmement délicate, je me sens pauvre d'expérience, toujours cette envie de tout casser ou encore cette envie de m'exploser la tête, c'est pour cela que ce soir, je vais imaginer que je pointe une arme à feu sur le dessus de ma tête et que par désespoir de cause, j'use de mes dernières forces pour appuyer sur la détente, juste avant, je laisserai une pensée à tout ceux qui seront triste de ma mort, à tout ceux qui n'auront pas la force de l'accepter comme ma mère, un coup de feu retentit, un vent d'égoïsme flotte ainsi qu'un grand élan de lâcheté, la balle longe le canon est perfore ma boite crânienne, puis elle entre en collision avec mon cerveau néocortex, elle y croise des mots savants, des idées, beaucoup de questions, des mots d'amours inutilisés, des tas de phrases philosophiques ainsi qu'un monument mystérieux, à base féminine, sûrement un événement important de mon histoire, elle continua son trajet en passant par mon cerveau mammalien, à l'entrée même cette balle a eu des incompréhensions dans cette zone très tourmentée, beaucoup de haine, de tristesse, de désarroi, de rage, de désespoir à cause d'un grand manque d'amour, de joie, de sourire, de soutien et d'affection, un entrecroisé d'opposés qui a même touché cette balle puisqu'à sa sortie, elle en avait enfin compris sa motivation et son but, puis elle a fait connaissance avec mon cerveau reptilien, elle y trouva beaucoup de mécanismes bien rodés appartenant aux différents organes ainsi que le mécanisme de cette envie primitive qui est de se reproduire, d'ailleurs très sévère puisque tant que les gênes ne sont pas lancés à l'assaut d'autres gênes, ce mécanisme persécute l'être en question pour qu'il se dépêche, ça ne doit pas attendre, ce qui engendre en trotte la dépression pour ceux qui ne trouve pas de solutions, puis la balle a continué sa traversé organique jusqu'à son objectif, elle s'y trouva en moins d'une seconde et sans état d'âme puisqu'elle ne fut pas toucher par le vécu de ces 3 cerveaux, et pourtant, elle aurait dû car son objectif été absent puisqu'elle a oublié qu'à la seconde d'avant au moment de la détente que c'était déjà un homme sans vie qui a appuyé, elle ne l'a compris qu'une fois arrivée au centre de mon c¿ur, il n'y avait pas de sang mais juste un peu d'espoir qui attendais un signe pour rebattre à la fréquence du bonheur.

J'ai dis Encooooooore, encore et encore, encore

Est-ce que un Dieu existe, la question a le mérite d'être posée, y répondre est une autre chose. Ce que l'on peut affirmer, c'est que les religions sont inventées de toutes pièces mais pouvons-nous exclure le fait qu'un Dieu existe ? Moi, je prends le sujet en y mettant des hypothèses: - "Dieu n'existe pas", le monde c'est créer à partir de rien (enfin, j'ai ma propre hypothèse sur la conception de notre univers en commençant de rien), les éléments agissent par rapport aux lois fondamentales, et pour ce qui est des éléments organiques, ils nous paraissent si parfaits juste en s'adaptant à leur environnement, mais où nous mènerait tout cela ?, pour nous, toutes les choses ont un début, un but et une fin, alors on a beau, toujours se perfectionner grâce à la loi de l'évolution mais pour aller où ?, ce concept d'un "Dieu qui n'existe pas" nous obligerait à croire que notre monde serait infini. - Ou alors "Dieu existe", l'hypothèse d'un "Dieu" ne peut pas être écarter, pour la raison suivante, dans le principe qu'il y a eu un début pour notre univers, c'est sûrement la seule hypothèse, aux yeux des humains, qui a un "presque" sens car vu notre stade actuel de l'évolution, on a envie de penser obligatoirement à un début, cette hypothèse nous enlève surtout le fait de trouver une réponse logique car si c'est un "Dieu" qui a créé notre univers, cela voudrait dire que nous pourront jamais expliquer son début en partant du principe que les règles dans son monde n'ont rien à voir avec les nôtres, bien que la question pour nous reste là-même, de où serait naît ce "Dieu" ?, de même qu'au dessus le sujet est bloqué. Pour conclure, j'ai envie de dire qu'il n'y aucune logique à un début et donc, quelque part, aucune logique à une quelquonque fin, quant à l'hypothèse d'un "Dieu" ne m'enchante pas plus que ça, pour la raison de sa création car même dans le cas où dans son monde les règles ne sont pas les mêmes que nous, il doit y avoir obligatoirement un début, et cela n'aurait plus aucune logique qu'un "Dieu" existe, car pourquoi un "non début" pour lui et pas un "non début" pour notre univers, en continuant dans cette voie, on se rend compte de la complexité de cette énigme car partons du principe qu'il n'y a eu aucun début, et que les univers, si il y en a plusieurs, ou plutôt les galaxies se perpétuent sans cesse, comment expliquer un quelquonque but à tout ça ?, l'univers n'aurait aucune fin ?, je trouve cela dérangeant car dans notre univers toutes choses à une fin sauf certaines cellules, c'est l'une des brèches exploitables à une explication bien que la même question s'y présente comment expliquer toutes ces cellules sans début ?