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Nochaga

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Tout ce qui a été posté par Nochaga

  1. Nochaga

    La fessée interdite

    Si tu avais lu le post en entier tu le saurais. C'est parce que je l'ai vécu que je défend ce projet de loi. Et je le ressent comme une insulte à la petite fille que j'étais à chaque fois que l'on sort "une fessée occasionnelle c'est pas grave...". Car pour moi et tout ceux qui on subit le même chose que moi savons que ça commence avec une fessée. Et dire"....et ne me parlez pas d'escalade ds la violences....", c'est ignorer le problème. Donc ignorer mon vécu...
  2. Nochaga

    La fessée interdite

    Nous n'élevons pas nos enfants comme nous l'entendons. Le devoir d'un parent est d'en faire un adulte épanouit, respectueux, indépendant et responsable. Et surtout de le protéger durant toute son enfance. Les enfants ne sont pas des propriétés. Les enfants ont des droits que même les parents doivent respecter. http://www.droitsenfant.com/loi_enfant_danger.htm je mets un extrait: Les différents types de maltraitance On estime que chaque année, plusieurs milliers d'enfants sont victimes d'agressions. Tous les degrés de violence existent, de la plus légère à la plus dramatique. La violence physique : bien des adultes psychologiquement peu équilibrés perdent le contrôle de leurs actes et frappent leurs enfants (c'est notamment le cas des alcooliques et des dépressifs). D'autres en font un mode d'éducation. Les dégâts sont d'autant plus importants quand il s'agit d'enfants en bas âge, fragiles, qui sont dans l'incapacité de se défendre. Des violences sont même exercées sur des bébés. Il faut également évoquer les " petites violences " quotidiennes, c'est à dire les parents adeptes de la petite fessée qui ne fait pas de mal, la petite claque qui fait du bien et le coup de pied au derrière qui n'a jamais tué personne ! Ces sévices, que beaucoup considèrent comme normaux ou en tout cas pas très graves, peuvent également laisser de graves traces. Les agressions sexuelles : ces agressions occasionnent de graves dommages physiques et psychologiques. La plupart des agressions sont commises par des membres de la famille très proches Les agressions psychologiques : il s'agit là d'adultes qui n'hésitent pas à humilier l'enfant sur la base d'un défaut physique, de difficultés scolaires, etc.¿ Il s'agit également de ses parents qui souhaitent avoir un enfant modèle et qui l'obligent à pratiquer de manière intensive une activité physique ou intellectuelle. Il s'agit enfin des sévices qui consistent à enfermer un enfant dans un placard, dans une pièce toute noire ou de lui faire peur en permanence.
  3. Nochaga

    La fessée interdite

    Je ne remets pas les pendules à l'heure avec des coups. Alors d'après toi? Parce que ça ne devient pas forcément une habitude, on ne devrait pas voter une loi visant à protéger les enfants qui ont des parents en train de grimpé dans la spiral de la maltraitance.
  4. Nochaga

    La fessée interdite

    C'est totalement faux. Tu parles de chose que tu ne connais pas. Les pédo-psy qui disent que les fessées sont anodines sont une très petite minorité et d'un autre temps. Et aucun dira qu'elles sont nécessaires. Les pédo-psy sont les premiers à constater les méfaits des maltraitances. Ils n'iront en aucun cas préconiser de frapper son enfant. Ils préconiseront plutôt le dialogue. Comme le préconise aussi Chica de la lune. Merci de ton soutien, chica.
  5. Nochaga

    La fessée interdite

    Donner la fessée à un enfant c'est prendre une habitude. Si vous commencez à y avoir recoure, vous continuerez. Car vous n'apprenez pas à élever votre enfant autrement. La petite fessée aura avec le temps moins d'effet et donc vous en venez à la claque. Ensuite... Aussi loin que vont mes souvenir je ne me souviens pas d'avoir exprimé la moindre douleur ni les moindres pleures devant ma mère quand elle me frappait. J'avais mal, mais je ne voulait pas lui faire le plaisir de pleurer. Et donc, ma mère pensait que ses claque n'avait pas d'effet. Et comme elle avait mal aux main, elle a acheté un martinet. Un jour, Dans la préado elle m'a tabassé, mon père à du la retenir. Et la encore j'ai retenu mais larme... Aujourd'hui, je n'ai aucune complicité avec ma mère. La maltraitance commence toujours avec des fessés. C'est pour éviter cette spirale qu'il faut les interdire. Par solidarité des personnes comme moi qui ont était dressé, et non élevé. Il faut que les gens prennent conscience que c'est inutile. Et donc l'interdire pourrait sauver bien des enfances gâchées. Car si il aurait eu une loi interdisant la fessée il y a 36 ans, ma mère l'aurai respectée.
  6. Nochaga

    La fessée interdite

    ça na pas, non plus, tué certains enfants qui se retrouve à l'hôpital, à cause d'un coup trop fort. selon tes critères ils l'ont mérité aussi? C'est pour éviter ce genre de chose qu'il faudrait que la France fait ce que le conseil de l'Europe a demandé à tout les pays de l'union. Une loi interdisant clairement tous châtiments corporels sur les enfants.
  7. Nochaga

    La fessée interdite

    Cela dépend. Deux ou trois par jour? Car si c'est deux ou trois pendant toute une enfance, ça veut dire que les parents savent très bien le reste du temps élever leurs enfants sans y avoir recours. Et donc ils auraient très bien pu se passer de ces deux ou trois fessées.
  8. Nochaga

    La fessée interdite

    Quand on a des enfants, on sait très bien que les élever c'est leur répéter plusieurs fois la même chose. Tes profs à l'école savent très bien qu'ils vont devoir répéter et expliquer plusieurs fois certaine chose pour que ça rentre. Ils ne frappent leurs élèves. Quand l'un de mes enfants ne tient pas compte de ce que je lui dis, je le punis. Il y a 3 semaines j'ai privé mon fils de 6 ans de GULI car il trouvait très amusant d'appeler tout le monde "gros cul". Heureusement les punition, cela arrive rarement. Tu as de la chance que tu n'aies reçu peu de fessée. C'est pas le cas de tout le monde. Sache qu'il y a en France des enfants qui meurent sous les coups de leurs parents. Certains parents se croit autorisé d'élever son enfants en le frappant, car ils pensent que c'est normal. Tout les enfants gravement maltraités ont d'abord eu des fessées. Pris dans cette spirale de mauvaise a habitude ils ne se rendent pas compte que la violence augmente. Car les enfants tolèrent de plus en plus la douleur. Souvenez-vous du petit marc mort sous les coups de son beau-père, il vivait avec des côtes cassées depuis des jours et deux médecins n'ont rien remarqué. Elever ses enfants sans fessée ne veut absolument pas dire, qu'on les élève sans cadre ni fermeté. Mes enfants ne sont absolument pas des enfants rois. C'est pas parce qu'on ne donne pas de fessées aux enfants, qu'ils deviennent obligatoirement des enfants rois. Ce sont simplement des enfants bien élevés, car épanouis.
  9. Nochaga

    La fessée interdite

    maltraitance nf Mauvais traitements infligés à une personne qu'on a sous son autorité ou sa garde. maltraiter vt Traiter durement avec violence. C'est pas moi qui le dit, c'est "LAROUSSE".
  10. Nochaga

    La fessée interdite

    Et voici une pétition http://www.petitiononline.com/chatcorp/petition.html Monsieur le Premier Ministre La France a signé et ratifié le 7 août 1990 la Convention des droits de l'enfant. L'article 19 de cette Convention stipule que les états signataires "prennent toutes les mesures législatives, administratives, sociales et éducatives appropriées pour protéger l'enfant contre toutes formes de violence, d'atteinte ou de brutalités physiques ou mentales". Or, en France, d'après un sondage SOFRES de janvier 1999, 80% des parents donnent à leurs enfants gifles et fessées quand ce ne sont pas des coups de martinet ou de ceinture. Presque tout le monde trouve cela normal, inoffensif et même nécessaire. Et les services sociaux et la Justice n'interviennent que dans les cas extrêmes. Et d'après un sondage Louis Harris réalisé en novembre 2001 pour Psychologie Magazine, la punition la plus fréquente infligée par les parents était la simple tape (74 % des parents y ont recours), suivie de la fessée (69 %) Cette fessée est administrée souvent (3 %), parfois (33 %°), exceptionnellement (33 %). Pourquoi est-il permis de frapper un enfant alors qu'il est interdit de frapper un homme adulte, une femme, une personne âgée et, en prison, le pire des criminels? Nos lois ne permettraient-elles d'agresser que les plus faibles? Les enfants ont le droit d'être élevés sans violence, ce qui ne signifie pas sans fermeté. De multiples études récentes ont montré que difficultés scolaires, délinquance, violence, dépression, alcoolisme, abus de drogues, maladies diverses et même accidents ont très souvent pour origine des violences, même modérées, subies dans l'enfance. Maintenant que nous le savons, nous n'avons plus l'excuse de l'ignorance qu'avaient nos parents. Pourquoi s'étonner que certains jeunes recourent à la violence quand le premier exemple de violence leur a en général été donné par les coups qu'ils ont reçus de leurs propres parents ? L'enfant frappé apprend à frapper les autres. L'enfant respecté apprend à respecter les autres. Le rôle des parents est-il d'enseigner la violence ou le respect? Et surtout, la violence éducative tolérée est le terreau de la maltraitance. Une fois admis le principe qu'on a le droit de frapper les enfants, il est inévitable et malheureusement quotidien qu'un certain pourcentage de parents dépassent de beaucoup les punitions "modérées" et battent leurs enfants à tour de bras. C'est donc bien le principe qui autorise à frapper les enfants qui doit être remis en question. Les parents qui frappent leurs enfants pour les éduquer le font parce qu'ils ont été frappés eux-mêmes et ignorent les conséquences de leurs coups. Seule une interdiction sans ambiguïté, comme celle qui, en France, interdit les coups à l'école depuis le XIXe siècle, peut mettre fin à ce cycle. La France, comme déjà vingt-trois pays, dont dix-huit européens, doit voter une loi spécifique interdisant toute violence, y compris fessées, gifles, tapes, etc. Cette loi doit être assortie non pas de sanctions judiciaires mais d'une large information apportée aux parents ainsi qu'aux futurs parents sur les effets des coups et les moyens d'élever les enfants sans violence, exactement comme il est demandé aux automobilistes d'être familiers avec le code de la route. Les signataires de ce manifeste demandent au gouvernement et à leurs députés de mettre la législation française en harmonie avec la Convention des Droits de l'Enfant, comme le demandent le Comité des Droits de l'Enfant de l'ONU, le Conseil de l'Europe (www.coe.int/children) et 170 associations françaises (1), et de voter une loi spécifique qui interdise vraiment toute forme de violence à l'égard des enfants. Le texte de cette loi pourrait être semblable à celui de la loi danoise : "L'enfant a droit au soin et à la sécurité. Il faut agir de manière respectueuse vis-à-vis de l'enfant et ne pas lui infliger de punition corporelle ou autre traitement humiliant." J'approuve le manifeste ci-dessus. Je vous demande de faire rapidement tout ce qui est en votre pouvoir pour harmoniser notre législation avec la Convention des Droits de l'Enfant. 1. Adresser ce manifeste : au Premier ministre (Hôtel Matignon, rue de Varenne, 75007 Paris ou, par e-mail : premier-ministre@premier-ministre.gouv.fr, web: http://www.premier-ministre.gouv.fr/acteur...nistre/ecrire); 2. à votre député ( Assemblée Nationale, Palais Bourbon 75007 Paris, web: http://www.assemblee-nationale.fr/ecrire.asp); 3. aux journaux que vous lisez et aux associations dont vous faites partie; 4. à tous vos parents, amis et connaissances; 5. aux responsables des écoles, lycées, garderies, crèches, etc, proches de votre lieu d'habitation; 6. aux responsables politiques locaux: maire, conseil général, régional, etc. Pour plus d'informations sur les dangers de la violence éducative et des maltraitances : http://www.alice-miller.com http://www.oveo.org http://www.niclaquesnifessees.org
  11. Nochaga

    La fessée interdite

    voilà un article intéressant publié par le site américain "no spank": http://nospank.net/kazdin.htm voilà une copie de l'article avec quelques explications pour ceux et celles qui ne parlent pas anglais... en gros, ça s'adresse à tous ceux qui croient que les punitions corporelles sont utiles et légitimes Citation : The typical parent, when whacking a misbehaving child, doesn't pause to wonder: "What does science have to say about the efficacy of corporal punishment?" If they are thinking anything at all, it's: "Here comes justice!" And while the typical parent may not know or care, the science on corporal punishment of kids is pretty clear. Despite the rise of the timeout and other nonphysical forms of punishment, most American parents hit, pinch, shake, or otherwise lay violent hands on their youngsters: 63 percent of parents physically discipline their 1- to 2-year-olds, and 85 percent of adolescents have been physically punished by their parents. Parents cite children's aggression and failure to comply with a request as the most common reasons for hitting them. Le premier passage de cet article donne quelques statistiques sur l'usage des coups (dont fessée, pincements, fait de secouer) aux USA. Les deux choses principales qui justifient selon les parents de l'usage de la force sont: _agression de la part de l'enfant _refus d'obéir à un ordre The science also shows that corporal punishment is like smoking: It's a rare human being who can refrain from stepping up from a mild, relatively harmless dose to an excessive and harmful one. Three cigarettes a month won't hurt you much, and a little smack on the behind once a month won't harm your child. But who smokes three cigarettes a month? To call corporal punishment addictive would be imprecise, but there's a strong natural tendency to escalate the frequency and severity of punishment. d'après les recherches scientifiques, les punitions corporelles sont comme les cigarettes: autant on reconnaît que fumer trois cigarettes par mois ce n'est pas bien grave autant on en fume rarement que trois par mois. Les punitions corporelles présentent une tendance à l'escalade en terme de fréquence et de violence. More than one-third of all parents who start out with relatively mild punishments end up crossing the line drawn by the state to define child abuse: hitting with an object, harsh and cruel hitting, and so on. Children, endowed with wonderful flexibility and ability to learn, typically adapt to punishment faster than parents can escalate it, which helps encourage a little hitting to lead to a lot of hitting. And, like frequent smoking, frequent corporal punishment has serious, well-proven bad effects. D'après ces recherches, plus d'un tiers des parents qui ont recours à des punitions corporelles légères finissent par dépasser la limite légale qui fait la frontière entre la punition corporelle et la maltraitance. Les enfants s'adaptent plus vite à la violence que les parents et ces derniers se retrouvent dans une escalade de la violence. The negative effects on children include increased aggression and noncompliance¿the very misbehaviors that most often inspire parents to hit in the first place¿as well as poor academic achievement, poor quality of parent-child relationships, and increased risk of a mental-health problem (depression or anxiety, for instance). les études montrent que les effets négatifs des punitions corporelles sont: _un comportement agressif ou rebelle, justement ce que ces punitions étaient sensées faire disparaître _résultats scolaires médiocres _mauvaise relations parents - enfants _risque accru de problèmes psychologiques High levels of corporal punishment are also associated with problems that crop up later in life, including diminished ability to control one's impulses and poor physical-health outcomes (cancer, heart disease, chronic respiratory disease). Plus, there's the effect of increasing parents' aggression, and don't forget the consistent finding that physical punishment is a weak strategy for permanently changing behavior. But parents keep on hitting. Why? The key is corporal punishment's temporary effectiveness in stopping a behavior. It does work¿for a moment, anyway. The direct experience of that momentary pause in misbehavior has a powerful effect, conditioning the parent to hit again next time to achieve that jolt of fleeting success and blinding the parent to the long-term failure of hitting to improve behavior. The research consistently shows that the unwanted behavior will return at the same rate as before. But parents believe that corporal punishment works, and they are further encouraged in that belief by feeling that they have a right and even a duty to punish as harshly as necessary. alors pourquoi les parents continuent-ils à frapper? parce les coups ont un effet rédibitoire immédiat - à court terme. ces punitions donnent l'impression aux parents d'obtenir rapidement le résultat escompté et ils sont donc tentés d'y avoir recours à nouveau. D'après les recherches, cette impression est totalement fausse et le comportement finira par revenir. Les parents sont d'autant plus encouragés à avoir recours aux punitions corporelles qu'ils ont le sentiment d'avoir le droit d'en user voire même le devoir de punir sévèrement si nécessaire. Part of the problem is that most of us pay, at best, selective attention to science¿and scientists, for their part, have not done a good job of publicizing what they know about corporal punishment. Studies of parents have demonstrated that if they are predisposed not to see a problem in the way they rear their children, then they tend to dismiss any scientific finding suggesting that this presumed nonproblem is, in fact, a problem. In other words, if parents believe that hitting is an effective way to control children's behavior, and especially if that conviction is backed up by a strong moral, religious, or other cultural rationale for corporal punishment, they will confidently throw out any scientific findings that don't comport with their sense of their own experience. Pourquoi les parents refusent-ils de prendre en compte les résultats unanimes sur les aspects négatifs des coups en matière d'éducation. Des études ont démontré que si les parents n'ont pas conscience d'un problème dans leur façon d'éduquer leurs enfants ou bien une éducation stricte, à fond religieux... qui encourage le recours aux coups, alors ils ont tendance à ignorer totalement ces recherches The catch is that we frequently misperceive our own experience. Studies of parents' perceptions of child rearing, in particular, show that memory is an extremely unreliable guide in judging the efficacy of punishment. Those who believe in corporal punishment tend to remember that hitting a child worked: She talked back to me, I slapped her face, she shut her mouth. But they tend to forget that, after the brief pause brought on by having her face slapped, the child talked back again, and the talking back grew nastier and more frequent over time as the slaps grew harder. l'étude des perceptions parentales en matière d'éducation montre que les parents mémorisent le résultat à court terme des punitions sans forcément se rappeler que le comportement est revenu ensuite et que les coups se sont répétés So what's the case for not hitting? It can be argued from the science: Physical discipline doesn't work over the long run, it has bad side effects, and mild punishment often becomes more severe over time. Opponents of corporal punishment also advance moral and legal arguments. If you hit another adult you can be arrested and sued, after all, so shouldn't our smallest, weakest citizens have a right to equal or even more-than-equal protection under the law? In this country, if you do the same thing to your dog that you do to your child, you're more likely to get in trouble for mistreating the dog. alors comment défendre la non violence éducative? _les punitions corporelles n'ont pas d'effet à long terme mais des conséquences graves _les punitions légères ont tendance à devenir plus sévères avec le temps _la loi interdit de frapper qui que ce soit, pourquoi nos enfants n'en bénéficient-ils pas _la loi punit les coups portés aux animaux mais pas aux enfants??? The combination of scientific and moral/legal arguments has been effective in debates about discipline in public schools. Twenty-eight states and the District of Columbia have banned corporal punishment in the schools. But so far, we have shown ourselves unwilling to extend that debate beyond the schools and into the ideologically sacred circle of the family. Where the argument against corporal punishment in the schools has prevailed, in fact, it has often cited parents' individual right to punish their own children as they, and not educators acting for the state, see fit. The situation is different in other countries. You may not be surprised to hear that 91 countries have banned corporal punishment in the schools, but you may be surprised to hear that 23 countries have banned corporal punishment everywhere within their borders, including in the home. il est fait mention dans ce passage des punitions corporelles dans les écoles. 91 pays ont banni les punitions corporelles dans les institutions scolaires (pas en France, contrairement à ce que je croyais) et 23 pays ont banni toutes formes de punitions corporelles même dans le milieu familial I know what you're thinking: Are there really 23 Scandinavian countries? Sweden was, indeed, the first to pass a comprehensive ban, but the list also includes Hungary, Bulgaria, Spain, Israel, Portugal, Greece, Uruguay, Chile, Venezuela, and New Zealand. According to advocates of the ban, another 20 or so countries are committed to full prohibition and/or are debating prohibitionist bills in parliament. The Council of Europe was the first intergovernmental body to launch a campaign for universal prohibition across its 47 member countries. Practically nobody in America knows or cares that the United Nations has set a target date of 2009 for a universal prohibition of violence against children that would include a ban on corporal punishment in the home. Americans no doubt have many reasons¿some of them quite good¿to ignore or laugh off instructions from the United Nations on how to raise their kids. And it's naive to think that comprehensive bans are comprehensively effective. Kids still get hit in every country on earth. But especially because such bans are usually promoted with large public campaigns of education and opinion-shaping (similar to successful efforts in this country to change attitudes toward littering and smoking), they do have measurable good effects. So far, the results suggest that after the ban is passed, parents hit less and are less favorably inclined toward physical discipline, and the country is not overwhelmed by a wave of brattiness and delinquency. The opposite, in fact. If anything, the results tell us that there's less deviant child behavior. les craintes de ces interdictions de la punition corporelle à la maison vont dans le sens d'une possible dégradation de l'éducation et d'une augmentation de la délinquence. Toutes les études montrent le contraire. There could conceivably be good reasons for Americans to decide, after careful consideration, that our commitment to the privacy and individual rights of parents is too strong to allow for an enforceable comprehensive ban on corporal punishment. But we don't seem to be ready to join much of the rest of the world in even having a serious discussion about such a ban. In the overheated climate of nondebate encouraged by those who would have us believe that we are embroiled in an ongoing high-stakes culture war, we mostly just declaim our fixed opinions at one another. One result of this standoff is that the United States, despite being one of the primary authors of the U.N.'s Convention on the Rights of Children, which specifies that governments must take appropriate measures to protect children from "all forms of physical or mental violence, injury or abuse, neglect or negligent treatment, maltreatment or exploitation," is one of only two nations that have not ratified it. The other is Somalia; 192 nations have ratified it. According to my colleague Liz Gershoff of the University of Michigan, a leading expert on corporal punishment of children, the main arguments that have so far prevented us from ratifying it include the ones you would expect¿it would undermine American parents' authority as well as U.S. sovereignty¿plus a couple of others that you might not have expected: It would not allow 17-year-olds to enlist in the armed forces, and (although the Supreme Court's decision in Roper v. Simmons has made this one moot, at least for now) it would not allow executions of people who committed capital crimes when they were under 18. We have so far limited our national debate on corporal punishment by focusing it on the schools and conducting it at the local and state level. We have shied away from even theoretically questioning the primacy of rights that parents exercise in the home, where most of the hitting takes place. Whatever one's position on corporal punishment, we ought to be able to at least discuss it with each other like grownups. Alan E. Kazdin is John M. Musser professor of psychology and child psychiatry at Yale University and director of Yale's Parenting Center and Child Conduct Clinic. He is also president of the American Psychological Association and author, most recently, of The Kazdin Method for Parenting the Defiant Child. je n'ai pas tout explicité mais le principal est là. J'espère que ça fera un peu réfléchir les partisans des punitions corporelles
  12. Nochaga

    La fessée interdite

    Une loi serait utile a prendre conscience qu'il y a d'autre méthode pour élever nos enfants. Il ne s'agit pas de culpabiliser les parents du passé qui ont frappé leurs enfants pour les éduquer, mais de faire comprendre qu'aujourd'hui on sait que c'est néfaste. Beaucoup de parents pensent bien faire en donnant une tape sur la main, alors qu'un simple dialogue et une explication avec son enfant est suffisant. Plein d'études sérieuses prouvent que frapper un enfant pour l'éduquer est mauvais pour son épanouissement. Et que les enfants qui grandisse dans le respect sont beaucoup mieux dans leurs peaux. Suite à ces études, 18 pays européen ont suivi la demande de l'Europe, Interdire tous les châtiments corporels. Pourquoi pas la France? Les librairies regorgent de livre de psychologue. Ils sont les premiers à constater les méfaits des éducations châtier. Ils préconisent le respect et donne plein de méthode. Quand j'ai eu ma fille il y a 10 ans, J'ai lu "se faire obéir sans crier" chez Marabout. Je suis une maman sévère, et même si il m'arrive un peu de crier, je n'ai jamais eu recoure a la moindre fessée. Même les punitions sont rare. Aujourd'hui Je lis "parents toxic" chez marabout aussi. Je vous le conseil. Je ne fais aucune différence entre une fessée est une dérouillé. A partir du moment que vous faite mal intentionnellement à votre enfant, c'est de la maltraitance. La maltraitance est une spirale qui commence avec la tape sur la main. Ma mère m'a éduqué avec la main leste. Elle n'a jamais appris à me parler. Elle ne m'a jamais rien expliqué. Elle frappait. De plus en plus fort avec l'âge, car je ne pleurais plus. Jusqu'a l'âge de 16 ans. J'ai arrêté sa main. Et je l'ai repoussé. Je n'ai aucune complicité avec elle, C'est comme si je n'avais pas de maman. Ca me rend triste. Je ne veux reproduire cette relation avec mes enfants. J'ai trois enfants adorable, élevées avec la méthode douce. Nous parlons beaucoup, nous sommes complice. Et beaucoup de personnes me disent que mes enfants sont adorable. On a les enfants que l'on mérite.
  13. Nochaga

    La fessée interdite

    Si c'est de moi que tu parles, je n'ai jamais dit que les enfants maltraités devenait obligatoirement violents et irrespectueux. Car ce n'ai pas ce que je suis devenu. Je suis devenu une adulte soumise, mal dans ma peau, mauvaise estime de soi et j'en passe.... Et je n'ai presque pas de relation avec ma mère. Ce que je dis, c'est puisque nous aimons nos enfants et puisque il est parfaitement possible de bien les élever autrement qu'avec des châtiments corporels, pourquoi ne pas le faire. Pour leur épanouissement...
  14. Nochaga

    La fessée interdite

    Si une personne me frappait, j'irais porter plainte. Un enfant est une personne qui ne mérite en aucun cas d'être frapper. Comment apprendre à votre enfant à régler un conflit, si vous le faite en frappant? Comment apprendre à votre enfant à ne pas frapper, si vous frappez? Fesser n'est en aucun cas une méthode d'éducation. Le dialogue, oui. On peut parfaitement élever ses enfants en les encadrant sans avoir recoure à la moindre fessée. Les enfants grandissent et nous imitent. Il nous respecte comme nous les respectons, ils nous parlent comme nous leur parlons, ils nous traitent comme nous les traitons. Ainsi, j'élève mes trois enfants dans le respect. Quand je fixe les règles en les expliquant, ils les respectent. Et je n'ai jamais eu besoin d'avoir recoure à la moindre fessée. puisque c'est possible, puisque nous aimons nos enfants, puisque nous voulons pour eu ce qu'il y a de mieux dans là vie. Perdons cette mauvaise habitude qui est néfaste à la relation que vous construisez avec ces eux. Nous voulons que nos enfants soit épanouit, pas soumis.
  15. Nochaga

    La fessée interdite

    Ton histoire est choquante. Qu'a fait ta fille pour que, selon tes critères, elle méritait ce châtiment? moi, rien. avec mon 85B je ne choque personne. :smile2:
  16. Nochaga

    La fessée interdite

    Les lois sont votés pour protéger. Il faut protéger nos enfants. La maltraitance est une spirale qui commence avec la fessée. 18 pays Européen ont adopté une loi interdisant tous châtiments corporels sur les enfants. Il ne s'agit pas de culpabiliser les parents, mais de leur faire prendre conscience que les châtiments corporels sont inutile voir même néfaste. Elever ses enfants dans le respect, fait des enfants respectueux. (et non des enfants maitre... :smile2: ). C'est pas parce que l'on élève ses enfants sans fessés, qu'on les élève sans autorités. J'ai moi même trois enfants, nous n'avons jamais donné la moindre fessées. Ils sont respectueux des rêgles de la maison. ce ne sont pas les enfants rois. Un peu d'encadrement, de fermeté, d'explication, et beaucoup d'amour. Mais pas de fessées.
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