Angelnine
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C'est joli PetitRenoicHelloul
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Malheureusement c'est toujours ainsi que se termine un amour :D .......En tout cas, je suis bien contente que ça t'aies plus J'ai bien aimé ça aussi...Autre forme d'amertume, plus expéditive (on va dire) C'est pas mal! Faut savoir le faire...trouver les mots et surtout le bon rithme
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"La religion existe depuis que le premier hypocrite à rencontré le premier imbécile!" (Voltaire) "Exiger l'immortalité de l'individu, c'est vouloir perpétuer une erreur à l'infini" (Schopenhauer) "La bouse de la vache est plus utile que les dogmes: On peut en faire de l'engrais" (Mao Tsé Toung)
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"Des pensées sans contenu sont vides, des intuitions sans concepts, aveugles" (Emmanuel Kant) "Quand les riches se font la guerre, ce sont les pauvres qui meurent" (Jean-Paul Sartre) "La sélection sexuelle...dépend de l'ardeur, du courage, de la rivalité des mâles autant que du discernement, du goût et de la volonté de la femelle." (Charles Darwin)
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Désolée, c'est plutôt moi qui doit l'être Car dans mon « Clin d'oeil » précipité Je me suis trompée d'une misérable lettre Que je suis allée « dare dare », rectifier. Le « Boujour » hideux, et redevenu « Bonjour » Cela me soulage et me ravie au passage Mais je serai plus rassurée, si Toto11 en faisant un tour Remplace dans son quote, l'erreur de mon message (Merci! )
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C'est vraiment regrettable!....Heu.....pour les pieds
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Autant pour moi avec " Il est 19h pile" Si avec ça elle ne comprend pas (En tout cas, moi, j'ai bien entendu )
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Qui a lu "un tout petit détour" de Jeannine Bartes ?
Angelnine a répondu à un(e) sujet de petiteleti dans Littérature
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Rêves-vengeurs, si tu fais allusion à mon poème "fantasme" :D , laisse moi te dire que ta réponse n'est pas du tout un "gribouillis". Et je n'ai qu'un mot à dire: Wouah !!!! Tu as très bien assuré le coup Quant à Akumu, un mot aussi: Chapeau! :D Jolies inspirations J'ai bien aimé aussi le poème "message de tendresse à ses enfants" de Cruxlaurie, ainsi que le quatrain de Madoka......C'est sympa tous ça
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Que dire à ce "Chagrin d'amour"?.......
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Qui a lu "un tout petit détour" de Jeannine Bartes ?
Angelnine a répondu à un(e) sujet de petiteleti dans Littérature
Kikou Petiteleti, comme on se retrouve Tu sais à qui tu me fais penser?... Tu as déjà vu "L'Inspecteur Harry ne renonce jamais" 'avec Clint Eastwood" ??? Hé bien là on devrait dire "Petitelleti ne renonce jamais"........Bah!!!!!! Si tu aime ça? :D .....Je te taquine! -
Allez! Chiche... Mais ça risque d'être hard
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Aller un peu de douceur....
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Je m'en doute bien! Tout au plus un facteur d'objet d'inspiration, qui nous a valu ce joli poème.........
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Akumu ......C'est assez spécial! Mais c'est tout de même génial
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"A bas le tabac!"......Pourquoi? Tu l'as quand même trouvé belle la demoiselle .....Peut-être même que c'est grâce à ce qu'elle fumait que tu t'es attardé sur elle....Et si ce que tu prends pour un défaut, faisait parti de ses charmes. Ceux qui la rendent à ce point distante, te poussant à te poser toutes ses questions...
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Rêve-vengeurs, non seulement c'est beau, mais en plus ça relève le topic.....Alors que demande le peuple?
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Pas mal Claire19 Bon ben un autre texte qui est assez coquin (un peu osé aussi, mais sans plus ) Il y a place pour deux Une très jolie bourgeoise de la rue Saint-Honoré, d'environ vingt-deux ans, grasse, potelée, les chairs les plus fraîches et les plus appétissantes, toutes les formes moulées quoique un peu remplies, et qui joignait à tant d'appas de la présence d'esprit, de la vivacité, et le goût le plus vif pour tous les plaisirs que lui interdisaient les lois rigoureuses de l'hymen, s'était décidée depuis environ un an à donner deux aides à son mari qui, vieux et laid, lui déplaisait non seulement beaucoup, mais s'acquittait même aussi mal que rarement des devoirs qui peut-être un peu mieux remplis eussent pu calmer l'exigeante Dolmène, ainsi s'appelait notre jolie bourgeoise. Rien de mieux arrangé que les rendez-vous qu'on indiquait à ces deux amants : Des-Roues, jeune militaire, avait communément de quatre à cinq heures du soir, et de cinq et demie à sept arrivait Dolbreuse, jeune négociant de la plus jolie figure qu'il fût possible de voir. Il était impossible de fixer d'autres instants, c'était les seuls où Mme Dolmène fût tranquille : le matin il fallait être à la boutique, le soir il fallait quelquefois y paraître de même, ou bien le mari revenait, et il fallait parler de ses affaires. D'ailleurs Mme Dolmène avait confié à une de ses amies qu'elle aimait assez que les instants de plaisirs se succédassent ainsi de fort près : les feux de l'imagination ne s'éteignaient pas, prétendait-elle, de cette manière, rien de si doux que de passer d'un plaisir à l'autre, on n'avait pas la peine de se remettre en train ; car Mme Dolmène était une charmante créature qui calculait au mieux toutes les sensations de l'amour, fort peu de femmes les analysaient comme elle et c'était en raison de ses talents qu'elle avait reconnu que, toute réflexion faite, deux amants valaient beaucoup mieux qu'un ; relativement à la réputation cela devenait presque égal, l'un couvrait l'autre, on pouvait se tromper, ce pouvait être toujours le même qui allait et revenait plusieurs fois dans le jour, et relativement au plaisir quelle différence ! Mme Dolmène qui craignait singulièrement les grossesses, bien sûre que son mari ne ferait jamais avec elle la folie de lui gâter la taille, avait également calculé qu'avec deux amants, il y avait beaucoup moins de risque pour ce qu'elle redoutait qu'avec un, parce que, disait-elle en assez bonne anatomiste, les deux fruits se détruisaient mutuellement. Un certain jour, l'ordre établi dans les rendez-vous vint à se troubler, et nos deux amants qui ne s'étaient jamais vus, firent comme on va le voir connaissance assez plaisamment. Des-Roues était le premier mais il était venu trop tard, et comme si le diable s'en fût mêlé, Dolbreuse qui était le second, arriva un peu plus tôt. Le lecteur plein d'intelligence voit tout de suite que de la combinaison de ces deux petits torts devait naître malheureusement une rencontre infaillible : aussi eut-elle lieu. Mais disons comment cela se passa et si nous le pouvons, instruisons-en avec toute la décence et toute la retenue qu'exige une pareille matière déjà très licencieuse par elle-même. Par un effet de caprice assez bizarre - mais on en voit tant chez les hommes - notre jeune militaire las du rôle d'amant, voulut jouer un instant celui de maîtresse ; au lieu d'être amoureusement contenu dans les bras de sa divinité, il voulut la contenir à son tour : en un mot ce qui est dessous, il le mit dessus, et par ce revirement de partie, penchée sur l'autel où s'offrait ordinairement le sacrifice, c'était Mme Dolmène qui nue comme la Vénus callipyge, se trouvant étendue sur son amant, présentait en face de la porte de la chambre où se célébraient les mystères, ce que les Grecs adoraient dévotement dans la statue dont nous venons de parler, cette partie assez belle en un mot, qui sans aller chercher des exemples si loin, trouve tant d'adorateurs à Paris. Telle était l'attitude, quand Dolbreuse accoutumé à pénétrer sans résistance, arrive en fredonnant, et voit pour perspective ce qu'une femme vraiment honnête ne doit, dit-on, jamais montrer. Ce qui aurait fait grand plaisir à beaucoup de gens, fit reculer Dolbreuse. - Que vois-je, s'écria-t-il... traîtresse... est-ce donc là ce que tu me réserves ? Mme Dolmène qui dans ce moment-là se trouvait dans une de ces crises où une femme agit infiniment mieux qu'elle ne raisonne, se résolvant à payer d'effronterie : - Que diable as-tu, dit-elle au second Adonis sans cesser de se livrer à l'autre, je ne vois rien là de trop chagrinant pour toi ; ne nous dérange pas, mon ami, et loge-toi dans ce qui te reste ; tu le vois bien, il y a place pour deux. Dolbreuse ne pouvant s'empêcher de rire du sang-froid de sa maîtresse, crut que le plus simple était de suivre son avis, il ne se fit pas prier, et l'on prétend que tous trois y gagnèrent. Marquis de Sade :
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C'est joli Wild Les autres aussi sont beaux, bien entendu, et il n'y a rien à redire sur Verlaine, Rimbaud et tous ces illustres poètes où il n'y a qu'à taper leur nom sur Google, pour avoir leurs oeuvres au complêt....Ce qui n'est pas pareil pour Wild et tous les autres anonymes (dont moi), qui eux écrivent aussi pour le plaisir de nous les faire partager. C'était le but initial de ce topic au départ. Ou me trompes-je???
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Surprise , oui! Mais je ne le prend pas mal. Au contraire..............C'est bon à savoir
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N'accuse pas le puits d'être trop profond ; c'est ta corde qui est trop courte. (Proverbe indien) La verge et le coeur sont des organes qui remuent d'eux-mêmes. (Aristote) C'est pas parce qu'un homme meurt de soif qu'il doit se tourner vers la première cruche. (Coluche)
