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Tout ce qui a été posté par _Dolph
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vrais couples du fofo ! pas les virtuels !
_Dolph a répondu à un(e) sujet de darkshreck dans Inclassables
t'es enfin là Lore bon et ton mari il va bien? -
vrais couples du fofo ! pas les virtuels !
_Dolph a répondu à un(e) sujet de darkshreck dans Inclassables
t'es pas blonde aujourd'hui? (bisous ma belle Abby ) -
vrais couples du fofo ! pas les virtuels !
_Dolph a répondu à un(e) sujet de darkshreck dans Inclassables
bah.... oui faut bien l'éduquer cette ptite (j'me protege surtout ) -
vrais couples du fofo ! pas les virtuels !
_Dolph a répondu à un(e) sujet de darkshreck dans Inclassables
@MiniDolph: tu remets un pied ici, t'es privée de PC une semaine -
vrais couples du fofo ! pas les virtuels !
_Dolph a répondu à un(e) sujet de darkshreck dans Inclassables
j'en connais une qui va pas manger ce soir -
A Madame X... En lui envoyant une pensée Au temps où vous m'aimiez (bien sûr ?), Vous m'envoyâtes, fraîche éclose, Une chère petite rose, Frais emblème, message pur. Elle disait en son langage Les " serments du premier amour ", Votre coeur à moi pour toujours Et toutes les choses d'usage. Trois ans sont passés. Nous voilà ! Mais moi j'ai gardé la mémoire De votre rose, et c'est ma gloire De penser encore à cela. Hélas ! si j'ai la souvenance, Je n'ai plus la fleur, ni le coeur ! Elle est aux quatre vents, la fleur. Le coeur ? mais, voici que j'y pense, Fut-il mien jamais ? entre nous ? Moi, le mien bat toujours de même, Il est toujours simple. Un emblème A mon tour. Dites, voulez-vous Que, tout pesé, je vous envoie, Triste sélam, mais c'est ainsi, Cette pauvre négresse-ci ? Elle n'est pas couleur de joie, Mais elle est couleur de mon coeur ; Je l'ai cueillie à quelque fente Du pavé captif que j'arpente En ce lieu de juste douleur. A-t-elle besoin d'autres preuves ? Acceptez-la pour le plaisir. J'ai tant fait que de la cueillir, Et c'est presque une fleur-des-veuves. Paul Verlaine
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A une Madone Ex-voto dans le goût espagnol Je veux bâtir pour toi, Madone, ma maîtresse, Un autel souterrain au fond de ma détresse, Et creuser dans le coin le plus noir de mon coeur, Loin du désir mondain et du regard moqueur, Une niche, d'azur et d'or tout émaillée, Où tu te dresseras, Statue émerveillée. Avec mes Vers polis, treillis d'un pur métal Savamment constellé de rimes de cristal, Je ferai pour ta tête une énorme Couronne ; Et dans ma jalousie, ô mortelle Madone, Je saurai te tailler un Manteau, de façon Barbare, roide et lourd, et doublé de soupçon, Qui, comme une guérite, enfermera tes charmes ; Non de Perles brodé, mais de toutes mes Larmes ! Ta Robe, ce sera mon Désir, frémissant, Onduleux, mon Désir qui monte et qui descend, Aux pointes se balance, aux vallons se repose, Et revêt d'un baiser tout ton corps blanc et rose. Je te ferai de mon Respect de beaux Souliers De satin, par tes pieds divins humiliés, Qui, les emprisonnant dans une molle étreinte, Comme un moule fidèle en garderont l'empreinte. Si je ne puis, malgré tout mon art diligent, Pour Marchepied tailler une Lune d'argent, Je mettrai le Serpent qui me mord les entrailles Sous tes talons, afin que tu foules et railles, Reine victorieuse et féconde en rachats, Ce monstre tout gonflé de haine et de crachats. Tu verras mes Pensers, rangés comme les Cierges Devant l'autel fleuri de la Reine des Vierges, étoilant de reflets le plafond peint en bleu, Te regarder toujours avec des yeux de feu ; Et comme tout en moi te chérit et t'admire, Tout se fera Benjoin, Encens, Oliban, Myrrhe, Et sans cesse vers toi, sommet blanc et neigeux, En Vapeurs montera mon Esprit orageux. Enfin, pour compléter ton rôle de Marie, Et pour mêler l'amour avec la barbarie, Volupté noire ! des sept Péchés capitaux, Bourreau plein de remords, je ferai sept Couteaux Bien affilés, et, comme un jongleur insensible, Prenant le plus profond de ton amour pour cible, Je les planterai tous dans ton Coeur pantelant, Dans ton Coeur sanglotant, dans ton Coeur ruisselant !
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oui, désolée c'est édité Soleil et chair Le Soleil, le foyer de tendresse et de vie, Verse l'amour brûlant à la terre ravie, Et, quand on est couché sur la vallée, on sent Que la terre est nubile et déborde de sang ; Que son immense sein, soulevé par une âme, Est d'amour comme Dieu, de chair comme la femme, Et qu'il renferme, gros de sève et de rayons, Le grand fourmillement de tous les embryons ! Et tout croît, et tout monte ! - é Vénus, ô Déesse ! Je regrette les temps de l'antique jeunesse, Des satyres lascifs, des faunes animaux, Dieux qui mordaient d'amour l'écorce des rameaux Et dans les nénufars baisaient la Nymphe blonde ! Je regrette les temps où la sève du monde, L'eau du fleuve, le sang rose des arbres verts Dans les veines de Pan mettaient un univers ! Où le sol palpitait, vert, sous ses pieds de chèvre ; Où, baisant mollement le clair syrinx, sa lèvre Modulait sous le ciel le grand hymne d'amour ; Où, debout sur la plaine, il entendait autour Répondre à son appel la Nature vivante ; Où les arbres muets, berçant l'oiseau qui chante, La terre berçant l'homme, et tout l'Océan bleu Et tous les animaux aimaient, aimaient en Dieu ! Je regrette les temps de la grande Cybèle Qu'on disait parcourir, gigantesquement belle, Sur un grand char d'airain, les splendides cités ; Son double sein versait dans les immensités Le pur ruissellement de la vie infinie. L'Homme suçait, heureux, sa mamelle bénie, Comme un petit enfant, jouant sur ses genoux. - Parce qu'il était fort, l'Homme était chaste et doux. Misère ! Maintenant il dit : Je sais les choses, Et va, les yeux fermés et les oreilles closes. Et pourtant, plus de dieux ! plus de dieux ! l'Homme est Roi, L'Homme est Dieu ! Mais l'Amour, voilà la grande Foi ! Oh ! si l'homme puisait encore à ta mamelle, Grande mère des dieux et des hommes, Cybèle ; S'il n'avait pas laissé l'immortelle Astarté Qui jadis, émergeant dans l'immense clarté Des flots bleus, fleur de chair que la vague parfume, Montra son nombril rose où vint neiger l'écume, Et fit chanter, Déesse aux grands yeux noirs vainqueurs, Le rossignol aux bois et l'amour dans les coeurs ! II Je crois en toi ! je crois en toi ! Divine mère, Aphrodite marine ! - Oh ! la route est amère Depuis que l'autre Dieu nous attelle à sa croix ; Chair, Marbre, Fleur, Vénus, c'est en toi que je crois ! - Oui, l'Homme est triste et laid, triste sous le ciel vaste. Il a des vêtements, parce qu'il n'est plus chaste, Parce qu'il a sali son fier buste de dieu, Et qu'il a rabougri, comme une idole au feu, Son cors Olympien aux servitudes sales ! Oui, même après la mort, dans les squelettes pâles Il veut vivre, insultant la première beauté ! - Et l'Idole où tu mis tant de virginité, Où tu divinisas notre argile, la Femme, Afin que l'Homme pût éclairer sa pauvre âme Et monter lentement, dans un immense amour, De la prison terrestre à la beauté du jour, La Femme ne sait plus même être courtisane ! - C'est une bonne farce ! et le monde ricane Au nom doux et sacré de la grande Vénus ! III Si les temps revenaient, les temps qui sont venus ! - Car l'Homme a fini ! l'Homme a joué tous les rôles ! Au grand jour, fatigué de briser des idoles, Il ressuscitera, libre de tous ses Dieux, Et, comme il est du ciel, il scrutera les cieux ! L'Idéal, la pensée invincible, éternelle, Tout ; le dieu qui vit, sous son argile charnelle, Montera, montera, brûlera sous son front ! Et quand tu le verras sonder tout l'horizon, Contempteur des vieux jougs, libre de toute crainte, Tu viendras lui donner la Rédemption sainte ! - Splendide, radieuse, au sein des grandes mers Tu surgiras, jetant sur le vaste Univers L'Amour infini dans un infini sourire ! Le Monde vibrera comme une immense lyre Dans le frémissement d'un immense baiser ! - Le Monde a soif d'amour : tu viendras l'apaiser. é ! L'Homme a relevé sa tête libre et fière ! Et le rayon soudain de la beauté première Fait palpiter le dieu dans l'autel de la chair ! Heureux du bien présent, pâle du mal souffert, L'Homme veut tout sonder, - et savoir ! La Pensée, La cavale longtemps, si longtemps oppressée S'élance de son front ! Elle saura Pourquoi !... Qu'elle bondisse libre, et l'Homme aura la Foi ! - Pourquoi l'azur muet et l'espace insondable ? Pourquoi les astres d'or fourmillant comme un sable ? Si l'on montait toujours, que verrait-on là-haut ? Un Pasteur mène-t-il cet immense troupeau De mondes cheminant dans l'horreur de l'espace ? Et tous ces mondes-là, que l'éther vaste embrasse, Vibrent-ils aux accents d'une éternelle voix ? - Et l'Homme, peut-il voir ? peut-il dire : Je crois ? La voix de la pensée est-elle plus qu'un rêve ? Si l'homme naît si tôt, si la vie est si brève, D'où vient-il ? Sombre-t-il dans l'Océan profond Des Germes, des Foetus, des Embryons, au fond De l'immense Creuset d'où la Mère-Nature Le ressuscitera, vivante créature, Pour aimer dans la rose, et croître dans les blés ?... Nous ne pouvons savoir ! - Nous sommes accablés D'un manteau d'ignorance et d'étroites chimères ! Singes d'hommes tombés de la vulve des mères, Notre pâle raison nous cache l'infini ! Nous voulons regarder : - le Doute nous punit ! Le doute, morne oiseau, nous frappe de son aile... - Et l'horizon s'enfuit d'une fuite éternelle !... Le grand ciel est ouvert ! les mystères sont morts Devant l'Homme, debout, qui croise ses bras forts Dans l'immense splendeur de la riche nature ! Il chante... et le bois chante, et le fleuve murmure Un chant plein de bonheur qui monte vers le jour !... - C'est la Rédemption ! c'est l'amour ! c'est l'amour !... IV é splendeur de la chair ! ô splendeur idéale ! é renouveau d'amour, aurore triomphale Où, courbant à leurs pieds les Dieux et les Héros, Kallipyge la blanche et le petit éros Effleureront, couverts de la neige des roses, Les femmes et les fleurs sous leurs beaux pieds écloses ! - é grande Ariadné, qui jettes tes sanglots Sur la rive, en voyant fuir là-bas sur les flots, Blanche sous le soleil, la voile de Thésée, é douce vierge enfant qu'une nuit a brisée, Tais-toi ! Sur son char d'or brodé de noirs raisins, Lysios, promené dans les champs Phrygiens Par les tigres lascifs et les panthères rousses, Le long des fleuves bleus rougit les sombres mousses. - Zeus, Taureau, sur son cou berce comme une enfant Le corps nu d'Europé, qui jette son bras blanc Au cou nerveux du Dieu frissonnant dans la vague. Il tourne lentement vers elle son oeil vague ; Elle, laisse traîner sa pâle joue en fleur, Au front de Zeus ; ses yeux sont fermés ; elle meurt Dans un divin baiser, et le flot qui murmure De son écume d'or fleurit sa chevelure. - Entre le laurier-rose et le lotus jaseur Glisse amoureusement le grand Cygne rêveur Embrassant la Léda des blancheurs de son aile ; - Et tandis que Cypris passe, étrangement belle, Et, cambrant les rondeurs splendides de ses reins, étale fièrement l'or de ses larges seins Et son ventre neigeux brodé de mousse noire, - Héraclès, le Dompteur, qui, comme d'une gloire, Fort, ceint son vaste corps de la peau du lion, S'avance, front terrible et doux, à l'horizon ! Par la lune d'été vaguement éclairée, Debout, nue, et rêvant dans sa pâleur dorée Que tache le flot lourd de ses longs cheveux bleus, Dans la clairière sombre où la mousse s'étoile, La Dryade regarde au ciel silencieux... - La blanche Séléné laisse flotter son voile, Craintive, sur les pieds du bel Endymion, Et lui jette un baiser dans un pâle rayon... - La Source pleure au loin dans une longue extase... C'est la Nymphe qui rêve, un coude sur son vase, Au beau jeune homme blanc que son onde a pressé. - Une brise d'amour dans la nuit a passé, Et, dans les bois sacrés, dans l'horreur des grands arbres, Majestueusement debout, les sombres Marbres, Les Dieux, au front desquels le Bouvreuil fait son nid, - Les Dieux écoutent l'Homme et le Monde infini !
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vrais couples du fofo ! pas les virtuels !
_Dolph a répondu à un(e) sujet de darkshreck dans Inclassables
Tu viens de me tuer -
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_Dolph a répondu à un(e) sujet de darkshreck dans Inclassables
et Luce? -
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_Dolph a répondu à un(e) sujet de darkshreck dans Inclassables
T'as raison ma belle.... et toi avec qui tu couches??? (dis moi s'il te plait dis moi ) Tu le sais très bien puisque jusqu'a maintenant tu étais sensée faire parti des amis ( sale peste ) -
vrais couples du fofo ! pas les virtuels !
_Dolph a répondu à un(e) sujet de darkshreck dans Inclassables
Bon euh.... on peut revenir au sujet hein alors qui couche avec qui? =====> [] -
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_Dolph a répondu à un(e) sujet de darkshreck dans Inclassables
bisou bisous mon merdeux, jtdr aussi -
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_Dolph a répondu à un(e) sujet de darkshreck dans Inclassables
tu connais même des détails de ce genre trop forte !! euh ué j'connais même ses pieds et ses mains dolph!!toi tu aime lore ?????alors euh ...je n'aime fort virtuellement Lore oui je l'aime aussi en vrai mais pas de la même façon , rassure moi t'as compris? -
vrais couples du fofo ! pas les virtuels !
_Dolph a répondu à un(e) sujet de darkshreck dans Inclassables
tu connais même des détails de ce genre :o trop forte !! euh ué j'connais même ses pieds et ses mains -
vrais couples du fofo ! pas les virtuels !
_Dolph a répondu à un(e) sujet de darkshreck dans Inclassables
une fille du fofo même qui aime le fromage -
vrais couples du fofo ! pas les virtuels !
_Dolph a répondu à un(e) sujet de darkshreck dans Inclassables
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_Dolph a répondu à un(e) sujet de darkshreck dans Inclassables
j'parlais pas pour toi mais encore une fois si tu le dis hein -
vrais couples du fofo ! pas les virtuels !
_Dolph a répondu à un(e) sujet de darkshreck dans Inclassables
En général, y'a les amis , les ptits curieux et les langues de p.... au courant, donc pas très dur de savoir on peut facilement faire parler une des trois categories -
c'est pas grave, j'commence a avoir l'habitude ..
bonne soirée à toi.
Bise
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_Dolph a répondu à un(e) sujet de darkshreck dans Inclassables
ué mais bashi il compte pas , en fait il a des histoires avec tout le monde trop dur a suivre
