Tu as sûrement raison, mais je vis dans le présent (quelle phrase à la con) et je suis sûre de mon avis pour le moment. Si je pense au futur, je suis dans l'abstrait.
Je suis contre : de quel droit des êtres humains se permettent de juger de la vie ou de la mort d'autres êtres de même "titre" ?
On pourrait rétorquer: oui, mais les meurtriers ont eux-même pris le droit de juger de la mort d'autrui.
Ok. Mais lors d'un meurtre, c'est bien plus animal. On est dans la loi du plus fort, ça reste naturel.
Nan, c'est à moi de pardonner mes parents. Et ouais, je l'ai fait. Je suis plutôt contente de ce que je suis devenue. Je saurait jamais refaire ce qu'il ont fait, c'est aussi pour ça que je ne veux pas de mômes. (En fait, j'ai la trouille...?)
Pour moi ce sont les enfants qui choisissent leurs parents. Avoir un enfant c'est devoir quelque chose à un être. Et pas l'inverse! Bien souvent on pense que les enfants doivent êtres reconnaissants pour l'éducation qu'on leur a inculquée. Alors qu'en donnant la vie, les parents se créent une responsabilité. Ils doivent se faire pardonner pour avoir créé un être de plus (de trop ?)