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Tout ce qui a été posté par Blablateur
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Il y a malheureusement pour eux, des gens un jour... Qui se retrouvent seul et continue à en vouloir à la terre entière en se demandant pourquoi... Eux! Ceux-là finissent aigris et en veulent au final à la terre entière de ne pas avoir fait les efforts quand ils avaient encore de l'entourage, des gens proches et de l'attention... Parce que leur vie ne se résume qu'à un nombrile, un trou béant qui va jusqu'à engloutir leur propre perception de l'amour que leur donne ceux qui les entoures.
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J'suis d'accord à un poil près! :blush:
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L'âme, au delà de sa définition de tout à chacun
Blablateur a répondu à un(e) sujet de Blablateur dans Philosophie
Oki :blush: . Je partais simplement sur le principe d'une discution (le débat reste ouvert bien entendu) ou j'entends souvents des discutions qui ramènent à l'image que certaines personnes se font de l'âme qui une fois l'individu décédé rejoint un tout, unique. Qu'en pensez vous? Faudrait-il faire une différence entre la notion du corps qui nous appartient (et encore c'est une notion qui pourrait faire l'objet d'un autre débat) et l'âme qui ne serait pas obligatoirement de la même nature qu'un simple organe de notre corps. -
L'âme, au delà de sa définition de tout à chacun
Blablateur a répondu à un(e) sujet de Blablateur dans Philosophie
Donc vous êtes tous dans une optique ou "l'âme" nous appartient? Chaque individu à une âme et en est le propriétaire? ... Mais si l'on part dans le sens que l'âme est un tout et que nous ne sommes qu'une sorte de réceptacle, de fenêtre qui en donne la conscience, pourquoi se l'accaparer et lui donner une appartenance? L'âme ne pourrait-elle pas être une essence collective et l'individu une capacité de l'appréhender sans pour autant se l'octroyer en tant "qu'objet" ou matière personnelle? ... Car à partir du moment ou l'on admet que le corps est charnel et que l'âme est spirituel, éthéreuse et du domaine de l'impalpable, pourquoi en viendrait-on à se l'octroyer comme une empreinte ou une ombre collé à sa propre personne? -
Ouai! Mon cri de douleur ressemblait un peu à ça effectivement! :blush:
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Le pire c'est sous les bras! C'est plus des poils quand ça repousse, c'est des aiguilles! Ca me rappel le jour ou j'm'à gourré de tube quand j'étais encore chez mes parents, j'avais confondu le tube de dentifrice avec la crème épilatoire de ma mère! C'était plus une bouche que j'avais, mais un brasero!
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Et bien on va dire que tu es leader de ta propre vie! :blush:
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En même temps la guerre est fini, faut tourner la page! :blush:
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Le siège de l'âme si l'âme existe, d'après vous, elle fait partie intégrante du corps, elle est au delà de cette notion de "charnel", je me suis toujours demandé si l'âme avait réellement un contenu, était indissociable du corps et dans l'hypothèse, selon ma réflexion, je l'a verrais bien tapis dans... L'oeil! Et vous, ce que l'on appel communément "l'âme", ou le nom que vous lui accorder, dans la mesure ou elle serait dans une "amphore", quel serait son abris?
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Dans la vie il y a des gens qui se sentent indispensable!... Y'a ceux qui le sont, puis y'a ceux qui le croient! Tant que la croyance donne de l'élan c'est un bénéfice, dans la plupart des cas malheureusement, c'est une frein, une meurtrière. Ca me rappel un livre que j'avais lu sur la perception de ce qui nous entoure. Un type qui cloisonné dans une maison à une seule fenêtre n'avait pas la vision de ce qui était derrière son habitat, devant lui un champs à perte de vue et la notion qu'il en avait du coup de l'univers qui l'entoure. Seulement derrière la maison y'avait un pommier! Pauvre personne à plaindre que celui qui n'aura jamais notion du fruit suspendu à la branche étant persuadé que la seule vision qu'il à se résume à l'intégralité de ce qui existe. Y'a ceux qui pensent que la vie ne se résume qu'à ce que leurs sens leur donne... L'imagination n'à pas de bornes, c'est le seul sens qui donne une libertée à l'ame de s'élever au delà de la conscience collective... Mais faut être humble et à l'écoute pour faire partie de cette deuxieme catégorie. Sinon on n'à pas plus d'importance que le décor dont on fait partie.
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Ca prouve surtout que tu ne lis pas les autres! :blush:
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Change de chaussures, ou alors arrête de trainer des pieds sur la moquette! :blush:
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Effectivement, mais je ne met pas le même étiquette sur ces individus, ici dans ton exemple, on ne parle pas de dominant, mais de manipulateur, c'est le statut du dominant qui utilise à son profit la faiblesse des autres pour arriver à briller et à dépasser son ego, j'appel ça des mort-nés! La frustration ultime pour ce genre d'individu est de dépendre ou d'accepter un choix dicté par une autre personne. La remise en question n'existe pas et l'étiquette de dominant, une fois qu'ils en ont fait l'acceptation et le constat les pousse à rabaisser et à prendre emprise sur le plus faible pour arriver à des fins personnelles. C'est une forme de dominance mais plus axé sur la manipulation et le besoin d'assouvir des pulsions chimériques pour palier à des frustrations comme la mort, l'impuissance, le fait de renier l'évidence qu'ils ne sont que des hommes, à la même hauteur et "hiérarchie" que ceux qu'ils avilissent. Ca dénote un fort penchant pour la camisole avant tout . A contrario, ma compagne est dominante dans notre couple et heureusement, sinon le cadi ne suffirait pas à emmagasiner tout ce que je glane dans les rayons de supermarchés! Elle tempère à sa façon ma gloutonnerie compulsive... Sans pour autant me manipuler. Il est de fait que tu abordes des sujets plus ou moins sensibles, et je pense sincèrement que quand on pause une question, dans l'idéal pour ouvrir à discutions, il faut savoir en premier lieu poser un décor, et qu'une question se doit de rester avec des doutes, choses que tu ne fais pas puisque tu conclus tes doutes par des certitudes qui amène inéluctablement à ce qu'un lecteur se demande le pourquoi fondé de ta question. Ou l'on pause une question par interrogation ou l'on répond avec certitude ou par un simple avis à une situation. Le fait de poser une question et de finir celle-ci par une affirmation de soit peut éventuellement agacer, tu en conviendras!? Car pour le lecteur, au final, ce n'est pas la question qui sera mise en avant, seulement la certitude d'une personne qui se contredis dans le même texte! Ou on se pose une question et on laisse aux autres le bénéfice d'apporter des réponses, des avis et on en discute par la suite, ou l'on ne pause pas de question et l'on en vient à dire des vérités! Le problème, c'est que la vérité est relative et n'appartient qu'à soit. Dit toi bien que dans dix ans, tes propos et ton expérience feront que tu rigoleras amèrement certainement de beaucoup de préjugés que tu as posé sur ce forum, ce n'est pas pour autant que tu ne seras pas aimé! Juste qu'il faut admettre que l'outil qui nous est offert te permet de t'épanouir éventuellement, mais en aucun cas, te permettra d'assener des véritées qui te sont propre et que l'écoute est plus enrichissante que le fait de vouloir avoir un retour de post que de fait sentir au dessus d'une moyenne quelconque qui n'est en somme, sans importance. J'imagine que le but dans ta vie est d'être le plus proche de ta vérité, de t'épanouir et d'être avide de savoir, de briller dans ta réalité et non pas d'user de ton temps si précieux (il l'est pour tout un chacun) afin d'obliger les autres à admettre que tu détiennes la solution ultime des façon de faire sa vie au détriment de ce qui fait que chaque personne à son actif à son passé, son expérience et un chemin unique qui lui appartient! Admettre la différence n'est pas facile, mais c'est le seul moyen pour l'individu de constater ses erreurs, ses lacunes, ses qualitées et enfin de se connaitre comme de se trouver. La force d'une personne, c'est de résonner à l'unisson au contact des autres, sans forcément faire plier l'avis du voisin pour assouvir je ne sais quelle jouissance intérieur d'avoir raison. Car la vérité n'est qu'une apparence, elle est individuelle et contrairement à une règle de grammaire, ce qui fait la liberté de l'être, c'est sa différence.
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Merci pour le compliment :blush: . Sur ce point, tu as raison, je rajouterai qu'un vrai dominant n'à pas de crainte, et connaissant sa place et son influence le vrai dominant, celui qui est bien dans sa peau ira toujours d'un élan respectueux vers le dominé, car il sait son importance et son pouvoir, son influence. Il sait de par le fait l'importance de ses actes et de ses paroles. Le dominant à besoin du dominé et tire une certaine fierté de l'assurance et de la confiance qu'on lui accorde. A contrario de ce que j'ai pu écrire dans les grandes lignes, l'élite, le gratin du dominant, c'est celui qui en plus d'être un leader pour ceux qui l'entoure reste à l'écoute et prend acte de l'avis de ceux qui le suivent aveuglément. Car pour être un vrai dominant et s'épanouir dans un couple par exemple, il faut être capable de faire des concéssions et mettre en avant, donner confiance et pousser le dominé à aquérir de l'assurance, devenir autonome et estomper cette "hiérarchie". Quand un dominé prend confiance, s'assume au travers de l'élan que le dominant lui accorde, le dominé est libre de ses actes, il se sent dominant de sa propre personne et là, à ce moment, le vrai dominant peut s'épanouir à son tour sans que cette notion devienne une lutte. A ce moment chacun accepte la place de l'autre et y trouve sa juste valeur. Car pour qu'il y est un dominant comme un dominé, il faut être deux, et surtout que chacun accepte sa place de son propre chef.
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Oui, quand il pleut! :blush:
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:blush: Je ne me suis jamais posé cette question!? ... Heu, comme ça à froid, je dirais qu'on rassemble sous le mot "science" le savoir, la discipline, le champs d'application en rapport au mot qui vient à sa suite. En gros, la science est le savoir et les acquis, le constat suite à l'étude et à la maitrise d'un domaine en particulier.
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J'avais fais une formation il y a quelques années, le sujet portait sur la mise en avant de sois et le dynamisme dans les rapports avec l'autre. Valable à la base en société (entreprise) tout aussi bien que dans la vie de tous les jours (le couple, les amis, les relations extra-professionnelles¿) Le but était de s'affirmer et de connaitre, de s'adapter et d'arriver à se faire entendre ou à une réciprocité avec son partenaire. Moi cette formation je l'avais eu car j'avais du mal à dire « non » et je me faisais souvent du sang d'encre, du stress et des films, je n'arrivais plus à gérer mon travail car à force de tout accepter je n'arrivais plus à suivre le fil. Dans cette formation j'ai appris que les individus ne se catégorisent pas seulement entre les forts et les faibles, ce genre de critère n'est qu'une façon de vulgariser un spectre qui est un peu plus complexe que ça ! En fait il existe entre 6 à 8 dominantes principales qui forment l'individu grossièrement. Chaque personne un peu à l'image d'un égaliseur sur un ampli ou une table de mixage à des valeurs différentes dans chacune de ces dominantes. Un peu à l'image d'une pyramide, dont la base serait le caractère le plus sensible, et qui prend l'étiquette des individus que l'on nomment « empathiques ». L'empathique, c'est l'extrême de la sensibilité chez une personne, c'est celle que vous connaissez, qui en générale souffre presque plus que vous de vos douleurs et problèmes, qui pleure devant la misère des autres et pour qui les sentiments sont très difficile à cacher. Le genre de personne au travail qui là où vous allez parler travail va vous demander comment va votre famille, le dernier petit ou bien prendre des nouvelles de votre personne en tant qu'individu. Au sommet de la pyramide, à la pointe, on trouve ce que Djo appel le leader. C'est le type de personne qui en général se retrouve PDG, souvent dans la société il monte une affaire, n'écoute que sa propre personne et fait fi de l'avis de ceux qui l'entoure. Le genre de type qui monte une affaire, la fait tourner et une fois qu'elle est autonome et fructifiante laisse tombé pour passer à autre chose¿ Car son but n'est pas de s'enterrer mais de relever des challenges, il à besoin de se prouver et de montrer aux autre accessoirement (car seul sa personne l'importe) qu'il réussi, qu'il maitrise sa vie et qu'il est le dominant. On retrouve dans la vie et la société en général, à tous les niveaux cette notion de dominant et de dominé et la seule chose importante et qui pose un réel problème, c'est que chez le dominant tout comme chez le dominé, il y a ceux qui dominent par nécessité et ceux qui dominent par force des choses tout comme il y a ceux qui sont dominés par choix, par besoin car il ne peuvent avancer et s'épanouir tout simplement que dans un cadre ou ils sont pris en main, orienté, aidé et par-dessus tout il est impensable pour ces personnes que leur vie ne soient pas un épanouissement par l'entremise de la reconnaissance envers les autres et ceux qui les ont aidé, qui les entours. Et il y a les dominé par force des choses, par faiblesse, par crainte, car il sont persuadé que leur carrière, leur vie ne peut être idéal et sans crainte qu'au travers des yeux et des ordre du dominant. Dans un couple, la complexité apparait quand on retrouve une des personnes (le plus souvent la femme) qui domine et l'homme qui à besoin d'être dominé, car la dominante malgré son besoin de maitriser les situations doit retrouver ce caractère justement dominant en partie chez sa moitié. En notre époque, il est très difficile d'admettre pour un homme que son statut et son sexe ne sont pas les attributs du dominant et que la femme, sera toujours la mère, la protection et le besoin nécessaire au bon fondement du foyer. Ajoutez à tout ça que ces deux exemples ne sont que les deux extrêmes de la « pyramide » et qu'il y a un éventail de personnalité entre les deux et vous comprendrez que le meilleur moyen de trouver sa place dans la vie, c'est de s'adapter non pas en fonction de sa propre personne, mais bel et bien en fonction de la personne que l'on à en face de sois. Par exemple, pour arriver à ses fins, face à certains individus de type « dominants », il sera plus simple pour un dominé de caresser dans le sens du poil son interlocuteur, de lui faire croire par exemple qu'une idée posée vient de celle-ci pour arriver à un accord. Car le dominant à besoin de croire qu'il maitrise la situation. Ma conclusion : Dans la vie, il faut savoir s'adapter et accepter que la science infuse n'existe pas, il faut se connaitre et savoir (la pyramide) se balader dans son propre spectre pour pouvoir être le plus en accord, en harmonie avec les gens qui nous entoures. Pour un dominant « leader », la meilleur façon de se faire entendre en fait, c'est une premier lieu de se faire violence et d'écouter les autres là ou pour un dominé la difficulté sera de garder ses positions et d'essayer de placer son point de vue sans se faire « manger ». ¿ Cependant, un problème résiduel subsistera toujours, au-delà du comportement, des paroles et des actes, tout comme l'on transpire, un dominant sentira la faiblesse dans le dominé et réciproquement.
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J'ai éditer le premier post, en rajoutant des légendes... Et modifié une photo car je n'avais pas les droits :blush: .
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Les Gargouilles En terre cuite, en bois puis au final en pierre, c'est à l'époque romaine que ces bêtes parfois tapies dans l'ombre ou bien visibles hauts perchées sur le bord des toits apparaissent. Souvenir des coutumes païennes, elle voisinent déjà avec des figures fantastiques, monstrueuses, mi-animales et mi-humaines, excroissance naissante de feuillages et autres enroulements enchevêtrés donnant une silhouette plus ou moins inquiétante dont le but secondaire devient la protection des forces du mal qui les entoures. Elle prennent tantôt le nom de Gargouilles, Gronda Sporgente, Gargola, Gargoyles, Wasserspeir... Et leur première fonction n'est autre que d'écarter des murailles l'eau ruisselante des toits. Vers le commencement du XIIIe siècle, les chéneaux laissent de plus en plus souvent une place à la gargouille, aux guivres, canons et autres lanceurs à la chute des combles. Jusqu'alors, dans les premiers siècles du Moyen-âge, l'eau des toits ou des terrasses s'égouttait directement sur la voie publique au moyen de la saillie donnée aux corniches. Immobiles et témoins du temps qui passent, elles contemplent de leur perchoir les siècles qui coulent de leur grotesques allures. C'est en pleine période gothique au Moyen-âge que ces chimères fleurissent, principalement vers 1220, aussi bien sur les édifices religieux que civils. En premier lieu parées de bustes trapus et peu nombreuses elle se multiplient par la suite en prenant forme de corps plus élancés, les bustes laissent parfois place à des statues entières sur pieds, elles s'affinent avec le temps et prennent un caractère médiéval débridé. Parfois prenant l'apparence de personnages vomissant, de moines, de monstres jusqu'aux animaux les plus fantastiques, les gargouilles finissent par s'échapper des canon et de l'idéalisation picturale gothique pour prendre le chemin d'une continuité romane. Le plus souvent, ces monstres sont l'oeuvre de commandes du milieu ecclésiastique et les artistes on une liberté d'expression impressionnante. Pour preuve de retrouver certaines figurations accrochées malgré leur laideur et leur caractère "monstrueux" aux paroi de certaines églises, à une époque qui plus est ou la difformité physique est synonyme de difformité mentale, et que la maladie est synonyme de diablerie. On pourrai se demander si les gargouille n'expient pas leurs péchés en vomissant justement l'eau purificatrice? Leur orientation et leur position enfin en tout points cardinaux forme un cercle religieux et magique préservant la béatitude sereine du lieu saint qu'elle couvent. ... J'adore les gargouilles! Partout où je vais en province, je prends toujours un moment pour visiter les églises, cathédrales et autres architectures religieuses (ou pas) afin de voler une image de ces monstres figés dans le temps. Je les trouves mystérieuses, inquiétantes et en même temps réconfortantes, belle et à la fois monstrueuses, parfois grossières... Mais cela me procure toujours une sensation de toucher à l'irrationnel, à la magie, au temps mystérieux qui nous séparent des siècles passées devant leur yeux. Un Topic pour notre plaisir et celui des gargouilles. Celle ci est très célèbre, c'est une gargouille qui contemple la vue de sa hauteur des toits de Notre Dame de Paris. Gargouille de Notre Dame de l'Epine, dans la Marne, à côté de Châlons-en-Champagne, elle fait partie du Patrimoine Mondial de l'UNESCO. Gargouilles de l'église Saint-Epvre Une gargouille de Westiminster Abbey (Londre)
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Oui certes, la question maintenant c'est de savoir si l'homme ce sera toi! :blush:
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Merci, c'est toujours flateur! ... Par contre attention, je ne suis pas non plus maniaque hein! Mais je fais parti des personne qui pense qu'on est jamais mieux servi que par sois-même! Puis ma compagne est dans le dentaire, elle travaille toute la journée dans une ambiance de stérilisation, de devoir de propreté et d'hygiene et je me doute bien qu'en rentrant à la maison le genre de truc "ménage" c'est un peu synonyme d'heures supplémentaires! Et puis quand elle me fait un petit plat de temps en temps C'est toujours un régal, c'est simple en sortant de table je ne distingue plus mes pieds! :blush:
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... En même temps je comprend Djo! Il est vrai que ça arrange certaines personnes d'avoir la femme à la maison, comme ça, en rentrant bourrés ils peuvent leur claquer la gueule en justifiant qu'elle ne foutent rien de la journée! Parce que c'est bien connu, une femme à la maison ne fait rien de sa journée, c'est pas un métier! Faire le ménage, s'occuper des enfants, faire les courses, la lessive, étendre de linge, faire la bouffe, la vaisselle, fermer sa gueule et surtout ne pas sortir car elle à rien à faire dehors! Bon elle à quand même une grande qualité, elle ramène les bierres et ne fait pas de bruit pendant les matchs de foot ... Et puis si elle travaille... Comment justifier qu'on est le chef à la maison, qu'est ce qu'on va pouvoir lui repprocher pour justifier sa propre passivité dans le couple!? Trève de plaisanterie, moi j'aime faire ces tâches à la maison, je suis bien content que ma compagne en rentrant me sorte sont plus beau sourire en sentant la bonne cuisine qui l'attend! Elle me raconte souvent que dans la journée pendant son travail elle pense à la bonne petite table qui l'attend et que ça la rend contente. J'aime pas le bordel et je suis du genre à ranger nickel dès que j'achète un nouveau truc genre un jeu sur l'ordi, juste pour être dans un endroit agréable et savourer mon achat, ... Je trouve ça gratifiant de savoir que ma compagne se vante que c'est moi qui m'occupe d'elle à la maison. Et j'en suis fier et je le revendique haut et fort. :blush:
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Un restaurant a-t-il le droit de ne servir que de la nouriture halal ?
Blablateur a répondu à un(e) sujet de Grenouille Verte dans Société
Y'en a pour tout les gouts, donc oui il a le droit. Tout comme léon sert des moules et McDo des burgers! Après libre d'aller dans le restaurant ou dans un autre. D'ailleur, encore heureux, sinon tous les restaurants auraient la même carte, la même viande,... :blush: -
Est-ce qu'on pense vraiment les choses qu'on dit bourré?
Blablateur a répondu à un(e) sujet de kandywarhol dans Amour et Séduction
Cela dépend de la situation et de l'état dans lequel on est à la base! Une personne qui déprime, qui boit parce qu'elle (par exemple) se fait toujours avoir et est trop gentille avec les autres, qui se fait toujours couilloné en gros, peut sous l'emprise de l'alcool devenir quelqu'un de méchant, qui en veut à la terre entière et qui insultera et rabaissera la première personne venue. moi par exemple, je fais la bouffe tous les soirs, souvent le ménage, la vaisselle, et ma compagne est pratiquement tout le temps sur l'ordinateur. Je tiens à préciser que cela ne me dérange pas et que j'aime bien m'occuper de la maison, surtout de la cuisine. Il m'est arrivée quand j'étais saoul à l'époque ou je buvais beaucoup de l'insulter et de lui dire qu'elle ne foutait rien, qu'elle était fénéante, que j'en avais marre de tout faire et que je voulais qu'elle parte de la maison car je n'en pouvais plus! :blush: Autant vous dire que le lendemain j'avais les boules et qu'elle m'avait pris au mot, non pas en faisait la cuisine à mon arrivée mais en étant plus là! J'étais comme un con et surtout je n'avais que de plates excuses à lui donner car je n'avais aucun argument sur mes propos, puisqu'elle me proposait souvent de me faire un bon petit repas, de faire des ballades ou d'aller au musée... Ce soir là, pour l'exemple, j'étais saoul et je pense fermement que des petites conneries qui trotaient dans ma tête, comme pour un soir "tiens j'suis crevé j'aurais bien aimé en rentrant avoir une surprise!" sont remontées, ont été amplifié et que je n'avais plus aucune lucidité pour faire la part des choses et rester "sincère"... Tout dans l'excès. -
Vol-au-vent a la viande de b¿uf haché et sauce au champignons et olive
Blablateur a répondu à un(e) sujet de nacirah62 dans Cuisine
... Je bave, j'ai faim et ça à l'air trop bon! :blush: J'arrête de bosser j'vais bouffer de ce pas fallait pas me pousser!