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Quilly

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Tout ce qui a été posté par Quilly

  1. Mes 1ers moniteurs d'auto-ecole etaient de vrais cons... aucune pedagogie ca hurlait et brusquait à mort ! J'ai changé d'auto-ecole... et là le MIRACLE : Ma monitrice est un ANGE , un amour qui ne rale JAMAIS, qui te corrige avec le sourire et des eclats de rire ... c'est meme devenue une amie, on papote avant et apres les heures... Et en prime sur les heures sup elle m'en fait des gratuites... Je l'adooooooooooooore :) Pis vu le cauchemard que je suis au volant .... elle doit etre masochiste... Je suppose que spy sera ainsi, et franchement ca fait un bien fou aux eleves, on apprend avec plaisir,on conduit sans stress donc dix fois mieux, et on respecte beaucoup plus le code de la route
  2. Quilly

    Que pensez vous du suicide?

    Ce qui me gene , c'est les gens qui en parlent sans savoir.. parque souvent ils se trompent. Mais je prefere encore ça à ceux qui jugent sans connaitre, parce que toujours ils font mal. La question que souleve le suicide est celle fondamentale du libre-arbitre, de la base même de toute liberté : "L'homme est-il maitre ou non de sa vie et donc de son droit de mort ? " Le suicidaire décide que "oui" ... beaucoup de nos sociétés que "non." Le suicidaire décide que "oui "pour un tas de raisons qui lui sont propres. Il ne faut pas oublier que même si elles peuvent VOUS sembler stupides, elles le conduisent LUI au désespoir le plus total, à une souffrance si intolerable qu'il prefere renoncer à la vie même si elle peut PARFOIS le rendre heureux. La notion de bonheur et de douleur est subjective... si quelqu'un pleure même si vous, vous, ne comprenez pas pourquoi il a quand même MAL. Parfois, avec un peu de volonté et de temps il se consolera, parfois il ne pourra pas et vivra avec une boule de souffrance à vie implantée en lui... Je crois que si quelqu'un n'a pas eté dépréssif, ou suicidaire, ou victime de crise d'angoisse,... Il ne sait pas vraiment ce qu'est vivre avec une boule de soufrance sur des années et des années...(ca vous ronge comme un Cancer, ca vous detruit et vous coupe du monde, et ca fait meme mal PHYSIQUEMENT), il ne peut donc pas juger si on peut vivre avec .......ou pas. Les societés décident que " non" souvent pour les raisons que j'ai cité dans mon post précédent ... Souvent parce que pour vivre nous avons besoin aussi d'oublier que nous pouvons mourir dans la seconde ( on serait tenté de tout trouver futile sinon, d'etre paralysé par la peur, ...) c'est ce qui fait que l'on a si mal lors d'un déces : on a oublié que l'autre devait mourir tot ou tard. Le suicidaire lui commet " l'erreur" de s'en souvenir et de décider de quand il va mourir... Forcement, ca nous balance en plein visage nos angoisse d'être mortel qui se veut immortel ( une des seules choses qui nous differencient des " animaux" d'ailleurs ) parce que là on nous montre un Humain qui refuse ce desir inconscient ( ou pas ) d'immortalité ... Je ne tiens pas à faire l'apologie du suicide,moi aussi je hurle de douleur quand mon "mari" se jette dans un fleuve... mais finallement je hurle par egoisme : juste parce que je ne veux pas vivre sans lui. Mais je tiens à vous faire demander pourquoi on prive de liberté quelqu'un qui veut mourir... et à supposer que cela sauve vraiment la vie des faux suicidaires, de ceux qui veulent " juste" dire " au secour" ... que faire pour ceux qui en sont à la 10e tentatives ou de ceux qui se mutilent à la place ou se suicident de façon acceptable par nos sociétés ( alcool, drogues, conduite dangereuses, sports à risque;...) ? Est-ce respecter la vie que de l'imposer à quelqu'un qui la refuse ? Est-ce respecter l'humanité que de priver quelqu'un de droit de vie ou de mort sur SA vie ? Pour les croyants, est-ce respecter Dieu que de prendre sa place en choisissant qui doit vivre ? Je ne cherche pas à vous choquer, juste à vous faire vous interroger sur votre perception du suicide... Qu'est-ce qui vous fait peur ou vous degoutte ? Est-ce une chose valable pour tous où juste pour vous ?
  3. Sur Avignon... Alors pour l'oral, pas de recettes miracles... j'ai eu 9/20 et 19/20 avec le MEME comportement !!! J'opte quand même pour une grande franchise, une bonne humeur inébranlable, une connaissance parfaite du programme et du systeme de stage et des exams, et surtout surtout prepare les questions pieges style : et si dans votre travail vous ne faisiez que vous occuper de personne agées séniles ? Vous reagirez comment face à la mort d'un enfant ? Ce genre là... En gros faut se vendre, se montrer sensible mais déterminé et stable, met en avant ton parcours MEME s'il est cahotique genre ( j'ai essayé, je me suis plantée, mais là au moins je sais ce que je veux et veux pas.... blablabla)... Ho et surtout : infirmier.com
  4. Je croise les doigts !! Puis le plus dur c'est les oraux... apres l'ecrit c'est juste du bachotage de bouquins. Par contre une rentrée en Fevrier, c'est assez rare non ?
  5. Quilly

    Que pensez vous du suicide?

    Je n'attaque personne ... ni Roy ni autre... et je m'excuse de plomber l'ambiance. Votre sujet me touche parce que je connais un suicidaire, je vis avec ou presque depuis un an... Vous supposez sur les sentiments des proches, sur ceux du suicidaire... Je vous donne juste MA version rien de plus ou de moins... pas de réponses miracles. Pour celui qui découvre la tentative : Je sais ce que ca fait de flipper lorsque le telephone sonne dans le vide pour la 10e fois, de se coucher en ne sachant pas si on sera encore "deux" demain...parce que votre furtur mari est dépressif. Je sais ce que ca fait de lire une lettre, quelques jours plus tard , de prevenir les pompiers, de prevenir les amis, de ne pouvoir rien faire qu'attendre parce qu'on est à 800km... et de voir prendre un tgv en urgence en pleine crise de larmes et de devoir gerer la police, les proches, les pompiers, un psy, tout ça par tel... et de gerer le suicidaire ensuite. Pour la famille : La 1ere chose c'est la peur : On sait que l'autre est dépréssif, parce qu'on l'aime, qu'on l'ecoute, lui parle, on sent ses doutes et ses peurs, ses douleurs... On essaye de comprendre et de soulager...mais quand la dépréssion est aussi lourd ca ne sert à rien. L'autre s'enfonce petit à petit, s'eloigne, refuse de voir un psy, decroche plus au tel..., refuse de voir ses amis, et les envoie chier qd il les croise...ou pis encore : joue au " tout va bien". La seconde c'est la culpabilité : la personne que l'on aime le plus au monde va si mal qu'elle prefere mourir que de rester en ce monde....et que l'on se dechaine ou pas ne change rien. La troisieme c'est la colere : Pourquoi il me fait ça à moi ( à nous ou à eux) ? Apres.... l'amour bien evidement.... on aime donc on pardonne, mais....le doute : Puis-je imposer ça à nos futurs gosses ? un pere suicidaire ???? Puis-je construire avec quelqu'un qui n'attend plus rien ? ou Suis-je une bonne mere ( si il s'agit de son fils ou fille..) un bon ami ? ... Apres.... apres y'a le suicidaire...et là... là c'est complexe... Pour mon "mari" il s'agit d'une dépression chronique liée à son enfance, son adolescence, ses convictions, sa situation financiere et professionelle... L'impression d'être pas à sa place, inutile, un boulet, une charge, que le monde est fait de connards pour des connards avides de frics... Une perte de tout espoir... Mon truc à moi c'est la douceur... Je dois être folle, mais je l'ai laissé plonger par respect pour ses croyances et son intigrité. Je ne me juge superieure pour lui imposer une norme. Je prefere avoir sa confiance et ses mots...à force de tolerance j'ai gagné beaucoup de sa confiance, je sais qu'il ne se suicidera pas dans l'ombre, c'est deja un pas... Je travaille maintenant pour une psychoterapie...meme pas pour qu'il change d'avis mais evacue son enfance de merde. Evidement que c'est tabous le suicide... On prefere tous un monde où on est heureux, mais le suicidaire lui HURLE que NON la ca va PAS. Forcement , ca derange beaucoup de monde de devoir concevoir que nos valeurs, nos croyances,nos convictions, ne sont pas celles de tous et que certains ne trouvent pas leurs places... On prefere les savoir fous que malheureux alors on les " soigne", on leur interdit un choix... Je pense moi aussi que ce n'est pas " eux" qu'ilfaut soigner,mais les causes : parents maltraitants, violences scolaires, chomages, faillites et j'en passe... Je sais, venant d'une "bientot" infirmiere ca peut choquer..
  6. Houlà... J'en ai plein ( qui me font hurler de rire ) : Je me suis cassée la figure ( et la chaise avec ) à mon oral au bac... avec le prof explosé de rire ( un petit jeune donc ca passe encore... ) Je me suis écroulée dans les escaliers en sortant d'un oral du concours d'entrée infirmiere, avec une reception hum...particuliere, DEVANT le jury qui sortait ( j'etais la derniere de la journée). J'ai vomi mes tripes dans le lit d'un tres bon ami ( bourrée) que je comptais bien avoir en "petit-ami". Inutile de dire que ca la refroidit un loooong moment ( plusieurs mois ), que je ne bois plus ( si si je vous jure !)... La plus récente : J'etais chez des amis, j'avais atrocement mal au ventre ( ulcere plus 28e jours du cycle), j'etais allongée jambes surelévées et ecartées ( j'essayais de soulager ce **** d'uterus de **** à la ***) et là mon mec me dit ( assez fort... MERCI ! ) " Y'a **** qui doit avoir une sacrée vue là..." et le **** en question devenir écarlate parce que OUI il voyait tout... Et celle dont je suis vraiment la moins fiere : J'ai envoyé un sms à mon meilleur ami au sujet d'un ex du genre : " j'arrive pas à casser, top mal au coeur pour lui mais il me gaaaave " sauf que c'est l'ex qui l'a reçu et m'a repondu ... " bin là au moins c'est fait ! "
  7. ( En esperant ne pas lancer un topic qui existe ailleurs) Apres des années d'errance à la fac et dans diverses écoles, j'entre en 1ere année d'infirmiere en septembre ! ( et je note precieusement que l'etudiant en génétique pourra peut-etre m'aider en cours.. * lol * )
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