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transporteur

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Tout ce qui a été posté par transporteur

  1. Il ne dépense pas plus,il réorganise les dépenses en fonctions des priorités (éducation,santé) soit plus de justice.
  2. Tiens a propos d'autruche regarde ton pinochio de candidat: Le "Nouvel Observateur" a décerné en direct quinze Pinocchios à Nicolas Sarkozy lors du débat avec François Hollande mercredi 2 mai. François Hollande l'a répété : s'il est élu, il agira en tant que chef de l'Etat et non en chef de parti. Reproche que fait le candidat socialiste au président sortant : "Dites la vérité. Vous n’avez pas organisé des réunions pour les collectes de fonds à l’Hôtel Bristol avec Woerth ?" Réponse de Nicolas Sarkozy : "Non" Les articles de presse ont pourtant plu sur les réunions du "premier cercle", ce groupe de donateurs les plus généreux de l'UMP, et sur la présence du chef de l'Etat lors de ces rendez-vous dans de prestigieux hôtels parisiens. Et notamment celui-ci de 20 Minutes concernant une soirée au Bristol en 2009, mais aussi celui-ci du Nouvel Observateur en 2011, dans lequel c'est bien le chef de l'UMP Jean-François Copé en personne qui confirme la rencontre du chef de l'Etat avec ces donateurs. "M. Berlusconi n'est pas dans mon parti" Faux. La formation politique de l'ancien président du Conseil italien est bien membre du PPE, le Parti populaire européen. Le PPE est également la prolongation de l'UMP, le parti de Nicolas Sarkozy. Le chef de l'Etat ne peut considèrer que son parti s'arrête à la France. Car c'est en affirmant qu'elle faisait partie de la même formation politique européenne qu'il avait justifié le soutien officiel de la chancelière allemande d'Angela Merkel. C'est aussi en plaidant pour le droit à la politique interne en Europe que la majorité a défendu cette intervention allemande dans le débat de l'élection présidentielle française. Bien entendu, Nicolas Sarkozy a le droit de prendre ses distances avec l'ancien chef du gouvernement italien, mais de là à dire qu'il n'est pas du même parti, non. "Votre état-major n'est composé que de socialistes" Faux. Dans son équipe de campagne, François Hollande compte notamment Jean-Michel Baylet et Christiane Taubira, élus du Parti radical. "La frontière entre la Turquie et la Grèce est complètement ouverte" Evidemment, Nicolas Sarkozy s'est laissé quelque peu emporter par sa défense d'une renégociation des accords Schengen – par ailleurs déjà en cours - qui garantissent la libre circulation au sein des pays qui en sont signataires. En dehors des efforts grecs pour maîtriser les 206 km de frontières dont le président sortant parle (dont seulement 12,5 km de frontière terrestre), plusieurs opérations sont en cours notamment sous l'égide de Frontex (l’Agence européenne pour la gestion de la coopération opérationnelle aux frontières extérieures des États membres de l’UE). Frontex a ainsi, par exemple, déployé de novembre 2010 à février 2011 près de 175 policiers des 27 pays de l’UE (opération RABIT - Rapid Intervention Border Teams). Et, en 2012, l’opération Poséidon Terre a continué la mise en place d’équipes d’intervention rapide aux frontières afin d'accroître le niveau de surveillance. Le gouvernement grec a par ailleurs entrepris de construire une clôture de sécurité le long de la frontière avec la Turquie. Nicolas Sarkozy a tenté de prendre au piège son interlocuteur sur le thème de l'immigration, d'abord en lui faisant confirmer qu'il était pour le maintien des centres de rétention. Ensuite en citant une lettre que le candidat socialiste avait adressé à l'association France Terre d'asile dans lequel il disait souhaiter que les centres de rétention soient "l'exception". Et le candidat-président de conclure : "Vous venez de vous contredire." C'est évidemment faux. Dans la lettre adressée à l'association France Terre d'asile, François Hollande a écrit qu'il souhaitait que les centres de rétention soient l'exception. Il ne se prononce donc pas contre leur existence. Il n'y a tout simplement pas de contradiction. Nicolas Sarkozy affirme que sa politique a permis d'exonérer d'impôts "80% des successions". Ce chiffre n'est pas forcément faux, mais la formulation induit en erreur. Il faut en effet préciser que plus de 75% des successions étaient déjà exonérées avant les différentes réformes du gouvernement. "La dette a augmenté de 500 milliards d'euros. (…) La cour des comptes dit que sur ces 500 milliards, 450 sont imputables au déficit structurel. Et 200 milliards, c'est la crise." Bien évidemment, le chef de l'Etat se trompe dans son addition. La dette (au sens de Maastricht) était de 1.717 milliards fin 2011, selon l'Insee, et de 1.209 milliards fin 2007, soit une augmentation de 508 milliards d'euros. Que dit le dernier rapport des magistrats de la Cour des comptes sur la question ? Le déficit, qui chaque année creuse la dette, a atteint 7,1% du Produit intérieur brut (PIB) en 2010. Sur ces 7,1%, 2,7 points sont dus à la crise, 3,7 points sont des déficits structurels, résultats des politiques de gauche et de droite depuis des décennies… et 0,7 point des déficits structurels provoqués par la politique de Nicolas Sarkozy. On peut donc attribuer un peu moins de 10% du déficit à sa politique. "Quel est le seul pays qui n'a pas eu un trimestre de récession depuis 2009? La France." Faux. La France a connu un trimestre de croissance négative : le deuxième trimestre 2011. En fait, le chef de l'Etat joue sur la définition de la récession - qui commence à partir de deux trimestres - et il serait plus exact de préciser que la France n'a pas connu de récession depuis le deuxième trimestre 2009. Ce qui est absolument faux, c'est de dire qu'elle est la seule dans ce cas. En effet, l'Allemagne et les Etats-Unis n'ont connu qu'un semestre de croissance négative depuis le deuxième trimestre 2009, tout comme la France. Mais la Pologne et la Suisse, elles, n'en ont connu aucun. "Il n'y a jamais eu de violence pendant les 5 ans de mon quinquennat." Faux. Nicolas Sarkozy semble avoir oublié un épisode de son tout début de mandat : les émeutes de Villiers-le-Bel. Durant trois jours, du 25 au 27 novembre, de violentes échauffourées ont opposé plusieurs centaines de personnes aux forces de l'ordre après la mort de deux adolescents de 15 et 16 ans, tués lorsque leur mini-moto a été heurtée par une voiture de police. Lors de ces affrontements, des armes à feu ont été utilisés, 81 tirs étant recensés et 150 policiers blessés. Plusieurs villes voisines avaient été touchées, notamment Sarcelles, Gonesse ou Goussainville, où notamment des entrepôts ont été incendiés. Des violences tellement fortes qu'elles ont été couvertes par la presse internationale, et notamment par la chaine américaine CNN. Le principe des Pinocchios de l'Obs : Un Pinocchio = Une simple erreur, une imprécision. Deux Pinocchios = Une erreur manifeste, un mensonge par omission Trois Pinocchios = le mensonge prémédité, avec intention de nuire. Donald Hebert, Céline Lussato - Le Nouvel Observateur
  3. Hoallande a été trés bon,Sarkozy mis face a ses mensonges: Au cours de 2h50 d’un échange technique et tendu, François Hollande et Nicolas Sarkozy ont donné à voir un débat de belle tenue démocratique, ouvrant la réflexion tant sur les choix d’avenir de la France que sur deux manières d’incarner la fonction présidentielle. Bilan contre propositions nouvelles : retour sur le face-à-face présidentiel 2012. L’invective au coeur du débat Pas de round d’observation. A peine le débat lancé par Laurence Ferrari (TF1) et David Pujadas (France 2), un François Hollande offensif a lancé l’attaque. En creux. Se posant implicitement en anti-Sarkozy : "Je serai le président de la justice", "du redressement" d’une France qui a "décroché" et "du rassemblement" de ces Français qui "ont été opposés les uns aux autres, divisés". Il n’en fallait pas plus pour faire réagir Nicolas Sarkozy. Proposant "un moment d’authenticité où chacun donne sa vérité", le président-candidat a donné sa vision du "rassemblement" : Le rassemblement, c'est un très beau mot, c'est une très belle idée mais il faut y mettre des faits. Le rassemblement, c'est quand on parle au peuple de France, à tous les Français. Je ne suis pas l'homme d'un parti, je ne parle pas à la gauche". Les hostilités bel et bien ouvertes, François Hollande s’est livré à un exercice de décryptage implacable des postures et effets rhétoriques de son adversaire –quitte à lui couper la parole à plusieurs reprises. - Victimisation. A un Nicolas Sarkozy lui reprochant d’avoir "cautionné" les attaques dont il a pu être l’objet ("quand on m'a comparé à Franco, à Laval, à Pétain, et pourquoi pas à Hitler, vous n'avez pas dit un mot"), François Hollande a répondu : M. Sarkozy, vous aurez du mal à passer pour une victime et pour un agneau". - Bouc émissaire. François Hollande a accusé Nicolas Sarkozy de se se défausser de ses responsabilités, lui lançant: "Avec vous c'est très simple, ce n'est jamais de votre faute, vous avez toujours un bouc émissaire". Exemple : Vous aviez dit 5% de chômage, c'est 10%" à la fin du quinquennat; et "ce n'est pas de votre faute, c'est de la faute de la crise, jamais vous". - Mensonges et calomnies. Refusant d'être "traité de menteur", François Hollande a observé : "C'est un leitmotiv qui devrait pour moi être insupportable mais qui dans votre bouche finit par être une habitude". A Nicolas Sarkozy montant d’un cran, Hollande a rétorqué : Vous n'êtes pas capable de tenir un raisonnement sans être désagréable avec votre interlocuteur. Et après, vous dites que vous êtes un président rassembleur?" Le bilan de Nicolas Sarkozy au cœur du débat économique Les deux hommes sont ensuite entrés dans le vif du sujet. Stratégies : attaque du bilan pour François Hollande, réformisme malgré la crise pour Nicolas Sarkozy. - Chômage François Hollande a reproché au candidat sortant de ne pas avoir tenu sa promesse faite en 2007 de ramener le chômage à 5% : "le chômage a augmenté, si l'on prend l'ensemble des personnes inscrites, d'un million" pour atteindre "4 millions de personnes". "C'est beaucoup, c'est énorme. C'est un record" et "c'est un échec", a martelé François Hollande, qui a énuméré les mesures qu’il comptait mettre en œuvre pour y remédier, à commencer par le contrat de génération. En face, Nicolas Sarkozy a dénoncé des chiffres "faux", en s’appuyant de son côté sur les données du Bureau international du Travail (BIT). Il a défendu une augmentation de 18,7%, soit " un taux de chômage qui a augmenté deux fois moins que (la moyenne de) nos partenaires de la zone euro" et prôné la restauration de la "compétitivité" pour "éviter le cancer des délocalisations". - Déficits publics François Hollance a fustigé l’augmentation de la dette publique "de 600 milliards d’euros depuis le début du quinquennat et plus de 900 milliards depuis 2002", "responsabilité d’une équipe sortante depuis dix ans". Le candidat socialiste a ainsi estimé : Cette dette publique est née à la fois de vos largesses fiscales pour les plus favorisés et en même temps de cette incapacité qui a été la vôtre de maîtriser la dépense publique". "Vous voulez moins de riches, moi je veux moins de pauvres", s’est défendu Nicolas Sarkozy, accusant son rival de "laxisme" et de "folie dépensière". Le projet de créer 61.000 postes dans l’éducation nationale a concentré les attaques qui assure que "tout n’est pas une question de poste". - Europe François Hollande a rappelé son projet de renégocier le nouveau traité européen, pour plus de croissance, et a reproché à son rival de n'avoir rien obtenu de l'Allemagne dans la gestion de la crise. "Je ne peux mettre cela que sur l'incompétence, pas sur la mauvaise foi", s'est défendu Nicolas Sarkozy, qui l'a accusé de découvrir "le fil à couper le beurre" en proposant la taxation des transactions financières, déjà votée par le Parlement français. Les propositions de Hollande au cœur du débat sociétal - Immigration. La passe d'arme attendue sur ce sujet n'a pas manqué. François Hollande a reproché à son rival "l'échec de sa politique d'immigration choisie", alors que Nicolas Sarkozy a dénoncé : "Nous avons accueilli trop de monde. Nous devons donc réduire le nombre de ceux que nous accueillons". Le candidat UMP a rappelé sa volonté, dans le cadre du rapprochement familial, "que soit organisé un examen de français avant l'entrée sur le territoire". Il a également tenté de mettre en difficulté le candidat socialiste au sujet des centres de rétention. - Droit de vote des étrangers aux élections locales : un désaccord assumé "C'est une position que je défends", assume François Hollande. La mesure figure parmi ses 60 propositions. "Vous-même vous y étiez favorable pour les élections municipales", lance-t-il à Nicolas Sarkozy qui, rappelons le, s'est dit partisan du droit de vote des immigrés au niveau local en 2005 et 2008. François Hollande se dit prêt à aller jusqu'au référendum : Si la réforme ne passe pas au Parlement, ce sera aux Français de décider." A l'affût des voix du Front national, Nicolas Sarkozy a répondu, visant implicitement l'islam : Si vous donnez le droit de vote aux immigrés, avec la tentation communautariste (...) à ce moment là pour les municipales il y aura des revendications identitaires et communautaires, des horaires différenciés pour les femmes et les hommes dans les piscines, des menus différenciés dans les cantines municipales, des médecins différenciés pour les hommes et les femmes dans l'hôpital." - La République une et indivisible jusque dans les piscines et les cantines François Hollande n'a pas laissé passer : "Pourquoi laissez-vous entendre que les immigrés non européens sont musulmans?". Il a rassuré : Que les Français n'aient aucune inquiétude: sous ma présidence, il n'y aura aucune dérogation à quelque règle que ce soit en matière de laïcité. La loi sur la burqa, si je deviens président de la République, sera strictement appliquée. Aucun horaire de piscine ne sera toléré s'il fait la distinction entre les hommes et les femmes. Rien ne sera toléré en terme de présence de viande halal dans les cantines de nos écoles, il n'y a pas nécessité de faire peur." Deux styles de présidence François Hollande avait soigneusement préparé sa tirade. "Moi, président de la République, je ne traiterai pas mon Premier ministre de collaborateur. Moi, président de la République, je ne participerai pas à des collectes de fond pour mon parti dans un hôtel parisien. Moi, président de la République, je ferai en sorte que mon comportement soit exemplaire. Je ferai réformer le statut pénal du chef de l'Etat. Je constituerai un gouvernement paritaire, les ministres ne pourraient pas cumuler avec un mandat local. Je ferai en sorte que les partenaires sociaux soient considérés. (…) J'introduirais la représentation proportionnelle." Il promet aussi qu'il n'y aura plus aucune pression sur les magistrats. "On en a la larme à l'oeil", l'a mouché Nicolas Sarkozy. "Le président de la République, c'est quelqu'un qui assume ses responsabilités, qui est profondément engagé." Il contre-attaque : "Je ne prendrai pas de leçons d'un parti politique qui a voulu avec enthousiasme se rassembler derrière Dominique Strauss-Kahn." Mais le candidat socialiste ne se démonte pas. Le dialogue est savoureux : - Hollande : "Je me doutais que vous en arriveriez là. Mais ce n'est pas moi qui ait nommé Dominique Strauss-Kahn à la tête du FMI" - Sarkozy : "Mais je le connaissais moins bien que vous." - "Mais je ne le connaissais pas plus. En tout cas, vous le connaissiez suffisamment bien pour le nommer à cette haute fonction. Mais je trouve que venir sur le terrain de Dominique Strauss-Kahn n'est pas forcément aujourd'hui ce qui vous arrange le plus." "Vous avez nommé vos proches partout", accuse François Hollande. Nicolas Sarkozy répond : "Ca, c'est un mensonge, c'est une calomnie, vous êtes un petit calomniateur" (sic). Quitter l'Afghanistan, mais quand ? Le débat sur la politique étrangère s'est résumé à une passe d'arme sur l'Afghanistan. La mission des 3.550 soldats français est "terminée", estime François Hollande. "Il convient de retirer les troupes combattantes fin 2012." "Donc j'annoncerai cette décision dès le sommet de l'Otan de Chicago" (20-21 mai), "Je le ferai en bonne intelligence avec nos alliés. D'autres pays se sont déjà retirés." "Progressivement nous nous désengageons, mais en bon ordre", lui répond Nicolas Sarkozy. "Parce que j'ai la responsabilité de la parole de la France, donc de l'honneur de la France." D'ailleurs, affirme-t-il, "partir en 2012, c'est d'abord techniquement impossible, compte tenu du matériel et des problèmes de sécurité que nous avons là-bas. Partir en 2012, ce serait parjure, par rapport à l'engagement avec nos partenaires, qui nous demandent que nous partions ensemble en 2013".
  4. Désolé que la réalité te soit si dure a entendre. Ils te répondrons pas,pas plus qu'ils ne m'ont répondu sur la présence de Sidérov.
  5. Votez SARKO pour éviter à Flamby de nous mettre à genoux!! On est déjà a genoux grâce a Sarko. tu sera a plat ventre avec hollande et ton porte monnaie sera encore plus plat ! Dans tous les cas ce sera pas pire qu'avec Sarkozy vu le contexte économique de notre pays sauf qu'avec Hollande ça sera très certainement plus équitable.N’oublie pas que Sarko a crée de trés nombreuses taxes,ce qui est l’impôt le plus injuste qui soit. Qu'est ce que tu en sais ??? Il n'a jamais gouverné le Flamby....Rien ....même pas bossé de sa vie, il a une tête de fou.. C'est ton seul argument ? pas térrible. On sais déjà que Sarko a gouverné avec la gestion catastrophiques et les inégalités énormes que ça engendré,donc il y a pas photo.
  6. Faux,elle revois son discourt a des fins électorales mais continu a fricoter dans l'ombre avec des gens extrêmement dangereux. :smile2: Ce qu'il faut pas lire comme conneries. Qui a dis qu'il était Pétainiste,on dis qu'il c'est inspiré des thèmes et slogans de Pétain,nuance. Pas si vite,ses liens avec les partis d’extrême droite xénophobes et racistes sont toujours bien présent. Je traduis : "on a pas fini de ronger le nonos FN, le jour ou il sera intégré au politiquement correct, on aura quasiment plus rien à dire". Si ce parti n'était pas dangereux et ne fréquentait pas des gens dangereux on en parlerais beaucoup moins.
  7. Hollande,Sarkozy et Manchon proposent la même chose : l'Europe ultra libérale et la fin du modèle social français. Tu peux arriver à comprendre que des français ne soient pas d'accord avec ça ? Visiblement tu sais pas lire un programme en ce qui concerne JLM.
  8. Cela n 'empêche que cela s'appelle du progrès social.
  9. Tu a pas profitté des 39H de la 5ieme semaine de congés payé et de la retraite a 60 ans ?
  10. Pas si vite,ses liens avec les partis d’extrême droite xénophobes et racistes sont toujours bien présent.
  11. Comparons ce qui est comparable,l'UMP essai par tous les moyens de faire des comparaisons foireuses pour cacher la nullité de leur bilan.
  12. Ben il a quand même vu la note de la France dégradé. Si on veux garder ce classement il est temps qu'il dégage vite. Production de richesses (monde) 1. Avant Sarkozy, la France était à le 16ème pays le plus riche au monde (PIB par habitant en parité de pouvoir d’achat, OCDE/FMI) Aujourd’hui, elle n’est plus que 18ème. Production de richesses (Europe) 2. Avant Sarkozy, la France était le 10ème pays le plus riche de l’Union européenne. (PIB par habitant en standards de pouvoir d’achat, Eurostat). Aujourd’hui, elle n’est plus que 11ème, en-dessous de la moyenne de la seule zone euro. Exportations 3. Avant Sarkozy, la France était le 5ème puissance exportatrice de marchandises au monde. (Classement OMC). Aujourd’hui, elle n’est plus que la 6ème, derrière les Pays-Bas. Inégalités 4. Avant Sarkozy, la France était le 16ème pays le moins inégalitaire concernant la distribution des revenus. (Coefficient Gini, ONU). Aujourd’hui, elle n’est plus que le 38ème, derrière le Tadjikistan. Indice de développement humain 5. Avant Sarkozy, la France était le 8ème pays ayant le plus fort indice de développement humain (IDH). (Chiffres du PNUD, ONU). … Aujourd’hui, elle n’est plus que le 20ème, juste devant la Slovénie. Agriculture 6. Avant Sarkozy, la France était le 3ème exportateur de produits agroalimentaires et agricoles. (Étude de la Coface). Aujourd’hui, elle n’est que 4ème, derrière l’Allemagne. Niveau scolaire et éducatif 7. Avant Sarkozy, la France était à la 16ème place du classement scolaire international. (Classement OCDE). Aujourd’hui, elle n’est qu’à la 24ème place, à peine dans la moyenne des pays de l’OCDE. Liberté de la presse 8. Avant Sarkozy, la France était à la 33ème place pour la liberté de la presse. (Classement Reporters Sans Frontières). Aujourd’hui, elle n’est qu’à la 38ème, derrière le Salvador, mieux classé. Corruption 9. Avant Sarkozy, la France était à la 18ème place des pays les moins corrompus. (Classement Transparency International). Aujourd’hui, elle n’est plus qu’à la 25ème place et a un indice de corruption supérieur au Qatar par exemple Un président qui a autant échoué on continue ou on change ?
  13. Je fais comme toi avec ton bilan élogieux qui circule sur la toile par les militants ma réponse est en général ce qui est répondu. On peut discuter sur le fond si tu veux et détailler ce qui est présenté si tu juge cela inexact.
  14. Surement pas celle là qui est inégalitaire et particulièrement injuste pour ceux ayant des travaux pénibles.
  15. Une réforme était nécessaire nuance,pas celle ci. Il faut étre particulierement ignorant ou alors démagogue pour comparer la France a la Gréce ou l’Espagne ou le Portugal,nous somme la 5ieme puissance mondiale et notre économie n'a rien a voir avec celle de ces pays. Pourquoi je les ignorerais ? je dis juste que les vieux friqué (mémé zinzin) sont surement très content de Sarkozy mais les autres surement moins étant donné que les retraites n'ont pas été réévaluées et que les niveau des pensions sont resté très bas contrairement aux promesses Sarkoziennes (augmentation dérisoire de 1,1%, en comparaison avec les 2,8% de l’inflation.)
  16. Mais le bilan est globalement mauvais. Politique industrielle, la France frappée par la crise : plus de 500.000 emplois industriels détruits Compétitivité, l’autre grand échec du quinquennat : +41 milliards d’euros de déficit commercial Finances publiques : +600 milliards d’euros de dette publique Politique fiscale, l’anti-réforme : 75 milliards d’euros de cadeaux fiscaux aux entreprises et ménages aisés Secteur financier, les limites du discours : 0 euro de taxe sur les transactions financières Des promesses de plein emploi au retour du chômage de masse : +1 million de chômeurs Pouvoir d’achat, beaucoup de bruit pour rien : 80.000 emplois détruits à cause des heures supplémentaires défiscalisées Lutte contre la pauvreté, la coupable négligence : + 330.000 pauvres Santé, déficits récurrents et dégradation de l’accès aux soins : + 37 milliards d’euros de déficit cumulé pour l’assurance-maladie Retraites, une réforme injuste et insuffisante : 44 années de cotisations pour ceux qui ont commencé à travailler à 18 ans avec le passage à 62 ans Dépendance, les personnes âgées oubliées : Le financement de la dépendance est évalué à 9 milliards d’euros, dont 6 sont assumés aujourd’hui par les seuls conseils généraux Politique de la famille, les promesses ignorées : 12.000 places de crèche créées par an contre 200.000 promises sur le quinquennat Que reste-t-il de notre école ? -80.000 postes dans l’Education nationale Enseignement supérieur et recherche, l’autonomie sans les moyens : 2 % du PIB seulement consacré au financement de la recherche La casse des services publics en réseau : Plus d’1 Français sur 2 estime que les services de l’Etat ont évolué plutôt en mal ces dernières années Une réforme de l’Etat brutale et inefficace : 0,5 % de PIB d’économies réalisées avec la RGPP Fonction publique, du grand boum au grand pschitt : +1 % de fonctionnaires supplémentaires en trois ans Logement, une politique coûteuse, injuste et erratique : plus de 3,6 millions de mal logés Politique de la ville et rénovation urbaine, un paradoxe au détriment des banlieues : -30 % de moyens financiers pour la politique de la ville A lire : Nicolas Sarkozy 2007-2012 : Le dépôt de bilan Une politique culturelle obsolète : 20.600 lettres recommandées envoyées par Hadopi pour plus de 20 millions d’infractions constatées par an Sport, le désengagement de l’Etat : 0,12 % du PIB du budget de l’Etat consacré au ministère des sports (contre 3 % promis) Du Grenelle de l’environnement à « L’environnement, ça commence à bien faire ! » : 2,5 milliards d’euros de nouvelles niches fiscales alors que le bilan devait être équilibré L’atome roi, le refus d’une transition énergétique nécessaire : 10 % de la population en situation de précarité énergétique Agriculture, la rase campagne : 2,3 % de baisse du revenu des agriculteurs en 2011 Transports, derrière les grandes déclarations, la navigation à vue : 6,5 milliards d’euros nécessaires pour la maintenance du réseau ferré Nicolas Sarkozy ou la mise en spectacle de l’Etat : + 172 % de hausse de salaire pour le chef de l’Etat Le massacre de contre-pouvoirs : plus de 20 utilisations du vote boqué (art. 44 al. 3) au Parlement La justice piétinée : 57,7 euros consacrés par an et par habitant pour la justice en France contre 86,3 euros en Espagne Décentralisation, l’étouffement programmé des contre-pouvoirs locaux : 5 milliards d’euros de coût net pour la suppression de la taxe professionnelle Sécurité, après dix ans d’agitation, un domaine à rebâtir : +2,5 % d’atteintes à la personne en 2010 La lutte contre les discriminations rattrapée par des impératifs électoraux : +20 % de réclamations par an pour la Halde Immigration, le gouvernement a un problème avec les étrangers : 5 lois pour modifier les règles sur l’entrée et le séjour des étrangers ou l’acquisition de la nationalité Les outre-mers méprisés : 39,4 % de baisse des crédits pour la mission outre-mer Nicolas Sarkozy « sauveur de l’Europe », un mauvais mythe élyséen : 4 plans de sauvetage sans parvenir à enrayer la crise de la dette Affaires étrangères, les impasses d’une politique de gesticulation : -10 % d’effectifs dans la diplomatie française Un outil de défense malmené : 500 communes touchées par la réforme de la carte militaire
  17. C'est sur que si les critères c'est pépé et mémé alors...... :gurp:
  18. transporteur

    le rejet de l'autre

    Dans un contexte de crise l’étranger a toujours été le bouc émissaire parfait et cela depuis la nuit des temps.
  19. il y a deux enjeux pour Sarkozy derrière la dette publique, ces deux enjeux servent avant tout les néolibéraux des marchés financiers, vous savez ses copains qui lui prêtent des yatchs. Premier enjeu : la fin du service public qui permettra forcément la privatisation de nouveaux marchés. Second enjeu : permettre en défiscalisant les grosses fortunes l’afflux de nouveaux capitaux au sein des marchés financiers aux mains des néolibéraux. Politique de défiscalisation qui a lieu depuis plus de vingt ans, il faut le dire.La politique économique de Sarkozy qui vous crie qu’il faut vous sacrifier au travail pour gagner plus et résorber la dette est un mensonge ! Il y va même au culot car lui et ses copains vont l’agrandir, avec sa politique de défiscalisation, il sera dans l’intêret des grosses fortunes de proposer des emprunts, et à l’Etat de les accepter. En grattant un peu, on s’aperçoit qu’il va forcer les salariés à travailler plus, à être plus flexibles, à se dévouer corps et âme à leur patron dans un élan de solidarité nationale pour résorber la dette et augmenter la croissance. Et tous ces citoyens ne réalisent pas non plus que la privatisation des services publics va avant tout les obliger à payer plus. Et donc à donner encore plus de capitaux aux assureurs (entre autres) qui sont l’un des acteurs principaux des marchés financiers. Posté le 23-04-2012 à 13:03:41 Ceux là pourront constater que le seul gouvernement ayant réussi à en infléchir la tendance est un gouvernement de gauche : Celui de Jospin En revanche depuis 1992, tous les autres gouvernements (Et comme par hasard tous issus de la droite) ont contribué activement à une envolée exponentielle de la dette, en particulier Fillon ! La progression la plus rapide de la dette nationale est en effet à mettre à l’actif de Nicolas Sarkozy lui même : D’abord en tant que Ministre délégué au Budget de l’illustre Balladur (elle passe de 41% à 51% de mars 1993 à mai 1995 ! ) Ensuite, comme timonier en chef depuis son élection à la fonction suprême, période qu’il « met à profit » pour porter l’endettement du pays au niveau qu’il juge aujourd’hui insupportable : de 64,2% à 86,2% en 4 ans et demi !
  20. et vous ,vous ne faite que répété l'argument de la dette de 500 milliards de déficit dû à la responsabilité sarkozy a lui seul !!!comme si les crises économiques successives n'avait pas interféré négativement sur sa politique économique et social? quelle mauvaise foi .... Les 500 Milliards oui c'est lui seul qui a réussit cet exploit.
  21. Interrogé ce matin sur Europe 1, François Hollande est revenu sur l'anniversaire de Julien Dray, samedi soir, à Paris, auquel Dominique Strauss-Kahn avait été convié, provoquant l'embarras de l'équipe du candidat socialiste qui n'avait pas été prévenue. "Chacun organise ses relations privées comme il l’entend", juge François Hollande. "Dominique Strauss-Kahn n’est pas dans la campagne et n’a pas à y revenir". "Il ne sera plus jamais un acteur de la vie politique ?", l'interroge-t-on. "En ce qui me concerne, c’est mon jugement", acquiesce le candidat socialiste. On peut se demander pour qui il roule certainement pas pour Hollande la réputation sulfureuse de DSK ne pouvant que le desservir. Donc tout ce bruit médiatique ( une soi-disante interview dans un quotidien britannique The Gardian, une apparition lors d'un anniversaire privé ( celui de Julien Dray) alors que seule sa femme Anne Sinclair était invitée tout cela pu la provocation à des fins politico électorales pour mettre des bâtons dans les roues d'un candidat qui a toujours voulu ce présenter contre DSK.
  22. C'est sur qu'en défiscalisant les heures supplémentaires l'emploi allait faire un bon .:gurp: Quand la crise nous devons notre résistance a celle ci qu'a notre système social que Sarko s'évertue a mettre a mal depuis le début de son mandat.
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