

mary.shostakov
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... ... ... C'est ça, imagine. ... ... ... C'est ça, sent. ... ... ... Et c'est ça, j'attends. J'attends que tu te produises sur cette scène :
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... ... ... Depuis janvier, c'est le désespoir contrôlé, chaque jour, avec le constat des collègues absents. (un employé du Centre de recherche sur les vaccins) SCIENCEINSIDER | 10 MAI 2025 | JOCELYN KAISER Des programmes clés du très réputé centre de vaccination des Instituts nationaux de la santé des États-Unis ont été paralysés par des licenciements et des suspensions de contrats. ... ... ... ... ... ...
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SCIENCEINSIDER Le principal centre de vaccination des NIH (Instituts nationaux de la santé) durement touché par des réductions de contrats Les travaux sur les anticorps et les vaccins sont ralentis après la perte de 2 200 contractuels par les (NIH).
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La génétique comportementale est la branche de la génétique portant sur l'étude des interactions entre phénotypescomportementaux et génotype. Science récente et en plein essor, elle vise à étudier les relations entre la génétique et les caractéristiques mentales d'un individu. La génétique comportementale est fortement interdisciplinaire et fait notamment appel à la neuroscience, la génétique, l'épigénétique, l'éthologie, la psychologie, la psychiatrie et les statistiques. On sait ainsi que la majorité des troubles mentaux, tels la schizophrénie ou l'autisme, sont en partie d'origine congénitales. Certaines études montrent également la part innée de l'intelligence[ ou de certains traits du caractère humain[, ce qui pose de nombreux problèmes éthiques (égalité des chances, manipulation génétique, eugénisme) tout en ouvrant la voie à de nouveaux traitements médicaux et une meilleure compréhension du vivant. Un exemple de méthode de détermination de caractères génétiques du comportement est l'Étude d'association pangénomique. Il s'agit, dans le cas de la génétique comportementale, de comparer le génome d'un grand nombre d'individus et de chercher des corrélations entre certaines variations génétiques (par exemple un Polymorphisme nucléotidique) et des traits comportementaux. De telles études ont permis, par exemple, de faire une corrélation entre certains Locus du génome et le nombre d'années d'études suivies par un individu. Le 1% de notre ADN qui nous rend unique détermine à plus de 50% ce que nous sommes. L'un des chercheurs en psychologie les plus réputés pour ses travaux sur la génétique du comportement apporte une démonstration passionnante du poids prépondérant de la "nature" sur la "culture". Robert Plomin, pionnier de la génétique comportementale, s'appuie sur les recherches de toute une vie pour démontrer que l'ADN est bien le facteur majeur qui construit notre personnalité. Nos familles, nos écoles et notre environnement importent, mais ils n'ont pas le même poids que nos gènes. La révolution ADN est en marche... ... ... ...
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... ... ... L’homme est un animal social, un animal politique et un animal moral. Est-ce à dire que la science, et plus particulièrement la biologie, peut nous éclairer sur la dimension éthique de l’existence humaine ? On a longtemps pensé que non. C'est peut-être à partir de cette « exceptionnalité » que peuvent s'expliquer les retards de la psychologie morale humaine, trop longtemps engluée dans un rationalisme quasi-mystique. Mais les progrès en primatologie, génétique, neurobiologie et autres disciplines « chapeautées » par la théorie de l’évolution ont bouleversé la donne, et ont provoqué des changements de perspective en philosophie des sciences et épistémologie. Non seulement la biologie peut expliquer l’émergence de la morale, mais certains pensent qu’elle a aussi son mot à dire sur le contenu de celle-ci. Une approche biologique de la morale est-elle légitime ? Tout un courant de pensée, déjà ancien, a répondu à cette question par la négative. Le raisonnement «antinaturaliste» peut se simplifier ainsi : l’originalité humaine procède de la culture, qui est un détachement progressif de la nature. L’homme trouve son humanité dans un processus d’arrachement au déterminisme biologique, dont le libre-arbitre est la plus pure expression. L’homme n’a donc pas d’autre nature que celle qu’il se donne par ses constructions individuelles et sociales : il naît vierge de toute préprogrammation. Tout n’est que convention, artifice – tout sauf quelques données élémentaires qui intéressent tout au plus la physiologie, l’anatomie ou la médecine. Cette idée jadis populaire est fausse. On a redécouvert l’importance de la composante biologique des traits et comportements humains. Sous l’égide de la science, et non plus de la philosophie. Dès lors, l’antinaturalisme se trouve de plus en plus contesté par les scientifiques eux-mêmes, secondés de philosophes, et ce mouvement s'est accéléré depuis le dernier quart du XXe siècle. Le coup d’envoi symbolique de l’assaut contre la forteresse «antinaturaliste» a été donné en 1975, lorsque Edward O. Wilson fait paraître une œuvre monumentale : «Sociobiology, the New Synthesis». Ce chercheur américain provoque alors l’une des plus importantes controverses scientifiques du siècle passé. Il se fait le porte-parole de tout un courant de recherche né dans les années 1960, notamment avec Desmond Morris, visant à comprendre les bases biologiques des comportements sociaux et incluant l’homme dans le champ légitime de ses travaux. Trois vagues successives vont remettre au goût du jour les explications naturalistes de la morale. Une première vague, née dans les années 1960, est un renouveau du darwinisme appelé néodarwinisme, dont les représentants les plus connus sont William Hamilton, George Williams, Richard Dawkins, Robert Trivers et Edward O. Wilson lui-même. Ces auteurs et d’autres opèrent trois révolutions intellectuelles. D’abord, ils postulent que le schéma darwinien de survie du plus apte (variation-sélection-adaptation) explique aussi bien les traits physiques que les comportements complexes (psychologiques notamment). Ensuite, ils considèrent que l’adaptation biologique (la «fitness» darwinienne) s’exerce au niveau de l’individu et non du groupe. Enfin, ils font l’hypothèse que la sélection différentielle se comprend quant à elle au niveau du gène, seule unité réellement transmise par l’hérédité. Appliqué (grossièrement) à notre sujet, le raisonnement néodarwinien donne ceci : la morale est un comportement codé par des gènes, qui a été sélectionné au cours de l’évolution car il favorisait la survie des individus qui en étaient porteurs. Une deuxième vague, se développant à partir des années 1970, est issue de l’étude du comportement des animaux (l’éthologie) et plus particulièrement de l’analyse de nos plus proches cousins, les singes (la primatologie). Un certain nombre de chercheurs, dont les plus connus sont Frans de Waal, Jane Goodall ou Christopher Boehmvdans le monde anglo-saxon, Jacques Vauclair ou Dominique Lestel dans la francophonie, ont souligné la présence chez les animaux de comportements moraux ou proto-moraux dépassant le simple cadre de l’anecdote. Chez les grands singes notamment, observés à l’état sauvage ou en captivité, les interactions individuelles laissent place à des logiques d’empathie, d’altruisme et de réciprocité qui évoquent fortement ce que les humains qualifient de «morale». Ces observations suggèrent logiquement que cette dernière est issue de l’évolution biologique plus que d’une création culturelle humaine sui generis. Une troisième vague scientifique a contesté la position antinaturaliste à partir des années 1980. Celle-là est venue de la psychologie et des sciences du cerveau. Elle retrouve le darwinisme de la première vague sur certains points, mais s’intéresse d’abord aux explications neurophysiologiques et développementales de la morale — comme de l’ensemble des traits complexes de la cognition humaine : mémoire, intelligence ou langage. Ses représentants les plus connus sont Jean-Pierre Changeux, Antonio Damasio, Joseph LeDoux, John Tooby, Leda Cosmides ou encore Michael Gazzaniga et Robert Plomin. La question posée ici est : quelles sont les zones fonctionnelles du cerveau impliquées dans le jugement moral ? Et subsidiairement : en quoi cette neuro-anatomie de l’éthique nous aide-t-elle à comprendre les fondements de l’activité morale ? Anthropologues, psychologues, généticiens, neurobiologistes, zoologistes… les travaux des auteurs que nous venons de citer sont de nature scientifique. Comment échappent-ils à la supposée «erreur naturaliste» de leurs prédécesseurs ? De plusieurs manières. D’abord, la critique de l’erreur naturaliste reposait elle-même sur un certain nombre d’erreurs, notamment une conception erronée de la nature humaine. À moins de défendre une position religieuse ou métaphysique, tous les faits à notre disposition laissent penser que l’homme procède de l’évolution biologique au même titre que toutes les autres espèces vivantes sur Terre. Tous les traits humains, sans exception, possèdent une base matérielle, moléculaire, cellulaire, qui influe sur leur expression. L’existence de cette influence n’est plus guère niée, même si sa nature exacte reste l’objet de l’investigation scientifique. Ensuite, les scientifiques ne prétendent pas émettre un jugement de valeur sur le contenu concret, prescriptif de la morale (et de la politique). ... ... ...
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... ... ... Où as-tu vu que les médecins ignoraient les bienfaits de toute paix et toute sérénité de toute origine, religieuse, athée, artistique, philosophique, matérialiste, cynique, d'où quelles sortent, d'où qu'elle viennent ? Moi, je te recommande de bien te forcer à ne plus déconner avec tes désirs de voir dans la médecine un intégrisme englobant le kidnaping de la religion. Dieu du ciel, quelle connerie ! Est-ce que tu seras un jour capable d'arrêter de créer ta musiquer et tes paroles pour chanter ta chanson à ton propre entendement ? ... ... ... Cela dit je me demande comment tu vas faire pour calmer ma colères face aux religieux politiciens et assassins,face aux religieux de l'inquisition de Torquemada, face au supplice du chevalier de la barre, face à la combustion vive de Giordano Bruno ou face aux derniers Cathares tous brûlés vifs au pied de leur château. Je ne suis pas contre les agenouillés, mon p'tit vieux plutôt déconneur. Je suis contre les agenouilleurs ! ... ... ...
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... ... ... Richard Dawkins Le mot «mème» vient du grec mimème, signifiant «ce qui est imité». Dawkins le forge pour désigner une unité d’information culturelle qui se reproduit en passant d’un cerveau à un autre — un peu comme un virus mental. Ce que peut être un mème : Une mélodie Une idée philosophique Une mode vestimentaire Une recette Un slogan politique Une technique artisanale, etc. Caractéristiques d’un mème : Imitation : il se propage par l’apprentissage social. Mutation : comme un gène, il peut se transformer en cours de transmission. Sélection : seuls les mèmes "efficaces" survivent — ce peut être les plus mémorables, les plus utiles, ou simplement les plus séduisants (même s’ils sont faux ou nuisibles). Dawkins voulait illustrer que l’évolution culturelle pouvait obéir aux mêmes lois générales que l’évolution biologique : variation, hérédité, et sélection. Il appelle ça un processus de réplication. Lien entre le mème et le concept de gène égoïste Le lien est direct, conceptuellement et métaphorique. Dans The Selfish Gene, (Le gène égoeste) )Dawkins soutient que la sélection naturelle peut être mieux comprise en se plaçant au niveau du gène, plutôt qu’au niveau de l’individu ou de l’espèce. Le gène est vu comme un réplicateur, qui cherche à se perpétueren utilisant les organismes comme véhicules. Il propose l’idée du mème comme un réplicateur culturel. Là où les gènes exploitent la biologie pour survivre, les mèmes exploitent la cognition humaine et la communication sociale. Ainsi : Le gène égoïste >>> un réplicateur biologique Le même >>> un réplicateur culturel Les deux partagent : une logique darwinienne un mode de réplication compétitive une forme «d’égoïsme» métaphorique : ils se propagent parce qu’ils sont bons dans l'action de se propager, pas nécessairement parce qu’ils sont bons pour leurs hôtes. Petite remarque Dawkins ne dit pas que les mèmes ont une volonté propre ni que la culture est réductible à la génétique. Il explore plutôt un modèle analogique entre deux systèmes. l’un biologique, l’autre culturel .
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... ... ... En complément. La religion d'Einstein, c'est la spiritualité de Spinoza. C'est aussi la mienne. ... ... ...
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... ... ... Ce que les gens les plus intelligents ne comprennent pas non plus, c'est que si il y a des gens «qui disent qu'il y a un paradis et un enfer avec un Dieu juge des âmes et que cela ne se discute pas rationnellement puisque toute cette conception échappe totalement à l'observation» alors ce phénomène mérite d'être scientifiquement étudié en tant que pensées des plus mortifères en vue d'en trouver l'éventuel remède. ... ... ... L'atermoiement ad vitam æternam sur la question de l'étude scientifique du cancer ne permet pas de guérir du cancer. ... ... ...
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... ... ... À propos du déterminisme : Does Superdeterminism save Quantum Mechanics? Or does it kill free will and destroy science ? Par Sabine Hossenfelder ... ... ...
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... ... ... Tain de Dieu, nous voilà loin ! Tu me mets sans savoir dans la situation de quelqu'un qui va être obligé te traiter d'ignorant, mon vieux. Qu'est-ce que c'est que la pensée darwinienne confirmée par la pensée néo-darwinienne ? ... ... ... Il est 9 h 38 là où je suis et d'où j'écris. Je suis un peu en retard pour ma douche, la vérification de ma glycémie et l'injection de mon insuline. (merci les sciences du vivant) Salut ! ... ... ...
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... ... ... Nous ne nous tenons plus dans la seule psychanalyse de forum. Nous nous lançons sans peur et sans reproche dans la psychanalyse de poivrots. Pas vrai ? ... ... ...
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... ... ... Est-ce que je serais tout à coup béni des dieux pour avoir la chance d'ouvrir une lucarne sur le fait fondamental que la science n'a pas pour objectif de tout savoir, mais qu'elle n'a pas pour vocation de dire n'importe quoi non plus ? Et aussi qu'il existe des choses sur lesquelles nous avons de l'influence et des choses sur lesquelles nous n'en avons aucune ? Et que la génétique n'a pas permis à l'homme de tout savoir sur le monde. Cet homme qui règle le problème par le mot «mystère», à la suite duquel il est si facile d'apposer l'ignorance, matière première des théologies et idéologies les plus mortifères ? ... ... ...
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... ... ... Ils ne savent pas ce qu'est la transmission par mimétisme, ces demeurés. Ils sont encore à s'auto-fasciner par le problème de la poule et l'œuf ! Ils s'expriment avec le fond d'un de platonicisme toujours ennemi de la science. ... ... ... Mais arrête de déconner, mon pauvre ami ! ... ... ...
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Ça nous rassemble dans la catégorie du pur génie ... ... ... Je ne te l'ai pas dit, de ne pas user de ce stratagème ? Tu n'obéis pas ! Mais qu'est-ce qu'on va faire de toi ? a la la ! ... ... ... Essaye avec la théière qui tourne autour de la Galaxie d'Andromède, parce que maintenant on sait tout sur celle qui tourne autour de Mars. ... ... ...
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... ... ... Ah, comme tu en es sûr ... ... ... ... ... ... ... C'est ça, ne sait pas. Ne sait pas ce qu'est l'observation probabiliste des transmissions culturelles, Par les yeux et leurs connexions. Barré je ne pas pourquoi. ,,, ,,, ,,,
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... ... ... Ne te fatigues pas, on le connaît, ce stratagème. ... ... ... ... ... ... Tu n'as qu'a la relire. Tu sais où elle se trouve. ... ... ...
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... ... ... Merci pour la politesse, mon grand. Tu le sais, que j'ai découvert une invariante chez les experts en mathématiques et en physique classique et quantique qui s'expriment sur les forum d'internet ? Il sont vissés au platonisme ! ... ... ...
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... ... ... Elle apporte le fait que c'est la génétique qui se sert de l'être vivant pour se répliquer et pas l'être vivant qui se sert de la génétique pour se reproduire. ... ... ...
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... ... ... La déduction de Darwin, c'est ça, la prédiction de Darwin. Et en effet c'est Darwin qui prédit (par déduction), et pas l'insecte ni la fleur. Personne n'a dit le contraire. ... ... ... ... ... ... En effet, la métaphysique est aussi le prétexte intellectuel de ceux qui s'intéressent à la métaphysique réservée aux métaphysiciens. ... ... ...
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... ... ... Mais qui a dit ça, mais qui ? (:-)) (:-)) (:-)) ... ... ...
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... ... ... Dans ce désaccord qui s'amorce entre nous grâce entre autres à cet idiot de demeuré d'imbécile de tordu qu'est Richard Dawkins, je te souhaite de jouir pleinement de la satisfaction de posséder et dire la véritable vérité vraie. Je vais me débrouiller à conserver de toi le souvenir des notre bonne entente, mon p'tit vieux. ... ... ...
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... ... ... SCIENCEINSIDER Le « facteur peur » de Trump : les scientifiques se taisent face à l'escalade des coupes budgétaires Nombreux sont ceux qui craignent des représailles. Mais pour d'autres, s'exprimer vaut le risque. ... ... ... (À SUIVRE) ... ... ...
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... ... ... L'adpatation au milieu naturel est le secteur des sciences qui exprime une préidctbilité du ou des détails de l'adaptation au milieu naturel. ... .... ... La métaphysique fait incontestablement partie des cultures, mais pas de n'importe lesquelles. La métaphysique fait exclusivement partie de l'ensemble des cultures métaphysiques développées, explorées, pensées et expliquées par les philosophes métaphysiciens. .
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... ... ... Exactement ! ... ... ... Ou si elle survit, c'est dans le seul souvenir de l'âme du décédé dans la tête des proches du décédé restés vivants Comme moi, qui fait survivre Louis VII dans le seul souvenir de Louis VII ( 7 éclats de rire ) .