Crom-

La par exemple tu ne prends en compte que tes affaires amoureuses, or une vie ne se résume pas a cela.

C'est a dire d'éviter la mauvaise foi. Or elle est fort répandue.

Tu fais probablement partie des éternels optimistes, ceux qui ne voient que les bons cotés des choses.

Tu ne peux avoir qu'une réponse provisoire a cette question car tu ne connais pas ton avenir et elle inclus une foule de choses différentes. Evidemment. Tout en étant capable de ne pas etre absorbé par les autres, de s'affranchir du mimétisme.

ça fait bien evidemment partie de cette recherche de cohérence. Pourquoi crois tu que je poste surtout dans "amour et séduction" ? C'est la rubrique la plus prometteuse pour chercher le sens, même si elle décoit souvent.

Y a t-il vraiment une réponse définitive a cette question la: " la vie vaut-elle la peine d'être vécue ?"

Quel altruisme ! Parvenir a s'insérer dans le grand ordre cosmique, trouver la cohérence, c'est un peu le but d'une existence.

Certains hommes pensent trop, et certaines femmes pas assez.

Ou,i et j'y suis parvenu.

Non seulement la nature. On peut tourner en rond, ne jamais aboutir et être penseur tout de même. Après tout il y a des questionnements insolubles.

Non même pas supérieur, juste différent par rapport a la norme, hélas.

Il y a un temps pour penser, un temps pour ressentir, un temps pour rêver. C'est la nature des pensées qui fait le penseur.

Les gens qui pensent s'estiment et s'apprécient entre eux, ils se reconnaîssent. Le seul soucis c'est que des gens qui pensent il y en a très peu, peut être moins de 1 pour cent.

L'égoiste a besoin des autres, de maniére négative, il est donc loin d'être libre. Rien de méchant, c'est un fait démontré.

C'est parce que tu raisonnes sur le rapport amoureux. Mais le simple fait de tenir a un être vivant nous attache.

"Seul le sage est libre", me suis je laisser dire. Mais qu'est ce qu'un sage ? Ressentir fait naître l'attachement, or quand on est attaché...

Comme je l'ai dit, le penseur est surtout type psychologique et ça n'augure rien sur la qualité de sa pensée, il y a des grands et des moins grands dans ce domaine. Penser c'est penser par soi-même , oui, donc sans mimétisme, et très peu de personnes échappent au mimétisme sous toutes ses formes.

Des néants intérieurs, tout en superficialité et en mimétisme. Une chose est certaine: vous vous ne pensez pas. Mais bon vous avez d'autres qualités, je le suppose.

Vous m'avez mal lu ou vous ne pensez pas car il est facile de voir que ce que vous décrivez la n'a rien a voir avec Penser.

On pourrait le voir comme ça si on dit que le penseur a cette capacité a s'extraire. Mais le penseur ne pense pas tout le temps, il ressent aussi, et par le fait de ressentir il n'est pas tout a fait libre.

Pascal: " Toute la dignité de l'homme est de penser" Et vous vous doutez bien, du moins je l'espère, que tous les hommes n'ont pas cette dignité. A partir de la vous pouvez vous demander ce que signifie "penser" au sens de Pascal. Se retirer en soi-même pour méditer sur les choses, dialoguer avec soi-même, essayer de trouver le sens de l'existence, de son existence, bref être capable de s'extraire du train train quotidien, de voir au dela des contingences...

Généralement on entend plutôt dire que les hommes et les femmes qui s'approchent le plus de la perfection sont déja en couple, et que les autres sont des laissés-pour-compte.

Je ne suis pleinement a l'aise, pleinement moi-même, qu'avec ces personnes la. A noter que le penseur est nettement plus rare que l'intellectuel car il constitue un type psychologique la ou l'intellectuel peut être multiforme.

Du coup je n'aurais pas été votre genre. C'est marrant comme souvent les affinités en esprit et les affinités physiques ne se rejoignent pas, sont même a l'opposé, du moins chez l'une des 2 personnes. Je m'interroge souvent sur ce qui déclenche le désir pour une personne, je suppose que le phénomène est différent d'une personne a l'autre. En ce qui me concerne je peux trouver une femme quasi-parfaite, si je n'ai pas le sentiment d'être en mesure de susciter son désir, je peux l'admirer de loin mais je ne la désire pas.

Je préfère nettement le: "deviens ce que tu es", et ça peut demander beaucoup de travail. Pour moi c'est l'essence qui précède l'existence, et il faut voir au dela de l'ADN. Et evidemment cet essentialisme n'empêche nullement la responsabilité, la prise en main de son existence, l'élévation.