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Merci Tyson c'est une occasion pour te demander pardon et voilà la suite. Notre héros ouvrit son pain qu’il divisa en quatre pour l’imbiber des effluves du méchoui et avec élégance comme un grand connaisseur de ce genre, il le mâcha amoureusement. suite Les clients amusés regardaient cette scène mais aucun n’avait songé mettre la main dans leur sacs ou porte-monnaie, pour lui payer un repas bien chaud, je pense que des figues de barbarie s’y trouvaient dedans. Qu’importe notre mendiant paraissait content de savourer les odeurs de ce méchoui et le restaurateur bien qu’agacé n’avait pas osé le chasser. L’indigent profita de cette passivité du restaurateur pour extraire une chaise pour s'asseoir et bien savourer son festin. Le spectacle était amusant pour les clients et gratis et c’est pourquoi L’aubergiste se retint d’intervenir par peur d’une levée de bouclier. A chaque fois que le restaurateur coupait un morceau, le pauvre sentait qu’on lui coupait une partie de lui-même, jusqu’à ce qu’il n’en restât rien de ce désormais défunt méchoui. La ballerine est morte, le restaurateur pouvait maintenant se venger d’avoir embastillé toute sa colère. Il saisit le pauvre par le bras et lui dit. - Tu dois me payer l’odeur du méchoui et ton relâchement sur la chaise, ça fait cinq dinars. Le mendiant n’avait même pas la moindre poussière de la plus petite monnaie du monde. à suivre

Le pauvre et le restaurateur : Manger à chaque fois du pain sans rien y mettre dedans et devenu trop pesant pour ce mendiant. Il s’est mis à déambuler sur ce grand accotement de cette rue reconnue pour ses nombreux restaurants où le chic côtoie le classique et le traditionnel n’est point complexé devant le moderne. Une fumée sortait d’un restaurant traditionnel, elle était particulière, une odeur de méchoui qui lui avait caressé le nez, s’en dégageait. En ce moment de disette l’odorat humain devient plus puissant que celui de l’Ours. Son odeur était vraiment appétissante, il ne pouvait pas bien sûr, payer ne serait-ce le poids d’une écaille de poisson, un mets si couteux. Mais les idées remplacent quelques fois l’argent et une idée justement lumineuse, presque prophétique traversa son esprit. Il a calculé l’endroit du passage de la majorité des effluves du méchoui, puis il s’est précipité chez un boulanger pour mendier un pain. - Pourriez-vous me donner un pain s’il vous plait, je n’ai pas mangé depuis deux jours. Devant tous ces clients qui faisaient la queue comment le boulanger allait refuser, il ne pouvait refuser et c'est la mort dans l’âme qu'il en prit un pour le présenter à ce mendiant qui partit illico presto avec son butin. Embroché, ce méchoui tournait doucement au grès de cette huile posée sur lui, une beauté, une élégance de cet agneau saupoudré de gras qui le rendait si beau que le toucher serait un crime. que dire alors de manger un tel éclat, c’est une entorse à l’humanité que de le faire. Mais profiter de son odeur et le voir tourner comme une belle ballerine dansant dans le ballet de Giselle et un régal. Notre héros ouvrit son pain qu’il divisa en quatre pour l’imbiber des effluves du méchoui et avec élégance comme un grand connaisseur de ce genre, il le mâcha amoureusement. à suivre

non c'est rien, merle c normal qu'une personne soit méfiante, c dans l'air du temps qu'est ce qui n'est pas terrible et marrant au même temps, c'est l'histoire?

SALUT MERLE, mais je suis musulman et là je n'ai cité qu'un vêtement c'est pas grave qui ne pouvait qu'être invité dans cette histoire si tu me montre un autre vêtement plus ample je suis preneur je vois là un jeux de mot, mais éclaire ma lanterne, je ne vois presque rien, enchantant et je serai enchanté que tu me montres le chemin

une histoire pour détendre l'atmosphère c'est tout, d'autres péchés qui ne peuvent être combiné: Commérage, faux témoignage, hypocrisie, abandon d’enfants, trahison, trafics de tout genre…

pourtant il en manque beaucoup

- Hé là tu me piques toi, c’est trop il faut mettre quelque chose sur ton truc, trop grand mon ami tu veux arriver à mes reins, ou tu veux bousiller mon estomac, non doucement mon ami. Vingt centimètres c’est bon, alors tu les mesures et ça sera la limite que l’entourera d’une bague comme ça les autres 30 centimètres ils vont me foutre la paix d’accord ? - Tu veux étouffer mon machin, je ne veux plus travailler avec toi, je vais me mettre à mon compte, d’ailleurs je ne vais plus travailler, il faudrait que lui aussi, se repose. Il s’est reposé quelques jours mais là il n’en pouvait plus ; le pic s’est relevé et il a déchirer le pantalon du repiqueur. il a eu l’idée de devenir musulman pour mettre le kamis, avec le kamis, ton pic est libre et tu peux repiquer quatre femmes à la fois. - Quelle invention ! se disait le repiqueur, pour ça ces musulmans ils faut le dire ils sont fort, un kamis pour que leur truc devienne comme une fiche d’électricité mâle, qu’ils placent là où ils trouvent des fiches femelles. Là le repiqueur ne comptait plus ses heures, ça y est le kamis l’a sauvé

pic et repique je vais essayer de faire une histoire sur toi, c'est comme ça que je fais des histoires, j'entends des gens parler, ils racontent des anecdotes et moi je les développe. et je me marre en même temps tout seul. tu es donc un piqueur, mais non repiqueur ou les deux. si tu es les deux c'est que tu n'es pas seul, tu es deux personnes à la fois deux en un. et si tu es une fois pic et une fois repic, là tu dois mentionner pour qu'on reconnaisse de toi le piqueur ou le repiqueur

c'est le vice le plus vil de l'humanité, merci Pic et un autre merci pour repic

deux avares : Un homme avait commis un délit, trois propositions lui ont été formulées par le juge. Il mangera 100 grosses oignons, il recevra 100 coups de fouet, ou il versera 100 dinars. Il avait demandé à sa femme laquelle des propositions devrait-il choisir. - Les oignons sont les cousins du miel, les vieilles personnes s’en délectent, ils deviennent jeunes et leurs épouses n’en sont que plus heureuses, bien qu’ils s’en gavent ils restent toujours en bonne santé. En plus une occasion de manger sans payer, ce n’est pas toujours qu’elle se présente. Choisis les 100 oignons, tu me rendras heureuse et je serai fier de toi. Au bout de 65 oignons il n’en pouvait plus, ses yeux sortirent de leur orbite, son visage a viré du bronzé au jaunâtre, on aurait dit un zombie, ou un homme qui sort des ténèbres. Son cœur s’est mis à battre plus intensément, puis il vomit sans arrêt, jusqu’à ce qu’il crût que ses tripes allaient sortir de sa bouche. Enfin il est tombé par terre, et ne se réveilla qu’après avoir fait un cauchemar, où il se voyait dans un enfer plein d’oignon. Le juge imperturbable attendait qu’il se réveille. - Alors tu continues ? - Non, non ! je préfère mourir. Il lui restait par conséquent uniquement deux propositions, les 1OO coups de fouet ou les 100dinars. Sa femme lui avait dit. - Choisis les 100 coups de fouets, puisque tu n’as pas pu manger les 100 oignons, un mal d’une heure ne peut que raffermir ta force, ta vigueur et ta vitalité et tu ne craindras dorénavant plus personne, 100 coups de fouet ce n’est rien pour un homme comme toi. C’était sa femme de loin qui encourageait son mari à subir les tortures de 100 coups de fouets, il faut dire que c’est mieux que dévaliser son coffre-fort. Le pauvre un gringalet, était aussi avare que sa femme, ils formaient un beau couple tous les deux, ils ne sont d’accord que sur ce point qui est de ne pas dépenser fortuitement des sous. Mais au bout de 80 coups, il n’en pouvait plus, son dos était tout en sang et sa chair lacérée, coupée, laissait apparaitre des profonds et larges sillons. Ses jambes, il ne les sentait plus et c’est alors qu’il s’est écrié. - Cessez, cessez je n’en peux plus. Sa femme, de loin criait. - Il ne te reste que 20 coups, pense à ses 100 dinars qui vont disparaitre, résiste, résiste tu es un homme fort mon chéri je t’aime. Il a répondu à sa femme, d’une voix inaudible. - Non je ne suis plus un homme, mais une épave. Et le pauvre est tombé une nouvelle fois, cette fois-ci il a vu l’ange de la torture lui-même, lui manger sa peau. Mais il s’est relevé pour subir la pire torture… Un avare c’est beaucoup, mais deux ensembles c’est trop

Il faut battre le fer tant qu’il est chaud : Histoire presque vraie C’est un imam saoudien qui a été envoyé en Angleterre dans une des mosquées qui se trouve à Londres. C’était la première fois qu’il quittait son pays, il était impressionné par l’accoutrement des femmes et leur beauté. Il a failli avoir un torticolis, tellement son visage se baladait de droite à gauche. Il rentra dans sa nouvelle mosquée, la salle n’était pas tellement pleine, mais les imams ne se découragent pas, la démoralisation arrive le jour de la paie, quand l’oseille n’est pas au rendez-vous. Mais aujourd’hui une rangée complète de fidèles priait derrière lui et c’est largement suffisant. Mais parmi ces fidèles la plupart d’entre eux n’étaient que des curieux qui voulaient voir le nouvel imam. Maintenant que c’est fait, l’antre de la prière est devenu presque vide. Mais le Vendredi comme par enchantement, la salle était pleine à craquer. Après le speech et la prière, les fidèles quittèrent les lieux et l’imam sortit de la mosquée. Il fit quelques pas quand il sentit quelqu’un derrière lui qui le suivait. Il se retourna et vit deux filles qui voulaient lui parler. L’une emmitouflée dans des vêtements noirs, le visage totalement caché par un voile et l’autre paraissait-etre une européenne, très belle avec un corps très généreux dont les vêtements ne cachent presque rien de ses atouts. Une nature qui a surement beaucoup travaillé pour créer cette fée divine. L’imam en un clin d’œil a dessiner dans son cerveau toute la beauté de cette fille. Son visage ne laissait aucun doute sur l’éblouissement aveuglant subit par notre imam. Les yeux devenus rond et la bouche entrouverte de l'Imam, avaient fait intervenir la fille fantôme, avant que l’imam, sans s’en rendre compte, ne prononce cette allocution des croyants devant une beauté. - Ma chaa Allah. Dieu fait ce qu’il veut Signifiant que cette beauté n’est pas usuelle et Dieu avait voulu créer une fille qui sort de l’ordinaire. Comme si tu disais à une très belle fille tu es magnifique et tu lui montres qu’elle te plait, une manière hypocrite de déclarer sa flamme. La fille pour secourir son amie, avait rapidement intercédé. - Assalam, Imam L’imam répondit automatiquement au salam, à la fille musulmane tout en étant toujours sous le charme de cette fée, qui l’avait ébloui, et que ses yeux étaient maintenant bien fixés sur cette mire . Mais la fille au hijab l’avait bousculé pour qu’il renonce à cet ensorcellement. - Assalma alay koum, j’ai dit (que la paix soit avec toi) Elle cria plus fort, tout en lui signifiant de rendre le salam plus correctement. L’imam cette fois-ci s’est réveillé, se retourna et répondit à la fille du hijab. - Paix avec toi et que la miséricorde d’Allah vous accompagne. A la bonne heure, avait pensé la fille, elle était venue avec l’anglaise pour que cette dernière lui pose quelques questions sur l’Islam. Ils parlèrent sur différents thèmes puis ils avaient convenu de choisir une autre journée pour une autre discussion. Il avait appris qu’elle était mariée, athée elle et son mari et qu’elle trouvait que l’Islam est trop dur pour les femmes. - C’est un sujet, un peu difficile, nous allons prendre un rendez-vous si tu es d’accord L’anglaise était d’accord et ils ont convenu de se rencontrer une nouvelle fois. Cette nuit l’Imam n’avait pas pu trouver le sommeil, il a relu tout le coran pour pouvoir dormir, mais le visage de la fée s’incrustait sur toutes les pages du livre et il revoyait ce sourire qu’il croyait être un gage pour lui. Il se disait qu’il lui plaisait, Surement, ce sourire et une réalité, le premier pas c’est elle qui l’avait fait, il ne peut-être fortuit, c’est une invitation à lui déclarer ma flamme. Il se construisait des histoires dans son cerveau, où sa belle sera sa femme et qu’ils vivraient un amour intense avec elle. Mais elle est mariée se disait-il, comment faire ? Un plan diabolique lui avait traversé son cerveau. Je dois coute que coute la convertir, mentir s’il le faut sur notre tradition et lui montrer que ce qu’elle apprécie. Ainsi elle ne pourra plus vivre avec un mari athée et je pourrai par conséquent la prendre pour épouse. Un mois après l’anglaise été devenue musulmane. L’Imam était devenu rayonnant, il venait de naitre une seconde fois, il ne va pas lui dire qu’il est marié, c’est facile de le cacher, s’il faut je divorcerai. Mais si elle l’apprend, elle pourra me refuser. Il a pris le premier avion pour aller en Arabie, pour divorcer enfin de sa femme, le jugement avait duré un mois, mais enfin notre imam est libre, libre comme l’air et il va enfin épouser sa fée. - Je veux t’épouser - Mais je suis mariée en plus j’aime mon mari - Mais ton mari n’a pas le droit de te toucher - Oui je sais ça et depuis le début j’essayais de le convertir et ce n’est qu’hier qu’il a accepté, si tu me l’avais dit un mois avant je l’aurais accepté. quand il est revenu à son pays quelques personnes pour se moquer de lui lui avaient dit - alors et la belle anglaise, et ton mariage avec elle - le chien s'est convertit à l'Islam avait répondu tristement, l'Imam

salut guernica à bientôt

ça fertilise l'imagination et j'en racontais beaucoup à mes enfants et là j'inventais beaucoup. j'avais deux garçons, ils dormaient dans la même chambre, au plus jeune qui avait 4 ans je racontais une histoire que j'avais imaginée, celui de quatre ans s'est endormit, mais l'autre âgé de 20 non. je me suis levé tout doucement pour rejoindre ma femme, mais voilà que l'autre se lève et me dit: - et puis?

Non pas du tout, les milles et une nuit sont connus, Shahrazade avec Shahriar, mais je fais ça avec ma femme je suis sa Shahrazade et elle est mon Shahriar, ce tyran qui a tué beaucoup de femme avant qu’il ne rencontre Shahrazade qui lui racontait des histoires qui n’en finissent jamais, pour sauver sa peau. Moi c’est pour passer une bonne nuit avec elle, et aussi pour qu’elle oublie un peu son portable. je les remodèle et quelques fois je les transforme pour qu’elles épousent notre siècle, feue grand-mère m’avait beaucoup raconté de ces histoires quand j’étais très jeune. Toutes les histoires qui n’ont pas reçues l’aval de ma femme je ne les raconte pas à Forum.fr.

Quelques fois je relis et d’autres non, comme cette histoire de Jouha, en relisant je me rends compte de mes fautes, mais pour Puits, je dois le reconnaître, je ne l’aurais jamais su si ce n’était Titenah. Exemple là «comme était » au lieu du participe présent, j’ai employé l’imparfait du verbe être, c’est une faute n’inattention et j’en fais beaucoup. ou «rire souvent » au lieu de souvent rire ,

Le clou de Jéha : Jouha a décidé de vendre sa maison, mais il a réfléchi à une astuce. Il a alors vendu sa maison, mais dans l’acte de vente, il était stipulé qu’il pouvait visiter son clou une fois par semaine et qu’il pouvait y accrocher des habits, des tapis ou autre chose . Vu le prix de vente modique de la bâtisse, l’acheteur avait accepté le compromis. Jouha est connu dans la tradition arabe comme était un homme très rusé. Les jours passèrent et chaque semaine Jouha visitait son clou. Quelques fois il suspendait son pantalon, d’autres fois sa chemise…Le nouveau propriétaire commençait à aimer Jouha, il était très prolixe et le faisait rire souvent. Mais Hugo disait, faire rire, c'est faire oublier. Quel bienfaiteur sur la terre, qu'un distributeur d'oubli. Il lui avait distribuer ce rire pendant un mois complet. Puis un jour Jouha s’est endormi sous son clou. - Que fais-tu Jouha ? Jouha avait répondu qu’il dormait sous l’ombre de son clou, et c’est ainsi que Jouha, venait chaque semaine, pendant l’heure des repas, dormir sous l'ombre du clou. Le nouveau propriétaire était obligé de lui servir à manger. Jouha a vu qu’avec cette astuce, le propriétaire n’a rien dit, il passa alors à l’étape suivante. Il se présenta, un jour avec une peau de chèvre qui puait à des kilomètres, il suffit que tu la mettes dans un coin pour que cette odeur se répande et te pourrirait la vie. Jouha, bravant l’odeur, resta dans la maison, tandis que le nouveau propriétaire, avec sa femme s’évadèrent de cette puanteur. Ils restèrent cinq jours dans un hôtel, alors que Jouha sortit de son ancien gîte pour revenir reprendre sa peau de chèvre cinq jours après. Les propriétaires revinrent au sixième jour, ils ne trouvèrent pas de peau, mais l’odeur est restée toujours nauséabonde, fétide et écœurante. Ils décidèrent alors de prendre une nouvelle fois un studio dans un d’hôtel, alors que Jouha, sur son clou tous les – jours posait une nouvelle peau de chèvre. et c'est ainsi que le pauvre monsieur s'est déclaré vaincue? "Qui cherche le moins chère laissera la moitie, et ceci pour les produits alimentaires, légumes et fruits. mais pour l'achat des maisons, il pourra laisser la totalité" avait dis Jouha à un homme qui voulait le blâmer.

voilà une autre histoire, qui a laissée son impact sur la conscience arabe, car quand quelqu'un s'évertue à vouloir par t'arnaquer en insistant, on lui dit: " tu veux me faire le coup du clou de Jouha?"

Pour gaz et index, il y a une règle, mais les autres avec le s, non, il faudrait connaitre pour certains, le grec

en réalité je voulais ce dessert sur la table, mais il est trop fort pour moi, et c'est pourquoi j'ai demandé ton aide. je l'aurais partagé avec toi c'est sur.

pour rire

Alors le couplet de victimisation, Moi je n’ai rien à foutre de ta compassion, ce mot de victimisation je le rencontre souvent et il me fait rire, c’est vous les victimes et non moi. Tu es le seul supporteur, aucun soutient de ta part, pour la victime

La Psychologie humaine est insondable. parfois , l'on voie une très belle fille avec un vieux monsieur Argenté . non , ce n'est un gorille mâle , mais quelqu'un qui à beaucoup d'argent . Ce vieux monsieur, n’a-t-il pas le droit de goûter au plaisir du sexe jeune ? l’argent dans plusieurs cas remplace beaucoup de chose, il remplace l’honnêteté, la beauté, la jeunesse… Il semble que nous " voyons" des choses sous un aspect particulier qui ne serait que psychologique , mais qui sortent des sentiers battues de la normalité ? La normalité est subjective, partiale pour ce vieux personnage il est normal qu’il se paye une belle fille et pour toi c’est anormal.

Je souhaite que mon nègre soit Geppeto, je pense qu’il a inventé le français, un puits avec s ce n’est pas tout le monde qui peut le savoir, mais Geppeto si, d’ailleurs je pense que tu as des problèmes avec justement ces ‘’s’’ Gepetto Faut la voir en réalité sans artifice et des fois tu tombe (verbe tomber prend un s avec la deuxième personne du singulier Mercredi , tu va être servi sur un plateau (tu vas) alors tout le monde peut se gourer surtout en orthographe, d'ailleurs il existe des championnats

Procès d’intention, d’une animatrice à un pauvre algérien qui vient tout juste d’apprendre le français. Ce qui me chagrine est que je suis entrain de sentir un sentiment de rejet par des personnes qui me prêtent justement ce genre de procès, il faudrait que mes idées n’écorchent pas leurs oreilles trop fragiles, sinon c’est la levée des boucliers.

C’est vrai j’ai fait une erreur, mais parmi vos écrivains dans ce forum, qui sont français ils en font des tonnes. Vous n’osez jamais leur faire la moindre des remarques. Ça m’interpelle ce genre de deux poids deux mesures, surtout que vous êtes animatrice.