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Trillion

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Tout ce qui a été posté par Trillion

  1. Il y en a plusieurs, vous ne validez pas la thèse du gouvernement mondial ?
  2. These : Si tu vois des complexes partout, est ce a dire que tu es complexé ? Mise a part ce petit trait d'humour, tu as une telle envie de t'exprimer que cela provoque chez toi un défaut d'écoute. Il t'a échappé que @Fraction ne partageait pas du tout la même vision du monde, grosso modo, que toi et moi. Il est dans la matrice et n'a pas envie de prendre la pilule rouge. Sinon j'ai du mal avec tes catégorisations complexes, laminaires, parcellaires, c'est beaucoup trop précis et sujet a l'erreur, de plus ça enferme les gens dans des tiroirs dont ils ne peuvent sortir. Pour moi il n'y a que des niveaux de conscience différents qui permettent, a partir de la diversité du particulier, de s'élever jusqu'au général. Une personne consciente a développé son intellect et sa sensibilité a l'unisson, et non au détriment l'un de l'autre. Sinon encore une pensée personnelle : Le "complexe" tel que tu le définit toi, s'il a renoncé a toute manipulation et recherche de l'authentique et de la complicité, n'est pas du tout fait pour la séduction, il lui faut renoncer a ce domaine la car il s'y gaspille en pure perte.
  3. Je partage ce point de vue sur la femme, encore plus malléable que l'homme, qui épouse les modes, les courants de pensée ou les points de vue dominants de la société et de l'époque dans laquelle elle vit. Bien sur il y a toujours des originales. l
  4. Et je me prend trop au sérieux d'après toi ? Heureusement que je sais a peu pres qui prendre au sérieux et qui ne pas prendre en considération.
  5. Bon allez, un petit bisou et on efface tout. Vive l'amour !
  6. L'abus de smileys rigolards nuit gravement a la crédibilité intellectuelle.
  7. Ah quand la sororité n'est plus automatique...
  8. Pire que la malhonneteté intellectuelle ? La bêtise qui se veut intelligente, et donc qui ignorera toujours son ignorance et sa bêtise. Mais bon, entre les 2 ça se vaut.
  9. Ou de mauvaise foi, si on lui prête l'intelligence nécessaire pour cela.
  10. Avec le bénéfice du doute ( ma bonne nature ) Il pourrait y avoir d'autres facteurs qui font que...
  11. Ah je ne doute pas que vous ayez de beaux yeux.
  12. Il y a des choses beaucoup plus effrayantes que d'autres, et on peut comprendre que les esprits faibles préfèrent fermer les yeux dans un déni de réalité. Vous même vous employez le mot "délire" car cela vous rassure. L'amour a une place centrale dans tout cela, que vaut l'amour d'un esprit faible qui préfère faire l'autruche devant le danger ?
  13. A peu de choses prés, le choix d'Hercule : Une vie faite de plaisirs faciles qui alanguissent , ou une vie pleine de difficultés qui rend plus fort et plus vertueux jusqu'a la gloire posthume. LE CHOIX D’HERCULE "A PEINE sorti de l’enfance, à cet âge où les jeunes gens, devenus maîtres d’eux-mêmes, font déjà voir s’ils suivront, pendant leur vie, le chemin de la vertu ou celui du vice, Hercule s’assit dans un lieu solitaire, ne sachant laquelle choisir des deux routes qui s’offraient à lui.[1] Soudain il voit s’avancer deux femmes d’une taille majestueuse. L’une, joignant la noblesse à la beauté, n’avait d’ornements que ceux de la nature; dans ses yeux régnait la pudeur; dans tout son air la modestie; elle était vêtue de blanc. L’autre avait cet embonpoint qui accompagne la mollesse, et, sur son visage apprêté, la céruse et le fard altéraient les couleurs naturelles; la démarche altière et superbe, les regards effrontés; parée de manière à laisser entrevoir tous ses charmes, elle se considérait sans cesse elle-même, et ses yeux cherchaient des admirateurs; que dis-je? elle se plaisait à regarder son ombre. Lorsqu’elles furent toutes deux plus près d’Hercule, la première vint à lui sans hâter le pas; mais l’autre, voulant la prévenir accourut vers lui. « Hercule, lui dit-elle, je vois que tu ne sais quel chemin tu dois prendre. Si tu me fais ton amie, je te conduirai par la route la plus douce et la plus facile; aucun plaisir ne te sera refusé; aucune peine n’affligera ta vie. D’abord tu n’auras à redouter ni la guerre, ni les vains soucis: ta seule occupation sera de trouver les boissons et les mets qui pourront te plaire, ce qui flattera le mieux, à ton avis, les yeux et les oreilles, l’odorat et le toucher; les amours avec toute leur ivresse;[2] le sommeil avec toute sa douceur; et tu ne songeras qu’au moyen le plus court d’être heureux. Et, si tu crains de manquer jamais des trésors qui achètent les Plaisirs, rassure-toi, je t’en comblerai, sans prescrire jamais à ton corps ni à ton esprit des travaux pénibles: tu jouiras des travaux des autres; tout, pour t’enrichir, te sera légitime je donne à ceux qui me suivent le droit de tout sacrifier au bonheur. — Et vous que je viens d’entendre, répondit Hercule, quel est votre nom? — Mes amis, dit-elle, me nomment la Félicité; mes ennemis, mes calomniateurs, m’ont appelée la Volupté. » Cependant l’autre femme s’était avancée. Elle parle en ces mots: « Et moi aussi, Hercule, je parais devant toi, c’est que je n’ignore pas de qui tu tiens le jour, c’est que ton éducation m’a révélé ton caractère. J’espère donc, si tu choisis ma route que tu vas briller entre les grands hommes par tes exploits et tes vertus, et donner ainsi un nouvel éclat à mon nom, un nouveau prix à mes bienfaits. Je ne t’abuserai pas en te promettant les plaisirs; j’ose t’apprendre avec franchise les décrets des dieux sur les hommes. Ce n’est qu’au prix des soins et des travaux qu’ils répandent le bonheur et l’éclat sur votre vie. Si lu désires que les dieux te soient propices, rends hommage aux dieux; si tu prétends être chéri de tes amis, que ton amitié soit généreuse; si tu ambitionnes les honneurs dans un état, sois utile aux citoyens; s’il te paraît beau de voir tous les Grecs applaudir à ta vertu, cherche à servir la Grèce entière; veux-tu que la terre te produise des fruits abondants? tu dois la cultiver; que tes troupeaux t’enrichissent? Veille sur tes troupeaux; aspires-tu à dominer par la guerre, à rendre tes amis libres et tes ennemis esclaves? apprends des guerriers habiles l’art des combats et que l’expérience t’enseigne à le pratiquer, veux-tu enfin que ton corps devienne robuste et vigoureux? souviens-toi de t’accoutumer à l’empire de l’âme, et de l’exercer au milieu des fatigues et des sueurs. » Sa rivale l’interrompit: « Ne vois-tu pas, Hercule, les obstacles et la longueur de cette route qui mène, dit-on, au bonheur? Moi je t’y conduirai par un chemin court et fleuri. » « Malheureuse, reprends la Vertu, de quel bonheur viens-tu parler? Quels plaisirs connais-tu, toi qui ne veux rien faire pour en mériter, toi qui préviens tous les besoins qu’il est doux de satisfaire et jouis sans avoir désiré; toi qui manges avant la faim, qui bois avant la soif; qui, pour assaisonner les mets délicats, emploies les mains les plus savantes; qui pour boire avec plus de charme, amasses des vins somptueux et court çà et là chercher de la neige en été; qui pour dormir plus doucement, imagines de fins tissus, de riches tapis étendus sous des lits superbes? Tu cherches le sommeil, non par besoin du repos mais par oisiveté. Dans l’amour, tu préviens et tu outrages la nature;[3] et tes amis, instruits par tes leçons, passent la nuit en plaisirs coupables, et la plus utile partie du jour dans une lâche inaction. Quel homme voudrait te croire quand tu lui parles, te secourir quand tu l’implores? Quel homme sensé oserait se mêler à tes vils adorateurs? Jeunes, ils traînent un corps languissant; plus âgés leur raison s’égare; aux brillants plaisirs d’une jeunesse oisive, succèdent les ennuis d’une laborieuse vieillesse; honteux de ce qu’ils ont fait, accablés de ce qu’ils font, ils ont couru, dans leur premier âge, de délices en délices, et réservé tous les maux pour leur déclin. Moi, je suis la compagne des dieux, la compagne des mortels irréprochables; sans moi, rien de sublime parmi les dieux ni sur la terre. Je reçois les plus grands honneurs, et des puissances divines; et de ceux d’entre ceux d’entre les hommes qui ont le droit de m’honorer. L’artisan n’a personne qui le soulage plus que moi dans ses peines; le chef de famille n’a pas d’économe plus fidèle; l’esclave, d’asile plus assuré; les travaux pacifiques, d’encouragement plus efficace; les exploits militaires, de meilleur garant de triomphe; l’amitié, de nœud plus sacré. Ceux qui me chérissent trouvent dans le boire et le manger un plaisir qu’ils n’achètent pas; ils attendent seulement que le besoin leur ait commandé. Le sommeil leur est plus agréable qu’aux riches indolents; mais ils se réveillent sans chagrin, et jamais l’heure du repos n’a pris sur celle du devoir. Jeunes, ils ont le plaisir d’entendre les éloges des vieillards; vieux, ils aiment à recueillir les respects de la jeunesse. C’est avec soin qu’ils se rappellent leurs actions passées; ils font avec joie ce qui leur reste à faire; et c’est moi qui leur concilie la faveur des Dieux, l’affection de leurs amis, les hommages de leurs concitoyens. Quand le terme fatal arrive, l’oubli du tombeau ne les ensevelit pas tout entiers, mais leur mémoire, toujours florissante, vit dans un long avenir. Imite leur grande âme, ô jeune héros ! sois digne du sang généreux qui t’a fait naître je te promets le bonheur et la gloire. »[
  14. Vous ne voyez que ce que vous voulez voir, c'est a dire une infime partie de la réalité, et ce qui crève pourtant les yeux vous refusez de le voir. Ce serait sans doute trop gros pour que vous puissiez le digérer sans dommages.
  15. Ah c'est le défaut de la popularité : ne plus savoir ou donner de la tête, ne plus s'appartenir. Une société malade aura tendance a stigmatiser les personnes saines, on le voit bien depuis bientôt 3 ans.
  16. Et vous essayez de comprendre cela : Je ne veux pas voir ce qui me fait peur, ce qui m'angoisse, ce qui menace de m'anéantir, tant physiquement que moralement et spirituellement...Alors je fais l'autruche. Nous sommes a une époque ou la jouissance et le plaisir immédiat ont été encouragé au détriment de toutes les valeurs --> les hommes et les femmes sont sans force face a l'adversité, avec un univers mental très étroit pour ne voir que ce qui les rassure, meme si c'est mensonger. Vous lisez trop vite @Norbert, les nuances vous échappent.
  17. Vous n'êtes pas le seul a laisser votre conscience aux vestiaires, loin de la ! Tout est fait pour cela depuis de nombreuses années.
  18. Vous n'êtes pas conscient, pas plus que la moyenne des individus en tout cas, ce qui est peu. Vous vous êtes amputé de la moitié, au minimum, de votre être, il ne peut donc en être autrement. L'hypertrophie de votre intellect se fait au détriment d'autre chose, au moins aussi important, ceci expliquant cela.
  19. Vous êtes un intellectuel et non un penseur parce que vous vous servez de votre intellect comme un antidote a votre sensibilité. Avec pour conséquence, a mon avis, que ça ne vous mène pas loin. Votre intelligence s'enroule sur elle-même comme un scoubidou, au lieu de se déployer.
  20. Oui, excepté que je ne suis pas un intellectuel, je suis un " penseur", sans que cela ne dise quoique ce soit sur la qualité de ma pensée. Vous êtes un intellectuel.
  21. Vous ne me rendez pas justice, moi je n'insulte pas les femmes et je n'emploie pas de mots vulgaire. Je me place uniquement dans le domaine des idées, j'interroge, je titille, je pince les cordes pour entendre le son qu'elles rendent. Nous sommes très différents vous et moi, j'essaye de decoder ou d'extraire ce qui chez vous en vaut la peine, et il y a beaucoup de dechets, ou d'inutile, selon moi
  22. C'est @Fraction qui est soumis avec les femmes , pas moi. Toi aussi tu fais fausse route @Norbert Certes j'ai été plutôt conciliant dans mon passé amoureux, je le suis beaucoup moins maintenant. Il ne sert a rien de vouloir trop s'adapter aux autres, non seulement ça ne marche pas, mais en plus ça n'en vaut pas la peine.
  23. Il y a des hommes, pourtant 100 % hétéros, pour qui la fréquentation de l'univers féminin ne peut pas profiter. Il vous aurait peut être fallut une éducation a la spartiate. " Fraction, si tu vas voir les femmes, n'oublie pas le fouet" ( symboliquement )
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