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Délice Métisse

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Messages posté(e)s par Délice Métisse

  1. Selon moi, c'est subjectif. Sur quelle base, quelle croyance, quelle vérité... ? Faudrait-il mieux que l'on se mette tous d'accord, ou que l'on garde toujours des pensées et des modes de vies différents qui peuvent parfois s'opposer. Et aussi, même si l'on peut penser bien faire, on peut toujours se tromper. C'est vaste comme question pour y répondre.

    Et avec les mondes parallèles, tous les cas de figures existent.

  2. il y a 1 minute, Groseille Trucmauche a dit :

    Le fait de ne prêter attention qu'à son image, engage un discours dictatorial, et parfaitement inapproprié aux circonstances . Je vous serais gré, de mettre rapidement un terme à ce pamphlet. Pour le moins douteux, et de bien vouloir cesser de m'importuner, peut-être afin de vérifier, si le fouet. Est toujours en bon état de marche ... Merci .

    En faite, je ne dis pas que l'on doit tous se mettre d'accord, mais au minimum de ne pas être extrême.

  3. Il y a 9 heures, Ambre Agorn a dit :

    Quand vous dites "nous", vous parlez sans doute des humains? Sous ce pronom, vous vous nommez et me nommez, ainsi que tout ceux que vous connaissez et ceux que vous ne connaissez pas. Pourtant vous ne pouvez sans doute pas avoir de réponse généralisée, car  si je vous répondais, je ne vous répondrai que pour moi, ça ne répondrait pas pour autant pour vous ni pour la multitude qui se range sous le vocable humain.

    Choisir de voir que je suis déterminée est autant un choix que de choisir de voir que j'ai choisi d'être dans ce monde, d'être ce que je suis. Cela dit, qui parle quand je dis "je", car là est une grande partie de la réponse, s'il en est une.

    Pour savoir qui est le plus libre, soit il faut être en même temps tout ceux à comparer, soit on compare des visions/points de vue qu'on a de ces êtres/choses: tout dépend de la réponse souhaitée.

    Tellement je m'aime, je me vouvoie... enfin, je m'aimerai le jour où je serai en accord avec ce monde.

    Pour dire aussi que, je n'affirme rien dans mes deux questions, ce ne sont pas des affirmations. Et faut bien que j'utilise des mots pour les formuler. Que proposez-vous, si vous avez une idée ?

    Il y a 5 heures, Groseille Trucmauche a dit :

    Le pronom personnel nous, c'est l'implication de l'humanité, à défaut de pouvoir être présent . La majorité des gens, utilisent le concept, en parfaits intellectuels qu'ils sont, marionnettistes anthropophages, nostalgiques d'une présence ravie, une dans chaque main . Le culte du cadavre, comme des poupées inanimées, rhabillées pour l'hiver . C'est l'intellectualisme, figé dans les temps assassins, ou bien le seul moyen des carpes, afin d'établir une communication, quitte à rescusiter les morts, pour mieux les chérir ... faute de pouvoir participer au monde des vivants ... Des histoires, à faire pâlir les vivants, habillant d'une burka les extrémistes, en la personne immonde et analphabète, présentant l'humanité, comme un ventriloque, atteint d'illettrisme sévère, et irréversible . L'aberration contre-nature, pensant nuire au monde des morts, simplement par ses gesticulations, comme en pleine crise d'épilepsie . Les savants d'antan, appelaient cela crises d'hystéries . L'humanité, habitée par le diable, car entre le monde des morts, et le monde des vivants, la ligne fatidique, c'est la nature, nous présentant au monde, ou le rejet des vivants, au profit des zombies . À la différence des poupées, l'odeur de la charogne, règne en maîtresse de maison; le monde, et la maison du diable . L'humain, ne peut jamais sensitivement cohabiter, le nous, témoignant en médium, de l'absence de vie ...

    C'est poétique votre façon d'écrire, je ne comprends pas.

  4. Il y a 2 heures, Ambre Agorn a dit :

    J'avoue avoir un peu de mal avec la tournure de vos phrases. Je vais y réponddre d'après ce que j'ai compris.

    Celui qui se doit d'éduquer l'enfant est, à mes yeux, celui qui s'en donne la mission. Cela dit, si plusieurs personnes s'en donnent la mission et qu'il y a conflit entre ces personnes, alors il y a constamment des tensions, voire de conflits plus ou moins ouverts, des batailles d'influences. L'enfant prendra, en général, ce qui vient particulièrement de son milieu, surtout si celui-ci est en adéquation avec son "patrimoine génétique". Quant à se poser la question de "qui doit éduquer l'enfant", c'est une question de droit/devoir, qui sous-entend donc des règles au sein d'une communauté. Chez les animaux, cette question ne se pose pas, jamais. C'est donc une quetion toute humaine, voire même uniquement sociétale.

    Faisons-nous des choix, ou est-ce les choix qui nous font?

    A partir de quand on choisit... ? Bonne question, certaines personnes on la réponse, d'autres pas, et d'autres l'attendent.

  5. La science et la croyance sont intrinsèquement liées l'un à l'autre. Autrement dit, selon nos pensées et l'écosystème, l'équilibre entre ces deux sont en faite une probabilité qu'il y ait plus ou moins des perturbations climatiques.

    Ce que je viens de dire est valable dans tous les domaines : psychologie, biologie, technologie, religion, politique, économique, artistique,...

  6. il y a 1 minute, satinvelours a dit :

    Oui bien sûr, je parle ici d’une activité, la logique, qui me ravit. D’autres vont pratiquer d’autres activités qui vont les ravir et qui ne seront donc pas les math. 

    Mais votre remarque, comme les critiques précédentes, me fait prendre conscience que l’attrait que nous pouvons avoir pour telle ou telle activité provient aussi de rapports affectifs.
     

    L’imitation d’une personne adulte aimée compte pour beaucoup. C’est le mystère de la transmission réussie, qui ne s’appuie pas que sur des dons naturels mais aussi et peut être surtout sur l’imitation d’une personne aimée ( qui a l’autorité affective sur nous quand nous sommes enfant). 

    Ok.

  7. il y a 34 minutes, Ambre Agorn a dit :

    Un meilleur exemple que l'éducation nationale? Sans aucun problème! Connaissez-vous les écoles Montessori, l'école Freinet et autres écoles plus respectueuses des besoins humains que des besoins économiques?

    L'éducation nationale poursuit un but précis, les autres écoles aussi. Juger de la meilleur d'entre elles revient à juger de leur but, soit juger de son propre but dans l'éducation de l'enfant, non?

    J'aimais bien cette phrase: sachez que si c'est gratuit, le produit c'est vous.

    Devenir des produits de robot? Cette vision ne m'inspire guère :D

    Après des situatiosn bien concrètes, je me demande toujours comment on peut véritablement répartir équitablement le travail! Vous avez une idée peut-être?

    Qui peut décider à l'enfant de la langue qu'il veut parler, de l'écriture qu'il veut écrire, d'être illettré, de vivre comme dans une tribut amazonienne, de vivre avec l'argent, de savoir à quel âge il est majeur, de choisir quelle nationalité il veut choisir, dans quelle région il veut vivre, de quelle religion il veut s'identifier, de quelle philosophie il préfère adopter, quel genre de technologie il souhaite utiliser,... ? C'est sûr qu'il faut bien faire un choix à tout âge. Qui se doit d'éduquer l'enfant : l'Etat, la famille, les proches, les camarades, les voisins, les étrangers, personne, la nature, ... ?

  8. il y a 7 minutes, G2LLOQ a dit :

    Je vois de plus en plus d'adeptes de la "nouvelle société" que tu proposes , ils mendient dans le centre ville avec 2 ou 3 chiens ,ils sentent un peu mauvais , ne prennent pas la carte bleue , ni les bitcoins ; préfèrent mème une canette de bière ,  

    La belle vie comme le chantait   SACHA  DISTEL ..............

    Que voulez-vous insinuer ?

    • Confus 1
  9. Il y a 6 heures, guernica a dit :

    je te parlais de la préhistoire....Pas du livre dont j'ai cité les personnages... Sinon, c'est la machine à explorer le temps de H.G Wells

    https://www.babelio.com/livres/Wells-La-Machine-a-explorer-le-temps/18307

    Du singe qui est devenu être humain... hahaha.

    A mon avis, voyager dans le temps est complètement faisable. Je confirme même : toute fiction est réelle.

    • Confus 1
  10. Il y a 3 heures, Enchantant a dit :

    Culturellement vous m’avez l’air d’être tombé de l’arbre il y a peu de temps ? :D

    Dans aucune société au monde, la nourriture ne tombe toute cuite dans le bec de ses habitants, il faut se remuer pour aller chercher sa pitance, c’est une règle universelle applicable aux humains et aux animaux sauvages, eux aussi en liberté par définition.

    Hahaha. Pourriez-vous préciser votre question ?

    il y a 6 minutes, guernica a dit :

    tu as hérité ?

    Parce que toutes choses ont un prix, et ce même à la préhistoire... Tu échangeais un instrument en silex que tu avais travaillé, contre un morceau de viande que l'autre avait chassé et ensuite transformé en morceaux....

    Un livre.... Assez connu

    Je parle du monde en général. Je ne connais pas ce livre.

  11. Il y a 1 heure, Enchantant a dit :

    Là on atteint les sommets de la candeur et de la naïveté, (pour ne pas écrire de la connerie pure et dure :D) comme si les robots fonctionnaient tout seul, sans entretient, sans maintenance, sans révision, sans usure…

    Les robots sont largement capable de s'entretenir eux même, ainsi qu'avec l'intelligence artificielle.

    Il y a 2 heures, guernica a dit :

    et qui construirait les robots ? Qui s'occuperait de la logistique ?

    tu crois vraiment que les Eloïs peuvent vivre sans ne rien devoir aux Morlocks ?????

    Je ne connais pas cette référence. C'est quoi ?

  12. il y a 51 minutes, satinvelours a dit :

    Vous vous situez dans l’imagination. Pourquoi pas ? Ce sujet a été traité par des auteurs de science fiction. En vous situant dans un tel imaginaire vous pouvez du coup vous posez cette question : comment aimerai je vivre si la contrainte du travail n’existait plus ? Je trouve que cette question est intéressante. Et il n’est pas si simple d’y répondre. 

    Bonne question, personnellement j'aurai pleins de choses à faire.

    il y a une heure, Jim69 a dit :

    Ouais mais faut le comprendre, il veut pas travailler. C’est trop dur oh là là.

    Moi, j'estime que travailler devrait être facultatif pour tous le jour où l'on en aura pas besoin.

  13. Faut-il forcément faire partie du système économique (et donc aussi politique) et/ou travailler pour vivre comme on le souhaite ?

    Ne pourrait-on pas vivre selon ses souhaits (mode de vie libre), par exemples soit : sans argent, le don, revenu garanti par l'Etat, les robots, l'intelligence artificielle, la prière, l'aisance financière (comme immobilière), d'un terrain agricole,... ?

    Par ailleurs, cela remettrait-il en question l'éducation nationale française et le système en général, non ?

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