Les parasites, évoluent différemment de leur congénères, et agissent à la manière de Dreamcachers, aspirent tout sur leur passage, pour ne régurgiter que les immondices animant leur sordide existence . Ne sont perceptibles que les serres, leurs gueules béantes, l'appétit vorace, comme s'ils n'avaient jamais mangé de leur vie, comme s'ils venaient de se réveiller après un coma ayant duré cent ans, s'accaparant les idées, comme s'ils étaient jaloux, de ce qu'ils perçoivent, mais de ne comprennent pourtant jamais . Tout est laid dans la bouche de ces bêtes, un péril, pour tout être désirant évoluer dans l'intelligence, leur libido exacerbée, c'est une insulte à l'humanité, et réunissent à eux seuls toute la plèbe de l'humanité, qu'ils ne sont qu'en apparence, contradictoire, puisque c'est vivant, c'est mouvant, mais c'est pas humain . À leur contact, j'ai découvert ce que le terme morbide, signifiait, À leur contact, j'ai découvert ce que le terme à gerber, signifiait, À leur contact, j'ai découvert ce que creuser sa tombe signifiait, À leur contact, l'on devient anorexique, l'on devient abstinent, l'on devient misanthrope, l'on ne trouve plus jamais le sommeil, l'on ne souhaite plus qu'une seule chose, mourir ... Nelson Mandela dans l'absence de la présence qu'il était, savait, dans les ténèbres qui m'enserrent, noires, comme dans un puits où l'on se noie, je rends grâce aux dieux quel qu'ils soient, pour mon âme invincible et fière ....
Toutes ces pages blanches noicies, afin de témoigner du refus du monde, alors qu'en refusant d'y participer, l'on y participe quand même, sans jamais découvrir la moindre parcelle de ce fameux monde, comme s'il était déjà écrit, et qu'il n'y avait rien à savoir, ne restait plus qu'à le recopier bien sagement, les modifications intempestives, comme actes de rébellions désespérés, cela, juste afin de témoigner du fait de son existence, pour enfin terminer au fond de l'abîme, décidément, ce monde est parfaitement injuste, tellement parfaitement injuste, que la seule justesse commise, y est vécue comme une injustice . J'ai alors d'abord écris pourquoi je refusais de participer à c'te mascarade, tout est tellement parfait, bien huilé, comme un scénario Hollywoodien, tout est pensé au millimètres près, le résultat sonne comme la mélodie que les morts chanteraient, s'ils étaient toujours vivants, un peu comme une symphonie pour les pieds, générant uniquement des haut-le-cœur, à tel point, que j'ai l'envie irrépressible de m'retourner, pour voir s'il y a quelqu'un derrière, lorsque j'ai perçu la lumière, dans la nuit pourtant plus sombre que dans un souterrain, c'était en cette phrase, je suis comme un mauvais figurant dans un film, cela sonnait tellement juste, tellement vrai ... Celui vers lequel son regard porte, parce qu'il ne semble pas du tout informé du fait qu'il est filmé, et attire le regard, au point que l'on en oublie l'espace d'un instant, qu'un film est en train de tourner, et c'est déjà fini, l'on cherche toutefois où est donc passé cet étrange personnage, en vain, je l'ai donc pris pour un farfelu, maniant plutôt bien le verbe . Ensuite, l'on cherche un idéal, tout dépend du budget dont l'on dispose, un corps de rêve, adaptable à l'envi, comme les Powers Rangers, invoquant le pouvoir de leurs forces colorées, en plus grandiose, parce que l'on est tout seul à en profiter, p'tet ben c'est ce que le scénariste de la série s'est dit, derrière sa machine à écrire, cheap, aujourd'hui les personnages ont mal vieilli, même le décor a mal vieilli, c'est l'inconvénient des personnages, encore plus lorsqu'ils sont extraordinaires, un peu comme pour le film Taxi, le premier, les suivants ils ont dû inover, afin de rester tendance, même si le public à changé, jusqu'à changer carrément le réalisateur . Moi, j'peux trouver mieux par l'expérience dont je dispose, quitte à élargir mes horizons, j'en ai les moyens, de toute façon, j'ai les moyens de te faire parler, où que tu sois, je finirai bien par te trouver ...
La découverte .
La première fois, nécessite d'avoir déjà été à Sephora un jour de pointe, pour comprendre . La profusion des images, des sensations multiples, au point de me perdre toujours plus, au fil de mes lectures, un clair-obscur m'engageant à poser un grand X comme enseigne, à l'entrée de ce monde, cependant, je n'arrive jamais à choisir la couleur . Surtout pas du rouge, encore moins fluorescent, cela pourrait prêter à confusion . J'ai donc tout naturellement choisi mon parfum préféré de l'époque . Le parfum, par lequel j'ai expérimenté les pires instants de mon existence, mais aussi les meilleurs, le bonus, je l'ajoute aujourd'hui, parce qu'à la période en question, j'étais la plupart du temps en trans, paradoxe, lorsque l'on connaît ma situation présente . Le choix était donc presque prophétique, autre paradoxe . Et c'est pour cela, que le parfum en question, reste dans le top ten, de ma collection favorite, et le fait que ma sœur préférée ( j'en ai deux) m'l'ait confisqué l'espace d'un certain temps, n'y est pour rien ...