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Vitrium

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Tout ce qui a été posté par Vitrium

  1. Exactement, In. Je n'ai jamais lu si vrai sur ce topic. Il faut arrêter d'idéaliser l'autre "à notre mode", comme ça "nous" chante. L'autre n'est pas un jouet malléable. Un genre de pâte à modeler, qu'on façonne à sa guise. Par exemple : si je dois choisir entre ma clope et ma compagne, le choix est déjà fait. Je SAIS que c'est cruel, voire inhumain. Mais entre les deux, je choisis ma clope. C'est indéniable. Ca fait longtemps que je n'avais pas cliqué sur "Merci".
  2. En effet. Depuis les différents confinements, j'ai observé ma consommation de cigarettes tripler.
  3. Pour ne pas me nommer, merci Hell. C'est trop d'honneur. J'ai toujours considéré les femmes trop belles comme dangereuses, et vénales. Particulièrement quand elles ont conscience de leur pouvoir d'attraction. Je fais pareil grâce à mon physique et mon bagout. Je sais que je suis extrêmement dangereux. Je ne suis pas Apollon, mais j'assure dans la mesure de mes moyens à moi, de mon style, et moins je fais pour attirer, plus j'attire, à tel point que ça fait chier.
  4. Ouais, c'est purement logique. Parfaitement normal. Je crois que je vais retourner dans ma tanière, en cuisine. EDIT : c'est étrange mais je ne peux pas. Un truc m'a coupé l'appétit.
  5. Il faut que la chasse soit équilibrée. Prends le risque de niquer des pelages avec des armes à feu. Ben NON. N'importe quel chasseur le sait. Tu dois te rapprocher au maximum et tuer le plus vite possible avec un minimum de dégâts pour préserver la fourrure. Soit t'y vas avec ta bite et ton couteau, soit tu reviens avec une spaghetti/bolo/paella.
  6. Moi je suis trop con, on m'a toujours dit que c'était une qualité. Je m'aperçois de la supercherie. Je plaisante. Trop de beauté c'est l'isolement, direct. C'est malheureux à dire. "Trop" de style, c'est encore différent. C'est ce putain de préfixe "trop" qui fait chier tout le monde, parce que si c'est "trop", c'est forcément par rapport à quelque chose, une "norme", etc.
  7. Tracasse, ici t'es chez toi, dans ta maison et nous on lit. T'en fais pas, ça fait beaucoup de bien de pouvoir écrire, c'est se libérer. Tu sais, je vais peut-être dire une connerie monumentale/cliché, mais on ne connaît jamais vraiment les gens. Pas à 100%. Concernant l'alcool, dans mes proches j'ai un nombre considérable d'alcooliques, on s'entend super bien, on fait la fête, etc - mais je sais par expérience qu'ils ont une vie de couple complètement à la con. Ca tient pas debout. Il faut aussi que tu saches qu'on ne se défait pas de l'alcool comme ça... Premièrement c'est pas évident. Ensuite c'est DANGEREUX (on peut mourir de manque). Ensuite on est, en société, confrontés à l'alcool assez régulièrement. Pour celui qui sait gérer, ça va. Mais pour celui qui est trop faible, non. Expérience : un de mes amis, l'année passée, a voulu arrêter l'alcool du jour au lendemain. Il n'a pas survécu plus de 48 heures : mort d'un délirium tremens, son coeur a lâché + attaque cérébrale.
  8. Je crois qu'elle ne se rend pas compte de la gravité de ce qu'elle fait, et laisse faire. Vous savez, je connais des tas de drogués beaucoup plus lucides. Eux sont terre à terre. @sirielle : c'est quoi le bug avec toi ? Héro' ou métamphèt' ?
  9. D'accord avec Passi. Ca me coûte de le dire, Passi. (je plaisante) En effet ce n'est pas réfléchi du tout. Tu les connais pas et hop, ils entrent comme chez eux ? Euh... après c'est moi qu'on traite de dingo ? Moi je sais me défendre, et en plus, je ne me mettrai jamais dans une situation pareille. Trop de bordel pour nettoyer / effacer les corps. Ca prend du temps, mine de rien.
  10. Il y a aussi des gens qui adorent le danger, la prise de risque. Regarde : si je te dis que demain, je peux être chez toi. Tu ne me connais pas, je suis peut-être dangereux (dans mon cas, vraiment). Je te dis que je ne te ferai pas de mal. Comment tu prends le truc ?
  11. Ben ouais c'est normal d'avoir peur, c'est un réflexe de survie inhérent à notre nature. Quelqu'un qui n'a pas peur est un psychopathe, au sens clinique du terme. Ou alors comme moi, quelqu'un de rôdé. Mais j'évalue toujours le danger. Tu confonds peut-être peur normale et sociophobie ? Là c'est psychiatrique. Il y a aussi l'agoraphobie, dans un registre sensiblement différent.
  12. C'est vrai que ça manque de cohérence...
  13. N'oublie jamais que les autres sont un reflet de toi-même. Ce que tu vois de laid et malsain chez les autres, il se peut que tu l'abrites en ton sein. C'est logique puisqu'on se reconnaît.
  14. Oui et non, ça dépend quel type d'humain tu es. J'ai tendance à dire "c'est normal, c'est logique", alors que moi je ne ressens rien. Absence de peur face au danger. Je sais que c'est un danger et je vais directement au frontal, éliminer la menace. Je n'ai pas forcément dit tuer. Mais ça ne me dérange pas, tant que je n'ai pas à devoir nettoyer les corps. Demande à n'importe quel militaire déjà parti en OPIN/OPEX. N'oublie jamais que la peur est un réflexe de survie parfaitement normal, réflexe devenu habitude avec l'utilisation prolongée des armes, la vie dans les conflits, etc. Et on finit comme moi :
  15. Que faire avec les animaux chassés ? Les manger. Je ne vois rien d'autre. Chasser pour relâcher n'a aucun sens. Tu tues, et tu consommes. A la rigueur, pour ce que tu ne manges pas, tu peux encore l'utiliser : peaux, pelages, griffes, crocs, etc. Très utile en décor mais aussi en armes & autres ustensiles de chasse.
  16. La plupart du temps j'utilise du goudron et de l'arsenic, et vous ?
  17. Wep, c'est abused. C'est un champ d'attraction à elle toute seule, un pôle magnétique.
  18. Merci pour ton partage @zut zut. Je vois clairement ce que tu veux dire. Trop de marge de manoeuvre = échec Pas assez = échec Pour comprendre ce phénomène, il faut regarder les anciens, comment ils faisaient pour "tenir". Déjà, l'époque n'était pas la même, les moeurs non plus, les habitudes non plus, la technologie non plus. C'était bien différent, et les "anciens" tenaient surtout pour les enfants, pour la stabilité, il faut penser qu'ils sortaiernt de guerre. En temps d'après-guerre, c'est pas la même donne que maintenant, où tout est tellement plus simple que ça en devient compliqué. Plus c'est facile, plus c'est chiant. Je le remarque rien qu'avec mes commandes clients. Y a une époque où t'étais déjà content d'être en vie et d'avoir un toit au dessus de ta tête. Avoir chaud, avoir à manger. Des vêtements propres, etc. Maintenant les gens s'alignent sur Hollywood. Il faut être parfait(s), et ça tient pas 6 mois. Plus il y a de choix, plus c'est le bordel : une jeune femme se présente à moi, pour de nouvelles boucles d'oreilles. Je dis pas non, c'est une partie de mon commerce. Quand elle voit mon catalogue, elle va dans la section "Armes blanches" et voit le fameux Vitrium indestructible. En plus des boucles d'oreilles, elle a commandé une dague de Vitrium. Elégante, certes. Mais une dague à 26.000€ (coupe fine et artisanale + décorum), alors qu'au départ elle ne voulait que des boucles d'oreilles. Vous spottez l'erreur ? J'ai façonné ce qu'elle m'a demandé, une dague de collection hors de prix, et ses boucles d'oreilles assorties en vitrium. Pour son futur époux, une bague en titanium/verrium pour que ça s'accorde au couple. Dans le temps, ces situations n'existaient pas. Ou alors pour les plus fortunés, qui venaient chez les gens comme moi pour des cristaux rares, des gemmes, du métal forgé (or, etc).
  19. Qui n'a jamais eu envie de tuer mettre des claques à Macron ? Voilà, personne. On a tous envie de lui décrocher des droites.
  20. En effet, il y a des femmes "trop" belles. C'est vraiment abusé. Je n'utilise pas le mot "trop" par hasard. C'est vraiment trop. Tu te demandes si c'est raisonnable de les garder. Je n'ai eu que des problèmes avec les mannequins. Que des problèmes. Zzzzz...
  21. Saint Pétard, Saint Pétard, ... ça ira mieux ce soir, ... Je fais de la musique, t'as vu ? J'ai écrit une chanson. Bref. Il y a un problème avec le verbe "exiger", c'est l'antinomie de "se contenter". Perso, je ne me contente de rien. Je n'exige rien non plus. Ma compagne, et toutes les femmes que j'ai eues dans ma vie, ont naturellement compris de quoi il retournait, sans que j'aie besoin de parler. Je crois que ça se voit à ma gueule, ou mon attitude, difficile à dire. Avec mwa, sur quel pied danser ? Déjà, essaie de tenir debout. J'ai toujours été solitaire. MAIS - je suis généreux, je fais des surprises, des trucs complètement inattendus. Parfois je suis comme ça, parfois je suis dans mon coin, et il ne faut pas me déranger. La vie à deux, il faut la supporter, et c'est malheureux à dire... "supporter". C'est un fameux poids, que je ne suis pas du tout prêt à endurer, et je ne serai jamais prêt. Mais au moins, c'est clair depuis le départ, il n'y a pas d'ambiguïtés.
  22. Nietzsche, fils de pasteur protestant. Il a fait une overdose de Dieu, et se tapait des prostituées. En 1889, à 44 ans, il est victime d'un effondrement et, par la suite, d'une perte totale de ses facultés mentales. Il vit ses dernières années sous la garde de sa mère, puis chez sa sœur Elisabeth Förster-Nietzsche. Malgré plusieurs hypothèses, l'origine de la maladie n'a pas été clairement établie. Ni la syphilis, longtemps évoquée (Nietzsche avait confessé aux médecins avoir été "infecté" deux fois), ni une psychose maniaco-dépressive remontant à l'adolescence n'ont pu être démontrées.
  23. La première fois que je t'ai embrassée, tu te rappelles ? Ce jour-là, en promenade, dans les bois, j'ai glissé. On s'est marrés comme des enfants, j'étais couvert de terre. La lumière du soleil ambiant te rendait rayonnante, comme toujours. Et ce baiser, on ne l'oubliera jamais. C'était le nôtre, c'était le moment. C'était "comme ça". Putain je deviens sentimental, amenez-moi vite une dose de vaccin. Celui avec l'arsenic et le plutonium.
  24. Salut Marie (pleine de grâce, Dominus Tecum), Dans un couple solide, "on sait". Du moins en toute logique. Un truc (une fleur en particulier ou autre souvenir), et boum, il y a le sourire. Ca n'a pas besoin d'être cher. Une simple fleur, que nous cueillions à l'époque, jeunes, dans les blés, courant au gré du vent. Cette magnifique orchidée, fleur qui se la pète, que je t'ai rapportée de Singapour. Ce sel minéral, rose, de notre voyage en Himalaya Ce simple courant d'air *pfiouuu* au creux de tes oreilles. Avec ce sourire qui t'a charmée autrefois... Cette omelette que j'ai ratée à notre premier rendez-vous... Ca n'a pas de prix.
  25. Idem. Après on les critique, on les blâme... voilà ce qu'on vous a laissé.
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