Aller au contenu

Mal-Voyant

Membre
  • Compteur de contenus

    109
  • Inscription

  • Dernière visite

Billets posté(e)s par Mal-Voyant

  1. Mal-Voyant
    Pierre Soulages, né le 24 décembre 1919 à Rodez, est un artiste peintre et graveur français. 
    Associé depuis la fin des années 1940 à l'art abstrait, il est particulièrement connu 
    pour son usage des reflets de la couleur noire, qu'il appelle « noir-lumière » ou « outrenoir ». 
    Il est l'un des principaux représentants de la peinture informelle. En 2014, François Hollande le décrit comme 
    « le plus grand artiste vivant dans le monde ».
     
     

     
    2019 : Grand prix du rayonnement français.
    Membre honoraire étranger de l'Académie américaine des arts et des lettres (1979)
    Grand-croix de l'ordre national du Mérite (1999)
    Austrian Decoration for Science and Art (en) (2005)
    Grand-croix de la Légion d'honneur (2015), grand-officier en 201159)
    Médaille d'or de la Renaissance française (15 mai 2019)
    Ordre du Soleil levant de quatrième classe, Ruban d'or et Rosette (2 novembre 2020)
     
     

    L’œuvre vit du regard qu’on lui porte.

    C'est ce que je fais qui m'apprend ce que je cherche.
     
     

     
     
    Elle ne se limite ni à ce qu’elle est ni à celui qui l’a produite, elle est faite aussi de celui qui la regarde. 
    Ma peinture est un espace de questionnement et de méditation où les sens qu’on lui prête peuvent venir se faire et se défaire.
     
     


    Un jour je peignais, le noir avait envahi toute la surface de la toile, sans formes, sans contrastes, sans transparences.
    Dans cet extrême j'ai vu en quelque sorte la négation du noir.
    Les différences de texture réfléchissaient plus ou moins faiblement la lumière et du sombre émanait une clarté, une lumière picturale,
    dont le pouvoir émotionnel particulier animait mon désir de peindre.
    Mon instrument n'était plus le noir, mais cette lumière secrète venue du noir.
     
     

     
     
     
    Enfant, j'aimais peindre, dessiner. On me donnait des couleurs mais je préférais tremper mon pinceau dans l'encrier.
    "Que dessines-tu ?" m'avait demandé ma mère, en me voyant peindre à l'encre noire. J'avais répondu "De la neige."
    Tout le monde avait bien ri, mais j'avais saisi quelque chose, le contraste.
     
     

     

    L'artisan sait toujours où il va. L'artiste, pas forcément
     
     

     

    Il faut surtout se garder de répéter ce qui a réussi. On tombe très vite dans son propre académisme. 
    Tous les académismes sont mauvais. Mais le pire, c’est encore celui de soi-même.
     
     
     

     
    Outrenoir : le noir devient émetteur de clarté. Ce sont des différences de textures, lisses, fibreuses, calmes, tendues ou agitées 
    qui captant ou refusant la lumière font naître les noirs gris ou les noirs profonds. Le reflet est pris en compte et devient partie 
    intégrante de l'œuvre : il y intègre la lumière que reçoit la peinture et la restitue avec sa couleur transmutée par le noir.

     

    Ces relations entre les formes sont un transfert de relations de l'univers à une autre signification.
    Dans ce qu'elle a d'essentiel la peinture est une humanisation du monde.
     
    Dans ces peintures, les Outrenoirs, la toile se fait devant vous, en fonction de vous, au moment de votre regard et à l’endroit 
    où vous la découvrez. Si vous faites un pas de côté, ou si l’éclairage change, que le soleil tourne ou que le soir tombe, 
    la lumière et son espace s’en trouvent complètement transformés.
     

     
     
    Si l'on sait qu'on ne sait pas, si l'on est attentif à ce que l'on ne connait pas, si l'on guette ce qui apparaît comme inconnu, 
    c'est alors qu'une découverte est possible.
     
     

     
     

    (...) je peins d'abord pour moi ; je ne crains pas de le dire, c'est pour que ma vie soit possible. 
    Je peins parce que j'ai besoin de peindre. Mais je considère que ma peinture ne devient de l'art qu'à partir du moment 
    où elle est vue, où elle est regardée par d'autres et où elle est comme une œuvre d'art c'est à dire comme une chose que 
    d'autres regardent et vivent à leur manière.
     

     
    Il y a la raison qu'on invoque de se mettre à la portée d'un public.
    Je n'ai jamais cru à cette façon de traiter le spectateur en sous-développé, d'inventer un langage puéril, 
    un langage de nourrices qui parlent à des enfants. S'il y a une éducation à faire, un culture à donner, 
    ce n'est pas aux artistes que cela incombe.
     
     

     

    Ces peintures ont d'abord été appelées Noir-Lumière, désignant ainsi une lumière inséparable du noir qui la reflète. 
    Pour ne pas les limiter à un phénomène optique, j'ai inventé le mot outrenoir, au-delà du noir, une lumière transmutée par le noir et,
    comme outre-Rhin et outre-Manche désignent un autre pays, outrenoir désigne aussi un autre pays, un autre champ mental que celui du 
    simple noir.
     
     

     
    Soulages croit-il en Dieu ? Peu importe d'ailleurs. Homme de foi, qui en douterait, la foi, et donc la croyance, pour cet homme, 
    c'est cette part de lui-même, sinon son être entier qui, depuis qu'il crée, aspire à la lumière et n’œuvre que pour elle ... 
    à travers le noir ou, plutôt par le biais des éclairs lumineux que développe son noir bourrelé d'effets et de matière.
     

     

    J’aime l’autorité du noir. C’est une couleur qui ne transige pas. Une couleur violente mais qui incite pourtant à l’intériorisation. 
    A la fois couleur et non-couleur. Quand la lumière s’y reflète, il la transforme, la transmute. 
    Il ouvre un champ mental qui lui est propre

    Plus les moyens sont limités, plus l'expression est forte.
     

     
    Après tout un arbre noir en hiver c'est une sorte de sculpture abstraite. 
    Ce qui m'intéressait était le tracé des branches, leur mouvement dans l'espace.
     
     

     
     
    clair-obscur. 
    Transparence.
     
     

     
     
    La pratique est inséparable de l'art qui se fait jour avec elle. Autrement dit, le fond et la forme ne font qu'un. 
    Je n'ai cessé d'inventer des instruments, le plus souvent dans l'urgence. 
    N'arrivant plus à produire quelque chose, je m'empare de ce que j'ai sous la main.
     

     
     
    La matière avec laquelle je travaille n’est pas le noir, mais la lumière qu’il émet vers le regardeur. 
    [...] Je crois à l’importance du regardeur.
     

     
    « La peinture est un ensemble de formes sur lequel viennent se faire et se défaire les sens qu’on leur prête ».
     

     
     
    À 16 ans, dans une revue, j’ai découvert le bison d’Altamira [...] ce qui m’a étonné, c’est de prendre conscience que les premières peintures de l’humanité ont été produites dans le noir absolu des grottes. De la craie, ces hommes en avaient partout dans leur environnement. Mais ils fabriquaient du noir en brûlant, en broyant les os. Ils mettaient cette poudre en bouche et faisaient du crachis : mâchaient et crachaient. J’en ai eu l’expérience à Pech Merle avec Michel Lorblanchet. Je me suis aussi introduit dans un trou de lapin où l’on se glisse pour trouver un dessin visible par une personne seule, dans le noir… Avec ma passion du noir depuis l’enfance, ça m’a beaucoup plu d’apprendre ça. On y trouve aussi des tracés digitaux appelés ironiquement « macaronis ». On sent bien que l’homme qui les a gravés s’est fait plaisir en caressant profondément du doigt la terre humide des parois de la grotte. Comme en caressant un ventre, mais de l’intérieur.
     
     

     
    Un jour de janvier 1979, je peignais et la couleur noire avait envahi la toile. Cela me paraissait sans issue, sans espoir. Depuis des heures, je peinais, je déposais une sorte de pâte noire, je la retirais, j’en ajoutais encore et je la retirais. J’étais perdu dans un marécage, j’y pataugeais. Cela s’organisait par moments et aussitôt m’échappait. Cela a duré des heures, mais puisque je continuais, je me suis dit qu’il devait y avoir là quelque chose de particulier qui se produisait dont je n’étais pas conscient [...]. Je suis allé dormir. Et quand, deux heures plus tard, je suis allé interroger ce que j’avais fait, j’ai vu un autre fonctionnement de la peinture : elle ne reposait plus sur des accords ou des contrastes fixes de couleurs, de clair et foncé, de noir et de couleur ou de noir et blanc. Mais plus que ce sentiment de nouveauté, ce que j’éprouvais touchait en moi des régions secrètes et essentielles.
     
     
     

     
     
    Le rapprochement d’un noir et d’un bleu a toujours quelque chose d’assez sensuel, on s’y livre avec une certaine volupté.
     

     
    La peinture est avant tout une expérience poétique. C'est une métaphore ; elle ne se laisse pas expliquer, elle ne se laisse pas entamer par l’explication.
     

     
     
     
     

     

     

    Le noir, pour moi, est une couleur intense, plus intense que le jaune.
     
     
     

     
     

     
     
     

     
     
    Je suis allergique au passéisme. L'art du passé me passionne, mais toutes les tentatives de retour en arrière ne sont que des simulations. Et toute simulation n'est qu'une tromperie. L'idée de progrès n'a rien à voir avec l'art, mais l'art change constamment, parce que le monde change et la situation de l'homme aussi.
     
     
     

     
    Les intentions d’un artiste, comme les explications du spectateur, sont toujours de fausses clés. Elles n’abordent qu’un côté d’une oeuvre, elles n’entament pas l’énigme qu’elle est.
     

     
     
     


     
     


    Peintre français vivant le plus cher

    Dès le début des années 1980, la cote de Soulages affiche des enchères supérieures à 100 000 francs et, en 1986, on enregistre un score à plus de 500 000 francs. C'est ensuite l'enchère historique de 264 000 livres (soit 2,65 millions de francs de l'époque), prononcée en novembre 1989 à Londres sur un grand format de 196145.
    Le 26 juin 2013, après que sa toile, Peinture, 21 novembre 1959, s'est vendue à 4,3 millions de livres (5,1 millions d'euros) à Londres, il devient l'artiste français vivant le plus cher aux enchères.
    Le 6 juin 2017, sa toile Peinture 162 × 130 cm, 14 avril 1962 s'est vendue à 6,1 millions d'euros à Paris, devenant ainsi son œuvre la plus chère aux enchères.
    Le 15 novembre 2018, après que sa toile, Peinture 186 × 143 cm, 23 décembre 1959 s'est vendue à 11 millions de dollars, soit 9,2 millions d'euros, (battant le record de l'année précédente) à New York, il devient le premier artiste français vivant à dépasser la barre symbolique des dix millions de dollars, intégrant ainsi un club très fermé48.
    Le 4 octobre 2019, sa toile, Peinture 146 × 114 cm, 6 mars 1960 s'est vendue à 5,5 millions de livres (6,48 millions d'euros) à Londres.
    Le 27 novembre 2019, sa toile, Peinture 200 × 162 cm, 14 mars 1960 s'est vendue à 9,6 millions d'euros à Paris, surpassant le précédent record.



  2. Mal-Voyant
    Tadao Ando - Architecte -  Ancien boxeur professionnel - il a raccroché les gants en 1962 
     
     

     
    A une conception bien à lui de l'espace architectural, qui sollicite aussi bien les sens que l'esprit, l'âme que le corps. 
    "Toutes ces expériences que l’on fait dans l’espace [l’entrée de la lumière, la pluie qui tombe] 
    sont pour moi quelque chose de grandiose. 
    Il faut que l’architecture accueille la joie de vivre des hommes", dit-il. "Sinon, notre corps n’est pas attiré vers elle".
     

     

    « Grâce aux règles géométriques, l’architecture s’autonomise et acquiert la paix ; grâce à l’introduction en elle des mouvements 
    de l’homme et de la nature, elle devient elle-même mouvement.
    La géométrie projetée au sein de la nature revendique son propre caractère dans le contraste qu’elle crée avec la nature. 
    Par la rencontre avec les lignes géométriques, la nature met en relief sa propre présence. Et grâce au dialogue né de la rencontre 
    entre ces deux éléments, l’environnement, support de la vie quotidienne, trouve sa place. »
     
     

     
    « Je ne crois pas que l’architecture doit parler trop. Elle doit rester silencieuse et laisser la nature parler directement 
    au travers du soleil et du vent.
    Ce que j’ai senti en observant des églises romanes, c’est que seule la lumière était l’espoir. 
    J’ai créé l'Église de la Lumière en me demandant si le symbole de la communauté, ce n’était pas la lumière. »

     

     
    « Je suis allé souvent à Nara près d’Osaka, pour y admirer le temple de Todai-ji et son grand bouddha assis. 
    Je suis allé à Kyoto voir le jardin zen du Ryoan-ji. j’ai contemplé le vide de ce jardin sec fait de sable et de roches, 
    ce néant qui vous parle. J’ai admiré les maisons traditionnelles et le style sukiya, selon l’esthétique des pavillons de thé, 
    qui recherche un lien entre l’habitat et la nature. Il existe beaucoup de ces lieux dans l’architecture japonaise où seuls 
    les esprits peuvent vivre. 
    Ces exemples m’ont incité à concevoir à mon tour des espaces qu’on ne trouve nulle part ailleurs. »
     
     

     

    « L’essence de l’architecture est d’ouvrir le cœur des gens et de les émouvoir de telle manière qu’ils soient heureux d’être sur terre.
    A l’instar de toute création humaine les édifices sont voués à se détériorer et à disparaître. On pourrait ainsi dire que l’histoire
     de l’architecture constitue un témoignage de la volonté que l’homme a de lutter contre ce destin. J’aimerais cependant, si cela 
    m’est possible, réaliser des édifices qui dureront toujours, pas du point de vue matériel ou stylistique, mais qui resteront gravés
     dans le cœur des hommes.
    Qu’importe si une maison est inconfortable. Il faut que l’habitant se demande lui-même comment y vivre, avec le moindre confort. 
    Ce que je souhaite construire, ce sont des espaces propices à inspirer des perspectives ou des paysages intérieurs. Je conçois pour
     cela des espaces interstitiels entre les parties fonctionnelles d’un bâtiment que j’ai appelés les « espaces fondamentaux 
    des émotions ». Je sépare ainsi l’architecture de sa fonction. »
     
     

     
     "L'architecture est aussi affaire de spiritualité"

    Tadao Ando, star planétaire de l'architecture, dont l'oeuvre est à la fois ascétique et spectaculaire se confie à L'Express. 
    Il évoque pêle-mêle ses années d'initiation, son admiration pour la France et sa foi en une architecture humaniste...
     
     

     
     
    Dans le nouveau millénaire, Ando aborde également le thème de la maison unifamiliale. Vue sur la mer. La maison 4x4 à Kobe (2003) 
    est une « petite tour en béton armé (...) 
    qui aborde la question de la minimisation - imposée par la rareté des terrains disponibles - des espaces de vie »

    Dans ce cas, la lumière, élément clé de sa poétique, joue un rôle décisif dans la définition de l’espace. 
    À ce propos, Ando a affirmé : « La création de l’espace dans l’architecture est simplement la condensation 
    et la purification de la puissance de la lumière. Dans mon travail, la lumière est toujours un élément critique 
    dans la mise en scène de tout l’espace, car elle permet de créer des effets visuels inattendus ».
     

     
    "La culture est une énergie nécessaire à la vie, assure Tadao Ando. 
    Elle seule donne la force de créer de nouvelles idées et apporte une plénitude profonde".
     « Je pense que l’architecture n’est pas une question de construction de bâtiments, mais de création d’espace. 
    J’essaie toujours de réduire le plus possible tous les éléments matériels pour que l’espace lui-même puisse devenir riche 
    et stimulant ».
    Des éléments récurrents dans les projets d’Ando : les effets lumineux, l’importance (y compris matérielle) 
    des murs et des espaces de division, 
    le « rapport entre la géométrie pure et les éléments naturels ».
     

     

    "On peut donner une forme à une idée, mais tout ce qui est physique est voué à disparaître […]. 
    Dans deux cent ans, il ne restera pas grand-chose du Musée de Naoshima. Mais l’idée un peu folle de l’homme d’affaires 
    qui a voulu faire de ces îles désespérément désertes un musée d’art contemporain d’envergure mondiale subsistera dans ses ruines"
     

     
     
    "Je réalise mes architectures en me demandant comment je pourrais concevoir des choses qui 
    restent gravées dans l’âme des hommes pour l’éternité". 
     
     


     
    Citation sur l'architecture:
    “Ainsi, durant les six mille premières années du monde, […], l'architecture a été la grande écriture du genre humain.”
    Victor HugoDe Victor Hugo / Notre-Dame de Paris
    “Ainsi voyez comme à partir de la découverte de l'imprimerie, l'architecture se dessèche peu à peu, s'atrophie et se dénude.”
    Victor HugoDe Victor Hugo / Notre-Dame de Paris
    “Je m'intéresse fort au progrès que peut faire cette petite architecture intérieure qu'on appelle l'ameublement.”
    Victor HugoDe Victor Hugo / Choses vues

    “Les temples érigés en l'honneur de la religion le sont, en vérité, en l'honneur de l'architecture.”
    Ludwig Feuerbach

    “L'architecture actuelle s'occupe de la maison, de la maison ordinaire et courante pour hommes normaux et courants. 
    Elle laisse tomber les palais. Voilà un signe des temps.”
    Le CorbusierDe Le Corbusier / Vers une architecture

    “L'architecture est le grand livre de l'humanité, l'expression principale de l'homme à ses divers états de développement, 
    soit comme force, soit comme intelligence.”
    Victor HugoDe Victor Hugo / Notre-Dame de Paris
    “Les plus grands produits de l'architecture sont moins des Ïuvres individuelles que des Ïuvres sociales ;
     plutôt l'enfantement des peuples en travail que le jet des hommes de génie.”
    Victor HugoDe Victor Hugo / Notre-Dame de Paris

    “Il est de règle que l'architecture d'un édifice soit adaptée à sa destination de telle façon 
    que cette destination se dénonce d'elle-même au seul aspect de l'édifice.”
    Victor HugoDe Victor Hugo / Notre-Dame de Paris
    “L'architecture ne sera plus l'art social, l'art collectif, l'art dominant. Le grand poème, le grand édifice, 
    la grande Ïuvre de l'humanité ne se bâtira plus, elle s'imprimera.”
    Victor HugoDe Victor Hugo / Notre-Dame de Paris
    “La vie intellectuelle est à la réalité ce que la géométrie est à l'architecture. 
    Il est d'une stupide folie de vouloir appliquer à sa vie sa méthode de penser, comme il serait anti-scientifique 
    de croire qu'il existe des lignes droites.”
    Jules RenardDe Jules Renard / Journal 1887-1892

    “Inspirons, s'il est possible, à la nation l'amour de l'architecture nationale. 
    C'est là, l'auteur le déclare, un des buts principaux de ce livre ; c'est là un des buts principaux de sa vie.”
    Victor HugoDe Victor Hugo / Notre-Dame de Paris
    “Chercher la raison de toute forme car toute forme a sa raison.”
    Eugène Viollet-le-DucDe Eugène Viollet-le-Duc / préface des Entretiens sur l’architecture, 1863

    “Restaurer un édifice, ce n'est pas l'entretenir, le réparer ou le refaire, c'est le rétablir dans un état complet qui peut 
    n'avoir jamais existé à un moment donné.”
    Eugène Viollet-le-DucDe Eugène Viollet-le-Duc / Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle
     
     
     

     
     

     
     

     
    Tadao Ando Architecte du silence.
     
     
     

     
     
     

     
     
     

     

     
     
     
×