yoyo95

C'était un vautour, après son nom précis je ne m'en rappelle plus. Ça ça se rapproche peut-être d'une pygargue ? J'utilise l'appareil en photo, c'est un petit (j'ai pas trop de budget à mon âge) mais il fait l'affaire visiblement

Je suis curieux de savoir comment ? En tout cas je les ai prises moi-même lors de mes vacances en Dordogne et à l'ile de ré et dans mon jardin. Toutefois je les ai partagé à pas mal de proches alors il se pourrait que certains les ai mis en ligne mais cela me parait quand même étrange c'est pas à leur habitude ?

C'est moi qui les ai prises ça marche pas ?

Il y en a d'autres mais je sais pas où sont les photos, et celle de la mésange à longue queue est pourrie mais en même temps elles vont trop vite lol

Le temps ne passe pas, c'est une notion bien trop abstraite. D'ailleurs passer, verbe de mouvement, voudrait dire que cette entité a un moyen d'action, et même qu'elle agit ? Non ; il passe juste dans notre imaginaire. Les gens détestent ce qu'ils ne comprennent pas, ce qui dépasse leur entendement. La soif de contrôle l'emporte sur toutes les perceptions. Alors il invente naïvement des explications pour se rassurer... Les religions sont dans ce brouhaha selon moi même si je vous respecte croyants. Qui a créé le monde ? Dieu. Qui a créé Dieu ? Silence. Et quel narcissisme de dire qu'il nous a créé à son image ! J'aurai voulu voir Dieu en pomme de terre ! Dieu et la bible sont des histoires inventées selon moi. Or pourquoi les gens y croient toujours si c'est faux ? Parce que ces histoires sont magnifiques, pleines de rebondissements, et surtout elles nous subliment parce qu'elles transcendent les mystères. Ou sinon parce que notre intelligence nous a rendu stupides ? Malheureusement la stupidité ne rend pas l'intelligence... Moi je pense que des fois, les mystères sont fabuleux et que les expliquer est bien le malheur qui nuit à leur beauté et leur grandeur, fatalement. Mais rien ne vous empêche de ranger votre bible ou autre déclinaison sous votre chevet. Faîtes de beaux rêves... Sinon à quoi bon vivre ?

Guerre du feu ? Ça me rappelle un film avec un viol face à une rivière. C'est tout. Tout ce dont je connaisse de ce nom. Oui.

Je cherche à accéder à la réalité Supérieure ; visions de surréalité, Mais je suis encore à demi-mots en ces lieux ; - Qu'on nomme réalité - et loin d'être vieux Je vous vois parfaitement cro-magnon antique ! Quelle est donc cette réalité authentique ? Ce n'est pas d'une République dont on jouit Ici ; C'est un verger de paroles qui luit !

Je vous croyais ange, aussi belle que l'opale Mais il semble que vous soyez un animal ? Et j'apprends - curiosité oblige ! - l'histoire Que vous êtes une femme de la préhistoire ! MALHEUR !

Si je tombes sur un sujet poésie au bac ça serait magique ! L'année prochaine je tenterai le concours poésie en liberté c'est gratuit donc j'ai rien à y perdre (faut dire que des gens dans ma classe m'ont supplié de le faire car je suis devenu un peu une curiosité avec ce que les profs de langues qualifient de talent et mes 6/20 en maths, car oui malheur je suis en S, désespoir, erreur de parcours ? Ahah, nan mais j'en rigole mais c'est pas drôle) Petit poème cadeau, il est simpliste mais mimi je pense ? L'amoureux des Fleurs Manteau scintillant d'ivresse, Et bec ; flûte pour les belles, Où coule un vieux nectar d'elles. - D'une Fleur c'est la promesse ! Bleu colibri il caresse Les beaux voiles d'une ombelle, (Plus frêle que les oiselles). - Il goûte sa joliesse ! Empli d'une douce justesse, Il effleure la Déesse. - L'élixir divin l'appelle ! Puis éveillant les dentelles, Il voit toute une aquarelle... - N'oublie pas la politesse ! À très vite l'ange

Marcelle, ça me fait tellement penser au conducteur sans C'est Pas Sorcier !

Sacré femme ! Il faudrait donc peut-être lui envoyer quelques vers libres !

Pauvre dame oui ! Je suis de retour, mais où est donc sera angel ? Un poème en prose que j'ai fait, à voir si vous faîtes atchoum : Belle de nuit J'allais quérir, aux jardins de Morphée, la vérité illusoire. Comprendre qui était Je me paru fondamental, mais y avait-il un sens à cela, au cœur de tant de fleurs qu'aucune pensée n'oserait butiner ? Peut-être devrai-je m'épanouir ainsi, sans vue, sans vue... Il y avait en ces lieux un marcheur sombre comme le blanc, à quelques mille lieues du lac aux fantômes de la Lune, et son cortège d'illuminations fantasmagoriques. Il était seul, très seul, sur ses coussins colorés. Une Géante aux colliers de soupirs, qui se vit tel un Monarque sur ces embryons endormis dans leurs voiles, s'approcha de l'homme. Il était jeune, comme ces bourgeons, et les yeux bruns et la peau rouge. La Géante, intriguée par ce corps innocent, étendu dans les arômes, lui demanda quelle était l'issue de sa quête. Le voyageur, fatigué de son entreprise, libéra ses yeux et lui tint ces prompts mots : « Je cherche, en vain, la Vérité, dans ce jardin d'idées. Mais j'ai du temps. Il en faudra des galaxies, il en faudra pour venir à bout de ma tête. Je ne crois pas avoir peur de la mort ; ni même de l'oubli, croyez-moi. Ce dont j'ai peur, en vérité, c'est de ne pas naître. ». Or la Géante ne l'avait pas écouté. Elle avait éteint son œil, emportée par l'aube printanière - celle qui fait frémir les jeunes âmes -. Au coin d'un bosquet fleuri, je les écoutais. Et j'allais, fils des météores, bercé par les limbes du bois. J'allais indistinctement, au royaume des aveugles. J'allais, aspiré par les chemins perdus : j'étais. Je reste connecté

Je suis un peu absent en ce moment, en période de cours c'est toujours un peu chaud ! Au moins je sais que j'ai eu 18 au bac blanc écrit, reste l'oral j'attends ! Les vacances sont dans une semaine, je vous dis donc à dans une semaine, et on VERS-ra. AH AH AH

Hélas, moi je n'ai pas encore eu cette chance. À chaque fois que je tente, la fille s'en va ! Heureusement dans ma peine la main qui danse Contre ma colonne divine, me sauva !

«J'ai explosé vos clitoris !» Légendaire.

Nouveau style, nouvelle vie Dîtes moi à quoi ça vous fait penser, j'attends les théories Prisme Cristal opalescent, prisme de sensation ; Où ondes réfléchies des miroirs ruisselants, Naissances parallèles, éclats de dispersion, Coulent au rythme déphasé du cadran fondant ; Visions courbées, drapés penchants de l'idéal, Et tissus irisés, voyelles scintillantes, Entrailles égayées d'une chaleur nivéale, Déformations inconnues, lueurs enivrantes. Réalité abyssale, voyance aux Yeux : Plénitude, et évidence pure des Cieux ; Quintessence des flots de lumières exaltantes. Hélas ! Vide rayon mourant, ombre ancestrale, Dévore les hallucinations ; reflet spectral D'une pupille aux suprêmes illusions brillantes !

Je suis de retour dans la cour des rimes ! J'étais très occupé, le taf vous voyez... Nan en fait j'étais juste plongé dans mes vers En plus j'avais oublié mon mot de passe... SANS COMMENTAIRE HUM En attendant de retrouver l'inspi croustillante érotique, je vous livre ces quelques vers pour le printemps fait en quelques minutes, et je reviendrai avec du plus sérieux Ce que je vois C'est une fleur qui bourdonne C'est un germe qui s'envole C'est un lac qui papillonne C'est un cocon qui décolle C'est un bourgeon qui butine C'est un arbre qui picore C'est un jardin qui dessine C'est un printemps qui honore C'est un esprit qui jardine C'est un texte qui se forme Et le poète imagine Que c'est bien lui qui transforme A + <3

Ça n'a absolument aucun rapport mais je voulais vous partager ce poème que vous ne connaissez peut-être pas mais pourtant légendaire. La première fois que je l'ai vu, c'etait avant même de savoir lire. C'est chez ma mamie que je l'ai découvert, encadré et accroché à la porte de ses toilettes. On ne s'ennuye pas quand on s'y fait chier (pour la blague). Alors le voici : Le petit endroit Vous qui venez ici dans une humble posture De vos flancs alourdis décharger le fardeau Veuillez quand vous aurez soulagé la nature Et déposé dans l'urne un modeste cadeau Épancher dans l'amphore un courant d'onde pure Et sur l'autel fumant placer pour chapiteau Le couvercle arrondi dont l'auguste pointure Aux parfums indiscrets doit servir de tombeau. A. Musset

J'adore Rimbaud <3

Oral passé sur Ma Bohème de Rimbaud, reste l'écrit cette aprem ! Ensuite je reprendrai j'espère nos petits jeux

Si la taille des sucettes est proportionnelle À la grande taille de la bête exceptionnelle, Je vous garanti que moi, ours, j'en ai une grosse, C'est un imposant et gigantesque molosse !

Je peux vous lécher autre chose Belle Dame, Pour me pardonner d'avoir humilié votre âme. Je devais reprendre les poèmes à double sens mais je suis encore sur un autre projet et en plus j'ai bac blanc de français je fais n'importe quoi avec vous

"Elle est bien trop vénère" Je suis K.O. Je termine en ce moment un poème que je vous partagerai et après je reprendrai les poèmes aux doubles sens si vous le voulez car moi j'adore (mer.. Ils m'ont contaminés les c** !)