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azed1967

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  1. Le crash de l'A320 de Germanwings, minute par minute Le Monde.fr | 26.03.2015 à 13h58 • Mis à jour le 26.03.2015 à 16h42 | L'Airbus A320 de la Germanwings aurait dû atterrir à Düsseldorf, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, le mardi 24 mars. Il s'est écrasé moins de trois quarts d'heure après son décollage de Barcelone, en Espagne. Voici, minute par minute, le déroulé de ce vol sur la foi des enregistrements sonores du cockpit rendus publics par le procureur de Marseille, des informations du Bureau d'enquêtes et d'analyses pour la sécurité de l'aviation civile (BEA) et du site FlightRadar. 10 heures : L'Airbus A320-211, opérant le vol 4U9525 de la compagnie Germanwings, décolle de l'aéroport de Barcelone, en Espagne, à destination de Düsseldorf. Entre 10 heures et 10 h 20 : Pendant les vingt premières minutes de vol, « il ne se passe rien d'anormal », a rapporté Brice Robin, le procureur de Marseille lors d'une conférence de presse, jeudi 26 mars. L'avion entretient jusqu'ici un contact normal avec le contrôle aérien français, selon le BEA. D'après les enregistrements de la cabine issus de l'une des deux boîtes noires, le comportement et les échanges entre le pilote et le copilote sont normaux depuis le début du vol. Leur discussion est même « joviale », a précisé le procureur de Marseille. 10 h 27 : L'avion atteint une altitude de croisière de 38 000 pieds, au large de Toulon (Var). Avant 10 h 31 : Le commandant entame le briefing, c'est-à-dire le passage en revue de la fin du trajet du vol et des différentes procédures à suivre en vue de l'atterrissage à l'aéroport de Düsseldorf. Les réponses du copilote sont « laconiques », selon le procureur de Marseille. 10 h 30 : Pour la dernière fois, l'A320 entre en contact avec le contrôle aérien au sol. L'un des deux pilotes indique « Direct IRMAR merci 18G ». Il montre ainsi qu'il a pris bonne note de l'ordre que vient de lui donner le contrôleur aérien de se diriger directement vers le point de passage « IRMAR » et le remercie en rappelant l'indicatif radio de l'appareil : il s'agit d'une communication normale. Entre le briefing et 10 h 31 : Le pilote quitte son poste, vraisemblablement pour se rendre aux toilettes. Il demande au copilote de prendre les commandes, selon le procureur de Marseille. 10 h 31 : L'Airbus amorce sa descente, alors que le copilote est seul dans le cockpit. Selon le procureur de Marseille, le copilote a volontairement pressé « un bouton, pour une raison que nous ignorons totalement mais qui peut s'analyser comme une volonté de détruire cet avion ». >> Lire aussi : Seul dans le cockpit, le copilote a actionné les commandes pour faire descendre l'A320 Entre le départ du commandant de bord et le crash : Le pilote, de retour des toilettes, demande à plusieurs reprises l’ouverture de la porte du cockpit selon la procédure habituelle, en tapant un code et en se signalant par visiophone. Sans succès. Il tape ensuite sur la porte de la cabine, de plus en plus fortement. Le copilote ne répond pas, « volontairement », selon le procureur. Le contrôle au sol puis la tour de contrôle de Marseille tentent à de multiples reprises de contacter l’avion par radio. La tour demande également de passer le transpondeur de l'avion en mode alerte, ce qui lui aurait permis d'être prioritaire sur les autres aéronefs en cas d'atterrissage d'urgence, puis aux avions alentours de servir de relais radio. Le copilote ne réagit pas. 10 h 35 : La Direction générale de l'aviation civile (DGAC), conformément aux procédures et en constatant la descente et le silence radio de l'appareil, donne l'alerte. Ce type d'alerte, dite « DETRESFA », s'accompagne du décollage d'avions de chasse pour tenter de rejoindre, en vol, l'Airbus A320. Dans les secondes qui précèdent le crash : Les coups sur la porte du cockpit, blindée, se font de plus en plus violents, pour « défoncer la porte » selon le procureur. Les alarmes avertissant de l'approche du sol se font entendre, ainsi que des cris de passagers. Jusqu’à cet instant « la respiration du copilote, qui reste silencieux, est normale ». 10 h 40 m 47 s : L'Airbus A320 est pour la dernière fois détecté par un radar français, à une altitude quasi identique à celle où a été retrouvée l'épave. http://www.lemonde.fr/europe/article/2015/03/26/le-crash-de-l-a320-de-germanwings-minute-par-minute_4602070_3214.html
  2. bah oui un procureur de la république vous savez ça vaut rien du tout ! http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/crash-dans-les-alpes-ce-que-l-on-sait-d-andreas-lubitz-le-co-pilote-8585259.html ah oui j'oubliais les nombreux controleurs aerien sont tous myope ! ou sourd peut être,...
  3. A320: le copilote, seul dans le cockpit, a volontairement provoqué le crash (direct vidéo) Le copilote Andreas Lubitz (photo) a refusé d’ouvrir la porte au commandant et a volontairement baissé l’altitude de l’avion. Il était vivant jusqu’au moment du crash qui a fait 150 morts dans les Alpes françaises. la suite sur le lien http://www.lesoir.be/833197/article/actualite/france/2015-03-26/a320-copilote-seul-dans-cockpit-volontairement-provoque-crash-direct-video
  4. il me semble que ce sont des experts qui ont donné ces infos ! le pilote était bon, l'avion était bon, le temps était bon ! le gars a tué 150 personnes là on en est sûr. vous peut etre pas moi si ! chacun est libre ! le copilote a actionné les commandes pour faire descendre l'avion http://www.lemonde.fr/europe/article/2015/03/26/seul-dans-le-cockpit-le-copilote-a-actionne-les-commandes-pour-faire-descendre-l-appareil_4602048_3214.html c'est volontaire comme le disent les experts
  5. oui le bouton pour amorcer la descente était made in china. la porte made in maroc à+
  6. bonne lecture ! Crash de l'Airbus A320 : le copilote a actionné les commandes pour faire descendre l'avion Le Monde.fr | 26.03.2015 à 12h58 • Mis à jour le 26.03.2015 à 15h47 Deux jours après le crash de l'Airbus A320 de la compagnie aérienne Germanwings, le procureur général de Marseille, Brice Robin, a tenu une conférence de presse, jeudi 26 mars, pour faire état des premières avancées de l'enquête. Selon les premières conclusions, fondées sur le contenu de la première boîte noire de l'avion, le copilote – et non le pilote, comme nous l'avions indiqué dans un premier temps par erreur – a actionné les commandes pour faire descendre l'appareil. Une action qui, selon M. Robin, « ne peut être que volontaire ». Le copilote seul dans la cabine de pilotage Les vingt premières minutes de l'enregistrement ne révèlent rien de particulier. Ont seulement été captées par l'enregistreur de vol des conversations anodines entre le pilote et le copilote. Au bout d'un moment, « on entend le commandant de bord demander au copilote de prendre les commandes » de l'appareil, pour, probablement « assouvir ses besoins naturels », raconte Brice Robin. Suivent le bruit d'un siège qui recule et celui d'une porte qui se ferme. Le copilote, Andreas Lubitz, âgé de 28 ans, se retrouve alors seul dans la cabine de pilotage. Embauché en septembre 2013 par la Germanwings, il est le moins expérimenté des deux (il comptait 630 heures de vol, contre plus de 6 000 heures pour son collègue). C'était donc lui qui était aux commandes de l'avion lorsque ce dernier a percuté le massif de l'Estrop, entre Digne-les-Bains et Barcelonnette. A ce moment-là, le commandant de bord se trouvait hors du cockpit – et non le copilote comme nous l'avions écrit dans un premier temps, sur la foi d'une source haut placée. Une « action volontaire » pour amorcer la descente C'est lorsque le copilote est seul dans le cockpit « qu'il manipule les boutons du “flight monitoring system” pour actionner la descente de l'appareil », continue le procureur, précisant que « l'action ne peut être que volontaire ». Plusieurs appels du commandant, depuis l'extérieur de la cabine, ont été enregistrés par le CVR (cockpit voice recorder), l'enregistreur de conversations du cockpit. L'homme s'identifie, notamment via la caméra de surveillance située sur le côté de la porte. Le copilote, alors aux commandes de l'avion, ne répond pas. Des bruits de respiration jusqu'à l'impact La tour de contrôle de l'aéroport de Marseille a lancé de nombreux appels à l'appareil, lui réclamant notamment d'émettre un code de détresse. La tour demande également à d'autres avions de faire un relais radio pour contacter l'Airbus. Aucune réponse. « On entend un bruit de respiration humaine à l'intérieur de la cabine jusqu'à l'impact final », précise le procureur, ce qui indique que le copilote était vivant tout au long de la descente de l'avion. Le procureur ajoute : « Aucun message de détresse ou d'urgence n'a été reçu par les contrôleurs aériens et aucune réponse n'a été apportée à l'ensemble des appels des différents contrôleurs aériens. L'interprétation la plus plausible pour nous est que le copilote, par une abstention volontaire, a refusé d'ouvrir la porte de la cabine de pilotage au commandant de bord et a actionné le bouton commandant la perte d'altitude. » Entre-temps, l'A320 est passé de quelque 12 000 mètres d'altitude à 2 000 mètres, la hauteur de la montagne contre laquelle il finit par s'abîmer. Des alarmes se déclenchent alors pour signifier à l'équipage la proximité du sol. « Là, on entend des coups cherchant à défoncer la porte. » « Juste avant l'impact final, on entend le bruit de ce qui est probablement un premier impact sur un talus », précise le procureur. L'avion glissera ensuite le long de ce talus pour aller percuter la montagne à 700 km/h. « Une volonté de détruire l'avion » Cette attitude « peut être analysée comme une volonté de détruire cet avion ». Pour le moment, impossible de se prononcer sur les raisons du comportement du copilote. Le procureur a reconnu que l'hypothèse d'une volonté de se suicider de la part du copilote est « légitime ». « Pas le moindre indice » sur les motivations du copilote Lufthansa, maison mère de la compagnie Germanwings, a indiqué qu'elle n'avait, pour l'heure, « pas le moindre indice » sur les motivations d'Andreas Lubitz. Selon le patron de Lufthansa, Carsten Spohr, « quelles que soient les mesures de sécurité que vous pouvez avoir dans une société, quelle que soit la rigueur des procédures, rien ne pourrait empêcher un tel acte isolé. (...) Aucun système au monde ne pourrait [l']empêcher ». « Ce qui s'est passé était inimaginable pour nous », a-t-il ajouté, soulignant que le copilote avait passé les contrôles médicaux et psychologiques et était « absolument capable de voler ». http://www.lemonde.fr/europe/article/2015/03/26/seul-dans-le-cockpit-le-copilote-a-actionne-les-commandes-pour-faire-descendre-l-appareil_4602048_3214.html
  7. que l'assassin andreas était bien conscient et respirait normalement jusqu'au crash ! que la porte a été verrouillée de l'intérieure volontairement !
  8. il y a les enregistrements qui sont là !
  9. pas de piste terroriste selon le ministre allemand de l'intérieure
  10. au mois pour une fois il servira à quelque chose le murat
  11. wait and see mais vaut mieux s'attendre au pire dans des cas comme ça
  12. tiré du fil de l'info du journal le monde Se poser la question: L'avion n'a pas répondu aux controleurs aériens et n'a cessé de chuter, peut-on émettre la possibilité d'un attentat ? Personne n'en parle mais c'est quand même d'une brulante actualité ....
  13. tiens j'ai une crotte sous ma semelle.
  14. pas obligatoire ok mais fort recommandé. c'est à tes risques et perils http://www3.chu-rouen.fr/Internet/services/sante_voyages/pathologies/fievrejaune/liste_pays/
  15. ou ai je dis qu'il y a un vaccin contre le paludisme ? vous vous trompez voici le la liste des pays ou il faut un vaccin, et le perou comme pas mal de pays d'amerique du sud l'exige sinon pas de visa j'ai été au sénégal vaccin obligatoire http://www.who.int/ith/chapters/ithcountrylistFR.pdf
  16. ça existe et tu peux même suivre tout seul comme un grand chaque vol ! avec ce site http://www.flightradar24.com/35.32,0.26/6
  17. mettez une croix sur les pays tropicaux car pour y entrer et avoir un visa pour y aller on doit être vacciné. mais surement qu'ils se trompent hein, la malaria c'est rien du fake bonne journée
  18. pour ça le maroc est en avance comme pour les voitures ils ont un porte bagage ça amortis la chute :)
  19. je commence à avoir des sueurs froides lu ce le fil de l'info du monde,... @Lecteur allemand Selon les dernières informations de Météo France, les conditions météo étaient « particulièrement calmes au moment du crash ». Le temps était sec et le ciel totalement dégagé durant toute la matinée avec un vent faible, voire nul. Météo France ajoute que « des nuages dangereux comme des cumulonimbus n’étaient pas présents ». Les seules zones concernées par des pluies et des orages étaient le golfe du Lion et la Méditerranée, que l’avion avait survolés en début de matinée.
  20. j'spère que c'est pas encore un attentat, wait and see, sinon paix à leurs âmes.
  21. "Si tu téléphones à une voyante et qu'elle ne décroche pas avant que ça sonne, raccroche." http://blog.eurnet.fr/index.php/2006/07/11/139-les-citations-du-jour-selon-jean-claude-van-damme
  22. Crash d’un Airbus dans le sud de la France Un A320 de la compagnie GermanWings s’est écrasé dans les Alpes de Haute-Provence. Il transportait 142 passagers et 6 membres d’équipage Un Airbus A320 s’est écrasé mardi dans la région de Barcelonette, dans les Alpes de Haute-Provence, a-t-on appris de sources sécuritaires. La Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC) a confirmé le crash de l’avion. L’appareil effectuait une liaison Barcelone-Düsseldorf. Il transportait 142 passagers et 6 membres d’équipage. Il s’agit d’un avion de la compagnie Germanwings, filiale de Lufthansa, qui devait assurer la liaison Barcelone-Düsseldorf. L’avion a décollé à 10 heures et a disparu des écrans radar une heure après avoir quitté la cité catalane. Des débris retrouvés près de Barcelonnette Voici la carte de la région. Elle sera complétée avec toutes les infos qui seront connues. http://www.lesoir.be/830969/article/actualite/france/2015-03-24/crash-d-un-airbus-dans-sud-france
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