BadKarma

Une question d'éducation (surtout anglaise)...

Maux

L'amour éternel sujet d'espérance soumis au joug du fatal "tout passe, tout lasse"...

L'amour gériatrique mélangiste est un peu comme la célèbre tirade populaire "faut pas faire mousser mémé dans les parties (fines)"...

Aux amours naissantes les bandaisons, aux amours vieillissantes la débandade...

L'amour est abnégation musicale, après le supplice des concertos vibratoires, le sévice des flatulences sonatoires (dans la soie, cela aide à la compréhension de l'oeuvre)...

L'amour, l'amour, et après c'est ronfle, ronfle...

Capiteux comme un péché véniel...

Sado-machisme à son doux gré...

L'amour, une esthétique des plaisirs de la chair, invitation aux agapes sur l'autel de son corps...

L'amour hérétique est labial, mordre à pleine dent dans le charnu fruit défendu et en retirer un arrière goût de sangctification...

L'amour, un infini zodiac où le capricorne effarouche la jeune vierge...

L'amour, et vous voila tout bananisé...

L'amour, et vous voila tout électrolysé...

L'amour, communion d'avec un astre...

Et si d'aventure nous affirmions à une inconnue avoir particulièrement du nez lorsqu'il nous est donné le privilège de croiser une créature qui a du chien, devrions-nous nécessairement êtres taxés de dangereux sexistes à tendance zoophile...?

Et dire que certains heureux élus ne trouvent que plaintes à l'objet de leur chosification alors que dans un même temps d'autres seraient prêts à débourser fortune auprès d'expertes professionnelles, allez comprendre la logique de ce drôle de monde...

L'amour, le plus merveilleux des désastres...

L'Amour, authentifié démon du midi, celui qui vous met le Diable au corps...entre fil à la patte et main au collet !

A un reb près en 5ème position...

En chanson les amours finissent toujours mal parait-il, ne nous étonnons donc pas que l'amour soit un indubitable rosse aux roses...

Paul Morand qui avait bien compris à qui il avait affaire s'est-il payer le luxe du trait d'esprit en affirmant définitivement que "l'homme est un miracle, inutile"...

L'amour outragé, ou la trahison du chant des sirènes à ses naufragés...